Il y a bien sûr l'habituelle arnaque Octobre Rose, mais également les arnaques vak$inales du moment (grippe, Khoviide, et même HPV) ainsi qu'un traitement expérimental pour les bébés.
Grosse rentrée pour les actionnaires de l'industrie pharmaceutique.
Lien vers l'étude sur le taux de mortalité dû aux injections Covid (environ 17 millions de morts pour 13,5 milliards d'injections au 2 sep 2023) : (PDF En) (version courte Fr)
Petit rappel pour qui ignore encore l’origine du mal qui atteint son apogée aujourd’hui. Le but de Big Pharma est de générer et d’entretenir la maladie alors que les médecines naturelles cherchent à guérir, ce qui est incompatible avec la recherche du profit et du « quoi qu’il en coûte » pour la santé des populations.
Le CDC héberge un système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) qui contient des données historiques sur les effets indésirables signalés pour chaque vaccin administré en Amérique. Selon une recherche dans la base de données VAERS du CDC sur le nombre de cas de cancer signalés en tant qu’effets indésirables des vaccins à l’ARNm, depuis décembre 2020 jusqu’au 5 août 2022, un total de 2 579 effets indésirables liés au cancer a été enregistré en seulement 1 an et 8 mois.
Mais une recherche similaire dans la base de données VAERS sur le nombre de cas de cancer signalés comme effets indésirables de tous les autres vaccins disponibles entre 2008 et 2020, soit une période de 13 ans, révèle qu’il n’y a eu que 791 effets indésirables liés au cancer.
Nombreux sont ceux qui affirment simplement, sans étayer leur affirmation par des preuves, que cela est dû au volume des injections de Covid-19 par rapport à tous les autres vaccins. Malheureusement, tous ceux qui affirment cela se trompent.
Pour s’en convaincre, il suffit d’examiner le nombre de doses administrées...
Il est apparu au cours de l’année 2021 après que l’injection covid 19 se soit répandue comme une trainée de poudre dans une majeure partie du monde occidental… Coïncidence ou causalité ?
Les premiers cancers post vaccination sont apparus très tôt
L’attention des médecins cliniciens – ceux qui voient de vrais malades en consultation, les interrogent et les examinent- avait été très tôt attirée par des modifications de l’évolution clinique de certains patients dans les quelques mois suivant les débuts de la campagne d’injections anticovid. Initialement ce furent des rechutes brutales, et résistantes, de patients apparemment guéris de cancer depuis plus de dix, quinze ans voire plus, en rémission complète, qui sidérèrent les généralistes et les cancérologues (qui ne l’avouèrent que sous le manteau…).
Un exemple typique a été celui de monsieur Axel Kahn, président de la ligue contre le cancer, qui s’était fait remarquer par ses positions extrémistes pro vaccins covid1 et dont le cancer d’évolution jusqu’ici lente a explosé après sa vaccination l’emportant en quelques mois.
De nombreuses malades en rémission de cancer du sein rechutèrent contre toute attente après une si longue durée.
Parallèlement les médecins virent arriver dans leurs cabinets de très jeunes gens d’une vingtaine d’années ou moins atteints de maladies hématologiques, telles des lymphomes, des glioblastomes etc. d’apparition jusqu’ici exceptionnelle chez les jeunes, d’évolution particulièrement rapide et résistant trop souvent à toute espèce de traitement.
Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontres, réseaux sociaux, groupes sur Telegram etc.. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.
Faut-il rappeler le rapport de 2019 de la Cour des Comptes concernant le conseil de l’Ordre des médecins qui était véritablement accablant ? Ce comportement tyrannique qui consiste à retirer la possibilité de travailler aux médecins qui ne sont pas d’accord avec Big Pharma doit cesser immédiatement. Leur rôle n’est pas de se soumettre à la Doxa, aux décisions du gouvernement et aux médias, mais de garantir la sécurité des malades. Ces médecins cotisent. L’Ordre n’est certainement pas une chambre d’enregistrement des décisions du ministre de la Santé et n’a pas à négocier avec le gouvernement et les autorités publiques. Comment est-il possible d’accepter une telle humiliation du corps médical, des médecins qui totalisent presque une dizaine d’années d’études universitaires et qui se retrouvent incapables de prendre des décisions en leur âme et conscience sans être harcelés administrativement !?
Les chiffres sont alarmants : en 30 ans, l’incidence des cancers chez les moins de 50 ans a bondi de 79 %, le nombre de décès associés de 28%, et les pays industrialisés semblent particulièrement touchés, révèle une large étude publiée dans le BMJ Oncology le 5 septembre.
En utilisant les données des registres nationaux des cancers, des chercheurs ont analysé l’évolution de l’incidence et des décès de 29 cancers dans plus de 200 pays, entre 1990 et 2019. Les résultats sont sans appel : en 2019, 3,26 millions de cancers ont été déclarés chez les moins de 50 ans, contre 1,82 million en 1990.
Le cancer le plus répandu à cet âge est le cancer du sein. Mais ce sont les cancers nasopharyngés et de la prostate qui présentent les évolutions les plus inquiétantes. Et cette tendance ne devrait pas s’inverser : l’incidence des cancers précoces devrait encore croître de 31 % d’ici 2030. Les décès de 21 %.
Les causes précises sont difficiles à identifier : outre les facteurs de risque alimentaire (comme un régime riche en viande rouge), la consommation d’alcool et le tabagisme, les auteurs avancent d’autres pistes : les antibiotiques, le microbiote intestinal ou encore la pollution de l’air extérieur. Un point de vue que partage Jean-David Zeitoun, docteur en médecine et en épidémiologie clinique, et auteur de Le suicide de l’espèce : comment les activités humaines produisent de plus en plus de maladies (ed. Denoël, février 2023).
Les analystes du mouvement pour la liberté ont souvent parlé de “conspiration ouverte”, mais ce n’est qu’avec la réponse à la pandémie que nous avons vraiment vu le masque tomber et l’ordre du jour se révéler.
Il y a à peine cinq ans, les sceptiques rétorquaient le plus souvent qu’une telle conspiration était “impossible” parce qu’elle était “trop élaborée pour être organisée”. Aujourd’hui, ces personnes ont l’air plutôt stupides. Il est indéniable qu’il existe une cabale des élites au pouvoir, qu’elles sont fortement organisées autour de l’idéologie globaliste et qu’elles veulent un contrôle centralisé total de la société. C’est un fait immuable, étayé par des preuves infinies. Le débat est clos. La réponse Covid y a mis fin.
La liste des crimes contre les libertés civiles est longue. L’establishment et la gauche politique (avec l’aide d’une poignée de néoconservateurs) ont tenté de mettre en œuvre des mesures autoritaires sans précédent, allant de la fermeture des entreprises et des églises au port forcé de masques (les études montrent que les masques sont inutiles), en passant par la vaccination forcée à l’aide de produits expérimentaux à base d’ARNm qui n’ont fait l’objet d’aucun test de sécurité à long terme. Dans certains pays (dont la Nouvelle-Zélande et l’Australie), des camps Covid ont été construits pour emprisonner non seulement les citoyens voyageant à l’étranger, mais aussi ceux qui ne voyagent pas. La législation relative à la construction de tels camps a été proposée aux États-Unis.
Avec seulement 45 % des demandes traitées à ce jour, plus de 153 millions de dollars taïwanais (4,5 millions d’euros) ont déjà été versés aux personnes blessées par les vaccins anti COVID, soit plus que les 129,6 millions de dollars taïwanais (3,8 millions d’euros) versés aux victimes de blessures causées par tous les vaccins combinés au cours des 30 dernières années, a-t-on appris hier lorsque les Centres de contrôle des maladies (CDC) de Taïwan ont répondu aux critiques formulées par le groupe législatif du parti de l’opposition.
Lors d’une conférence de presse tenue hier, le 6 septembre, le parti d’opposition Kuomintang (KMT) a exhorté le gouvernement à accélérer le processus d’examen de l’indemnisation des dommages causés par le vaccin contre le COVID-19.
Tseng Ming-tsung, chef du groupe parlementaire du KMT, a déclaré que trois problèmes majeurs entravaient la résolution des cas : la complexité des procédures, la longueur des délais de traitement et la difficulté à déterminer le lien de causalité.
Tseng Ming-tsung a mentionné que le premier problème est la complexité des procédures, qui oblige les victimes à fournir continuellement des informations supplémentaires. Le deuxième problème est la longueur du temps de traitement, avec un maximum de 9 mois pour l’examen, mais les cas prennent souvent beaucoup plus de temps, même jusqu’à 2 ou 3 ans. Le troisième problème est la difficulté de déterminer le lien de causalité. Sur les 3 271 cas traités à ce jour, seuls 123 cas, soit 3,7 %, ont été jugés comme ayant un lien de causalité avec le vaccin, tandis que les autres ont été jugés comme n’ayant pas de lien de causalité et n’ont donc pas pu être indemnisés.
Le secrétaire général du KMT, Hsieh Yimin, a déclaré que selon les statistiques de la Food and Drug Administration, entre mars 2021 et juillet de cette année, un total de 21 208 réactions indésirables ont été signalées à la suite de la vaccination contre le COVID-19. Toutefois, les statistiques du CIVP font état d’un total de 9 101 cas au cours des trois dernières années. En juillet, 7 741 demandes avaient été déposées dans le cadre du programme d’indemnisation des victimes de vaccins, ce qui signifie que toutes les victimes de vaccins n’ont pas demandé d’indemnisation.
Cette carte est en vigueur en Belgique, au Portugal et en Suède.
La fraude est impossible à estimer, la raison est la mise en place du crédit social que veulent imposer les banquiers. La prochaine fusion sera identité, médical et financier.
Pour la mise en place de cette future carte, c’est comme le pass vaccinal, une activité sera soumise à condition, comme la monnaie du futur et le porte monnaie électronique qui pourraient avoir une date de péremption.
Si la distinction de genre séduit Gabriel Attal, avec cette nouvelle carte d’identité il va inventer une nouvelle discrimination à l’embauche et mettre fin au secret médical.
Des chercheurs italiens et britanniques ont découvert que, contrairement aux affirmations du gouvernement, les protéines de pointe provenant des vaccins contre la grippe Fauci persistent dans les bras des receveurs pendant au moins six mois après l’injection.
Jusqu’à présent, le narratif officiel est que les protéines de pointe contenues dans les vaccins Covid sont « inoffensives » et restent dans le bras quelques jours. On nous dit que, tout au plus, le corps ne continuera à fabriquer des protéines de pointe pendant une très courte période, en supposant qu’une personne ait acquis la variété d’ARNm.
Nous savons à présent que le corps d’une personne entièrement vaccinée continue à produire indéfiniment des protéines de pointe. Les chercheurs l’ont confirmé, excluant même la possibilité d’une contamination croisée ou d’une infection par une souche de COVID circulant dans la nature.
Pour mener leurs recherches, les scientifiques ont utilisé un test sensible basé sur la spectrométrie de masse, réglé pour rechercher spécifiquement une séquence d’acides aminés qui n’existe que dans la protéine de pointe induite par le vaccin.
Le bus de 42 pieds, orné des mots “Vax-Unvax – The People’s Study” (Vax-Non-vax: l’Etude par le Peuple) voyagera à travers les États-Unis continentaux au cours de l’année prochaine, recueillant les témoignages de personnes qui ont été blessées ou sont décédées à la suite d’une vaccination – y compris les injections de Covid-19 – ou de protocoles de traitement hospitalier de Covid-19.
Le thème de la tournée est “Les gens plutôt que les profits, la vérité plutôt que les mensonges, le courage plutôt que la peur”. Cette tournée a pour but de dénoncer les dommages causés par les vaccins et de donner la parole à ceux qui ont été censurés et ignorés par les gouvernements, les agences de santé et le système médical.
Cette tournée coïncide avec la sortie du livre “Vax-Unvax: Let the Science Speak” de Robert F. Kennedy Jr, président en congé de la CHD, et de Brian Hooker, Ph.D., directeur principal de la science et de la recherche de la CHD.
Dans ce livre, qui sera disponible le 29 août sur Amazon et Barnes & Noble, Kennedy et Hooker examinent plus de 100 études évaluées par des pairs et analysant les différences de résultats sanitaires entre les populations vaccinées et les populations non vaccinées.
M. Kennedy, qui a fondé le CHD mais qui est en congé pendant qu’il fait campagne pour l’investiture démocrate à la présidence des États-Unis, a assisté au lancement.
L’OMS a annoncé la nécessité d’une vaccination de masse pour lutter contre les effets du changement climatique». Pour lutter contre le changement climatique, y compris la «menace de propagation de maladies par les moustiques migrant vers de nouvelles régions», une nouvelle vaccination de masse sera bientôt nécessaire, selon l’organisation.
Ces commentaires ont été faits par le Dr Maria Van Kerkhove, directrice technique de la réponse OMS au Covid-19. L’information a été annoncée lors d’une récente conférence de presse à laquelle a participé le chef de l’OMS, Tedros Ghebreyesus. Van Kerkhove a déclaré que les pays doivent «se préparer médicalement au changement climatique en surveillant l’évolution des effets secondaires (dus au «réchauffement climatique»)». Nous notons également un article récent du Spiegel allemand selon lequel «les pharmaciens allemands s’attendent à une campagne de vaccination intensive à l’automne prochain».
Culture de la peur, qui induit la soumission !