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LA FRANCE, CHAMPIONNE EUROPÉENNE DE L’EAU EMPOISONNÉE

QactusL’eau ‘potable’ française, un cocktail toxique de pesticides et de mensonges

Qactus - 11 juin 2025

L’eau potable ? Une farce sanitaire sous Macron.

   

Environ un tiers de l’eau dite « potable » distribuée en France est officiellement non conforme, selon un rapport de l’ANSES. Un euphémisme pour ne pas dire polluée, toxique et impropre à la consommation. La coupable ? Le chlorothalonil, un pesticide interdit en Europe depuis 2019, mais dont les métabolites cancérigènes persistent dans nos robinets, grâce à l’inaction criminelle du gouvernement.

Dans les régions agricoles, les terres sacrées des céréaliers et des vignerons du Languedoc et de Bordeaux, la France pulvérise allègrement 80 000 tonnes de pesticides par an. Résultat ? Les nappes phréatiques sont saturées de résidus toxiques, mais personne ne vous le dira. Les analyses affichées en mairie ? Truquées par omission. Les stations d’épuration ? Incapables de filtrer ces nanoparticules mortelles.

Pourquoi ? Parce que le business de l’agrochimie prime sur votre santé. Parce que Macron et ses ministres préfèrent caresser les lobbies dans le sens du poil plutôt que d’appliquer le principe de précaution. Et surtout, parce que vous n’êtes que des cobayes dans cette expérience grandeur nature.

Pendant que l’UE, sous pression des industriels, renouvelle pour 10 ans l’autorisation du glyphosate un herbicide classé « probablement cancérigène », l’eau française se transforme en un bouillon de culture chimique. Les PFAS, ces « polluants éternels », contaminent 80 % des échantillons testés, avec des taux 20 fois supérieurs aux normes dans certaines zones comme Paris. Quant au chlorothalonil, interdit, mais toujours présent, il illustre parfaitement l’hypocrisie d’un système qui protège les profits, pas les citoyens.

La réponse du gouvernement ? Rien. Ou presque. On vous serine que l’eau est « sans risque », alors que l’ANSES elle-même admet que les effets à long terme de ces cocktails chimiques sont inconnus. On vous conseille de boire de l’eau en bouteille (elle aussi contaminée, au passage), ou d’acheter des filtres (inefficaces contre les PFAS). Une mascarade.

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20 ans d'anti-démocratie

Le Media en 4-4-22005-2025 : 20 ans de trahison démocratique

Le Media en 4-4-2 - 29 mai 2025

Nous fêtons ce 29 mai les 20 ans du « NON » des Français à une certaine Europe.

   

En effet, c’est en cette journée historique du 29 mai 2005 que les Français ont rejeté le Traité constitutionnel européen (TCE), avec 54,67 % de votes « NON » au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe. Le scrutin, marqué par une forte participation (69,34 %), reflète l’inquiétude des Français face à une intégration européenne qui nie purement et simplement la souveraineté française. Cependant, le 14 février 2008, le Traité de Lisbonne, largement inspiré de la Constitution rejetée 3 ans plus tôt, est adopté par voie parlementaire sous l’impulsion de Nicolas Sarkozy. Cette violation du vote démocratique des Français en 2008 sonne le glas de la démocratie en France et signe, définitivement pour lors, le divorce entre les dirigeants politiques et les citoyens français.

Le discours prémonitoire de Philippe Séguin

Treize ans avant le référendum du 29 mai 2005, le 5 mai 1992, Philippe Séguin, député gaulliste, prononça un discours désormais célèbre à l’Assemblée nationale. Face au projet de loi constitutionnelle préalable à la ratification du traité de Maastricht, il défendit avec ferveur une exception d’irrecevabilité, alertant sur les dangers d’une intégration européenne menaçant la souveraineté nationale et la démocratie. Véritablement visionnaire, celui qui deviendra en 2004 le Premier président de la Cour des comptes, annonçait qu’une construction européenne qui se faisait sans et contre les peuples posait un problème fondamental.

Dans son discours, Séguin affirme que la souveraineté nationale, fondement de la République depuis 1789, est « inaliénable et imprescriptible ». Il argue que le traité de Maastricht, en transférant des compétences clés (notamment monétaires) à des instances supranationales, viole ce principe sacré. Pour lui, déléguer ainsi le pouvoir du peuple à des organes non élus, comme la Commission européenne, équivaut à une abdication démocratique : « Mon irrecevabilité se fonde sur le fait que le projet de loi viole, de façon flagrante, le principe en vertu duquel la souveraineté nationale est inaliénable et imprescriptible, ainsi que le principe de la séparation des pouvoirs, en dehors duquel une société doit être considérée comme dépourvue de Constitution ».

Une Europe construite sans les peuples
Avec une lucidité saisissante, Séguin dénonce un processus européen opaque, mené « en catimini » depuis le traité de Rome de 1957. Il critique une élite d’experts, de juges et de technocrates qui impose des décisions sans mandat populaire, dans « le secret des cabinets », « la pénombre des commissions et dans le clair-obscur des cours de Justice ».

En conséquence, pour que ce projet, qui n’est ni plus ni moins qu’un projet fédéraliste, soit plus transparent, Séguin insiste ensuite sur la nécessité de consulter le peuple directement via un référendum, arguant que « ce que le peuple fait, seul le peuple peut le défaire ». Il regrette le recours à la voie parlementaire, qu’il juge contraire à l’esprit du pacte républicain, et dénonce les « habiletés tactiques » visant à contourner la volonté populaire. Cette défense du référendum comme outil de légitimité démocratique annonce déjà les débats de 2005.

Le député gaulliste rejette l’idée d’une Europe fédérale telle que portée par Maastricht, qu’il qualifie d’« anti-1789 », pour son mépris des principes révolutionnaires de liberté et de justice. De la bouche même du député : « L’Europe qu’on nous propose n’est ni libre, ni juste, ni efficace. Elle enterre la conception de la souveraineté nationale et les grands principes issus de la Révolution : 1992 est littéralement l’anti-1789. Beau cadeau d’anniversaire que lui font, pour ses 200 ans, les pharisiens de cette République qu’ils encensent dans leurs discours et risquent de ruiner par leurs actes ! ». Force est de constater en 2025 que l’ex-ministre des Affaires sociales et de l’Emploi avait raison sur toute la ligne. En outre, Séguin affirme que la nation n’est pas une simple structure administrative, mais une réalité affective et spirituelle, fruit d’une « mystérieuse métamorphose » liant un peuple en un destin commun. Il défend une France ouverte à l’Europe, mais refuse qu’elle se dissolve dans un projet exclusivement européen, soulignant son rôle mondial, notamment via la francophonie. Cette conception de la nation comme rempart contre l’uniformisation résonnera dans les craintes exprimées par les électeurs en 2005. Enfin, Séguin alerte sur le caractère irréversible des engagements de Maastricht, notamment la monnaie unique. Il prédit qu’une fois le « piège refermé », aucun retour en arrière ne sera possible, même face à des crises futures. Cette prophétie trouve un écho dans les débats post-2005, quand le traité de Lisbonne, adopté malgré le « Non » populaire, confirmera pour beaucoup l’idée d’une Europe imposée contre la volonté des peuples.

Ce discours de Philippe Séguin, qui devrait être étudié et décortiqué dans tous les écoles de science politique, pose les jalons intellectuels et politiques du rejet du TCE en 2005. En alertant sur la menace pesant sur la souveraineté, la démocratie et l’idée même de nation, il anticipe le divorce entre les Français et leurs élites. Ce plaidoyer vibrant, salué par 101 députés, reste une boussole pour comprendre les racines de la défiance envers l’intégration européenne.

Les Médias mainstream et les partis traditionnels tous en faveur du « Oui »

Dans son documentaire diffusé sur France 3 et intitulé « Quand les Français ont dit non à l’Europe » (2017, Dreamway Productions, voir ci-dessous), Élizabeth Drevillon retrace le référendum du 29 mai 2005, où 54,67% des Français, avec une participation de 69,34%, ont rejeté le TCE. À travers des archives, des témoignages et une analyse lucide, ce film de 53 minutes explore les causes et les conséquences de ce « Non » retentissant, qui a révélé une fracture profonde entre les citoyens et les élites. En écho aux mises en garde de Philippe Séguin en 1992 contre une Europe technocratique, il montre comment ce vote, suivi par l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, a fracturé le contrat social.

Tout d’abord, l’on perçoit clairement dans le documentaire que la campagne référendaire de 2005 repose sur un combat très inégal. Les partisans du « Oui » bénéficient du soutien politique et financier des deux grands partis traditionnels, UMP (ancêtre du parti LR) et PS ainsi que de l’UDF. Nicolas Sarkozy et François Hollande, que tout devrait en principe opposer, sont tous les deux favorables au Traité. Cette convergence des LR et du PS préfigure cette critique d’un « parti unique » UMPS qui sera torpillé par Macron en 2017 et dont les membres ne se relèveront jamais vraiment. De surcroît, la presse qui devait a priori être divisée sur cette question, est au contraire une presse majoritairement favorable au TCE. En effet, 71% des interventions télévisées entre janvier et mars 2005 prônaient le « Oui ».

En revanche, les défenseurs du « Non », qu’ils soient souverainistes (Philippe de Villiers, Jean-Pierre Chevènement), lepénistes, ou qu’il s’agisse de dissidents socialistes comme Laurent Fabius ou Jean-Luc Mélenchon, sont marginalisés, souvent absents des plateaux télévisés. Malgré ce déséquilibre, le documentaire montre comment les citoyens, via des débats citoyens, du tractage, des discussions et une mobilisation sur Internet, renversent la tendance, faisant triompher le « Non ».

À travers des témoignages d’électeurs et d’observateurs, le film décortique les motivations du « Non ». Pour beaucoup, le TCE incarne une Europe libérale, menaçant les services publics et le modèle social français. La peur du « plombier polonais », symbole d’une concurrence déloyale, et les craintes liées à l’élargissement de l’UE, notamment à la Turquie, cristallisent les inquiétudes. Le documentaire souligne que ce vote, loin d’être un simple rejet populiste, exprime un attachement à la souveraineté nationale et une défiance envers une Europe perçue comme autoritaire, prolongeant les alertes de Séguin sur la perte de contrôle démocratique.

Le film met en lumière la réaction des élites après le 29 mai 2005. Les Français ayant voté « Non » sont qualifiés de « populistes », de « poujadistes » ou d’« analphabètes » par certains médias et responsables politiques. Des éditoriaux, comme celui de Serge July dans Libération (« Chef-d’œuvre de masochisme », 30 mai 2005), traduisent un mépris pour le choix populaire. Ces jugements, illustrés par des extraits d’émissions et d’articles, accentuent le sentiment d’humiliation des électeurs, renforçant leur méfiance envers les institutions. Le documentaire consacre une part importante à l’adoption du traité de Lisbonne en 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Qualifié de véritable « copie conforme » du TCE de la bouche même de Valéry Giscard d’Estaing, ce traité est ratifié par voie parlementaire le 14 février 2008, après une révision constitutionnelle au Congrès de Versailles. Le film montre comment cette décision, soutenue par une majorité de députés de droite et socialistes, est perçue comme une trahison du vote de 2005. Des images d’archives et des interviews soulignent l’indignation populaire face à ce contournement, qui alimente la fracture démocratique. Enfin, le documentaire retrace les répercussions du référendum jusqu’à la fin du quinquennat de François Hollande en 2017. Il argue que le mépris de la parole citoyenne a creusé un fossé entre la « France d’en haut » (élites politiques et médiatiques) et la « France d’en bas » (classes populaires et moyennes). Ce divorce, illustré par la montée du Front national – passé de 15 % des voix en 2002 à un doublement de son score en une décennie –, est présenté comme une conséquence directe de l’autisme politique post-2005. Le film conclut que le « Non » de 2005, loin d’être un simple épisode, a marqué un tournant dans la défiance populaire envers l’Europe et les institutions nationales.

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continent africain

RT FranceLe continent africain «en train de se diviser en deux», selon les géologues

RT France - 26 jan 2025

Les scientifiques préviennent que l’Afrique est en train de «se séparer en deux», à une vitesse deux fois plus rapide que prévu. La séparation créerait un nouvel océan et un nouveau continent sur Terre, que des chercheurs ont d’ores et déjà commencé à appeler «la Nubie».

   

Un phénomène géologique est en train de diviser le continent africain en deux, au niveau de la vallée du grand Rift qui traverse les pays du sud-est de l’Afrique, selon des études scientifiques récentes citées par un quotidien britannique, le Daily Mail. La séparation, qui créerait également un nouvel océan et un nouveau continent sur Terre, provient de ce système de rift est-africain, une faille de 3200 kilomètres qui s’est formée il y a au moins 22 millions d’années, là où se trouvent les Grands Lacs du continent.

Une étude publiée dans Frontiers in Earth Science en 2024 a souligné comment différentes parties du Rift est-africain présentaient divers niveaux d’activité volcanique liés à la scission, notamment au niveau des cratons de l’Ouganda, de la Tanzanie, de l’est et du sud du Congo, mais aussi celui du Kaapvaal au Botsawana et en Afrique du Sud. Des fissures sont également apparues au Kenya en 2018 après de fortes pluies. Les géologues suggèrent que de telles «fissures» continueront à se former à mesure que les deux plaques s’éloigneront, et que Madagascar se divisera, à son tour, en deux îles distinctes.

Dans une étude réalisée en 2020 par Virginia Tech, des chercheurs ont par ailleurs suggéré que de nouveaux océans se formeraient d’abord dans la partie nord du Rift. «Les lacs se sont formés parce que l’Afrique de l’Est se sépare du reste du continent. La plaque somalienne continue de se déplacer encore plus vers l’est, créant une vallée de rift géante. Et cela continue», a notamment expliqué Alexandra Doten, ancienne consultante de la NASA et de la Space Force. «Finalement, l’Afrique de l’Est deviendra son nouveau continent, séparé du reste de l’Afrique par un nouvel océan», a-t-elle affirmé.

« Continent nubien »

Les chercheurs pensaient auparavant que la scission prendrait des dizaines de millions d’années, mais des événements géologiques et climatiques récents laissent penser que les choses s’accélèrent à un rythme plus rapide que prévu. Cité par le Daily Mail, Ken Macdonald, océanographe et géophysicien marin américain, a estimé que cela se produirait dans un délai de «un à cinq millions d’années».

Selon ce chercheur, une fissure de 56 kilomètres de long dans le désert éthiopien est apparue en 2005, mais s’est depuis élargie à un rythme d’un demi-pouce par an. «Ce qui pourrait se produire, c’est que les eaux de l’océan Indien entreraient et inonderaient ce qui est aujourd’hui la vallée du Rift est-africain», a déclaré Ken Macdonald. Celui-ci a ajouté que le nouvel océan pourrait devenir aussi profond que l’Atlantique si les eaux continuent de s’écouler dans la région.

La fissure s’étend à travers la Somalie, le Kenya, la Tanzanie et la moitié de l’Éthiopie, qui, selon le professeur, deviendrait un nouveau continent appelé «continent nubien». Bien que les deux parties évoluent à un rythme extrêmement lent, Ken Macdonald a déclaré que cela était impressionnant étant donné la taille massive de l’Afrique. «À l’échelle de la vie humaine, on ne verra pas beaucoup de changements. On ressentira des tremblements de terre, on verra des volcans entrer en éruption, mais on ne verra pas l’océan s’immiscer dans notre vie», a-t-il souligné.

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entrevue avec Juan Branco

Revolution 2030 : autre sourceJuan Branco : Un avocat qu'on veut faire taire ?

Revolution 2030 : autre source - 17 déc 2024

Entretien XXL avec Juan Branco, avocat et auteur.

   

La Défense de ses clients tels que Julien Assange et Kémi Seba, la métamorphose de l'Afrique, la Palestine et la CPI, les accusations et les intimidations en France, autant de sujets que nous explorons dans cet échange exclusif.

Son dernier livre "Comment fabriquer une guillotine" est disponible aux Éditions Au Diable Vauvert.

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10 ans - effondrement

ÉlucidIl ne reste que 10 ans à l'humanité

Élucid - 16 déc 2024

Notre déni va causer l'effondrement : sortir des illusions et se préparer.

   

Yves Cochet est mathématicien et ancien ministre de l'Écologie. Il est l'auteur de nombreux ouvrages dans lesquels il alerte sur l'effondrement imminent de notre civilisation, dont tout récemment "Précision sur la fin du monde" aux éditions LLL.

Dans cette interview par Carla Costantini pour Élucid, Yves Cochet nous appelle à sortir du déni. L'effondrement nous semble impossible à concevoir, il est trop catastrophique, trop grand, trop violent, et notre cerveau ne peut pas imaginer que le système complexe qui rend notre quotidien possible, n'est qu'un château de cartes, qui menace de s'effondrer à mesure que les crises s'additionnent. Notre impuissance est indépassable, paralysante. Pourtant, nous avons tout intérêt à nous y préparer..

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Manu et Donald

Revolution 2030 : autre sourceHumour : La rencontre MUSCLÉE entre Macron et Donald Trump

Revolution 2030 : autre source - 09 déc 2024

La venue de Donald Trump n'a sans doute pas été de tout repos pour Macron...

   

Cela s'est à peu près passé comme ça...

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alimentation bio

JesuisterreauTu ne feras plus JAMAIS TES COURSES comme avant !

Jesuisterreau - 8 déc 2024

Dans cette vidéo, j'invite tous ceux et celles qui osent se poser des questions sur leur alimentation à s'organiser.

   

D'une part en changeant dès maintenant nos habitudes et d'autre part en rejoignant le réseau des Terreaux pour qu'ensemble, nous aussi, nous opérions un changement. Il n'est plus possible de trouver des excuses à cette agriculture polluante et d'accepter le sort que nous réserve les industriels.

Si l'idée de faire votre propre potager germe dans votre tête parce que vous pensez que le système en place est défaillant et parce que vous n'avez plus confiance en ce que les grandes surfaces vous proposent, écoutez Max. Il est là pour vous aider à prendre votre panier et vous accompagner au marché paysan du coin.

« Jésus-Christ partageait le pain et multipliait les poissons pour donner de la bouffe à tout le monde et nous apprendre la notion de partage. Aujourd’hui, les miracles sont fait par les industriels qui changent les seuils pour rendre « potable » l’eau qui était polluée. »

Max

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pour achever d'asservir l'humanité

Prune de PruneL'eau primaire - L'ultime mensonge pour achever d'asservir l'humanité

Prune de Prune - 01 déc 2024

Une e-mission proposée par Prune.

   

Oulàlà, ça en fait des mensonges, hein? Vous croyez qu'on arrivera enfin au bout ?

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Soleil G1 G2

Echelle de JacobAlerte à la tempête solaire G1 pour le sol

Echelle de Jacob - 29 nov 2024

La surveillance G1 a été émise le 28 novembre et une surveillance (modérée) G2 pour le 29 novembre.

   

Et cela en raison de l'arrivée d'une CME associée à une éruption qui a quitté le Soleil fin 25 novembre, a déclaré le Centre de prévision météorologique spatiale de la NOAA lors d'une veille de tempête géomagnétique.

Les prévisions géomagnétiques de la NOAA montrent que les conditions G1 sont attendues demain soir, avec des conditions G2 d'une durée allant jusqu'aux premières heures du vendredi matin.

Les MCC sont d'énormes nuages de plasma solaire expulsés des zones magnétiquement actives de la surface du Soleil, généralement des taches solaires.

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le pourquoi de la guerre en Ukraine

Égalité et RéconciliationLes trillions cachés d’Eurasie, véritable enjeu de la guerre en Ukraine

Égalité et Réconciliation - 07 nov 2024

Mike Benz expose les motivations géopolitiques derrière le conflit en Ukraine et l’expansion de l’OTAN vers l’est.

   

Il explique que l’objectif est de contrôler les vastes ressources naturelles de la Russie et de l’Eurasie, estimées à des milliers de milliards de dollars. Les États-Unis et leurs alliés cherchent à intégrer ces pays dans leur sphère d’influence économique et politique. Benz cite l’exemple de l’Ukraine, où des accords ont été signés avec des entreprises occidentales pour exploiter les ressources. Il évoque également le cas du Pakistan, où le Premier ministre Imran Khan a été destitué pour avoir adopté une position neutre sur l’Ukraine. Selon Benz, la simple neutralité de Trump dans un second mandat pourrait compromettre cette stratégie et causer d’énormes pertes financières aux intérêts occidentaux impliqués.

Sommaire :

00:00 - Introduction et contexte de la réélection potentielle de Trump
01:31 - Explication des enjeux géopolitiques en Eurasie et des ressources de la Russie
04:41 - Discussion sur les accords énergétiques en Ukraine et la privatisation
06:40 - Impact potentiel d’un second mandat de Trump sur la stratégie en Eurasie
08:26 - Analyse du cas d’Imran Khan au Pakistan et de l’ingérence américaine
11:48 - Conclusion sur l’importance de la neutralité dans ce contexte géopolitique

NB : le trillion américain vaut un billion français (soit un million de millions, ou mille milliards) ;
DoD : Department of Defense.

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combien de planètes ?

Aube DigitaleLe nombre de « Terres » nécessaires aux modes de vie des différents pays

Aube Digitale - 20 sep 2024

De combien de Terres aurions-nous besoin si l’ensemble de la population mondiale vivait comme un seul pays ?

   

Dans ce graphique, Marcus Lu, de Visual Capitalist, a visualisé les données du Global Footprint Network pour voir le nombre de Terres nécessaires pour soutenir une population mondiale qui vivrait comme les Américains, les Allemands, etc.

Données et méthodologie

Les données utilisées pour créer ce graphique sont énumérées dans le tableau ci-dessous. Les chiffres ont été publiés en 2022 (avec les données de 2018).

Ces estimations sont basées sur l’empreinte écologique de chaque pays, qui est mesurée en hectares globaux (gha).

Elle représente la quantité de terres et d’eau biologiquement productives dont une population a besoin pour produire toutes les ressources qu’elle consomme et pour absorber les déchets qu’elle génère, en utilisant les technologies courantes.
Principaux enseignements de ces données

Les données présentées dans ce graphique mettent en lumière l’impact des différents pays sur la planète.

Les pays qui dépassent leur biocapacité respective sont appelés « débiteurs de biocapacité« . Cela signifie que le pays importe de la biocapacité nette par le biais du commerce, qu’il liquide des actifs écologiques nationaux ou qu’il émet plus de déchets de dioxyde de carbone dans l’atmosphère que ses propres écosystèmes n’en absorbent.

Les pays qui ont un excédent écologique, en revanche, sont appelés « créanciers de biocapacité ». Si tous les habitants de la planète vivaient comme ces pays, nous aurions besoin de moins de Terres et non de plus de Terres.
Jour du dépassement de la Terre

Un autre concept intéressant est le « Jour du dépassement de la Terre » (Earth Overshoot Day), qui marque le moment où la demande de l’humanité en ressources écologiques au cours d’une année donnée dépasse ce que la planète peut régénérer au cours de cette même année. En 2024, le jour du dépassement tombera le 1er août.

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pillage en cours

Révolution 2030 : Autre sourceIls s'emparent des terres agricoles françaises

Révolution 2030 : Autre source - 20 juil 2024

Pillage en cours...

   

Dans cette vidéo, nous explorons le phénomène inquiétant de l’accaparement des terres agricoles en France. Alors que les agriculteurs français font face à une crise de vocation et au vieillissement, de grandes multinationales et des fonds d’investissement s’approprient des hectares de bonnes terres cultivables. Ce phénomène, observé dans de nombreux pays, menace l’avenir de l’agriculture française, sa diversité et la qualité de ses produits. Nous discutons également des limitations de la SAFER et des propositions pour mieux protéger nos terres.