L’ONS a publié les données sur les décès par statut vaccinal le 16 mai. Le rapport comprenait un graphique intitulé “Nombre de décès dans les 28 jours suivant la vaccination contre le COVID-19 en Angleterre”.
« Il était clair dès le départ que la plupart des données publiées par les gouvernements – pas seulement le gouvernement britannique, mais la plupart des gouvernements dans le monde – étaient trompeuses parce qu’elles étaient basées sur des statistiques très facilement manipulables »
L’article suggérait que le programme de vaccination pour l’éradication de la variole parrainé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) était responsable du déclenchement du SIDA en Afrique. Près de 100 millions d’Africains vivant en Afrique centrale ont été inoculés par l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Le vaccin a été tenu pour responsable du réveil d’une infection virale sida “dormante” sur le continent.
Quant aux injections, elles ne sont aucunement des vaccins, mais sont de la haute biotechnologie, avec du nanohydroxide ou oxyde de graphène, des nanotransmetteurs, des nano senseurs ainsi que des "choses" nanométriques de type parasitaire, inconnues même des chercheurs confirmés qui les analysent en ce moment dans le monde entier.
L'article est un bon récapitulatif sur la dangerosité des injections actuelles.
Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens.