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Les décès ARNm à Singapour

Réseau InternationalSingapour : Les décès ARNm se voient comme une tumeur au milieu du nez

Réseau International - 11 mai 2025

Cela fait longtemps que je n’ai pas fait tourner la machine à graphique. Je me suis inspiré du travail de Felicittina qui suit l’évolution du nombre des décès, toutes causes confondues, dans plusieurs pays. Dans le lot : Singapour.

   

Singapour est intéressant (5,91 millions d’habitants, tous citadins par définition).

Why ?

Une société très riche (la Suisse de l’Asie du Sud-Est) et organisée au cordeau, propre et OBÉISSANTE.

L’ordre règne à Singapour.

Autre particularité : c’est un melting pot ethnique et religieux. Du malais, du chinois, du blanc, de l’indien. Mais tous se tiennent à carreau, car les systèmes policier et judiciaire sont… performants. Et impitoyables.

Un graffiti sur un mur, un chewing-gum ou un mégot de cigarette jeté au sol et c’est une amende salée immédiate voire des coups de canne (eh oui, une de leur spécialité héritée des british !).

Donc une société ultra sécurisée.

Personne ne s’amuse à foutre le bordel. Personne ne s’avise à emmerder le monde. Brûler des voitures, violer des femmes dans la rue, poignarder des passants… ça n’existe pas. Fin de la parenthèse (qui devrait faire office de recette pour les débiles mentaux européens, mais bien entendu ils sont incapables de comprendre).

Donc une plaque tournante à la fois d’hommes et de pognon en Asie… C’est une fenêtre extraordinaire sur le «Covid». Ainsi que sur les injections «Covid». À la différence des autres pays de la région, Singapour a pu s’offrir… les poisons ARNm (en Thaïlande, Pfizer était réservé exclusivement aux très riches).

Voici son graphique et ensuite je colle le mien. Elle travaille sur 12 mois glissants (sommes des décès de mars 2025 à avril 2024, et ainsi de suite).

Moi, je suis plus psychorigide, je compare le premier trimestre 2025, au premier trimestre 2024, etc.

Première constatation

Elle est fondamentale et elle s’applique à TOUS LES PAYS DE LA RÉGION : il ne s’est RIEN PASSÉ en 2020.

Oui bien sûr, de l’hystérie, des mesures absurdes, de la peur délibérément entretenue… Sans oublier quelques vieillards déjà malades achevés avec de la ventilation mécanique (préconisée par la Chine). Mais aucune «pandémie» tuant femmes, enfants, nourrissons, chats, chiens et oiseaux.

Je répète : PEAU DE BALLE.

Ça la fout mal pour une «pandémie» épouvantablement horrible… Personne n’a osé reconnaître ce fait extravagant et encore moins apporter une ou des explications satisfaisantes…

Deuxième constatation

On voit que jusqu’en 2020, les décès suivent une courbe ascendante régulière. La population vieillit de manière pépère, donc mécaniquement, davantage de Singapouriens décèdent, chaque année.

C’est parfaitement normal. La mort étant le principal effet secondaire délétère… de l’âge.

En revanche, on voit clairement le «changement de vitesse»… à partir de 2021.

Cela se voit comme une tumeur qui clignote sur un nez aviné.

Que s’est-il passé en 2021 ? Une éclipse du soleil ? Les ondes négatives du méchant Poutine et de Orange Man Bad ? Le réchauffement climatique ? Ou alors les Singapouriens se sont tous mis à manger du McDonald et à fumer 2 paquets de Gitane par jour, tout en sniffant le pot d’échappement de leurs véhicules diesel ?

Non. Ne rêvez pas.

Le seul VÉRITABLE changement ponctuel, factuel et très large : les injections ARNm (1 et 2 doses en 2021 et le booster fin 2021 ou début 2022).

Singapour a massivement injecté : fin novembre 2021, 85% de la population avaient reçu 2 doses (source officielle) !

Et Singapour a massivement utilisé Pfizer et Moderna. Le produit chinois ne pèse que 4,7% des injections totales. Ridicule (alors que comme je le disais, en Thaïlande, c’est l’inverse… on a eu principalement l’Astra Zeneca local, autre catastrophe, et 2 produits chinois).

Troisième constatation

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L'archevêque Vigano sur le pape

Aube DigitaleLe pape François, illégitimement installé via un coup d’État au Vatican

Aube Digitale - 28 avr 2025

L’archevêque Carlo Maria Viganò explique comment les mondialistes ont coopté l’Église catholique pour faire avancer le programme libéral radical, dans une interview puissante censurée par les médias locaux.

   

Le pape François, alias Jorge Mario Bergoglio, était un pontife illégitime mis en place par le Nouvel Ordre Mondial mondialiste pour orienter l’Église catholique politiquement vers la gauche, a déclaré l’archevêque Carlo Maria Viganò dans une récente interview qui a été censurée par les diffuseurs locaux.

Mgr Viganò, qui a été excommunié du Vatican l’année dernière, a été récemment interviewé par l’émission de télévision italienne « Fuori dal Coro » à la suite du décès du pape François ; cependant, sans explication, l’émission n’a pas diffusé son segment.

Dans son interview, l’archevêque a expliqué comment la structure de pouvoir mondialiste avait besoin de l’influence du Vatican pour faire avancer son programme libéral radical, en soulignant comment la mafia de Saint-Gall, de concert avec l’État profond américain, a orchestré la démission du pape Benoît XVI, qui s’opposait au programme libéral, et a installé Bergoglio.

L’interview de Viganò a été publiée pour la première fois sur le site The Gateway Pundit. Lisez-la ci-dessous :

Voici l’interview demandée par la rédaction de « Fuori dal Coro » sur Mediaset pour l’épisode d’hier, 23 avril. Sans aucune explication et sans aucune excuse de la part de la rédaction, mon intervention n’a pas été diffusée. Je la mets à disposition ici.

1. Excellence, quelle est votre évaluation du Pape Bergoglio ?

Au cours des dernières décennies, un lobby subversif s’est emparé des leviers du pouvoir dans les gouvernements et les institutions, afin d’exécuter le plan antichrétien et maçonnique de la Révolution. Les agences gouvernementales – comme nous le savons de ce qui émerge également aux États-Unis d’Amérique – se sont immiscées dans la vie de diverses nations, en organisant et en finançant le soi-disant « Agenda 2030 » de la Fondation Rockefeller et du Forum économique mondial, qui consiste en la destruction de la famille, la marchandisation de la vie humaine, la corruption morale des enfants et des jeunes, l’exploitation des travailleurs et la privatisation de tous les services qui, jusqu’aux années 1990, étaient garantis – sans motif de profit – par l’État : santé, infrastructures, défense, communications, éducation. Pour mener à bien ce coup d’État global, la collaboration (rémunérée, bien sûr) de fonctionnaires corrompus, de politiciens, de médecins, de juges et d’enseignants corrompus a été nécessaire.

L’Église catholique, qui s’était déjà alignée sur la mentalité mondaine avec le concile Vatican II, était cependant restée fermement ancrée sur certains principes non négociables, par exemple en matière de morale sexuelle ou de respect de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle. Benoît XVI était clairement opposé au projet mondialiste et n’aurait jamais dérogé à ces principes en légitimant l’idéologie LGBTQ, l’idéologie du genre, les folies pseudo-sanitaires de l’OMS en matière de modification génétique et de dépopulation mondiale, ou encore l’islamisation de l’Europe par substitution ethnique. Il fallait donc éliminer Joseph Ratzinger et le remplacer par un « pape » qui – comme l’espérait le collaborateur d’Hillary Clinton, John Podesta – allait promouvoir l’Agenda 2030, ratifier la fraude climatique et convaincre les fidèles du monde entier de se faire inoculer un sérum dont on sait aujourd’hui qu’il a été conçu pour éliminer ou pathologiser la plus grande partie de l’humanité.

Ce coup d’État du Vatican a été rendu possible (et nous le savons par les aveux de ses protagonistes, dont le controversé cardinal Danneels) par les manœuvres de la mafia de Saint-Gall, qui, de concert avec l’État profond américain, a poussé Benoît XVI à la démission et a réussi à nommer Jorge Mario Bergoglio à la plus haute fonction de l’Église catholique.

L’usurpation de Bergoglio n’est ni plus ni moins que celles qui ont permis au lobby mondialiste d’imposer des chefs de gouvernement aux ordres du Forum de Davos dans l’Italie de Conte et Draghi, la France de Macron, l’Angleterre de Johnson et Starmer, l’Espagne de Sanchez, l’Irlande de Martin, le Canada de Trudeau, l’Australie d’Arden, les États-Unis d’abord des Clinton et Obama puis de Biden, et dans l’Union européenne de von der Leyen. Tous ces dirigeants n’ont pas accédé au pouvoir de manière légitime, mais plutôt par le biais de magouilles, de fraudes électorales ou de manipulations du consensus ; et ils exercent ce pouvoir contre les citoyens et contre les institutions qu’ils devraient représenter.

Et tous ces gens, sans exception, sont largement compromis et soumis au chantage, de sorte qu’ils sont contraints d’obéir s’ils ne veulent pas voir leurs crimes et perversions mis en lumière. Et ni Bergoglio ni ses acolytes ne font exception à cet égard.

Le jugement que tout catholique est amené à formuler sur cette « papauté » – qui n’en était pas vraiment une mais qui n’en avait que l’apparence – ne peut être que terrible, à tous points de vue. L’Église de Rome, après ces douze années de tyrannie, est dévastée par les scandales, la corruption, les violations des droits de l’homme – je pense à l’accord avec la dictature communiste de Pékin – et par une gestion ratée sur tous les fronts. Les timides critiques de certains cardinaux et évêques sur les hérésies et les scandales de Bergoglio n’ont en rien entamé ce régime global qui considère les gouvernants du monde comme ses alliés – opposés au bien des citoyens et des croyants.

2. Le jour de la mort du pape François, vous avez écrit un billet sur X dans lequel vous définissez les déclarations que Bergoglio a confiées à Eugenio Scalfari comme des « délires hérétiques ». Pouvez-vous expliquer pourquoi ?

Selon Scalfari, Bergoglio lui a confié qu’il ne croyait pas à l’enfer et qu’il était convaincu que les bonnes âmes sont sauvées en « fusionnant » avec Dieu, tandis que les âmes damnées sont détruites, dissoutes dans le néant. Cela contredit à la fois l’Écriture Sainte et le Magistère catholique, qui enseignent que chaque âme, au moment de la mort physique, fait face au Jugement particulier et est récompensée par la félicité éternelle (en passant éventuellement par le Purgatoire) ou punie par la damnation éternelle, en fonction de la façon dont elle s’est comportée dans sa vie et de son état d’amitié ou d’inimitié avec Dieu au moment de son décès. C’est pourquoi j’ai parlé de délires hérétiques : ils s’ajoutent à la très longue liste d’inepties et d’hérésies que nous avons tous eu à subir ces dernières années.

3. A quoi faites-vous référence lorsque vous parlez de « ses héritiers… les subversifs » ?

Bergoglio s’est entouré de personnages corrompus et soumis au chantage, qu’il a utilisés avec désinvolture pour obtenir ce qu’il voulait. Il s’est moqué, a dénigré et offensé des cardinaux et des évêques honnêtes. Il a protégé et couvert des enquêtes sur des prélats accusés de crimes graves. Il a promu toute la chaîne des prélats américains, corrompus et ultra-progressistes, tous liés à l’ancien cardinal McCarrick, qui occupent aujourd’hui les principaux diocèses américains et des postes clés au Vatican. Il a levé l’excommunication de son frère jésuite Marco Rupnik, dont les affaires honteuses avaient scandalisé les plus modérés. Il a persécuté tous ses opposants, y compris moi, en m’excommuniant, en violation de la loi et de la justice. Tous ces gens sont encore à leur place, ils continuent à démolir l’Église et se préparent, avec le prochain Conclave, à achever la tâche qui leur a été confiée : transformer l’Église du Christ en une organisation œcuménique et syncrétiste d’origine maçonnique qui apporte son soutien au Nouvel Ordre Mondial.

4. Selon vous, le pape François est un antipape, un non-pape. Pouvez-vous expliquer pourquoi ?

Le cardinal qui est élu lors d’un conclave comme successeur de Pierre doit exprimer son acceptation et son consentement à assumer les fonctions propres à la papauté.

Je pense que l’acceptation de la papauté par Bergoglio était erronée parce qu’il considérait la papauté comme quelque chose d’autre que ce qu’elle est ; comme le conjoint qui se marie à l’église en excluant les objectifs spécifiques du mariage, annulant ainsi le mariage précisément en raison de son défaut de consentement.

Bergoglio a obtenu son élection par la fraude, abusant de l’autorité du pontife romain pour faire exactement le contraire de ce que Jésus-Christ a confié à saint Pierre et à ses successeurs : confirmer les fidèles dans la foi catholique, paître et gouverner le troupeau du Seigneur, et prêcher l’Évangile à tous les peuples. Toutes les actions de Bergoglio en matière de gouvernement et d’enseignement – depuis sa première apparition à la loggia du Vatican où il s’est présenté avec ce troublant « Buona sera » – se sont déroulées dans une direction diamétralement opposée au mandat pétrinien : il a dénaturé le Depositum Fidei, il a semé la confusion et conduit les fidèles dans l’erreur, il a dispersé le troupeau, il a déclaré que l’évangélisation des peuples était une « absurdité solennelle », la condamnant comme du prosélytisme, et il a systématiquement abusé du pouvoir des Saintes Clés pour délier ce qui ne peut l’être et lier ce qui ne peut l’être.

Le Pape n’est pas le maître de l’Eglise, mais le Vicaire du Christ : il doit exercer son autorité dans les limites établies par Jésus-Christ et conformément aux fins voulues par Dieu : avant tout, le salut des âmes par la prédication de l’Evangile à toutes les créatures, et par les Sacrements.

Un Pape ne peut donc pas se considérer autorisé à « réinventer » la Papauté, à la « relire en clé synodale », à la « moderniser », à la démembrer à volonté, à en changer la Foi ou la Morale. S’il pense que la papauté lui permet de modifier l’institution qu’il préside, il se trouve par le fait même dans une situation de vice de consentement (vitium consensus) qui annule son apparente élévation au ministère pétrinien, car ce qu’il a accepté n’est pas la papauté catholique telle qu’elle a toujours été comprise depuis saint Pierre, mais plutôt une idée personnelle de la « papauté ».

C’est pourquoi je suis convaincu que le rôle subversif joué par Bergoglio – même considéré dans le contexte international plus large du coup d’État mondialiste – fait de lui un usurpateur, un antipape, un non-pape, précisément parce qu’il était parfaitement conscient de vouloir altérer la papauté en la transformant en quelque chose d’autre et en lui donnant des objectifs qui ne sont pas ceux de la papauté : du culte de l’idole Pachamama à la communion des divorcés et à la bénédiction des couples homosexuels, de l’immigration à la promotion des vaccins, de la propagande climatique à la transition de genre.

D’autre part, nous en avons la confirmation par ceux qui louent Bergoglio non pas pour avoir été un pape catholique, mais pour les empanadas de la population transgenre de Torvaianica ou pour sa chaleureuse amitié avec Emma Bonino.

5. Quel sera l’avenir de l’Église maintenant que le pape François est mort ?

La mort de Bergoglio cristallise, pour ainsi dire, une situation d’illégitimité généralisée. Sur les 136 cardinaux électeurs, 108 ont été « créés » par lui, ce qui signifie que quel que soit le pape élu lors du prochain conclave – même s’il s’agissait d’un nouveau saint Pie X – son autorité sera compromise par le fait qu’il aura été élu par de faux cardinaux, créés par un faux pape. C’est pourquoi, il y a quelque temps, j’ai demandé à mes frères dans l’épiscopat de clarifier ces aspects avant de procéder à l’élection d’un nouveau pape.

Certes, la situation est désastreuse et humainement sans solution. Toutefois, en tant qu’évêque et successeur des Apôtres, je ne peux m’empêcher de rappeler à tous que l’Église, qui est le Corps mystique du Christ, est destinée à affronter la passio Ecclesiæ à l’exemple du Seigneur. C’est précisément à partir de cette passion – où tout semblera perdu comme en ce Vendredi saint d’il y a 1 992 ans – que l’Église renaîtra, se régénérera et se purifiera.

En ces jours où nous célébrons Pâques, chaque catholique trouve dans le triomphe du Christ sur la mort et le péché les raisons de sa propre fidélité à l’Évangile. Notre Seigneur nous a dit, peu avant d’affronter sa Passion : N’ayez pas peur : Je suis vainqueur du monde.

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L'OMS avoue une explosion de décès suite aux injections

Réseau InternationalVaxxins : L’OMS avoue que les décès covid ont explosé après la vaccination

Réseau International - 26 avr 2025

Vaccins efficaces ? L’OMS avoue que les décès Covid ont explosé après la vaccination et plus les pays étaient vaccinés plus les décès augmentaient.

   

🚨 NOUVELLE ÉTUDE – Les données de l’OMS révèlent une augmentation spectaculaire des décès dus au COVID-19 dans le monde après la vaccination de masse

📍 Les décès ont augmenté dans toutes les régions de l’OMS après le déploiement du vaccin

📍 Augmentation de 1275% des décès dans le Pacifique occidental après la vaccination de masse

📍 Les pics de mortalité les plus élevés sont observés dans les zones les plus fortement vaccinées

⚠️ La vaccination de masse contre le COVID-19 a non seulement complètement échoué, mais a considérablement aggravé la situation

De nombreux rapports sur l’impact de la vaccination sur les décès liés à la pandémie de COVID-19 étaient des projections réalisées alors que l’urgence mondiale se développait. Un nombre croissant de chercheurs indépendants ont attiré l’attention sur la nature subjective et les biais inhérents aux modèles mathématiques utilisés pour ces prévisions, qui pourraient compromettre leur exactitude lorsque la surmortalité était l’indicateur privilégié.
Objectif

Les décès dus à la COVID-19 ont été comparés entre les périodes pré-vaccinales et vaccinales afin d’observer l’impact de la vaccination sur la trajectoire des décès dus à la COVID-19 dans le monde entier pendant l’urgence pandémique.
Méthodes

Cas de COVID-19, décès et taux de vaccination dans la base de données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) jusqu’au 7 juin 2023, le taux de létalité pour 1000 pour la période pré-vaccinale (CFR1) et celui pendant la période de vaccination (CFR2) ont été comparés pour toutes les régions de l’OMS, tandis que les tests de corrélation entre le pourcentage de changement dans les décès dus au COVID-19 et les variables d’intérêt ont été examinés.
Résultats

Français Les décès dus à la COVID-19 ont augmenté avec une couverture vaccinale allant de 43,3 % (Afrique) à 1 275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont contribué le moins aux décès cumulés mondiaux dus à la COVID-19 avant les vaccins, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès mondiaux dus à la COVID-19 malgré une vaccination élevée, et le pourcentage d’augmentation de la mortalité due à la COVID-19 et le pourcentage de personnes âgées de ≥ 65 ans étaient significativement corrélés (0,48) en Afrique.
Conclusion

La mortalité due à la COVID-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale est plus élevée.

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Carnage parmi les soignantes

Profession GendarmeCarnage parmi les soignantes

Profession Gendarme - 06 sep 2024

33 infirmières américaines sont décédées subitement cette semaine, dans un contexte de hausse « sans précédent » des décès parmi les personnes vaccinées contre le Covid.

   

Trente-trois infirmières à qui l’on avait dit que les injections d’ARNm du COVID étaient « sûres et efficaces » sont décédées subitement et de manière inattendue aux États-Unis cette semaine alors que le nombre de morts continue d’augmenter parmi les personnes vaccinées et renforcées.

De nombreux infirmiers sont morts d’un arrêt cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral ou d’un turbo-cancer à apparition rapide, alors que les médecins préviennent qu’ils constatent désormais régulièrement des troubles « uniques » chez les jeunes patients en bonne santé.

« C’est la nouvelle norme… les turbo-cancers sont morts subitement. Mon ami a perdu trois amis en une semaine ! Les turbo-cancers comme celui-ci étaient pratiquement inexistants avant les injections de COVID », a expliqué Steve Kirsch, scientifique et chercheur en vaccins au MIT.

Combien de temps avant que nous puissions, en tant que société, avoir une discussion honnête sur ce qui arrive sous nos yeux aux vaccinés contre le Covid ?

[...]

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Gil Macrae

Aube DigitaleUne infirmière licenciée rend public le nombre de décès dus à la vaccination

Aube Digitale - 09 mar 2024

Une infirmière licenciée rend public le nombre de décès dus à la vaccination de masse contre le Covid.

   

Après avoir été licenciée pour avoir refusé de se conformer à l’obligation de vaccination imposée par son hôpital, une infirmière californienne s’est exprimée publiquement pour dénoncer une vaste opération de dissimulation des décès liés aux injections d’ARNm anti covid.

Gail Macrae, une infirmière californienne d’une unité de soins intensifs, s’est exprimée pour tirer la sonnette d’alarme sur le fait que le public est induit en erreur au sujet des injections et du nombre réel de patients ayant été vaccinés contre le Covid.

Macrae accuse l’hôpital où elle travaillait d’avoir violé l’éthique médicale.

Elle affirme que cette violation, dont elle pense qu’elle se produit dans tout le pays et au-delà, a eu pour conséquence d’accroître les préjudices subis par les patients.

Macrae a travaillé à l’hôpital Kaiser Permanente de Santa Rosa de 2015 à 2021.

Cependant, elle a été licenciée pour ne pas avoir respecté le mandat de vaccination du personnel.

Après l’introduction du vaccin contre le COVID-19, Macrae a constaté une augmentation considérable du nombre d’hospitalisations et de décès.

Elle affirme que les patients souffraient d’effets secondaires qu’elle n’avait jamais vus auparavant.

Pendant ce temps, des traitements éprouvés et recommandés ont été interdits et les systèmes d’archivage ont été manipulés pour dissimuler les blessures liées aux vaccins et les cas d’infections graves.

Elle a révélé que les responsables de l’hôpital ont ordonné au personnel de dissimuler les décès liés à la vaccination, souvent en inscrivant les patients décédés entièrement vaccinés sur la liste des « non-vaccinés » et en indiquant la cause comme étant le « Covid ».

Macrae a révélé que le personnel de l’hôpital avait été menacé pour avoir signalé des effets indésirables et des décès liés aux vaccins.

Elle a également déclaré que les professionnels de la santé ont fait l’objet de représailles pour s’être opposés aux protocoles d’isolement des patients et pour avoir refusé aux familles l’accès et la participation à leurs traitements.

Selon Macrae, au cours des premiers mois de la pandémie, les hôpitaux étaient presque vides car les procédures non urgentes étaient interrompues – une scène qui contrastait avec les affirmations des médias selon lesquelles les capacités étaient débordées.

Même pendant la vague d’hospitalisations de l’hiver 2020-2021 due à des problèmes respiratoires normaux, elle a déclaré que « pas une seule fois » les hôpitaux n’ont été débordés.

C’est une observation qu’elle a corroborée avec des collègues de tout l’État.

Cependant, elle a déclaré que les responsables des hôpitaux ont véhiculé l’idée que les établissements étaient débordés par les patients atteints de la maladie de Covid.

« On a menti au public », a-t-elle déclaré.

« Cela m’a vraiment ouvert les yeux sur le fait qu’il se passait des choses qui n’auraient pas dû se passer.

Macrae a signalé la mise en œuvre de protocoles d’isolement stricts pour les patients ayant contracté le COVID-19, qui interdisaient les visites des familles des patients et de leurs défenseurs.

Elle affirme que ces politiques restrictives ont facilité l’alarmisme incontrôlé des médias, tout en supprimant un système de soutien qui aurait pu servir de tampon contre la coercition administrative.

Bien que le COVID-19 soit « la maladie la plus inflammatoire que l’humanité ait jamais connue », le personnel hospitalier expérimenté a été empêché d’administrer des stéroïdes – « le meilleur traitement pour un processus inflammatoire », a déclaré Macrae.

« Le fait que le gouvernement, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et ces organisations à trois lettres disent aux praticiens qu’ils ne peuvent pas administrer de stéroïdes (…) est absolument criminel », a-t-elle ajouté.

La Californie n’a pas été le seul État à interdire les stéroïdes.

Les anti-inflammatoires classiques tels que les stéroïdes ont été interdits dans le cadre de protocoles rigides dans les hôpitaux des États-Unis.

Par ailleurs, le remdesivir, déjà jugé inefficace comme traitement contre Ebola, a été administré dans le cadre de protocoles stricts.

Cependant, les données indiquent qu’il « fait plus de mal que de bien », a déclaré Macrae.

Elle a ajouté que les antiviraux, en général, n’agissent pas « plus de deux jours après l’apparition des symptômes ».

Macrae a suggéré que les motivations lucratives étaient à blâmer.

Elle a révélé que « chacune de ces doses coûtait plus de 3 000 dollars ».

Avec toutes ces nouvelles politiques et protocoles restrictifs, Macrae a déclaré : « Chaque jour, j’avais l’impression de violer mon serment de praticienne ».

Lorsque les vaccins contre le COVID-19 ont été introduits au début de l’année 2021, Macrae a fait état d’un changement immédiat et radical dans les admissions de patients.

Elle a révélé que son hôpital a connu une augmentation stupéfiante de « 300 % des hospitalisations ».

Le personnel de l’hôpital a été débordé par l’état inhabituel des patients, a-t-elle expliqué.

Selon Macrae, les alertes « code bleu » – lorsque quelqu’un cesse de respirer ou que son cœur s’arrête – qui se produisaient peut-être une fois par équipe, ont commencé à se produire jusqu’à dix fois par équipe.

« Ils les appelaient toujours au niveau inférieur de l’hôpital, où nous avions une clinique de vaccination », a-t-elle déclaré.

Deux infirmières qui administraient directement les vaccins – des collègues qu’elle a rencontrées dans le cadre d’un groupe de soutien aux praticiens dans sa communauté – ont déclaré qu’elles voyaient entre 10 et 20 épisodes de choc anaphylactique par jour.

Elles ont déclaré à Macrae qu’elles étaient menacées de licenciement si elles parlaient publiquement de la situation.**[...]

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Mike Dickson

Gateway PunditMort subite du journaliste qui avait tenté d'annuler Novak Djokovic

Gateway Pundit - 22 jan 2024

Le journaliste qui avait tenté d'annuler Novak Djokovic parce qu'il n'était pas vacciné s'effondre et meurt subitement à l'Open d'Australie.

   

La communauté du journalisme sportif est en deuil suite au décès soudain de Mike Dickson, un rédacteur respecté du Daily Mail.

M. Dickson, qui se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie, s'est tragiquement effondré et est décédé peu avant son 60e anniversaire.

Mike Dickson a eu une carrière riche en histoire qui s'est étendue sur près de quatre décennies, au cours desquelles il est devenu un pilier des tribunes de presse du monde entier. Son parcours au sein du Daily Mail a commencé en 1990, lorsqu'il a assumé pour la première fois le rôle de correspondant pour le cricket, avant de devenir une voix éminente dans le monde du tennis.

La triste nouvelle de son décès a été annoncée par son épouse, Lucy, au nom de leurs enfants, Sam, Ruby et Joe, dans un message très émouvant publié sur les réseaux sociaux. La déclaration de la famille se lit comme suit :

"Nous sommes dévastés d'annoncer que notre merveilleux mari et père, Mike, s'est effondré et est décédé alors qu'il se trouvait à Melbourne pour l'Aus Open. Pendant 38 ans, il a vécu son rêve en couvrant le sport dans le monde entier. C'était un homme vraiment formidable et il nous manquera terriblement. Lucy, Sam, Ruby et Joe".

— Mike Dickson (@Mike_Dickson_DM) 17 janvier 2024


Le Daily Mail l'a rapporté :

Mike Dickson, le légendaire correspondant de tennis du Daily Mail, est décédé tragiquement à l'âge de 59 ans.

Dickson était un journaliste extrêmement respecté et admiré qui a passé 38 ans dans l'industrie - 33 au Mail, où il a commencé en 1990 - et sa perte sera profondément ressentie par ses collègues.

Il a travaillé comme correspondant du Mail pour le cricket avant de passer au tennis. Au cours de sa riche carrière, il a couvert 30 sports différents dans près de 50 pays.

M. Dickson se trouvait à Melbourne pour couvrir l'Open d'Australie lorsqu'il est décédé, à quelques jours de son 60e anniversaire, le 27 janvier.

Il vivait à Wimbledon avec sa famille et aimait suivre Tranmere et Everton, ayant grandi dans le Wirral. Sa femme Lucy a annoncé la nouvelle de son décès sur X dans un message commun avec la famille.


Récemment, M. Dickson a attiré l'attention sur ses critiques concernant la position de Novak Djokovic sur le vaccin COVID-19. Dans divers articles, il a non seulement remis en question les décisions de Djokovic, mais il a également souligné les implications potentielles pour son héritage et son image publique.

Dans l'un de ses articles, Dickson écrit : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic pourrait ruiner ses chances de devenir le GOAT en refusant de se faire vacciner... c'est une drôle de colline sur laquelle mourir pour un joueur qui a tellement besoin d'être aimé".

Dickson a écrit de nombreux articles, insultant Novak, et a même dit ceci. Encore une fois, je suis très reconnaissant à Novak d'être aussi classique et d'avoir retweeté la mort de Dickson en lui disant "Repose en paix". J'aime cet homme. pic.twitter.com/Any2nQwHsP

— Erin Elizabeth Health Nut News (@unhealthytruth) 20 janvier 2024


Il a également rédigé un article de questions-réponses intitulé "NOVAK DJOKOVIC Q&A : Pourquoi le numéro un mondial est-il si catégorique sur le fait de ne pas se faire vacciner ? À quoi renonce-t-il dans ce processus ? Et surtout... que se passe-t-il maintenant ?"

Sa position critique était claire dans un autre article où il déclarait : "MIKE DICKSON : Novak Djokovic restera un héros pour certains, mais pour beaucoup d'autres, il a détruit sa réputation de manière irrémédiable... le numéro un mondial pensait qu'il pouvait travailler avec le système, mais il s'avère qu'un traitement de faveur ne va pas plus loin".

Malgré leurs divergences, Novak Djokovic a fait preuve d'esprit sportif et de respect en reconnaissant la mort de Dickson. La star du tennis a retweeté l'annonce du décès de Dickson avec un message simple mais poignant : Condoléances à la famille de Mike Dickson [emoji de prière] Repose en paix.

Condoléances à la famille de Mike Dickson Repose en paix https://t.co/skSMgwvBcZ

— Novak Djokovic (@DjokerNole) 18 janvier 2024


Pendant ce temps, Novak Djokovic a dû faire face au chahut d'un public qui lui demandait de se faire vacciner. Sans se décourager, Djokovic a répondu sur le court avec ses prouesses habituelles, claquant un ace pour s'assurer une victoire en trois sets contre Tomas Martin Etcheverry.

Regarder Novak Djokovic servir un as après avoir été chahuté par la foule "GET VACCINATED" est incroyablement satisfaisant.

Souvenez-vous qu'ils n'ont pas laissé le champion du monde et l'une des personnes les plus en forme de la planète jouer au tennis parce qu'il a refusé plusieurs doses d'une thérapie génique ARNm expérimentale pour un... pic.twitter.com/2YqMPkTOi5

— Concerned Citizen (@BGatesIsaPyscho)  20 janvier 2024

 

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décès nouvelle injection de VRS

The DefenderVRS : Taux de décès incroyablement élevé chez les nouveau-nés

The Defender - 10 jan 2024

Des chercheurs français identifient un « taux de décès incroyablement élevé » chez les nouveau-nés ayant reçu une nouvelle injection de VRS.

   

Des chercheurs français ont identifié des signaux de sécurité possibles chez les bébés coïncidant avec le déploiement de Beyfortus, un traitement par anticorps monoclonaux récemment approuvé contre le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les nouveau-nés.

Cette découverte intervient alors que les autorités de santé publique multiplient les avertissements concernant la propagation des virus respiratoires et intensifient leur promotion du médicament .

Dans des entretiens avec The Defender , les chercheurs – la scientifique indépendante et auteure française Hélène Banoun, Ph.D. , et la statisticienne française Christine Mackoi — ont expliqué que les données de l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) indiquent un taux improbable de décès de bébés âgés de 2 à 6 jours en France entre septembre et octobre 2023.

L’INSEE est l’autorité qui compile les données officielles sur les naissances et les décès en France.

Cette augmentation, selon les chercheurs, coïncide avec l’introduction du Beyfortus dans les hôpitaux français, qui a débuté le 15 septembre 2023. Dans une interview avec le cardiologue Peter McCullough, MD, MPH , Banoun a déclaré que plus de 200 000 nouveau-nés en France ont reçu une injection. avec Beyfortus depuis cette date.

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont recommandé Beyfortus en août 2023, tandis que l’Agence européenne des médicaments (EMA) a autorisé le médicament en septembre 2022.

Beyfortus a été développé conjointement par AstraZeneca et Sanofi.

Le médicament est proposé « en injection unique pour les nourrissons nés juste avant ou pendant la saison du VRS et pour ceux âgés de moins de 8 mois avant le début de la saison », ainsi que pour certains nourrissons à haut risque âgés de 8 à 19 mois. .

Selon l’Associated Press , « Aux États-Unis, environ 58 000 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés chaque année à cause du VRS et plusieurs centaines en meurent. » CNBC a rapporté que « le VRS est la principale cause d’hospitalisation chez les nourrissons aux États-Unis ». Selon le CDC, presque tous les enfants sont infectés par le VRS avant l’âge de 2 ans.

Mais les chercheurs français et autres experts médicaux interrogés par The Defender ont prévenu qu’aucune étude à long terme n’avait été menée sur Beyfortus et les nouveau-nés et que l’administration d’anticorps monoclonaux sur cette population était sans précédent. Ils ont également souligné les données indiquant le faible risque du VRS pour les bébés.

Le Dr Meryl Nass , interniste, épidémiologiste de guerre biologique et membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defense (CHD), a déclaré au Defender : « Donner aux nouveau-nés tout médicament ou produit biologique doit être fait avec une extrême prudence, sans parler d’un nouveau produit monoclonal injecté. anticorps. Vous ne pouvez pas savoir si le nourrisson a été blessé par le tir, si vous ne savez pas encore dans quelle mesure il est en bonne santé et comment il se comporte normalement. Cela devrait être un énorme signal d’alarme pour les fabricants ainsi que pour les parents.

Selon Banoun, “le gouvernement français recommande que Beyfortus soit injecté aux nouveau-nés avant leur sortie de maternité, à partir du 15 septembre 2023, même si le produit n’a pas été testé sur cette tranche d’âge”, a déclaré Banoun.

Nass a souligné que le CDC a publié un article en 2021 sur tous les décès dus au VRS aux États-Unis au cours des 12 années précédentes. Le CDC a examiné les certificats de décès et a constaté qu’il n’y avait que 26 décès par an dus au VRS, et seulement 17 décès par an dans l’ensemble des États-Unis causés par le VRS chez les bébés de moins d’un an.

Selon McCullough , « Parmi les 22,4 millions d’enfants de moins de 5 ans, le risque annuel d’hospitalisation pour le VRS est bien inférieur à 1 %. »

La surmortalité chez les nouveau-nés est « alarmante » et « inquiétante »

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20 % de la population néo-zélandaise vaccinée est décédée

Aube DigitaleLanceur d’alerte : 20 % de la population néo-zélandaise vaccinée est décédée

Aube Digitale - 06 déc 2023

Un lanceur d’alerte du gouvernement néo-zélandais a présenté des données officielles explosives qui montrent que plus de 20 % des citoyens du pays sont décédés après avoir reçu leur injection anti covid à ARNm.

   

À l’instar de nombreux autres pays, la Nouvelle-Zélande a connu un pic de surmortalité sans précédent au cours des deux dernières années.

En raison de mandats stricts et d’une forte pression gouvernementale pendant la pandémie de Covid, la grande majorité de la population néo-zélandaise est entièrement vaccinée.

Les données officielles montrent que 95,8 % de la population néo-zélandaise éligible âgée de 12 ans et plus a reçu une dose d’ARNm anti Covid.

Alors qu’un pourcentage stupéfiant de 94,7 % de la population néo-zélandaise âgée de 12 ans et plus est considéré comme entièrement vacciné.

Un administrateur de la base de données du gouvernement néo-zélandais, qui a contribué à cataloguer les données officielles sur les personnes vaccinées, a révélé des informations explosives.

Le lanceur d’alerte a dévoilé des données officielles du gouvernement qui montrent que le pic de surmortalité enregistré dans le pays est lié à la campagne d’injections anti covid.

Selon le statisticien lanceur d’alerte, qui se fait appeler « Winston Smith« , un grand nombre de Néo-Zélandais vaccinés sont aujourd’hui décédés.

Winston Smith travaillait sur un programme d’enregistrement des indemnisations vaccinales pour les prestataires de soins.

Grâce à son accès unique, il a pu déterminer avec précision comment les décès ont commencé à se produire peu de temps après l’introduction des vaccins.

Le spécialiste des technologies de l’information a fait ces révélations lors d’une récente interview avec la journaliste d’investigation Liz Gunn.

Au cours de l’entretien, M. Smith a expliqué comment il avait établi la corrélation entre les vaccins administrés et les décès qui s’ensuivaient.

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la mortalité des jeunes explose

The DefenderLes jeunes meurent du cancer à un rythme “explosif"

The Defender - 01 déc 2023

Une analyse des données du gouvernement britannique révèle une augmentation sans précédent du nombre de décès par cancer chez les 15-44 ans à la suite de l'introduction des vaccins Covid-19, selon un nouveau rapport de l'analyste de données Edward Dowd. Le rapport a suscité de nouveaux appels à une enquête plus approfondie.

   

Selon une nouvelle analyse d’Edward Dowd, les adolescents et les jeunes de 20, 30 et 40 ans du Royaume-Uni meurent de cancers à métastases rapides et en phase terminale à un rythme sans précédent depuis le début de la vaccination de masse par le Covid-19.

Le rapport de 45 pages de M. Dowd, ancien gestionnaire de fonds spéculatifs à Wall Street et auteur de “‘Cause Unknown‘:The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022″, a alarmé certains oncologues qui l’ont qualifié de revirement brutal par rapport à des décennies de données sur la mortalité.

M. Dowd a basé son analyse sur des statistiques gouvernementales facilement accessibles de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.

Dans une interview avec The Defender,le professeur Dowd a déclaré que lui et ses partenaires de recherche, qui comprennent une poignée de scientifiques de haut niveau, d’analystes de données et d’experts financiers, ont examiné toutes les données de la 10e révision de la classification internationale des maladies (CIM), Codes (CIM-10) pour la cause du décès au Royaume-Uni au cours de la période d’étude 2010-2022 afin d’étudier les tendances des néoplasmes malins (codes C00 à C99).

Les codes CIM-10 sont la classification internationale des diagnostics, des symptômes et des procédures établie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour le traitement des demandes de remboursement. Un néoplasme malin est une tumeur cancéreuse.

M. Dowd explique que son équipe de recherche a remarqué une tendance frappante : Alors que la quasi-totalité des décès survenus chez les personnes âgées en 2021 et 2022 au Pays de Galles et en Angleterre avaient été codés, 8 % des décès survenus chez les 15-44 ans en 2021 et 30 % des décès survenus dans cette tranche d’âge en 2022 n’avaient pas encore été codés.

“Lorsque l’on meurt à l’hôpital, on laisse une trace de vie et de mort avec des indications sur ce qui a conduit au décès”, a-t-il déclaré. “Lorsqu’un jeune meurt au volant d’une voiture, en marchant dans la rue ou dans son sommeil, il y a une enquête qui prend du temps pour déterminer la cause du décès.

M. Dowd a déclaré que les codes manquants sont “révélateurs du problème” de la surmortalité chez les jeunes.

Cependant, même en tenant compte des codes manquants, les 92 % de décès codés en 2021 et les 70 % de décès codés en 2022 ont révélé “un signal fort de décès par cancer chez les jeunes”. Nous montrons une forte augmentation de la mortalité due aux néoplasmes malins qui a commencé en 2021 et s’est considérablement accélérée en 2022.

“L’augmentation de la surmortalité en 2022 est statistiquement très significative (événement extrême)”, écrit M. Dowd dans son rapport. “Les résultats indiquent qu’à partir de la fin de l’année 2021, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès dus aux néoplasmes malins semble être présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni”.

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les jeunes décèdent

The DefenderLes assurances alarmées par l’augmentation des décès chez les jeunes

The Defender - 12 nov 2023

Les dirigeants du secteur de l’assurance sont “alarmés” par l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes, mais n’accusent pas les vaccins Covid

   

Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies qui montrent que "les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories", notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.

Les dirigeants des plus grandes compagnies d’assurance des États-Unis sont alarmés par le fait que les adolescents, les jeunes et les cols blancs américains dans la force de l’âge meurent inexplicablement à un rythme record, provoquant un “flux monumental” de demandes d’indemnisation pour cause de décès et une baisse de profits qui ébranle le secteur et incite certains à se pencher à nouveau sur le problème.

Selon un rapport publié le 26 octobre par InsuranceNewsNet, les compagnies d’assurance américaines s’attendaient à des paiements plus élevés que la normale en cas de surmortalité pendant la pandémie de Covid-19.

Les assureurs ont vu les prestations de décès augmenter de 15,4 % en 2020, soit la plus forte hausse en un an depuis l’épidémie de grippe espagnole de 1918, suivie d’un montant record de 100,28 milliards de dollars – près du double de la norme historique – pour le total des prestations de décès versées par le secteur en 2021.

“On s’attendait naturellement à ce que les chiffres augmentent pendant la pandémie, mais certaines autorités du secteur et de la santé s’inquiètent du fait que les taux n’ont pas beaucoup diminué alors que les taux d’infection par le Covid ont baissé”, a rapporté InsuranceNewsNet.

Selon InsuranceNewsNet, les assureurs sont particulièrement préoccupés par les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui montrent que “les taux de mortalité augmentent de façon alarmante pour différentes catégories”, notamment les taux de mortalité des jeunes adultes qui dépassent de plus de 20 % les normes historiques en 2023.

Les chiffres du CDC publiés en août montrent que le taux de mortalité des Américains âgés de 15 à 45 ans dépasse de 20 à 24 % la normale en 2020, puis a monté en flèche en 2021, avec une augmentation de près de 30 % pour les 15 ans et de plus de 45 % pour les 45 ans.

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Olivier Soulier

Sott : Sign of The TimesQu'est-il arrivé à Olivier Soulier ?

Sott : Sign of The Times - 18 août 2023

Olivier Soulier, médecin homéopathe, impliqué dans la dénonciation du délire covidiste, est décédé brutalement dans la nuit du mercredi 28 au jeudi 29 juin 2023. Depuis, la question que se posent beaucoup de gens dans son entourage est : qu'est-il arrivé à Olivier Soulier ?

   

Olivier Soulier était connu parmi les contestataires de la gestion absolument ubuesque du covid, et a contribué à mettre en place des structures importantes telles que le Syndicat Liberté Santé qui vient en aide aux soignants suspendus et le Conseil Scientifique Indépendant dont il a démissionné peu avant son décès, et il avait de nombreux autres projets.

C'était un altruiste, un médecin homéopathe qui prônait le recours à des médecines alternatives au tout chimique sans pour autant être opposé à la médecine allopathique qu'il pouvait aussi recommander. Dans ses actions, il cherchait aussi à réconcilier les humains.

Son décès a été un choc pour les gens qui le connaissaient : même si des problèmes cardiaques lui étaient connus, il était en forme physiquement et faisait très attention à son hygiène de vie. Personne ne s'attendait à ce qu'il décède d'une crise cardiaque à 67 ans. Encore moins dans les circonstances mentionnées par la justice et les médias.

Médias dont nous avons, très rapidement, eu la version, celle qui a été diffusée avec un empressement qui ne laisse pas d'étonner par le parquet de Paris, cette histoire de "soirée chamanique" dans le 14e arrondissement de Paris, au cours de laquelle on nous a d'abord dit qu'il avait ingéré des champignons hallucinogènes, puis de la substance active d'ayahuasca, de la DMT.

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étude du Lancet

Réseau InternationalThe Lancet : 74% des autopsies révèle une cause liée au vaccin

Réseau International - 09 juil 2023

Une étude du Lancet sur les vaccins anti-Covid retrouve que 74% des autopsies révèle une cause liée au vaccin. L’étude a été retirée du Lancet en 24h.

   

Note de SLT : Selon The Daily Sceptic, cette étude a été retirée en 24h du Lancet. Elle est consultable ici en PDF. Le Dr Harvey Risch, l’un des auteurs de l’étude, a déclaré au Daily Sceptic qu’il considère cela comme une «censure pure dirigée par le gouvernement, même après l’injonction Missouri c. Biden». Dans cette étude «le système d’organes le plus impliqué dans les décès liés au vaccin contre la COVID-19 était le système cardiovasculaire (53 %)» et pour rappel, le chiffre effarant selon cette étude : «240 décès (73,9 %) ont été évalués de façon indépendante comme étant directement attribuables à la vaccination contre la COVID-19 ou y ayant contribué considérablement».

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