L’article suggérait que le programme de vaccination pour l’éradication de la variole parrainé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) était responsable du déclenchement du SIDA en Afrique. Près de 100 millions d’Africains vivant en Afrique centrale ont été inoculés par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Le vaccin a été tenu pour responsable du réveil d’une infection virale sida “dormante” sur le continent.
Quant aux injections, elles ne sont aucunement des vaccins, mais sont de la haute biotechnologie, avec du nanohydroxide ou oxyde de graphène, des nanotransmetteurs, des nano senseurs ainsi que des "choses" nanométriques de type parasitaire, inconnues même des chercheurs confirmés qui les analysent en ce moment dans le monde entier.
L'article est un bon récapitulatif sur la dangerosité des injections actuelles.
Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens.