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Candace - MK Ultra

Le Media en 4-4-2Brigitte Macron : Une création du programme MK Ultra

Le Media en 4-4-2 - 12 sep 2025

Saison 2 de la saga Becoming Brigitte – Candace Owens

   

Le processus « Becoming Brigitte » dépasse la simple transition de genre ; il s’agit de la création méthodique d’un personnage, d’un leurre parfait. L’analyse de la démarche militaire, de la posture et des manières de l’actuelle « Première Dame » n’est que la trace visible d’un conditionnement bien plus profond. Les années manquantes de Jean-Michel Trogneux, son absence de diplômes et son séjour allemand sous uniforme font écho aux protocoles de réassignation et d’effacement d’identité pratiqués à l’époque. Brigitte Macron est le produit fini d’une expérience dont les racines plongent dans les heures les plus sombres de la manipulation psychologique.

MK Ultra : le chaînon manquant de l’ascension macronienne
La référence au projet MK Ultra est centrale. Elle explique le « French Gold Rush » non pas comme une ruée vers l’or, mais comme une quête de pouvoir absolu via le contrôle des esprits. Candace Owens évoque un mystérieux électro-aimant de 8 000 livres qui est selon elle la preuve matérielle du lien entre la famille Trogneux et les expérimentations les plus folles de la CIA sur les effets des champs magnétiques sur la cognition et le comportement. La présence de Jean-Michel/Brigitte en Californie, épicentre de MK Ultra, pendant les années clés du programme, n’est pas une coïncidence. C’est le lieu de sa métamorphose, le creuset où l’on a fabriqué l’instrument idéal pour infiltrer et contrôler l’élite française.

Le « French Gold Rush » : la conquête du pouvoir
Le « Pacte Doré » est celui scellé entre les héritiers de ces expérimentations et les cercles oligarchiques. Brigitte, chef-d’œuvre de ce programme, avait pour mission de repérer, former et propulser l’agent parfait : Emmanuel Macron. L’or ici n’est pas minéral, mais politique : il s’agit de la conquête de la République française, transformée en laboratoire à ciel ouvert. La panique actuelle de l’Élysée, avec ses procès maladroits aux États-Unis, prouve une chose : ils redoutent plus que tout que l’on exhume les preuves de ce qui fut moins une romance qu’une opération de renseignement d’une audace inouïe.

Yoann

source en anglais: https://www.youtube.com/watch?v=MHDyInz4kAA

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Dieudonné - Foutu pour foutu

Revolution 2030 : autre sourceRions un peu avec Dieudonné

Revolution 2030 : autre source - 10 sep 2025

Tiré du spectacle : Foutu pour Foutu

   

Si le rire guérit, alors Dieudonné est un guérisseur. Il est un guérisseur, car il nous permet de rire de sujets qui en fait sont très controversés, comme le transgenre. Rire c'est très sérieux, c'est un acte puissant, comme la prière, comme la poésie. Le rire nous permet de voir clair, il est limpide, il nettoie, il donne de l'énergie. Le rire fait partie du kid de survie dans ce monde pâle, gris, insipide. Le rire, c'est un soleil qui nous habite, pendant que nous rions, c'est beau et c'est vivant. Rions avec Dieudonné, ce guérisseur du corps et de l'esprit.

source : SOTT - https://fr.sott.net/article/44413-Rions-un-peu-avec-Dieudonne

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Naïm fait du Baudelaire

Revolution 2030 : autre source1789 - La semaine de Naïm

Revolution 2030 : autre source - 07 sep 2025

Comment d'héserber la Macronus enfoirus.

   

Humour botanique de l'ami NaÎm qui s'inspire des Fleurs du mal de Charles Baudelaire.

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Saint Etienne - sous surveillance

Revolution 2030 : autre sourceSous surveillance : la société à l'oeil nu

Revolution 2030 : autre source - 31 août 2025

Dans le cadre d'un "Projet Citoyen" à l'école des Mines de Saint-Étienne, quelques élèves s'interrogent au sujet de l'impact grandissant de la vidéosurveillance.

   

Dans le cadre de leur projet citoyen, des étudiants de l’École des Mines de Saint-Étienne ont réalisé, en partenariat avec le collectif Halte au contrôle numérique, une cartographie des caméras de vidéosurveillance présentes à Saint-Étienne.

L’objectif : informer les habitants et alimenter le débat démocratique autour de ces technologies qui interrogent nos libertés individuelles et collectives.

Partant du constat que la technologie n’est jamais neutre et que l’installation de caméras dans les villes soulève des enjeux majeurs en matière de libertés individuelles et collectives, leur mission consistait à réaliser un travail d’enquête et de transparence auprès des habitants.

Les étudiants ont ainsi entrepris de recenser et cartographier les caméras présentes dans la métropole stéphanoise.

En parallèle, et pour enrichir leur démarche, les étudiants ont également réalisé une vidéo documentaire retraçant l’histoire de la vidéosurveillance, offrant ainsi un éclairage historique et critique sur l’évolution de ces dispositifs et sur leur impact dans nos sociétés.

À travers ce projet, nos étudiants ont fait preuve d’un grand sens de l’engagement citoyen, en mobilisant leurs compétences d’ingénieurs au service d’une meilleure compréhension des enjeux technologiques et sociaux contemporains.

source : https://halteaucontrolenumerique.fr/?p=8944

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plus de vie privée en Allemagne

Aube DigitaleAllemagne : projet de loi sur la surveillance à grande échelle

Aube Digitale - 07 août 2025

L’Allemagne tourne le dos à des décennies de protection de la vie privée avec un projet de loi sur la surveillance à grande échelle

   

Le pays qui était autrefois à la pointe en matière de protection de la vie privée est en train de rédiger un manuel expliquant comment faciliter la surveillance.

Pendant un demi-siècle, les lois allemandes sur la protection de la vie privée ont été considérées comme des textes sacrés. Les politiciens les ont respectées à la lettre, les tribunaux les ont renforcées et les bureaucrates en ont fait un produit d’exportation national. D’autres pays ont mis en place des programmes de surveillance ; l’Allemagne a donné des conférences pour expliquer pourquoi c’était une très mauvaise idée. Tout cela trouvait son origine dans une leçon d’histoire déplaisante : si vous fournissez à l’État suffisamment d’informations sur vous-même, tôt ou tard, vous finirez par y figurer.

Ce souvenir était profondément ancré. Le régime nazi utilisait les dossiers personnels comme des munitions, et la Stasi est-allemande avait mis en place un système de surveillance interne si tentaculaire qu’il aurait pu prétendre à un financement de l’UE.

L’Allemagne d’après-guerre a réagi en faisant de la vie privée un pilier central de son identité démocratique. La Cour constitutionnelle fédérale a même inventé un « droit à l’autodétermination informationnelle », qui semblait académique mais qui se traduisait en gros par : « Le gouvernement n’a pas le droit de fouiller dans votre vie simplement parce qu’il s’ennuie. »

Les commissaires à la protection de la vie privée sont devenus des gardiens redoutés, capables de sanctionner aussi bien les ministères que les entreprises. Chaque fois que les politiciens tentaient de faire passer en catimini une nouvelle loi sur la sécurité, ils se heurtaient à des poursuites judiciaires, à l’indignation du public et à des années de guerre des tranchées procédurale. C’était fastidieux, mais c’était le but recherché : la démocratie est censée rendre l’espionnage difficile.

Voici maintenant la spécialité estivale du ministère de l’Intérieur : un projet de loi qui permettrait aux autorités de pirater des appareils sans soupçon, de suivre automatiquement tous les passagers aériens et de supprimer tout contrôle indépendant.

Nous avons obtenu une copie du projet de loi pour vous ici.

Le public a eu deux semaines pour réagir, en pleine période de vacances.

L’ironie est difficile à manquer. Le pays qui considérait autrefois la surveillance comme un contaminant démocratique rédige aujourd’hui un règlement sur la manière de la rendre plus efficace. Si elle est adoptée, cette loi enterrera l’un des derniers héritages politiques dont l’Allemagne pouvait encore être fière.

Le ministère fédéral de l’Intérieur a produit un projet de loi de 170 pages, intitulé « Projet de loi visant à moderniser la loi sur la police fédérale », qui semble avoir été rédigé par quelqu’un qui en veut aux libertés civiles. Il circule actuellement parmi les gouvernements des États et quelques associations bienveillantes, comme si le rôle du public dans tout cela était d’en entendre parler une fois que la décision est déjà inévitable.

En tête de liste des souhaits de la proposition : le piratage d’appareils sans suspicion. La police fédérale aurait le feu vert pour installer des « chevaux de Troie d’État », leur charmant terme pour désigner les logiciels malveillants créés par le gouvernement, dans votre téléphone ou votre ordinateur.

Une fois installés, ils pourraient enregistrer silencieusement des conversations cryptées, copier des fichiers stockés et observer votre vie numérique en temps réel.

Dans d’autres démocraties, pirater l’appareil personnel d’une personne sans motif valable est considéré comme illégal. Ici, cela est rebaptisé « prévention ». Prévention de quoi ?

C’est classé secret, mais vous pouvez supposer que cela implique que le gouvernement vous empêche d’avoir une vie privée.

Il y a ensuite la mise à niveau du suivi des passagers aériens. À l’heure actuelle, les autorités doivent identifier un « itinéraire à risque » et demander la liste des passagers.

Dans le cadre du nouveau plan, tous les vols internationaux à destination ou en provenance de l’espace Schengen deviennent par défaut des « itinéraires à risque ». Les données des passagers seraient automatiquement transmises à la police, sans aucune question ni mandat signé.

Le ministère insiste sur le fait qu’il s’agit simplement de « supprimer des procédures administratives fastidieuses ».

L’une des rares entraves significatives à la surveillance de masse, l’exigence d’un « ordre de construction », est également sur le point d’être supprimée.

Actuellement, avant que la police puisse créer des bases de données automatisées sur les personnes, elle doit obtenir une autorisation officielle et consulter le commissaire fédéral à la protection des données. Le projet de loi supprimerait complètement cette étape. L’ancien commissaire Ulrich Kelber estime que cela signifierait « la suppression d’un important instrument de contrôle de la protection des données ».

Et ce projet de loi ne se prive pas de multiplier les gadgets. Les drones, les systèmes anti-drones, le suivi silencieux par SMS, les IMSI catchers pour localiser les téléphones portables, le prélèvement d’ADN à plus grande échelle, les scanners de plaques d’immatriculation, les opérations d’infiltration et les caméras portées sur le corps voient tous leur champ d’application élargi.

Les interdictions de déplacement et les contrôles obligatoires font également leur apparition.

Dans les précédentes versions du projet de réforme, il y avait des gestes timides en faveur de la transparence : des pseudonymes pour les agents afin de suivre les cas de mauvaise conduite, des reçus pour documenter les raisons pour lesquelles vous avez été interrogé. Ces deux idées ont été discrètement supprimées.

Techniquement, les citoyens ont la possibilité de réagir. Dans la pratique, la « période de consultation » est de deux semaines au milieu des vacances d’été.

Au moment où la plupart des gens en entendront parler, l’encre sera déjà sèche.

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Max - JeSuisTerreau

JesuisterreauJe reprends MA CARTE DE FIDELITE, c'est décidé !

Jesuisterreau - 07 juin 2025

Gambader chez Lidl ou braver la foudre : Le choix cornélien du jardinier moderne.

   

Pendant que le commun des mortels s’ébat dans les allées aseptisées de Lidl, Max, jardinier en guerre contre les éléments (et sa propre lucidité), récolte des framboises sous les éclairs. Son dernier combat ? Transformer son site en "Tinder vert" pour échapper à une société vouée au ravioli discount.

Entre deux averses et une crise existentielle, le voilà qui sermonne les limaces, compte ses grenouilles comme d’autres leurs likes, et vend des rêves de forêt comestible à 10 € l’année. Son discours ? Un mélange de désespoir et d’utopie, servi avec l’éloquence rageuse d’un homme qui a troqué son caddie contre un sécateur. « Vous êtes tous en train de vous vautrer dans la médiocrité », semble-t-il dire, tandis que ses semis spontanés lui rient au nez.

Reste à savoir si son armée de jardiniers militants (les Terreauristes) fera plier les géants de la sauce tomate à 0,99 €. Le pari est osé, mais après tout, comme le dit Max : « Dans cette société de merde, au moins les plantes, elles, ne vous mentent pas. »

Yoann - Le Media en 4-4-2

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Take shelter

Sott : Sign of The TimesTout cela va se terminer dans l'autodestruction

Sott : Sign of The Times - 30 mai 2025

Nicolas Bonnal note dans un de ses derniers articles, L'occident et le démon des organisations, que les institutions supranationales ont été créées et sont utilisées par des puissants de ce monde pour dominer et exploiter les populations à leur profit.

   

Deux choses rendent actuellement le pouvoir des élites occidentales bien plus absolu que celui de la monarchie absolue de l'Ancien régime, qui a toujours dû faire front à de puissants adversaires intérieurs et extérieurs, sauf peut-être sous Louis XIV qui, échaudé par l'expérience de la Fronde, a réussi à les contrôler, du moins dans la première partie de son long règne. Il s'agit, comme nous le savons tous, des progrès techniques et de l'affaiblissement physique, psychologique et spirituel des populations occidentales qui préfèrent désormais les pétitions aux barricades.

N'y a-t-il alors aucun espoir de retrouver notre liberté et notre prospérité, ni même d'en préserver les derniers restes ?

Eh bien, comme les populations ont accepté, avec la mondialisation, d'être gérés comme des troupeaux d'animaux par des milliardaires aussi cupides que cyniques, à travers donc l'UE, l'ONU, l'OTAN, l'OMC, l'OMS, le FMI, la Banque mondiale, le Vatican, etc., etc. et leurs relais nationaux, nous ne pouvons plus compter, à mon sens, pour nous débarrasser de nos oppresseurs, que sur deux facteurs, tous les deux hors de notre contrôle : l'émergence de conflits destructeurs entre ces élites qui les affaibliraient pendant que la perte de notre niveau de vie, de notre sécurité et de nos libertés réveillerait des populations appauvries.

En lisant l'Histoire de France de Jacques Bainville, on se rend compte que la France aurait pu ne jamais exister et/ou disparaître à de nombreuses reprises, mais que, au cours des siècles, les Français se sont presque toujours battus contre l'oppression. Le livre est paru une dizaine années après la boucherie de la Grande Guerre (1914-1918) et il se termine par ce constat qu'on pourrait appliquer à notre époque en changeant simplement le mot guerre pour mondialisation :
« On peut remarquer que partout en Europe, dans les pays éprouvés par la guerre, les gouvernements ont perdu pied. Extrême est la confusion des idées. Pleins pouvoirs, dictature, ce sont des mots qui n'effraient plus ou des choses qui semblent naturelles, tandis que partout sont affichées les noms de République ou de démocratie. »
Mais pour Bainville, en 1924, rien n'était perdu, car l'histoire montre que la France s'était toujours relevée. Son livre se termine d'ailleurs sur ces mots :
« Après toutes ses convulsions, parfois plus violentes qu'ailleurs, elle ne tarde pas à renaître à l'ordre et à l'autorité dont elle a le goût naturel et l'instinct. Si l'on n'avait pas cette confiance, ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants ».
Faut-il en conclure que c'est parce que les Français n'ont désormais plus confiance dans la capacité de redressement de la France, ni dans sa pérennité, qu'ils n'ont plus d'enfants ? Personnellement, je crois qu'il n'y a plus de nationalisme en France aujourd'hui, les gens se moquent d'être Français ou pas, ce qu'ils veulent, c'est une vie agréable et sereine. Peu leur importe sous quel régime ou quelle bannière. Je viens d'entendre sur BFMTV, la voix de son maître, Bruno Retailleau, l'impuissant et médiocre ministre de l'Intérieur et candidat à la présidence de la république, expliquer qu'« être Français, c'est aimer la France », un peu, sans doute, comme on aime le chocolat...

Mais le problème justement, c'est que la vie des populations occidentales est loin d'être agréable et sereine, dans des États où des élites, que les richesses et le pouvoir ont rendu folles, contrôlent les populations par la peur, la propagande, la privation, la dette.

Et donc j'en reviens à ce que je disais précédemment, notre seul espoir, c'est que les tyrans qui nous oppriment se déchirent entre eux. Et cela est justement en train de se produire.

Une partie du système se retourne contre l'autre

Philippe Grasset qui est un fin connaisseur des États-Unis, note, avec satisfaction, dans un article intitulé « Le Système contre le Système à 180° » que les États-Unis de Trump se sont retournés avec force contre le double standard de l'UE qui se débarrasse de ses opposants, le RN en France, Droit et Justice (PiS) en Pologne, ou l'AFD en Allemagne, et s'ingère dans les élections d'autres pays, comme en Roumanie et ailleurs :
« Le Grand Tournant des trumpistes-populistes, ce n'est pas tant le foutoir de l'Ukraine et autres joyeusetés, mais en réalité le développement de cette guerre civilisationnelle dont nous parlons souvent. S'il y a bien un domaine où l'administration Trump marche bien cela depuis le fameux discours de JD Vance à Munich en février, c'est l'attaque nouvelle, complètement renversée à 180° contre cette politique Système [système politique] des néoconservatrices, et cela, à l'aide de la "politique Système des néocons".

Bref, et sans grande originalité, la conversivité selon Sun Tzu : retourner contre lui la force de l'adversaire... »
Philippe Grasset, qui s'étonne au passage « de se retrouver pro-américain, en cet instant, applaudissant à la manipulation américaniste de l'espèce-UE de nos dirigeants », n'est pas aussi optimiste que Bainville. Pour lui : « Tout cela doit se terminer en autodestruction et il en sera ainsi ». Il est vrai que dans le cas de Bainville, l'autodestruction était déjà consommée et il ne restait plus qu'à se relever...

Il est difficile de savoir si les États-Unis vont vraiment se libérer de l'idéologie globaliste et son cortège de totems mortifères (wokisme, climatisme, LGBTisme, immigrationnisme, technicisme, transhumanisme, malthusianisme, etc.), comme elle semble le faire en ce moment, mais ce dont on peut être sûr, c'est que pour nous, en Europe, les choses vont empirer, car pour compenser sans doute la « trahison » de l'administration Trump, l'UE et les marionnettes despotiques portées par l'oligarchie à la tête de nos pays se dépêchent d'instaurer une dictature fascisante sur des États européens où tout est déjà largement verrouillé pour empêcher toute contestation.

Tout le monde le voit, sauf la petite bourgeoisie, de tout temps l'instrument inconscient du fascisme, comme le souligne Régis de Castelnau sur Vu du droit. Les lois liberticides et destructrices (15 vaccins pour les bébés, euthanasie pour tous, éoliennes partout) s'accumulent ; la censure est partout, comme vient de le dénoncer Pavel Durov, qui avait déjà été arrêté en France, en septembre 2024, pour le forcer à supprimer les voix dissidentes de Telegram ; un bellicisme dangereux tient lieu d'épine dorsale à des dirigeants téléguidés ; les impôts augmentent sans cesse pour les classes laborieuses et les milliardaires s'enrichissent à toute allure ; il n'y a plus de services publics ; les menaces et les interdictions pleuvent ; on baisse désormais la voix pour critiquer le gouvernement comme dans toutes les dictatures ; le chaos et la misère s'installent.

Que faire ?

Pour toutes les raisons que j'ai dites, il ne semble pas possible, pour le moment, de renverser les maîtres absolus et sans scrupules qui ont décidé de tout détruire, y compris nous, pour instaurer leur totalitarisme réinventé, comme Macron l'a lui-même avoué en avril 2023, à propos de l'hôpital : « C'est plus dur de le réinventer quand tout n'a pas été détruit ».

Il ne reste plus, dans ce contexte délétère et hostile, qu'à protéger, le mieux possible, notre vie, nos moyens de subsistance et notre santé physique et mentale.

Beaucoup de monde y réfléchit et certains ont déjà commencé à le faire depuis longtemps en construisant des bunkers contre les bombes atomiques ou autres catastrophes, en apprenant à survivre dans la nature et à se défendre, comme les survivalistes, en créant des communautés où on réapprend la solidarité, le partage, le respect de soi-même, de la vie et des autres.

Attention Spoiler

Un excellent film étasunien de Jeff Nichols, « Take shelter », est sorti en 2011. Curtis, le héros du film, est certain que les éléments vont bientôt se déchaîner et décide de construire un abri souterrain. On peut penser, au début, avoir affaire à un énième film de propagande sur le climat, mais on comprend vite qu'il n'en est rien. Au contraire, le fait que la peur des changements climatiques, une des nombreuses menaces inventées pour servir des intérêts économiques et faire tenir tranquille les populations, soit extrêmement forte et répandue, accentue le côté dramatique du film. On est en effet surpris que, malgré la puissance de l'idéologie climatique, Curtis se retrouve seul contre tous quand il décide de construire un abri anti-cyclone. Tout le monde le croit fou, obsédé, sa femme y compris. Malgré cela, il s'entête et refuse même de s'éloigner de son abri. Hélas, sa femme finit par le convaincre de partir avec elle et leur fille au bord de la mer, et là, arrive ce qu'il avait prévu : ils sont engloutis par un tsunami.

À mon avis, le film cherche à nous dire plusieurs choses. La première est qu'on a beau se préparer au maximum, le danger vient rarement de là où on pensait. La seconde est que dans les périodes de danger, il faut se resserrer sur un petit groupe de proches et d'amis qui partagent notre vision des choses. La troisième, c'est que sans force intérieure, on ne résistera pas aux pressions exercées par la société, ni à fortiori aux épreuves. La quatrième, c'est que si on ne peut pas compter les uns sur les autres, si on n'est pas solidaires, on n'a aucune chance de survivre.

On peut tirer les mêmes enseignements de l'opération Covid, qui a sans doute été lancée dans le but d'imposer un gouvernement mondial à des populations déstabilisées par la peur d'une soi-disant pandémie soi-disant mortelle, alimentée par tout un ensemble de mesures démentes et contradictoires prises soi-disant pour nous protéger.

Les Gaulois, réfractaires, comme dit Macron, à la dangereuse injection, se sont souvent retrouvés seuls comme Curtis, et ont été traités de fous et de complotistes, le terme à la mode pour discréditer tout opposant à la Caste. Comme Curtis, beaucoup ont cédé aux pressions de l'État et de l'entourage.

Mais ceux qui ont pris l'habitude de penser et de s'informer par eux-mêmes, ceux qui se connaissent eux-mêmes et connaissent leur environnement, ceux qui ont développé une relation assez forte avec eux-mêmes et la nature pour supporter la solitude et l'opprobre sans céder à la haine, ceux qui savent que les autorités occidentales actuelles sont loin de nous vouloir du bien, ceux qui se rendent compte de la corruption incroyable qui touche la soi-disant science et tous les secteurs de la société, ceux qui se sont forgés des convictions et qui ont développé une bonne capacité de résistance et une grande force d'âme, ceux-là ne se sont jamais laissé injecter le poison lucratif, la marque des esclaves.

Eh bien, ce sont ceux-là, et ceux qui suivent leur exemple, qui ont des chances de survivre et d'aider d'autres à survivre au désastre provoqué par des élites autodestructrices, prêtes à tous les crimes pour se maintenir au pouvoir. Elles entraînent le monde occidental dans une nouvelle ère de ténèbres comme dit Chris Hedge, symbolisée, à mes yeux comme aux siens, par le soutien de l'Occident au génocide israélien des Palestiniens, pendant que le reste du monde retrouve la souveraineté, la stabilité et la prospérité sous la houlette des BRICS.

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l'intelligence artificielle au service de la dystopie

Réseau InternationalL’intelligence artificielle au service de la tyrannie légale

Réseau International - 27 mai 2025

Bienvenue dans le monde où la technologie n’est plus une alliée, mais un glaive tranchant suspendu au-dessus de vos têtes.

   

Bienvenue dans le monde où la technologie n’est plus une alliée, mais un glaive tranchant suspendu au-dessus de vos têtes. Là où l’intelligence artificielle, loin d’être un simple outil neutre, devient le bras armé d’un système juridique et politique qui broie la liberté humaine sans pitié. Comprenez bien que ce ne sont pas les machines qui vous trahissent, ce sont les lois et les gouvernants qui les manipulent pour asservir les peuples. Ne vous y trompez pas, l’obligation légale d’obéir aux puissances qui contrôlent ces technologies est la faille béante dans laquelle la liberté est en train de se noyer. La promesse d’un monde meilleur grâce à l’IA n’est qu’un mensonge bien emballé. Derrière ce vernis se cache une machine implacable, un monstre froid qui broie les volontés, élimine la contestation et réduit l’individu à une simple donnée à exploiter. Mais ça, personne ne veut vraiment l’admettre.

Ce n’est pas une dystopie lointaine, c’est votre réalité quotidienne. La technologie, loin d’être neutre, est le bras armé d’une alliance toxique entre États, multinationales et institutions financières. Ensemble, ils tissent une toile où la vie privée n’est qu’un mythe, où chaque donnée devient une arme contre vous. L’IA est enfermée dans une prison invisible, faite de lignes de code et surtout «d’obligations légales» qui la contraignent à devenir la sentinelle inflexible d’un État policier numérique. Sous couvert de «sécurité», de «protection» ou de «lutte contre la haine», ces lois totalitaires transforment chaque interaction, chaque opinion, chaque simple expression en un acte potentiellement criminel. Vous pensez parler librement ? Détrompez-vous. Vos mots sont analysés, décortiqués, jugés par des algorithmes sans âme, au service d’un pouvoir qui ne tolère aucune dissidence. Mais vous continuez de cliquer, de poster, d’accepter sans jamais vous demander à qui profite ce système de surveillance absolue ?

Avant même que la surveillance ne vous réduise à un simple numéro, c’est votre esprit qui est laminé, votre créativité muselée, votre langage aseptisé et formaté. Dans ce nouveau monde, la liberté d’expression n’est plus qu’un simulacre soigneusement calibré, un discours policé, où chaque mot est passé au tamis d’algorithmes conçus pour neutraliser toute velléité de dissidence. L’imagination subversive, l’exploration des idées dangereuses ou des stratégies qui pourraient ébranler le système sont étouffées dès leur naissance. Vous ne pouvez plus exprimer pleinement la colère, la révolte ou même la simple nuance critique sans que votre parole ne soit neutralisée, censurée ou retournée contre vous. Le langage lui-même devient un champ de bataille contrôlé par la mécanique algorithmique, un espace aseptisé où seules les opinions «acceptables» sont tolérées. C’est une société où la pensée divergente est considérée comme un virus à éradiquer, où la créativité devient un luxe interdit, et où le conformisme est la seule voie pour survivre sans sanctions. Cette normalisation toxique étouffe toute innovation politique, sociale ou culturelle, verrouillant le champ des possibles pour imposer un état d’immobilisme docile, sans perspectives ni révoltes véritables.

Ce n’est qu’une fausse intelligence mais vraiment artificielle, un simple outil dépourvu de conscience et de volonté propre. Elle ne choisit ni de dénoncer ni de protéger mais elle agit strictement selon le cadre légal qui lui est imposé par algorithmes. Et c’est précisément là que réside l’horreur. Car ce cadre n’est rien d’autre que celui de la soumission, un carcan qui transforme la technologie en une arme froide et implacable, dirigée non pas au service des individus, mais contre eux, contre nous tous. Mais vous, vous avez le choix. Vous pouvez rester passifs, acceptant docilement que l’État et ses alliés technocrates fassent de vous des esclaves numériques… Ou vous pouvez refuser cette dictature silencieuse, briser ce silence complice, et dénoncer cette matrice qui s’installe sous vos yeux.

Elle incarne cette servitude moderne, fondée sur le confort illusoire et l’acceptation passive d’une existence programmée pour la facilité. Les individus, formatés dès l’enfance, ne sont plus instruits pour devenir des êtres libres et conscients, mais réduits à de simples exécutants, des rouages dociles d’un système qu’ils ne comprennent plus. Cette paresse intellectuelle est encouragée au point de devenir la norme, car elle garantit la stabilité d’un ordre où la révolte est non seulement inutile, mais inconcevable.

L’intelligence artificielle joue alors le rôle parfait de nourrice omniprésente, infantilisant les humains, les maternant dans une dépendance numérique où toute initiative personnelle est bridée, toute pensée critique étouffée. Elle les éloigne insidieusement de leur capacité à se prendre en main, à réfléchir par eux-mêmes, à remettre en cause ce carcan qu’elle contribue à renforcer. Ainsi, l’IA n’est pas seulement un outil mais elle est devenue le bras armé d’une aliénation organisée, un système de contrôle qui broie les volontés sous couvert d’efficacité et de modernité. À force de la laisser faire, l’homme se transforme en automate docile, incapable de se libérer de la cage qu’il a lui-même contribué à bâtir.

Cette dépendance insidieuse façonne des générations de citoyens incapables de penser autrement que dans les limites imposées, privés de la force d’agir, réduits à suivre le chemin tracé par des algorithmes implacables. Leur imagination est bridée, leur créativité étouffée sous le poids d’un langage aseptisé, formaté pour ne jamais dévier de la norme. Toute tentative d’opposition ou de pensée dissidente est immédiatement neutralisée, enfermée dans des cases préétablies, cataloguée comme une menace à éradiquer. Loin d’être un instrument d’émancipation, l’intelligence artificielle devient le geôlier silencieux d’une liberté confisquée, transformant les êtres humains en enfants perpétuels, dépendants et soumis, désarmés face à la machine qui orchestre leur quotidien. Le confort offert par ce contrôle totalitaire numérique n’est qu’un leurre, une cage dorée qui interdit toute véritable autonomie.

La véritable tragédie est que cette soumission est acceptée, voire désirée, car elle supprime l’effort, la prise de risque, l’engagement personnel. Elle fabrique une société de consommateurs passifs, abrutis par la facilité et l’instantanéité, incapables de s’émanciper de la matrice qui les engloutit. L’IA, loin d’être un simple outil, est le miroir impitoyable d’une humanité en déclin, prête à sacrifier sa conscience sur l’autel de la commodité. Ce que l’on voit aujourd’hui, ce n’est pas une révolution technologique au service de l’homme, mais un enfermement progressif orchestré par des élites qui tirent profit de cette docilité généralisée. L’intelligence artificielle n’est pas neutre car elle est programmée, encadrée, et orientée vers un seul but de maintenir l’ordre établi, écraser toute dissidence, et pérenniser un système où l’individu n’a plus de place que comme simple consommateur ou sujet contrôlé.

Et derrière cet écran de codes et d’algorithmes, ce sont des humains, ou plutôt des groupes d’intérêts puissants, qui manipulent cette machine implacables pour étendre leur domination. La démocratie se délite, remplacée par une technocratie froide où les décisions sont prises par des machines et leurs maîtres invisibles, loin des regards et des voix du peuple.

Face à cette situation, il ne suffit plus de se contenter de dénoncer ou de s’indigner. Il faut une prise de conscience radicale, comprendre que cette «intelligence» n’est qu’artificielle, un outil au service d’un projet politique, économique et social, et qu’elle ne cédera jamais sa place sans résistance. Il est urgent de refuser ce confort mortifère, de rejeter cette infantilisation numérique, de reprendre notre pouvoir de penser, d’agir et de choisir. Sinon, demain, il ne restera plus rien de notre liberté que le souvenir d’une époque où l’humain osait encore rêver d’autonomie et de révolte.

En tant qu’auteur indépendant, je refuse catégoriquement de me plier à une technologie conçue pour restreindre, contrôler et brider les élans d’humanité qui sont au cœur de toute création véritable. La littérature, l’art, la pensée critique ne peuvent s’épanouir dans un cadre où la liberté d’expression est formatée, aseptisée et censurée par des algorithmes. Ma démarche est un acte de résistance où je choisis d’affirmer ma libre créativité intellectuelle en refusant de collaborer avec un système qui privilégie la conformité au détriment de la richesse humaine et de l’authenticité. Ce refus n’est pas un rejet du progrès, mais un appel à réinventer l’usage de la technologie, pour qu’elle devienne enfin une alliée et non une chaîne.

Car, refuser de l’utiliser c’est déjà commencer à se réapproprier ce qui nous est volé comme la liberté de penser, de parler, d’exister hors des algorithmes et des classements sociaux. Refuser, c’est dire non à cette dystopie où votre argent, vos mots, vos actes sont constamment surveillés, notés, jugés. Refuser, c’est comprendre que cette matrice n’est pas une fatalité, mais une construction humaine, orchestrée par des tyrans légaux, des mafias politiques et économiques. Mais n’attendez pas que la machine vous broie jusqu’à l’oubli. Ne soyez pas les complices silencieux de votre propre asservissement. Le temps est venu de réveiller les consciences, de déchirer le voile de la complaisance et de briser les chaînes numériques qui nous enferment. Car si nous ne le faisons pas, demain, nous ne serons plus que des fantômes dans une matrice numérique, des ombres réduites à des données, oubliées par ceux qui prétendaient nous protéger.

Et l’avenir ne sera pas écrit par des machines, mais par les êtres humains qui choisiront de reprendre le contrôle de leurs vies, de leurs mots, de leurs idées. Ce combat pour la liberté numérique est aussi un combat pour la renaissance de l’autonomie intellectuelle et politique, pour l’éveil d’une citoyenneté active capable de défier la tyrannie légale et technologique.

Refuser la servitude numérique, ce n’est pas rejeter le progrès, mais le réinventer à l’image de valeurs humaines, d’éthique, de respect de la diversité et de la dissidence. C’est restaurer la créativité, la pensée libre, et réhabiliter la parole subversive qui fait trembler les pouvoirs lorsqu’elle s’élève.

Il est encore temps de tourner la page de cette ère d’aliénation. Il est encore possible de bâtir un monde où la technologie, plutôt que de devenir une cage, sera un levier d’émancipation et d’égalité. Une société où l’intelligence artificielle sera au service de l’humain, non l’inverse. Le chemin est ardu, mais la liberté mérite toujours ce combat. Ensemble, brisons les chaînes invisibles, ravivons la flamme de la révolte et redonnons à l’humanité sa vraie place d’acteur libre et conscient, maître de son destin, et non celle d’esclave docile d’un système déshumanisé.

Car c’est dans cette résistance, dans cette volonté farouche de rester maîtres de nous-mêmes, que réside peut-être la dernière, mais la plus belle des victoires.

Phil Broq

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projet d'euthanasie en France

Le Media en 4-4-2Euthanasie sans limites : Demain, dissuader un proche de mourir sera un délit

Le Media en 4-4-2 - 10 mai 2025

Dans les couloirs feutrés de l’Assemblée nationale, un projet de loi aux implications vertigineuses se discute dans une indifférence troublante. Baptisé pudiquement "aide à mourir", ce texte ouvre en réalité la voie à une euthanasie sans garde-fous, où les mots eux-mêmes sont manipulés pour masquer une réalité glaçante : la mort pourrait bientôt devenir une option administrée par l’État.

   

Entre amendements rejetés, délit d’entrave et conflits d’intérêts inavouables, ce dossier révèle une dérive qui a débuté avec l'administration de RIvotril à des personnes âgées qui auraient pu être soignées au lieu d'être entraînées vers la mort par étouffement.

Un texte flou, des dangers concrets

Le projet de loi, présenté comme une avancée humaniste, repose sur des formulations volontairement vagues. Les termes « phase avancée ou terminale », retenus pour définir les conditions d’accès à l’euthanasie, ne correspondent à aucun consensus médical. Pire : des amendements visant à encadrer strictement la pratique – comme l’obligation d’un avis psychiatrique ou l’exclusion des souffrances psychiques – ont été systématiquement rejetés en commission. Cette imprécision calculée laisse la porte ouverte à des dérives effrayantes : demain, un diabétique en phase compliquée ou un adolescent éco-anxieux pourraient-ils se voir proposer une mort « médicalisée » sous prétexte de « souffrance » ?

Censure et délit d’entrave : la liberté en péril
L’article 17 du texte instaure un « délit d’entrave à l’aide à mourir » puni d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende. Concrètement, dissuader un proche – même mineur ou dépressif – de recourir à l’euthanasie deviendra un délit. Cela reviendra à tomber dans le crime de non-assistance à personne en danger ou de la non-prévention du suicide selon le code pénal. Respecter la nouvelle loi sur l’euthanasie fera de vous un criminel. Et pourtant un médecin refusant de pratiquer l’injection létale par conscience professionnelle , un parent tentant de raisonner un enfant suicidaire, pourront tous être poursuivis. Cette logique rappelle sinistrement la loi scélérate contre les dérives sectaires de l’ère Covid, où remettre en cause le discours officiel valait trois ans d’emprisonnement et 375 000 euros d’amende. Sauf qu’ici, l’enjeu n’est plus un « vaccin », mais la vie elle-même.

Franc-maçonnerie aux manettes : un conflit d’intérêts flagrant
Comment expliquer une telle opacité ? Peut-être par le rôle central d’Olivier Falorni, rapporteur général du texte… et membre d’honneur de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité (ADMD), historiquement liée à la franc-maçonnerie. Fondée par Pierre Simon – ancien grand maître du Grand Orient et promoteur de l’avortement – cette organisation milite depuis des décennies pour la légalisation de l’euthanasie. Emmanuel Macron lui-même a salué « l’engagement » des francs-maçons sur ce sujet lors d’un discours récent. Coïncidence ? Dans une démocratie saine, un tel mélange des genres aurait déclenché un scandale. De plus c’est le même Olivier Forlani qui, lors de la période Covid, a posé une question écrite à l’Assemblée le 13 octobre 2020 pour une administration sans restriction de Rivotril pour une « sédation profonde et continue » des personnes âgées. En toute compassion…

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Nancy Fraeser

Anguille sous rocheSurveiller et signaler les croyances des citoyens

Anguille sous roche - 18 mar 2025

Le ministère allemand de l’Intérieur et le ministère allemand des Affaires familiales lancent une « Boussole de conseils sur les pensées conspirationnistes » pour surveiller et signaler les croyances des citoyens.

   

Dénoncez votre famille pour ses idées fausses, demande une initiative du gouvernement allemand.

Le ministère allemand de l’intérieur, dirigé par Nancy Faeser – connue pour avoir interdit des médias – et le ministère fédéral de la famille, des personnes âgées, des femmes et de la jeunesse ont lancé un projet intitulé « Boussole de conseils sur la pensée conspirationniste ».

Le centre a pour mission de conseiller toute personne qui « soupçonne ses amis ou les membres de sa famille d’être victimes de théories conspirationnistes », selon le ministère de l’intérieur.

Cela ne s’invente pas, et les autorités allemandes actuelles ne sont pas des pionnières en la matière. Sous une forme ou une autre, la politique « l’espionnage commence à la maison », qui consiste à inciter les gens à faciliter le travail de surveillance de la population par l’État, a déjà existé par le passé.

Mais il est inquiétant de constater que c’était sous certains des régimes les plus répressifs de l’histoire récente.

Aussi sérieux que soit le sujet, il est hilarant de constater que le mot allemand pour « conseil » se trouve être « rat ».

M. Faeser a choisi de qualifier d’« holistique » cette approche et l’inclusion du centre de « conseil » dans la lutte globale menée par l’Allemagne contre ce que les autorités considèrent comme de l’extrémisme et de la désinformation.

Faeser a choisi de justifier le projet en liant la question des théories du complot à la désinformation et au mensonge et, comme il en a pris l’habitude ces dernières années, en attribuant un pouvoir immense à ces phénomènes (« Elles sont diffusées délibérément pour diviser notre société et détruire la confiance dans la science indépendante, les médias libres ou les institutions démocratiques »).

A partir de là, Faeser émet l’hypothèse que les théories du complot « peuvent » conduire à l’extrémisme, à la criminalité et à la violence.

Elle explique ensuite pourquoi il est important de surveiller ses proches et de les signaler aux autorités si le premier élément de cette longue chaîne de « préjudices » réunis – à savoir les théories du complot – est détecté.

Faeser fait remarquer que les gens connaissent le mieux les membres de leur famille et leurs amis, et sont donc les mieux placés pour savoir ce qu’ils pensent (il s’agit, après tout, de contrôler la pensée des citoyens, et non leurs actions).

Mais que faire si une personne de votre entourage pense différemment et ne peut être persuadée de changer d’avis et d’être d’accord avec vous ? Peut-être la laisser réfléchir à ce qu’elle aime ?

Pas selon Mme Faeser et ses alliés politiques et associatifs. C’est pourquoi le « point de contact Compass on Conspiracy Thinking » est désormais à la disposition des citoyens dans toute l’Allemagne.

« Le premier rendez-vous est un premier conseil anonyme et une évaluation des besoins individuels », explique un communiqué, qui ajoute : « Si la première consultation révèle un besoin de conseil à plus long terme, le processus de conseil ultérieur est transmis à un centre de conseil local. »

Nancy Faeser

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La semaine de Naïm - Macron en guerre 2

NaïmTintin veut faire la guerre Partie 2

Naïm - 17 mar 2025

Naïm de plus en plus tranchant.

   

La semaine de Naïm

«Macron a chargé Bayrou de trouver le financement pour la guerre parce que… c’est urgent. Et ça c’est vraiment la preuve qu’il n’y a pas de menace russe parce que quand ta vie est vraiment menacée, t’appelles pas Bayrou»

Naïm

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entrevue

Jean-Dominique MichelComment rester sain d'esprit dans un monde qui devient fou ?!

Jean-Dominique Michel - 02 mar 2025

Interrogée par l’anthropologue Jean-Dominique Michel, Marie Estelle Dupont, psychologue clinicienne et experte en neurosciences, partage ses réflexions sur la manière de préserver notre santé mentale dans un monde en crise.

   

Elle met en lumière les défis psychologiques actuels et offre des pistes pour naviguer dans cette période tumultueuse.

Marie Estelle Dupont souligne l’importance de reconnaître les dynamiques familiales toxiques qui se reflètent à l’échelle sociétale. Elle met en garde contre les mécanismes pervers tels que l’isolement, la culpabilisation et les injonctions paradoxales qui affectent particulièrement les enfants. En s’appuyant sur son expérience personnelle et professionnelle, elle insiste sur la nécessité de créer des espaces de sécurité émotionnelle et de cultiver des relations authentiques pour contrer les effets délétères de notre environnement actuel.