Après l’alerte initiale des espagnols de la Quinta Columna c’est enfin un labo anglais qui confirme la présence non déclarée de graphène dans les « toxins ».
Presque en fin d’article lien d’une une revue indépendante qui démontre la toxicité du graphène.
Les vaccins Covid-19 ont fait l’objet d’un examen médico-légal au Royaume-Uni et un rapport de laboratoire confirme qu’ils contiennent des nanomatériaux de graphène, qui peuvent pénétrer les barrières naturelles de l’organisme et endommager le système nerveux central, et de l’oxyde de graphène qui peut endommager les organes internes, endomager le sang, déclencher un cancer et provoquer des mutations génétiques, parmi nombre d’autres effets délétères.
Une analyse plus approfondie du Dr Phillipe van Welbergen conclue que le graphène se transmet des vaccinés aux non vaccinés, pouvant détruire les globules rouges et provoquer des caillots sanguins.
Le Dr Philippe montre que des Non-Vaxxinés sont contaminés par le graphène, et il attribue cette contamination par la proximité des Vaxxinés qui émettent du graphène, mais il y a d’autres sources de graphène comme dans les masques chirurgicaux, les tests PCR, les Gels hydroalcooliques… ou même les chemtrail qui apportent du graphène !
Dans sa dernière série de lames d’échantillons de sang prélevés à la fois sur des personnes « vaccinées » et non vaccinées, le Dr Philippe van Welbergen a démontré que le graphène injecté aux personnes s’organise et se développe en fibres et structures plus grandes, acquérant des propriétés magnétiques ou une charge électrique et les fibres montrent des indications de structures plus complexes avec des stries.
Il a également démontré que des « éclats » de graphène sont transmis de personnes « vaccinées » à des personnes non vaccinées ou non vaccinées, détruisant leurs globules rouges et provoquant des caillots sanguins chez les personnes non vaccinées.
Voici l'article initial, ou il réfute ladite hypothèse ainsi qu'un autre intitulé « Parades à l'empoisonnement ».
Certains masques ne présenteraient pas leur composition et ceux contenant du graphène pourraient être extrêmement nocifs pour la santé.
« Les chercheurs ont étudié les impacts négatifs potentiels de l'inhalation de graphène microscopique sur les mammifères. Dans une expérience de 2016, des souris avec du graphène placé dans leurs poumons ont subi des lésions localisées du tissu pulmonaire, une inflammation, la formation de granulomes (où le corps essaie de murer le graphène) et des lésions pulmonaires persistantes, similaires à ce qui se produit lorsque les humains inhalent de l'amiante. Une étude différente de 2013 a révélé que lorsque des cellules humaines étaient liées au graphène, les cellules étaient endommagées. »
L’un de leurs objectifs de recherche est de graphéniser l’agriculture. Ils sont, ainsi, en cours de développer une alternative agricole qu’ils ont dénommée “GelPonic” afin, prétendument, de réduire les gaspillages d’énergie et d’espace en promouvant une agriculture verticale. “GelPonic” est un hydrogel au graphène qui aurait la capacité de “sentir” les besoins nutritionnels des plantes dans le sol et de les satisfaire.