Peu de temps avant, Ursula von der Leyen récompensait le PDG de Pfizer pour son « leadership commercial », lors d’une cérémonie à Washington. On ne peut s’empêcher de se demander si la présidente de la Commission sert l’intérêt général ou bien se comporte en lobbyiste de l’industrie pharmaceutique.
« D’autres contrats et d’autres technologies de vaccins suivront »
Le rapport de forces a commencé lundi 15 novembre, comme annoncé lors de la conférence de presse au Palais de la mutualité de Pointe-à-Pitre. Les leaders syndicaux avaient prévenu par la voix de Maïté Hubert M’Toumo, secrétaire générale de l’UGTG : « Le président français a dit que les vaccins c’est la liberté, la liberté est donc conditionnée à un vaccin, un vaccin qui n’est pas maîtrisé, un vaccin qui génère de plus en plus d’effets secondaires graves. C’est ça la liberté ? C’est pas possible. Donc à partir de lundi, la guerre est déclarée ! »