Le Dr Carrie Madej, médecin en médecine interne et ostéopathe, a dirigé deux cliniques dans l'État de Géorgie, aux États-Unis, pendant 19 ans. Les vaccins l'ont fascinée dès son plus jeune âge, en particulier le vaccin antitétanique très médiatisé. Elle a été surprise de constater qu'aucun collègue n'avait jamais vu un "cas de tétanos". Cela l'a incitée à faire des recherches sans répits. À sa surprise, elle a découvert qu'il y avait un additif dans le vaccin qui stérilisait les femmes.
« Je dirais aux gens qu'ils doivent vraiment s'arrêter et réfléchir très sérieusement parce que ce vaccin est différent de tout autre vaccin ou médicament et a été fait rapidement »
« Selon les experts, ce serait tout simplement l’évolution naturelle, le cycle de vie du virus, et ça semble se vérifier chez nos voisins européens puisque la baisse qu’on a observée en France s’est produite au même moment en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg. »
Carlo Maria Vigano est l'ancien ambassadeur du Vatican aux États-Unis, il est catégorisé de complotiste par les médias traditionnels
C19HCQ analyse toutes les études significatives concernant l'utilisation de l'hydroxychloroquine pour le COVID-19. Les méthodes de recherche, les critères d'inclusion, les critères d'extraction des effets (les résultats les plus graves sont prioritaires), toutes les données des études individuelles, les réponses PRISMA et les méthodes statistiques sont détaillées dans l'annexe 1 de cette méta-analyse.
« Il y a une nouvelle étude sur 10000 patients traités en ambulatoire pour lesquels on voit une différence extrêmement significative. La mortalité est extrêmement basse »
Le but de ce site est d’annoncer les rassemblements, permettre un échange de co-voiturage et lister les différents sites et pages qui remettent en question les mesures COVID. C'est un forum, vous pouvez vous-même publier une annonce.
Karim Duval découvre le théâtre et écrit ses premiers sketchs en 2008, alors qu’il est encore ingénieur à Sophia-Antipolis (il est diplômé de l’École Centrale Paris). Rapidement il remporte de nombreux prix dans des festivals d'humour de renom, puis décide en 2012 de se consacrer pleinement à sa passion : la scène.
Il est également très présent sur YouTube, et un peu à contre-courant, comme vous pouvez le constater dans cette vidéo.
« De toute façon autrui a fauté donc moi aussi j'ai le droit de fauter, et alors, quand autrui a le dos tourné... »
Selon le Times et le Daily Telegraph, le chef de la diplomatie américaine a tenu ces propos mardi matin à Londres lors d'une rencontre fermée à la presse avec des députés britanniques, les deux journaux citant des propos rapportés par des participants.
« Quand les choses ont commencé à bouger, au moment le plus important, quand il y avait une pandémie en Chine, le Dr Tedros, qui a été... acheté par le gouvernement chinois, je ne peux pas en dire plus, mais je peux le dire, je dis ça en me fondant sur des renseignements solides, un accord avait été conclu. »
Denis Rancourt est l'auteur notamment d'un article scientifique paru sur ResearchGate en avril 2020. Celui-ci a été censuré par la plateforme le 3 juin 2020 après avoir été lu plus de 400 000 fois. Vous pouvez accéder ici à l'article : Les masques ne fonctionnent pas - Un rapport scientifique en lien avec la politique sociale COVID-19.
À savoir que l'entreprise berlinoise a fait une levée de fonds de 52,6 millions de dollars en 2017. Parmi les généreux donateurs on retrouve Goldman Sachs, LVMH, Xavier Niel ... et Bill Gates.
Ci-dessous la réponse de ReseachGate à Denis Rancourt quant aux raisons de la suppression de l'article sur leur plateforme.
« La réflexion et l'examen minutieux font au final progresser la science. En général, à ResearchGate, nous sommes plutôt du côté de la liberté d'expression. Cependant, si nous avons des raisons de croire que le contenu de notre plateforme est susceptible de causer un préjudice, nous nous réservons le droit de le retirer. Dans ce cas, votre rapport préconisait que les masques faciaux ne sont pas efficaces et, en fait, décourageait leur utilisation. Cela va à l'encontre des conseils de santé publique et/ou des exigences d'agences et de gouvernements crédibles. En tant que contenu qui ne semblait pas avoir fait l'objet d'un processus de contrôle de qualité par la communauté scientifique, et qui était largement relié par les médias sociaux, nous pensions qu'il avait le potentiel de nuire. »