Comment ça marche ? Les machines captent l’air. Elles utilisent ensuite l’électricité pour le refroidir, jusqu’à ce qu’il se condense en eau. Les appareils de l’entreprise fonctionnent à des températures allant jusqu’à 50°C, et avec une humidité faible, jusqu’à 8 %.
« Les catastrophes naturelles dépeignent le paysage de la fin du monde. »
Recharger les nappes phréatiques, stopper le gaspillage des villes, arroser avec des eaux usées, dessaler l'eau de mer, cesser de puiser en profondeur, pratiquer la rétention d'eau pour les cultures, fermer les centrales nucléaires, etc, les solutions ne manquent pas !
Les températures ont toujours varié, le CO² n'est pas un poison, les données environnementales sont maigres et leur période courte, d'où les "records" fréquents, les ours polaires prospèrent.
La seconde partie de cette publication concerne la justice. Thomas Renz met en garde contre le raz-de-marée de poursuites judiciaires à venir...
Un article de Pierre Lassalle qui remet de l'ordre dans la notion de liberté. Vous pouvez l'agrémenter de cette nouvelle, du même auteur. Fictive, elle n'en est pas moins d'un réalisme considérable.
Actuellement le troisième feu de forêt le plus important de l'histoire de l'Orégon, cet incendie s'est mis à créer des pyrocumulonimbus, des nuages faisant peu pleuvoir, mais pouvant former des tourbillons de feu...
Après l'Allemagne et la Belgique, c'est au tour de la Chine d'être soumise aux forces de la nature. Deux barrages ont déjà cédé dans la région nord-ouest du pays.
« Les catastrophes naturelles dépeignent le paysage de la fin du monde. »