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SEKEM

Revolution 2030 : autre sourceSEKEM - Un miracle dans le désert

Revolution 2030 : autre source - 18 août 2025

Naissance d'une communauté durable dans le désert égyptien

   

Quand Ibrahim Abouleish rentra en Egypte en 1977 après un brillant début de carrière de pharmacologue en Autriche, il avait 40 ans. C'est alors qu'il acheta 70 ha de désert non loin du Caire pour y fonder un nouveau type de communauté qui puisse soigner autant la terre que les hommes.

Sa mission est impossible, son histoire est exemplaire, découvrez ce modèle à travers la capsule ci-dessous. Elle est en anglais mais vous pouvez activer les sous-titres.

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Qui a mis le feu dans l'Aude

Égalité et RéconciliationLes incendies criminels de l’Aude sont-ils accidentels ?

Égalité et Réconciliation - 17 août 2025

On sait désormais que la répression sanitaire a servi, au-delà du marketing pour vendre de faux vaccins, à dégraisser le service public français.

   

Cinq mille pompiers ont été suspendus en 2021 pour la même raison. L’État néolib faisait d’une pierre plusieurs coups :

  • économiser des centaines de millions en salaires
  • réduire toute résistance dans les services de santé et de sécurité
  • pousser la population vers la santé privée
  • brûler les récalcitrants en place publique, en guise d’exemple.

Le site de Pierre Cassen revient sur cette ignominie, et relie ces décisions absolument calculées aux grands incendies actuels, et à l’impuissance des soldats du feu dans l’Aude.

Derrière ces incendies criminels et difficiles à réduire, il y a souvent une intention de « reconstruction ».

Plus personne ne crie au complot tant le crime de l’Aude est signé. La flotte de canadairs, que le petit Attal avait promis de moderniser, n’était à la mi-juillet capable d’aligner que huit appareils sur douze...

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l'Aude en feux

Le Media en 4-4-2Comment l’UE a transformé l’Aude en poudrière

Le Media en 4-4-2 - 08 août 2025

Vignes arrachées, forêts abandonnées : Comment l’UE a transformé l’Aude en poudrière… avant d’accuser le climat

   

La folie destructrice de Bruxelles
L’UE, sous couvert de « renaturation », a exigé le démantèlement des barrages en Espagne, transformant les plaines en zones inondables. En France, le ministère de l’Agriculture achève le travail. Sous prétexte de la pénurie des bouteilles en verre fabriquées par des usines ukrainiennes qui ont fermé, de l’augmentation des coûts de la production, des vignobles entiers sont rasés « de manière définitive », selon ses propres termes. Afin de « Réduire la dépendance aux engrais russes » selon un décret de 2022, repris par la PAC, un droit de douane de 6,5 % sur les engrais importés de Russie et de Biélorussie sera instauré en 2025 et 2026, assorti d’une taxe entre 40 et 45 €/tonne dont le montant sera porté à 430 €/t d’ici à 2028… L’arrachage, sous prétexte de guerre en Ukraine, est définitif. On ne peut qu’en conclure à la volonté de prolonger cette guerre indéfiniment.

Les vignes, pourtant barrières naturelles contre les incendies, laissent place à des friches inflammables. Le résultat ? Des incendies monstrueux, prévisibles, et surtout… fort pratiques pour justifier la suite.

Subventions et sabordage organisé
La méthode est rodée : noyer les pêcheurs baltes sous les réglementations, leur offrir des primes pour couler leurs bateaux, puis les regarder sombrer dans l’alcoolisme. Même scénario pour les agriculteurs français, payés pour arracher leurs vignes et interdits de replanter. L’objectif ? Réduire l’offre, faire flamber les prix, et précipiter les Européens dans une misère calculée. Le tout au nom d’un climatisme qui, ironiquement, aggrave les catastrophes qu’il prétend combattre.

L’écologie, cheval de Troie de la décivilisation
Demain, le DSA (Digital Services Act) criminalisera le « doute climatique », interdisant même ce genre de propos. Mais comment ne pas voir le cynisme d’une caste qui, tout en promouvant panneaux solaires et éoliennes made in China, s’enferme dans des datchas climatisées ? L’Europe n’est plus celle du Concorde ou du TGV, mais celle des terres en friche et des paysans expropriés. Jusqu’à quand laissera-t-on ces pyromanes diriger les pompiers auxquels ils ne concèdent que des Canadairs de 30 ans d’âge ?

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Afrique - continent

Réseau InternationalL’Afrique se déchire… et un nouvel océan pourrait naître

Réseau International - 16 juil 2025

Dans les profondeurs de la Corne de l’Afrique, des forces tectoniques titanesques sont à l’œuvre.

   

Dans la région de l’Afar – là où se rencontrent l’Éthiopie, Djibouti et l’Érythrée – trois plaques tectoniques s’écartent lentement les unes des autres, à un rythme pouvant atteindre 8 mm par an.

Cette lente divergence, alimentée par la remontée de magma depuis le manteau terrestre, déchire littéralement le continent. Elle provoque fissures, affaissements, soulèvements… et selon les scientifiques, elle pourrait, à terme, donner naissance à un nouvel océan.

Si cette expansion continue, la portion orientale de l’Afrique pourrait finir par se détacher entièrement, formant une vaste île, comparable à la péninsule Arabique.

Grâce à l’imagerie satellitaire et à la cartographie GPS, les chercheurs suivent en temps réel cette transformation géologique majeure. La dépression de l’Afar, située entre la mer Rouge et le golfe d’Aden, est aujourd’hui considérée comme la dernière étape avant une véritable ouverture océanique.

Un jour, les eaux de l’océan Indien pourraient s’y engouffrer, remodelant profondément la surface de la Terre. Ce serait l’un des événements géologiques les plus spectaculaires depuis des millions d’années.

Et ce «jour» pourrait arriver d’ici 1 à 20 millions d’années – un clin d’œil à l’échelle de la planète, une éternité à notre échelle.

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la nature nous veut du bien

Réseau InternationalÀ votre santé - Quand les plantes chantent

Réseau International - 08 juil 2025

Invitée : Anne-Marie Nageleisen, écrivain, créatrice et lanceuse d'alerte

   

Une émission du Dr Eric Loridan

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LA FRANCE, CHAMPIONNE EUROPÉENNE DE L’EAU EMPOISONNÉE

QactusL’eau ‘potable’ française, un cocktail toxique de pesticides et de mensonges

Qactus - 11 juin 2025

L’eau potable ? Une farce sanitaire sous Macron.

   

Environ un tiers de l’eau dite « potable » distribuée en France est officiellement non conforme, selon un rapport de l’ANSES. Un euphémisme pour ne pas dire polluée, toxique et impropre à la consommation. La coupable ? Le chlorothalonil, un pesticide interdit en Europe depuis 2019, mais dont les métabolites cancérigènes persistent dans nos robinets, grâce à l’inaction criminelle du gouvernement.

Dans les régions agricoles, les terres sacrées des céréaliers et des vignerons du Languedoc et de Bordeaux, la France pulvérise allègrement 80 000 tonnes de pesticides par an. Résultat ? Les nappes phréatiques sont saturées de résidus toxiques, mais personne ne vous le dira. Les analyses affichées en mairie ? Truquées par omission. Les stations d’épuration ? Incapables de filtrer ces nanoparticules mortelles.

Pourquoi ? Parce que le business de l’agrochimie prime sur votre santé. Parce que Macron et ses ministres préfèrent caresser les lobbies dans le sens du poil plutôt que d’appliquer le principe de précaution. Et surtout, parce que vous n’êtes que des cobayes dans cette expérience grandeur nature.

Pendant que l’UE, sous pression des industriels, renouvelle pour 10 ans l’autorisation du glyphosate un herbicide classé « probablement cancérigène », l’eau française se transforme en un bouillon de culture chimique. Les PFAS, ces « polluants éternels », contaminent 80 % des échantillons testés, avec des taux 20 fois supérieurs aux normes dans certaines zones comme Paris. Quant au chlorothalonil, interdit, mais toujours présent, il illustre parfaitement l’hypocrisie d’un système qui protège les profits, pas les citoyens.

La réponse du gouvernement ? Rien. Ou presque. On vous serine que l’eau est « sans risque », alors que l’ANSES elle-même admet que les effets à long terme de ces cocktails chimiques sont inconnus. On vous conseille de boire de l’eau en bouteille (elle aussi contaminée, au passage), ou d’acheter des filtres (inefficaces contre les PFAS). Une mascarade.

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20 ans d'anti-démocratie

Le Media en 4-4-22005-2025 : 20 ans de trahison démocratique

Le Media en 4-4-2 - 29 mai 2025

Nous fêtons ce 29 mai les 20 ans du « NON » des Français à une certaine Europe.

   

En effet, c’est en cette journée historique du 29 mai 2005 que les Français ont rejeté le Traité constitutionnel européen (TCE), avec 54,67 % de votes « NON » au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe. Le scrutin, marqué par une forte participation (69,34 %), reflète l’inquiétude des Français face à une intégration européenne qui nie purement et simplement la souveraineté française. Cependant, le 14 février 2008, le Traité de Lisbonne, largement inspiré de la Constitution rejetée 3 ans plus tôt, est adopté par voie parlementaire sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy. Cette violation du vote démocratique des Français en 2008 sonne le glas de la démocratie en France et signe, définitivement pour lors, le divorce entre les dirigeants politiques et les citoyens français.

Le discours prémonitoire de Philippe Séguin

Treize ans avant le référendum du 29 mai 2005, le 5 mai 1992, Philippe Séguin, député gaulliste, prononça un discours désormais célèbre à l’Assemblée nationale. Face au projet de loi constitutionnelle préalable à la ratification du traité de Maastricht, il défendit avec ferveur une exception d’irrecevabilité, alertant sur les dangers d’une intégration européenne menaçant la souveraineté nationale et la démocratie. Véritablement visionnaire, celui qui deviendra en 2004 le Premier président de la Cour des comptes, annonçait qu’une construction européenne qui se faisait sans et contre les peuples posait un problème fondamental.

Dans son discours, Séguin affirme que la souveraineté nationale, fondement de la République depuis 1789, est « inaliénable et imprescriptible ». Il argue que le traité de Maastricht, en transférant des compétences clés (notamment monétaires) à des instances supranationales, viole ce principe sacré. Pour lui, déléguer ainsi le pouvoir du peuple à des organes non élus, comme la Commission européenne, équivaut à une abdication démocratique : « Mon irrecevabilité se fonde sur le fait que le projet de loi viole, de façon flagrante, le principe en vertu duquel la souveraineté nationale est inaliénable et imprescriptible, ainsi que le principe de la séparation des pouvoirs, en dehors duquel une société doit être considérée comme dépourvue de Constitution ».

Une Europe construite sans les peuples
Avec une lucidité saisissante, Séguin dénonce un processus européen opaque, mené « en catimini » depuis le traité de Rome de 1957. Il critique une élite d’experts, de juges et de technocrates qui impose des décisions sans mandat populaire, dans « le secret des cabinets », « la pénombre des commissions et dans le clair-obscur des cours de Justice ».

En conséquence, pour que ce projet, qui n’est ni plus ni moins qu’un projet fédéraliste, soit plus transparent, Séguin insiste ensuite sur la nécessité de consulter le peuple directement via un référendum, arguant que « ce que le peuple fait, seul le peuple peut le défaire ». Il regrette le recours à la voie parlementaire, qu’il juge contraire à l’esprit du pacte républicain, et dénonce les « habiletés tactiques » visant à contourner la volonté populaire. Cette défense du référendum comme outil de légitimité démocratique annonce déjà les débats de 2005.

Le député gaulliste rejette l’idée d’une Europe fédérale telle que portée par Maastricht, qu’il qualifie d’« anti-1789 », pour son mépris des principes révolutionnaires de liberté et de justice. De la bouche même du député : « L’Europe qu’on nous propose n’est ni libre, ni juste, ni efficace. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution : 1992 est littéralement l’anti-1789. Beau cadeau d’anniversaire que lui font, pour ses 200 ans, les pharisiens de cette République qu’ils encensent dans leurs discours et risquent de ruiner par leurs actes ! ». Force est de constater en 2025 que l’ex-ministre des Affaires sociales et de l’Emploi avait raison sur toute la ligne. En outre, Séguin affirme que la nation n’est pas une simple structure administrative, mais une réalité affective et spirituelle, fruit d’une « mystérieuse métamorphose » liant un peuple en un destin commun. Il défend une France ouverte à l’Europe, mais refuse qu’elle se dissolve dans un projet exclusivement européen, soulignant son rôle mondial, notamment via la francophonie. Cette conception de la nation comme rempart contre l’uniformisation résonnera dans les craintes exprimées par les électeurs en 2005. Enfin, Séguin alerte sur le caractère irréversible des engagements de Maastricht, notamment la monnaie unique. Il prédit qu’une fois le « piège refermé », aucun retour en arrière ne sera possible, même face à des crises futures. Cette prophétie trouve un écho dans les débats post-2005, quand le traité de Lisbonne, adopté malgré le « Non » populaire, confirmera pour beaucoup l’idée d’une Europe imposée contre la volonté des peuples.

Ce discours de Philippe Séguin, qui devrait être étudié et décortiqué dans tous les écoles de science politique, pose les jalons intellectuels et politiques du rejet du TCE en 2005. En alertant sur la menace pesant sur la souveraineté, la démocratie et l’idée même de nation, il anticipe le divorce entre les Français et leurs élites. Ce plaidoyer vibrant, salué par 101 députés, reste une boussole pour comprendre les racines de la défiance envers l’intégration européenne.

Les Médias mainstream et les partis traditionnels tous en faveur du « Oui »

Dans son documentaire diffusé sur France 3 et intitulé « Quand les Français ont dit non à l’Europe » (2017, Dreamway Productions, voir ci-dessous), Élizabeth Drevillon retrace le référendum du 29 mai 2005, où 54,67% des Français, avec une participation de 69,34%, ont rejeté le TCE. À travers des archives, des témoignages et une analyse lucide, ce film de 53 minutes explore les causes et les conséquences de ce « Non » retentissant, qui a révélé une fracture profonde entre les citoyens et les élites. En écho aux mises en garde de Philippe Séguin en 1992 contre une Europe technocratique, il montre comment ce vote, suivi par l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, a fracturé le contrat social.

Tout d’abord, l’on perçoit clairement dans le documentaire que la campagne référendaire de 2005 repose sur un combat très inégal. Les partisans du « Oui » bénéficient du soutien politique et financier des deux grands partis traditionnels, UMP (ancêtre du parti LR) et PS ainsi que de l’UDF. Nicolas Sarkozy et François Hollande, que tout devrait en principe opposer, sont tous les deux favorables au Traité. Cette convergence des LR et du PS préfigure cette critique d’un « parti unique » UMPS qui sera torpillé par Macron en 2017 et dont les membres ne se relèveront jamais vraiment. De surcroît, la presse qui devait a priori être divisée sur cette question, est au contraire une presse majoritairement favorable au TCE. En effet, 71% des interventions télévisées entre janvier et mars 2005 prônaient le « Oui ».

En revanche, les défenseurs du « Non », qu’ils soient souverainistes (Philippe de Villiers, Jean-Pierre Chevènement), lepénistes, ou qu’il s’agisse de dissidents socialistes comme Laurent Fabius ou Jean-Luc Mélenchon, sont marginalisés, souvent absents des plateaux télévisés. Malgré ce déséquilibre, le documentaire montre comment les citoyens, via des débats citoyens, du tractage, des discussions et une mobilisation sur Internet, renversent la tendance, faisant triompher le « Non ».

À travers des témoignages d’électeurs et d’observateurs, le film décortique les motivations du « Non ». Pour beaucoup, le TCE incarne une Europe libérale, menaçant les services publics et le modèle social français. La peur du « plombier polonais », symbole d’une concurrence déloyale, et les craintes liées à l’élargissement de l’UE, notamment à la Turquie, cristallisent les inquiétudes. Le documentaire souligne que ce vote, loin d’être un simple rejet populiste, exprime un attachement à la souveraineté nationale et une défiance envers une Europe perçue comme autoritaire, prolongeant les alertes de Séguin sur la perte de contrôle démocratique.

Le film met en lumière la réaction des élites après le 29 mai 2005. Les Français ayant voté « Non » sont qualifiés de « populistes », de « poujadistes » ou d’« analphabètes » par certains médias et responsables politiques. Des éditoriaux, comme celui de Serge July dans Libération (« Chef-d’œuvre de masochisme », 30 mai 2005), traduisent un mépris pour le choix populaire. Ces jugements, illustrés par des extraits d’émissions et d’articles, accentuent le sentiment d’humiliation des électeurs, renforçant leur méfiance envers les institutions. Le documentaire consacre une part importante à l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Qualifié de véritable « copie conforme » du TCE de la bouche même de Valéry Giscard d’Estaing, ce traité est ratifié par voie parlementaire le 14 février 2008, après une révision constitutionnelle au Congrès de Versailles. Le film montre comment cette décision, soutenue par une majorité de députés de droite et socialistes, est perçue comme une trahison du vote de 2005. Des images d’archives et des interviews soulignent l’indignation populaire face à ce contournement, qui alimente la fracture démocratique. Enfin, le documentaire retrace les répercussions du référendum jusqu’à la fin du quinquennat de François Hollande en 2017. Il argue que le mépris de la parole citoyenne a creusé un fossé entre la « France d’en haut » (élites politiques et médiatiques) et la « France d’en bas » (classes populaires et moyennes). Ce divorce, illustré par la montée du Front national – passé de 15 % des voix en 2002 à un doublement de son score en une décennie –, est présenté comme une conséquence directe de l’autisme politique post-2005. Le film conclut que le « Non » de 2005, loin d’être un simple épisode, a marqué un tournant dans la défiance populaire envers l’Europe et les institutions nationales.

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continent africain

RT FranceLe continent africain «en train de se diviser en deux», selon les géologues

RT France - 26 jan 2025

Les scientifiques préviennent que l’Afrique est en train de «se séparer en deux», à une vitesse deux fois plus rapide que prévu. La séparation créerait un nouvel océan et un nouveau continent sur Terre, que des chercheurs ont d’ores et déjà commencé à appeler «la Nubie».

   

Un phénomène géologique est en train de diviser le continent africain en deux, au niveau de la vallée du grand Rift qui traverse les pays du sud-est de l’Afrique, selon des études scientifiques récentes citées par un quotidien britannique, le Daily Mail. La séparation, qui créerait également un nouvel océan et un nouveau continent sur Terre, provient de ce système de rift est-africain, une faille de 3200 kilomètres qui s’est formée il y a au moins 22 millions d’années, là où se trouvent les Grands Lacs du continent.

Une étude publiée dans Frontiers in Earth Science en 2024 a souligné comment différentes parties du Rift est-africain présentaient divers niveaux d’activité volcanique liés à la scission, notamment au niveau des cratons de l’Ouganda, de la Tanzanie, de l’est et du sud du Congo, mais aussi celui du Kaapvaal au Botsawana et en Afrique du Sud. Des fissures sont également apparues au Kenya en 2018 après de fortes pluies. Les géologues suggèrent que de telles «fissures» continueront à se former à mesure que les deux plaques s’éloigneront, et que Madagascar se divisera, à son tour, en deux îles distinctes.

Dans une étude réalisée en 2020 par Virginia Tech, des chercheurs ont par ailleurs suggéré que de nouveaux océans se formeraient d’abord dans la partie nord du Rift. «Les lacs se sont formés parce que l’Afrique de l’Est se sépare du reste du continent. La plaque somalienne continue de se déplacer encore plus vers l’est, créant une vallée de rift géante. Et cela continue», a notamment expliqué Alexandra Doten, ancienne consultante de la NASA et de la Space Force. «Finalement, l’Afrique de l’Est deviendra son nouveau continent, séparé du reste de l’Afrique par un nouvel océan», a-t-elle affirmé.

« Continent nubien »

Les chercheurs pensaient auparavant que la scission prendrait des dizaines de millions d’années, mais des événements géologiques et climatiques récents laissent penser que les choses s’accélèrent à un rythme plus rapide que prévu. Cité par le Daily Mail, Ken Macdonald, océanographe et géophysicien marin américain, a estimé que cela se produirait dans un délai de «un à cinq millions d’années».

Selon ce chercheur, une fissure de 56 kilomètres de long dans le désert éthiopien est apparue en 2005, mais s’est depuis élargie à un rythme d’un demi-pouce par an. «Ce qui pourrait se produire, c’est que les eaux de l’océan Indien entreraient et inonderaient ce qui est aujourd’hui la vallée du Rift est-africain», a déclaré Ken Macdonald. Celui-ci a ajouté que le nouvel océan pourrait devenir aussi profond que l’Atlantique si les eaux continuent de s’écouler dans la région.

La fissure s’étend à travers la Somalie, le Kenya, la Tanzanie et la moitié de l’Éthiopie, qui, selon le professeur, deviendrait un nouveau continent appelé «continent nubien». Bien que les deux parties évoluent à un rythme extrêmement lent, Ken Macdonald a déclaré que cela était impressionnant étant donné la taille massive de l’Afrique. «À l’échelle de la vie humaine, on ne verra pas beaucoup de changements. On ressentira des tremblements de terre, on verra des volcans entrer en éruption, mais on ne verra pas l’océan s’immiscer dans notre vie», a-t-il souligné.

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entrevue avec Juan Branco

Revolution 2030 : autre sourceJuan Branco : Un avocat qu'on veut faire taire ?

Revolution 2030 : autre source - 17 déc 2024

Entretien XXL avec Juan Branco, avocat et auteur.

   

La Défense de ses clients tels que Julien Assange et Kémi Seba, la métamorphose de l'Afrique, la Palestine et la CPI, les accusations et les intimidations en France, autant de sujets que nous explorons dans cet échange exclusif.

Son dernier livre "Comment fabriquer une guillotine" est disponible aux Éditions Au Diable Vauvert.

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10 ans - effondrement

ÉlucidIl ne reste que 10 ans à l'humanité

Élucid - 16 déc 2024

Notre déni va causer l'effondrement : sortir des illusions et se préparer.

   

Yves Cochet est mathématicien et ancien ministre de l'Écologie. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dans lesquels il alerte sur l'effondrement imminent de notre civilisation, dont tout récemment "Précision sur la fin du monde" aux éditions LLL.

Dans cette interview par Carla Costantini pour Élucid, Yves Cochet nous appelle à sortir du déni. L'effondrement nous semble impossible à concevoir, il est trop catastrophique, trop grand, trop violent, et notre cerveau ne peut pas imaginer que le système complexe qui rend notre quotidien possible, n'est qu'un château de cartes, qui menace de s'effondrer à mesure que les crises s'additionnent. Notre impuissance est indépassable, paralysante. Pourtant, nous avons tout intérêt à nous y préparer..

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Manu et Donald

Revolution 2030 : autre sourceHumour : La rencontre MUSCLÉE entre Macron et Donald Trump

Revolution 2030 : autre source - 09 déc 2024

La venue de Donald Trump n'a sans doute pas été de tout repos pour Macron...

   

Cela s'est à peu près passé comme ça...

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alimentation bio

JesuisterreauTu ne feras plus JAMAIS TES COURSES comme avant !

Jesuisterreau - 8 déc 2024

Dans cette vidéo, j'invite tous ceux et celles qui osent se poser des questions sur leur alimentation à s'organiser.

   

D'une part en changeant dès maintenant nos habitudes et d'autre part en rejoignant le réseau des Terreaux pour qu'ensemble, nous aussi, nous opérions un changement. Il n'est plus possible de trouver des excuses à cette agriculture polluante et d'accepter le sort que nous réserve les industriels.

Si l'idée de faire votre propre potager germe dans votre tête parce que vous pensez que le système en place est défaillant et parce que vous n'avez plus confiance en ce que les grandes surfaces vous proposent, écoutez Max. Il est là pour vous aider à prendre votre panier et vous accompagner au marché paysan du coin.

« Jésus-Christ partageait le pain et multipliait les poissons pour donner de la bouffe à tout le monde et nous apprendre la notion de partage. Aujourd’hui, les miracles sont fait par les industriels qui changent les seuils pour rendre « potable » l’eau qui était polluée. »

Max