Vous pouvez en dire beaucoup sur un candidat politique et son parti grâce à ses campagnes marketing. Plus important encore, expliquent-ils les opinions de leur candidat et leurs politiques ? Ou cherchent-ils simplement à manipuler les électeurs pour leur faire croire quelque chose qui n’est pas vrai ?
La campagne de Kamala Harris est en fait allée encore plus loin au cours du mois dernier avec une étrange série de publicités qui, examinées dans leur ensemble, mettent en valeur une dégénérescence idéologique qui fait appel au pire de l’humanité. Même si Donald Trump et les conservateurs sont souvent accusés d’être « méchants » ou directs dans leur rhétorique, au moins celui-ci est sincère et parle de problèmes réels plutôt que de désirs inconscients. D’un autre côté, si vous recherchez une sorte de classe chez un candidat, il n’y en a pas parmi les démocrates.
S’inspirant de l’école de publicité d’Edward Bernays qui exploite les recoins crasseux et le narcissisme de la lie de la société, le marketing de Harris a été étrange – il encourage la malhonnêteté au sein des familles, s’appuie sur des techniques de honte au lieu de la pensée critique et il est souvent sexuellement abusif de la manière la plus laide.
Certaines de ces publicités ne sont pas directement créées par les agents de Harris, mais d’une manière générale, la plupart des publicités sont approuvées par le candidat ou les responsables du parti politique avant d’être publiées.
Dans sa dernière campagne, les publicités de Harris tentent de semer la discorde parmi les couples mariés, suggérant que les femmes devraient cacher leurs opinions politiques à leur mari et voter pour Harris à leur insu. Ou encore, le but est de suggérer que les hommes américains contrôlent d’une manière ou d’une autre leurs femmes et les contraignent à voter pour Trump.
Dans le monde imaginaire des démocrates, la seule raison pour laquelle une femme voterait pour Trump est parce que son mari l’y oblige. C’est une représentation plutôt insultante des femmes, mais elle s’appuie également sur l’hypothèse de gauche selon laquelle toutes les minorités et les femmes sont leur propriété politique. Si une femme ou une minorité vote conservateur, les démocrates affirment que c’est parce qu’elles ont subi un lavage de cerveau.
Au-delà de cela, tout homme marié, même depuis peu de temps, connaît parfaitement les idéaux politiques de sa femme et ne sera pas surpris de la façon dont elle vote. Il est étrange que le camp Harris tente de présenter le vote comme s’il devait être traité comme une affaire extra-conjugale. Bien sûr, c’est le genre de comportement que les progressistes encouragent généralement les femmes à adopter, c’est tout simplement bizarre de le voir de manière aussi flagrante dans une publicité de campagne.
Ensuite, il y a les efforts visant à faire honte aux hommes pour qu’ils votent pour Harris, qui n’ont clairement pas été aussi bien accueillis. Son soutien parmi les hommes est lamentable, même parmi la génération Z, et cela peut être directement attribué à la guerre de propagande contre la masculinité perpétrée par les gauchistes pendant une décennie. Les hommes s’en souviennent, et ils ne voteront certainement pas pour les mêmes personnes qui les traitent d’« incels », de « violeurs » ou de « toxiques » depuis des années.
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Tout retardataire s’expose à voir son compte bancaire gelé et sa carte d’identité suspendue. En d’autres termes, à être socialement désactivé.
Le gouvernement koweïtien a une façon très spéciale d’inciter les individus présents sur son sol à se conformer à certaines de ses décisions. S’il en est une avec laquelle il ne rigole visiblement pas, c’est la procédure d’enregistrement des empreintes digitales biométriques. Tous les Koweïtiens devaient s’y soumettre avant le 1er octobre dernier et tous les expatriés devront le faire avant le 31 décembre 2024. À défaut, les uns et les autres s’exposent à des sanctions bancaires et administratives.
Le système d’enregistrement biométrique a commencé à être mis en place au Koweït en mai 2023. Dans un premier temps, comme en témoigne un article d’Arab Times Kuwait de cette époque, il n’a concerné que les personnes arrivant dans le pays (citoyens et résidents de retour de voyage ou visiteurs étrangers). Puis il s’est étendu à toute la population adulte à partir du 1er mars 2024, avec une date butoir d’abord fixée au 1er juin, et finalement repoussée aux deux dates distinctes citées plus haut.
◆ Lutte contre la fraude et renforcement des contrôles d’identité
Biometric Update explique que « l’État a entrepris de recueillir des données biométriques pour s’attaquer aux problèmes liés à la double nationalité et renforcer les mesures de sécurité. En outre, cela permettra de détecter automatiquement les personnes utilisant des passeports frauduleux pour entrer dans le pays. »
D’après Gulf News, le gouvernement koweïtien aurait l’intention de collaborer avec d’autres pays, y compris Interpol et les pays du Conseil de coopération du Golfe (dont le Koweït fait partie avec l’Arabie saoudite, Oman, le Qatar, les Émirats arabes unis et Bahreïn), pour établir un réseau de sécurité solide.
◆ Augmentation des menaces envers les récalcitrants
Dès le mois de mars, des sanctions étaient prévues pour ceux qui manqueraient à cette obligation : « Le non-respect de cette mesure de sûreté entraînera des restrictions sur certains services ministériels, y compris le renouvellement des permis de séjour et le renouvellement du permis de conduire », indiquait Biometric Update dans son article du 25 mars 2024.
Mais début septembre, encore 175 000 citoyens et 800 000 expatriés n’avaient toujours pas procédé à l’enregistrement de leurs empreintes digitales biométriques, toujours selon Biometric Update. La date limite fixée pour les citoyens approchant, le gouvernement a décidé de brandir des menaces supplémentaires pour accélérer le processus et inciter les retardataires (ou les récalcitrants) à s’y conformer.
« Ceux qui ne respectent pas les délais d’enregistrement biométrique seront suspendus des services publics. La Banque centrale du pays prévoit également de mettre en place des restrictions échelonnées sur les comptes bancaires des personnes qui ne se conforment pas aux prescriptions en matière d’enregistrement des données biométriques »
La réponse est la suivante : que la plèbe découvre à quel point le substrat de leur contrôle, la machinerie de tout cela, est fragile. Les élites ont travaillé sans relâche pour créer l’illusion d’un grand monolithe imperméable – ce panopticon irréductiblement oppressif de « règles » tacites et de limites sociales, de fenêtres d’Overton et de lignes de lois statutaires connues d’elles seules et destinées à nous obscurcir délibérément – un obélisque imposant qui emblématise la totalité de leur contrôle. Pour ce faire, ils recourent à la peur, à la programmation sociale et à l’hypnose des médias de masse pour déclencher des traumatismes dans nos esprits agrippés, en proie à une détresse perpétuelle et enveloppés d’une tension angoissante. Ils érigent des labyrinthes de codes juridiques pour nous soumettre au poids inépuisable de leur jurisprudence ésotérique. Tout cela a pour but de transmettre un sentiment de poids écrasant, de nous doter d’un but futile face à des structures aussi colossales ; le Système, l’Ordre, leur entrelacs de suprématie socio-politico-économique.
Mais c’est leur ultime tour de passe-passe, la carapace inexpugnable qui dissimule la chair tendre du crabe aux yeux de poire, enfermé dans l’obscurité, terrifié à l’idée que sa carapace devienne cassante sous l’effet des vents salés qui l’écorchent depuis des années. Ce concept est l’un des plus ésotériques de notre vie quotidienne, non pas en raison de restrictions ou de garde-fous en soi, mais plutôt en raison de son incommensurabilité patente ; en d’autres termes, peu de gens savent comment définir, décrire ou discuter sémantiquement ce « voile de l’invisible » sous lequel notre société s’agite comme un troupeau de pigeons stochastiques.
En raison de cette impénétrabilité, nous restons aveugles aux fils conducteurs de notre monde, qui s’enroulent dans l’obscurité au-dessus de nos têtes. Peu de gens ont la virilité intellectuelle et l’esprit d’analyse nécessaires pour discuter de cette question d’une manière véritablement révélatrice, au lieu de jouer au sophisme et à la subversion comme un agent double.
L’un des rares à posséder la perspicacité morale et psychologique que j’ai vu s’engager sur ce sujet est Eric Weinstein, connu pour ses travaux sur le « dark web intellectuel », il y a quelques jours sur le podcast de Chris Williamson. Ceux qui souhaitent avoir un rare aperçu de ce qui se passe derrière le rideau devraient écouter la séquence ci-dessous, que j’ai coupée pour des raisons de longueur.
Ce à quoi il fait allusion de manière inquiétante est une série d’accords fondamentaux secrets qui sous-tendent notre monde, dont la fragilité en filigrane dément l’étendue, de sorte qu’ils nécessitent un mécanisme d’application à toute épreuve pour empêcher de jeunes parvenus présomptueux de les réinitialiser, volontairement ou involontairement. Dans le cas présent, comme le souligne Eric, ce parvenu se trouve être Trump. Ce qu’il révèle par inadvertance est bien plus profond que cela et lève le voile sur la hiérarchie ésotérique vieille de plusieurs siècles qui régit nos vies.
Selon lui, il existe une série d’accords anciens qui, dans certains cas, peuvent être réduits à de simples « poignées de main » entre des parties qui n’existent plus, et qui sous-tendent la stabilité des marchés mondiaux et agissent comme des digues contre l’éclatement d’une guerre mondiale – c’est du moins ce que l’on dit. Nombre de ces accords explicites et implicites ont été conclus dans l’après-guerre et ne peuvent perdurer que s’ils ne sont pas remis en question tous les quatre ans par un nouveau venu aux « idées neuves ». En effet, le caprice des masses ne peut être autorisé à mettre en péril les structures fondamentales de la société ; leur maintien nécessite donc une sorte d’« autorité silencieuse » chargée de préserver la stabilité institutionnelle du monde afin de « nous garder tous en sécurité ».
Mais c’est là que réside le nœud de cette tyrannie invisible : elle est réconciliée avec la caractérisation d’une grande force katéchonique, qui maintient à distance l’effondrement toujours menaçant de la civilisation pour notre bien. Un examen plus approfondi révèle cependant qu’elle n’est rien d’autre que le grand mensonge de l’élite générationnelle pour la continuité de son pouvoir.
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“La France des yourtes et des cabanons illicites : un fléau qui se propage” C’est un le titre d’un article du Figaro (source ici).
“Travailleurs pauvres, retraités sans ressources, néoruraux, gens du voyage… Ils sont de plus en plus nombreux à vivre en toute illégalité dans des chalets ou des camionnettes installés dans des champs ou au milieu des bois. Un casse-tête pour les préfectures et maires qui tentent de freiner le phénomène.
Comme beaucoup d’autres en France, cette région rurale, à cheval sur plusieurs départements, est touchée par un phénomène grandissant : la « cabanisation ». Un vocable que les maires ne connaissent désormais que trop bien, eux qui ont affaire à toujours plus de personnes vivant dans l’illégalité sur leur territoire. Dans les bois, les champs, au milieu de sites naturels protégés où tout habitat est pourtant interdit, celles-ci ont décidé d’y élire domicile en se construisant un toit. Et les habitants de ces logements de fortune n’ont pas tous le souci de se cacher. « Il y a des installations isolées au milieu de nulle part mais il y a aussi de véritables lotissements abritant des dizaines d’habitations illicites comme dans l’Hérault », relate le géographe Max Rousseau.”
La cabanisation ? C’est la tiers-mondisation de notre pays !
Voilà la triste réalité.
Le mieux est toujours l’ennemi du bien.
Toujours plus de normes, de qualité, de contraintes.
Résultat ?
Une crise du logement sans précédent… et les gens qui terminent dans des cabanes ou des mobil-home. Des étudiants sans le sou et qui ne peuvent plus manger une fois payé le loyer.
Le tout dans un pays où 60 % du PIB correspond à de la dépense publique et aux prélèvements et impôts les plus élevés du monde.
“Avec 1 500 euros net de salaire mensuel, Morgane Jaunay est candidate pour pouvoir installer l’un de ces chalets qu’elle va elle-même acheter et choisir. Avec un budget de 35 000 euros environ, elle compte trouver son modèle sur le marché de l’occasion. « J’en serai propriétaire mais je louerai le terrain à la ville, soit environ 100 euros par mois à verser », raconte cette salariée dans le transport écologique. Cet habitat correspond aussi à sa philosophie de vie : « Il y aura des lieux partagés, une vie en communauté ».”
La misère est plus facile au soleil… et en groupe.
Cela permet de donner du sens à des vies difficiles.
La réalité derrière cet “habillage”, c’est que tout le monde préfère une vraie maison à un mobil-home ou à un chalet en bois sans confort d’hiver ni d’été.
La réalité c’est que de plus en plus de nos concitoyens sont exclus du logement.
Nous marchons sur la tête.
Nous interdisons la location des logements classés G et prochainement F alors qu’un G ou un F restent de bien meilleure qualité, qu’un chalet en bois à 30 000 euros.
« Six ans de vie perdue » : c’est ainsi que certains téléspectateurs, frustrés par son dénouement, ont réagi au dernier épisode de la série Lost, qui s’est terminée en 2010 après 121 épisodes de 42 minutes environ, répartis en 6 saisons. Près de 85 heures réparties sur six années, cela peut sembler peu de chose, mais ça n’a rien d’anodin si l’on considère le peu de « temps libre » dont nous disposons. Sans compter qu’une série dans laquelle on plonge n’occupe pas seulement notre esprit durant les moments de visionnage : les personnages s’immiscent dans nos imaginaires, les intrigues se font et se défont dans nos têtes, occupent les conversations.
Dans son livre Vide à la demande, le philosophe Bertrand Cochard interroge les significations de ce « passe-temps » qui a colonisé nos vies. Leur omniprésence est étroitement mêlée à l’organisation du travail, qui « nous vide chaque jour du capital attentionnel disponible pour pratiquer d’autres activités plus exigeantes ». Elle est aussi le fruit de « l’infrastructure numérique dans laquelle nous baignons », qui nous laisse chaque soir dans un état « d’épuisement et d’excitation ».
« L’histoire n’est plus que la somme de ce que nous ne faisons pas »
Confrontant le phénomène des séries à différents concepts philosophiques, l’auteur n’a pas choisi le mot de « passe-temps » au hasard. Regardées le soir après le boulot, mais aussi suivies dans les transports, sous la douche ou en cuisinant, elles répondent à l’horreur du vide « qui caractérise la condition de l’individu contemporain », écrit-il. La consommation d’un passe-temps en appelle un autre, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus besoin de choisir ni de cliquer : la machine le fait pour nous.
Mais la série ne se contente pas de remplir le temps : « Elle le séquence, et ce séquençage qu’elle accomplit à notre place traduit, dans la vie réelle, les difficultés que nous avons à séquencer le temps, aussi bien sur un plan individuel que collectif. » Pour Bertrand Cochard, « ce besoin de séquençage fictionnel peut nous renseigner sur la condition temporelle caractéristique des sociétés actuelles […] Devenues “conscientes” de l’impossibilité de continuer à croître de manière infinie dans un monde fini, [nos] sociétés ont paradoxalement décidé d’y faire face en se voilant la face. Depuis, le processus historique est comme enrayé, ou lancé à un rythme accéléré sur une trajectoire désespérément inertielle. Le temps, cette “bouillie”, n’avance plus. L’histoire n’est plus que la somme de tout ce que nous ne faisons pas, alors même que nous savons pertinemment que nous devons le faire. […] Plus d’histoire, que des histoires, en profusion, à la demande. »
Vide à la demande, Critique des séries, Bertrand Cochard, L’ Échappée, 2024, 169 p., 17 euros.
L’association Linkee, qui s’occupe de la distribution alimentaire destinée aux étudiants en situation de précarité à Bordeaux, alerte : en deux ans, le nombre de bénéficiaires a doublé, atteignant 500 étudiants par semaine. Les files d’attente impressionnantes en centre-ville témoignent de la difficulté des étudiants à se nourrir. Les témoignages révèlent des situations de grande précarité, où les étudiants doivent se rationner et sauter des repas. L’association Linkee s’efforce de rendre les distributions le moins stigmatisantes possible, offrant des produits variés pour améliorer l’alimentation des étudiants. Les étudiants étrangers et les couples étudiants-travailleurs sont également touchés par cette précarité. Ces distributions sont cruciales pour permettre aux étudiants de manger de manière équilibrée : l’association appelle à la solidarité et aux dons pour soutenir leur initiative.
niversitaire. 500 étudiants qui font la queue en plein centre-ville. La file indienne est si longue qu’elle serpente autour d’un pâté d’immeuble entier situé au bout du Cours Alsace-Loraine, à deux pas de la place Pey-Berland. La scène a de quoi interpeller les touristes ou les passants comme Edgar. « Bonjour, pourquoi vous faites la queue », demande le badaud. « Du coup, là on attend pour une distribution alimentaire », lui répond Emmanuel, 22 ans, étudiant à l’université Bordeaux-Montaigne en solidarité internationale.
« La vie est belle à Bordeaux mais très chère »
« Je n’ai plus d’argent là ce mois-ci donc c’est un peu mon seul moyen de manger », témoigne Zoé, 20 ans, en master d’ingénierie de projets culturels. « Ce n’est pas la vie que j’espérais en tant qu’étudiant, vous avez vu le monde qu’il y a autour là », ajoute Jérémy, qui attend son tour en révisant sa leçon de design graphique.
« Bonjour, tiens du jus d’orange, un concombre ? » À l’intérieur du Centre Info Jeunes, l’association Linkee et sa vingtaine de bénévoles accueillent les étudiants un par un en leur proposant des fruits et légumes, laitages, céréales et produits d’hygiènes. « C’est une très forte reprise depuis la rentrée étudiante, là on est sur une distribution pour 500 étudiants donc c’est impressionnant. On fait tout pour que ce soit le moins stigmatisant possible, et pour que l’attente soit la moins désagréable », explique Lucas Vivet, le vice-président de Linkee Bordeaux, qui passe voir les jeunes attendant dans la file pour leur offrir de l’eau ou des petits biscuits pour patienter.
« S’il n’y avait pas ça, je ne pourrais pas manger un repas équilibré »
« Moi, je viens ici parce que je n’ai pas de thunes », déclare Myriam, 29 ans, inscrite aux Beaux-Arts de Bordeaux. La jeune femme affirme qu’elle n’est pas la plus à plaindre. « J’ai des personnes dont je suis proche qui ont volé ou qui volent pour manger ou qui juste ne mangent pas. Payer sa bouffe et payer son loyer et donner du temps à ses études, c’est quasi impossible. Tout a augmenté et tout est devenu vraiment super cher au fil des dernières années. »
Lire la suite de l’article sur le site de France Bleu.
Dans cette secte, faire de la production de fruits et légumes bio et les revendre n’est pas autorisé, sauf évidemment si vous payez un supplément. Par contre, vous pouvez empoisonner vos aliments avec des pesticides, cela ne pose pas de problèmes. Dans le Système, pour vous soigner, vous devez utiliser «la bonne méthode». Celle de médicaments chimiques et de chimiothérapie. Si vous utilisez des méthodes naturelles pour guérir vos patients, vous serez banni de l’Ordre des Médecins. Car vous ne fournissez pas d’argent à l’une des branches de la secte, c’est-à-dire Big Pharma, l’une des plaques tournantes du Système, aux côtés des Banques et de quelques autres.
Vous commencez à entrer dans cette secte dès le plus jeune âge, sans votre consentement. Il se crée alors ce que nous appelons «l’acte de naissance», attestant que vous êtes un nouveau venu au monde et que maintenant, vous êtes accroché au Système. À partir de là, vous aurez des «obligations».
À partir de 5 ans, voire 3 ans, vous allez à ce que nous appelons l’école. Dans cette école, vous allez apprendre beaucoup de choses. Certaines utiles pour la vie courante et la majorité écrasante qui n’ont pas une utilité incontestable. Évidemment, vous devrez vous faire vacciner OBLIGATOIREMENT, même si vous êtes en bonne santé, sinon vous serez rejeté par le système. Car, dans le Système, les adeptes ne doivent pas être naturels. Vous apprenez à être un bon soldat du système. Quelqu’un qui va travailler sans se poser de questions jusqu’à ses 60 ans, voire plus. Non, nous n’allons pas vous apprendre ici à faire votre propre jardin de fruits et légumes, construire votre habitat, ou savoir s’alimenter soi-même en eau et en électricité. Non ! Ici, il ne s’agit pas de vous rendre autonome du système, mais de vous y rendre dépendant au maximum. Et vraiment, si vous sortez de ce système, vous serez vu comme un fou, un inadapté, un «complotiste», et toute sorte de noms dont le sens est clairement contestable.
Quand vous atteignez l’âge mûr, quand vous quittez l’école, super, vous entrez dans la vie active ! À partir de là, vous devez TRAVAILLER. Non, vous ne quittez pas le système ; vous y entrez encore plus profondément. À partir de là, vous allez travailler, non pas pour rendre service, mais pour avoir le droit de vivre. Non, non, non, vous n’avez pas le droit d’avoir un toit sur la tête, ni de manger convenablement, si vous n’avez pas de travail. Vous êtes sinon catégorisé comme un «fainéant».
Au passage, le mot «travail» vient du latin «tripallium», qui signifie «torture». C’était aussi un instrument de torture au Moyen Âge. Quand vous travaillez, vous recevez un «salaire» sous forme d’argent. Vous allez recevoir des «factures». Les biens de la nature étant devenus un produit du système, vous devrez payer votre eau, vos fruits et légumes, car tout a été centralisé. Non, non, non, il ne s’agit pas de planter des arbustes fruitiers et des légumes un peu partout pour que chacun ait accès à la nourriture librement, non ! Il faut monnayer tout ça.
Donc, votre salaire va vous permettre le minimum vital, voire un petit peu plus. Sachant que pour votre employeur, s’il vous donne un salaire de 1000 €, c’est qu’il y en a 2000 qui partent à l’État. Pour votre propre salaire, le système va gagner plus que vous. Mais la secte n’a pas fini de vous prendre de l’argent : vous allez devoir payer de la TVA sur tout ce que vous achetez. Vous devrez payer des impôts, la taxe d’habitation, la taxe foncière. Oui, même quand vous êtes propriétaire, vous devez de l’argent au Haut de la Pyramide de la secte ! Après tout, c’est pour eux que vous travaillez.
Mais vu que vous êtes emprisonné dans le système, vous devez avoir une autorisation pour construire un habitat sur un terrain qui appartient pourtant à la Terre. Vous devez avoir un passeport pour être autorisé à aller à l’étranger. Vous devez avoir une carte d’identité pour que l’on vous identifie comme un adepte de la secte. Vous pourriez vous faire emprisonner si vous êtes un ancien adepte rebelle qui délaisse son identité. Vous devez avoir des assurances voiture obligatoires, pour continuer à nourrir le système. Si vous avez une entreprise, 50% de vos bénéfices vont encore être donnés à la société privée République française, qui est l’un des systèmes dans le système.
Tout ceci pour nourrir des super-riches milliardaires. Mais vous devez leur donner de l’argent. Par contre, il est tout à fait logique et accepté dans cette secte que des êtres humains meurent de faim ou soient à la rue. Les milliardaires leur portent-ils secours ? Que nenni, ils n’ont qu’à travailler ! Et sinon, tant pis pour eux, ils sont peut-être nés dans le mauvais pays, ou peut-être qu’ils n’ont simplement pas le «bon comportement». Oui, car il y a une charte du bon comportement qui est décidée par les dirigeants du Système. On vous dit quoi faire et comment le faire. Après tout, même si des enfants meurent de faim, quelle importance ? «Ce ne sont pas les miens». Les adeptes du système vont toujours voir leur propre personne et leur place dans le système avant celle des autres.
D’ailleurs, parlons de cette fascinante machinerie qu’est le Système, où la notion même de justice s’est métamorphosée en une farce grotesque, une parodie de ce qu’elle devrait être. La justice, autrefois garante de l’équité, a été remplacée par une police devenue milice, une armée de zélateurs aveuglés par leur loyauté à la secte. Ces agents de la «loi» ne servent plus le peuple, mais l’intérêt des puissants, au service d’un ordre établi où règnent la corruption et l’incompétence. Leur seul but ? Maintenir le statu quo, défendre les inégalités et réprimer toute dissidence avec une main de fer. Ces adeptes, souvent les plus corrompus et les moins qualifiés, se vautrent dans leurs privilèges tout en se drapant dans un uniforme qui leur confère une autorité illusoire. Ils agissent comme des chasseurs de têtes, traquant quiconque ose défier le Système, tout en fermant les yeux sur les véritables abus qui gangrènent la société. Ainsi, la justice de la secte est devenue une blague, une pièce de théâtre tragique où ceux qui devraient protéger le peuple ne font qu’enfoncer davantage les clous de l’oppression, transformant la peur en outil de contrôle.
Et que dire des politiciens ? Ah, ces marionnettes pathétiques, ces psychopathes s’enivrant de leurs vices, qui ne sont là que pour servir les maîtres de la secte ! Ils s’illuminent dans les salons dorés, se vautrent dans le luxe et la décadence, tout en faisant semblant de prêter une oreille attentive aux pleurs des opprimés. En échange de leur loyauté aveugle, ils reçoivent les miettes d’un festin qu’ils contribuent à préparer, célébrant la mascarade de la démocratie tout en piétinant le peuple qu’ils prétendent représenter. Loin de défendre l’intérêt général, ils orchestrent des spectacles déconcertants pour détourner l’attention des véritables problèmes. Dans cette danse macabre, chaque promesse électorale est un énième acte de soumission à un Système qui dévore ses propres enfants.
Si par exemple, vous voulez créer une entreprise, vous devez vous enregistrer dans le système, parce que vous donnerez la moitié de vos bénéfices au système. Pourquoi serait-il incorrect de créer une entreprise sans l’enregistrer ? Pour donner de l’argent au système, encore et encore, et être pressé comme un citron. Le système décide de ce que nous appelons la «mode», la façon de s’habiller, etc. Il va tout faire pour que vous ayez de nouveaux désirs éphémères et superficielles. Pour que vous achetiez une nouvelle voiture, une nouvelle télé… Vous devez être à la hauteur de vos amis, voire mieux quand même ! Et cela va vous procurer un plaisir quelques jours, avant de retomber.
Le système veut absolument que vous croyiez que votre bonheur est à l’extérieur de vous, dans les objets, les relations, et les divertissements de la secte. La secte se permet tout. Et vous savez la nouvelle ? Maintenant, il y a des obligations vestimentaires ! Vous devez mettre un masque dans les centres-villes des grandes villes, sinon, le système va vous punir et vous donner une amende de 135 € ! Apparemment, c’est pour «protéger les autres». Mince, petit problème, c’est que le dioxyde de carbone que vous expulsez va entrer dans le masque. Mais bon, l’important c’est d’obéir. Tout ça pour dire que la secte n’en a que faire de vous, même pas un numéro d’identification. Vous êtes un produit du Système, rien de plus.
Il serait presque comique de voir à quel point tout cela est huilé, si ce n’était pas si tragique. Dans cette farce absurde qu’est la vie moderne, vous êtes né dans un monde où tout est décidé pour vous, où l’illusion de la liberté est aussi tangible qu’un mirage dans le désert. Chaque jour, vous vous levez pour aller à votre «travail», un labyrinthe de normes et de règles dictées par ceux qui se vautrent dans le luxe tout en prétendant vous protéger. Au final, le Système est une immense blague, et nous en sommes tous les malheureux protagonistes.
Ah, mais ne vous inquiétez pas, tout ira bien ! Tant que vous suivez les règles et que vous vous contentez de ce qu’on vous offre, vous pourrez continuer à vivre, à consommer, à sourire en vous couchant la tête pleine de rêves inaccessibles, tout en sachant que, au fond, tout cela n’est qu’un mirage.
En définitive, cette secte tentaculaire, qu’est le Système, n’est pas seulement une entité abstraite, mais une réalité omniprésente qui s’immisce dans chacune de nos vies. Chacun de nous, d’une manière ou d’une autre, est devenu complice de cette machinerie infernale, en se conformant à ses règles et en intégrant les valeurs qu’elle promeut. Au moment où vous envoyez vos enfants à l’école, n’avez-vous jamais pris un instant pour vous interroger sur les chaînes invisibles que vous leur imposez ? Ces établissements, qui prétendent les éduquer, sont en réalité des moulins à conformisme, où l’on façonne de futurs consommateurs dociles, prêts à accepter l’inacceptable.
Vous, qui travaillez sans relâche pour fournir à votre famille ce confort matériel si précieux, avez-vous pris conscience que ce que vous leur offrez en échange est bien souvent une vie soumise, où le rêve de liberté est étouffé sous le poids des attentes du Système ? Ces biens matériels, ces promesses de succès et de bonheur, ne sont-ils pas une illusion construite pour vous maintenir enchaîné à cette machine insatiable ? En sacrifiant votre âme sur l’autel du confort, que devenez-vous réellement ?
Les conséquences de vos actes résonnent dans chaque coin de cette secte. En faisant le choix de rester dans le rang, vous ne faites que renforcer les fondations d’un monde qui préfère les chiffres aux individus, l’apparence à l’authenticité. Chaque fois que vous fermez les yeux sur l’injustice, chaque fois que vous choisissez le statu quo au lieu du changement, vous alimentez cette bête vorace qui ne s’arrête jamais. Réfléchissez à cela : en jetant vos enfants dans les bras du Système, en leur faisant croire que le confort est la seule voie vers le bonheur, vous les condamnez à un avenir où leur potentiel sera engoncé par des barreaux invisibles.
Alors, à vous qui lisez ces mots : interrogez-vous. N’est-il pas temps de briser les chaînes que vous avez acceptées si docilement ? N’est-il pas temps de redonner à votre existence et à celle de vos enfants la valeur qui leur revient, en refusant de sacrifier votre âme pour quelques miettes de confort ? Car au final, c’est peut-être cette prise de conscience, cette volonté de changer, qui pourrait donner un sens à cette vie souvent réduite à un simple numéro dans le grand livre du Système.
source : Blog de l’Éveillé
Stanislas Berton souligne les aspects cachés de ce mouvement, en particulier son lien avec des courants occultes, tels que le satanisme. Cette idéologie dissimule un projet plus vaste, visant à détruire les identités nationales et religieuses pour imposer une société uniformisée, dépouillée de toute spiritualité.
Ce phénomène s’inscrit dans une guerre spirituelle profonde, où le mondialisme s’oppose au catholicisme. Les partisans du mondialisme cherchent à remplacer la foi et la morale par l’argent, la technologie et le contrôle. Face à cela, le Vatican tente de défendre la souveraineté spirituelle des nations contre l’ombre d’un ordre global matérialiste.
Sous les discours de paix, le projet mondialiste cache une ambition plus sombre : la réduction de la population mondiale. Les élites financières, les multinationales, et les mouvements transhumanistes sont désignés comme les acteurs clés de cette transformation. La question est maintenant de savoir comment les nations réagiront face à cette guerre spirituelle et aux forces qui œuvrent dans l’ombre.
J’avais 8 ans lorsque JFK a été assassiné. Ce n’est que vers la trentaine que j’y ai réfléchi (enfin, peut-être une « première réflexion » une dizaine d’années avant toute considération sérieuse). J’avais 9 jours avant d’avoir 14 ans lorsque l’homme a prétendument fait un pas de géant sur la Lune — je n’y ai pas réfléchi une seconde — c’était vrai, bien sûr.
J’ai failli être appelé sous les drapeaux pour participer à la « juste » guerre du Viêt Nam et j’ai vécu d’innombrables événements mondiaux dont je n’étais même pas conscient. Des événements qui impliquaient des faux drapeaux, des manipulations de la CIA et Dieu sait quoi d’autre. J’ai vécu tout cela sans même y prêter attention : c’était tout ce qu’on m’avait dit, rien de plus. C’était comme d’habitude. La plupart des choses, sinon toutes, ne m’affectaient pas directement, ni ma capacité à manger, à travailler, à jouer et à vivre ma vie dans un confort relatif.
J’ai finalement reçu le grand coup de pied aux fesses lorsque le Covid est arrivé, et alors que je me réveillais lentement, j’ai réalisé que tout ce qui m’avait échappé dans ma vie et que j’avais tenté de croire normal était tout sauf normal. Ne vous méprenez pas, je pense que j’ai toujours été un tout petit peu éveillé. Je me suis souvent gratté la tête et j’ai toujours été intéressée par la vision alternative des choses.
Mais ces compréhensions ont toujours été périphériques pour moi. L’essentiel de la vie était généralement bon, les gens étaient dignes de confiance, le gouvernement était parfois loufoque, mais il était en général bienveillant et s’efforçait d’être décent. Les choses hideuses, bizarres ou trompeuses étaient des anomalies, pas la norme.
Je pense que le 11 septembre m’a fait toucher le fond, mais je n’avais pas encore perdu la foi dans les fondements de la « justesse » du monde. Mais tout s’est effondré lorsque le Covid a commencé son déchaînement de rhétorique fallacieuse et de mensonges trompeurs. Aujourd’hui, j’ai bouclé la boucle et je n’ai plus confiance en rien, tout est mauvais, laid et maléfique. Il est difficile de me convaincre qu’il y a ne serait-ce qu’une seule personne décente au pouvoir dans le monde.
Où cela me (nous) mène-t-il ? Il est difficile de répondre à cette question. Je sais que nous sommes plutôt bien lotis dans l’opulent Occident, l’Amérique du Nord « libre et courageuse ». C’est ainsi depuis un certain temps, et si vous n’êtes pas trop regardant, vous pouvez vivre une vie assez insouciante même si les asticots sont juste en dessous de la surface en train de ronger.
Bien sûr, vous serez confronté aux problèmes habituels (perte d’emploi, maladie, enfants turbulents), c’est une évidence, mais pour l’essentiel, si vous jouez bien vos cartes et suivez les règles, vous pouvez vous en sortir. À moins, bien sûr, d’être socialement marginalisé. Mais même dans ce cas, la situation est bien meilleure que par le passé et certainement meilleure que dans la plupart des autres régions du monde.
L’essentiel est donc d’ignorer les zones d’ombre (voir mon article « It’s All About the Story »), de se conformer à tout ce que « l’Homme » vous demande, et vous serez en sécurité. Lorsque vous aurez traversé la tempête (quelle qu’elle soit), vous pourrez reprendre votre vie agréable. Du plaisir, des jeux, de la nourriture, des voitures, des choses — beaucoup de choses. Le bonheur. Jusqu’à ce que, bien sûr, vous réalisiez que vous n’êtes pas vraiment heureux. Vous savez que vous devriez être heureux, mais vous ne l’êtes pas.
Inutile de dire que la vie heureuse est éphémère. Beaucoup d’entre nous ne le savent pas, pas encore, mais cela ne va pas durer longtemps. Il y a des dragons sur les bords, et nous nous dirigeons lentement vers le bord. Bien sûr, les dragons dont on nous dit qu’ils sont là (comme le changement climatique, la surpopulation, les pénuries de carburant, les pandémies, les vaches en trop grand nombre, etc.) ne sont pas les vrais dragons. Ce sont les dragons que l’agenda nous présente, et ils présentent ces dragons particuliers parce qu’ils les ont créés, et qu’ils ont donc une solution pour y faire face. Très fondamentalement, toutes les solutions qu’ils proposent se résument à créer un monde avec « moins de nous ».
Lorsque nous commencerons à mourir en masse (déjà des millions de morts en trop depuis 2020, et ce n’est pas à cause de la maladie qu’ils appellent Covid), ils nous diront qu’il y a une lueur d’espoir : moins de gens, c’est moins de dragons. Nous avons déjà été convaincus que nous sommes un cancer pour la planète. Et que nous devrions vraiment être éradiqués. Seuls les plus méritants devraient vivre. Ceux qui sont suffisamment riches pour obtenir les implants, les organes artificiels, la vie prolongée — les riches sont l’élite, la classe dirigeante. Les autres sont des mangeurs inutiles. Ils garderont quelques-uns d’entre nous pendant un certain temps parce que c’est probablement plus avantageux pour eux. Mais ceux d’entre nous qu’ils garderont seront au mieux des serfs, au pire des esclaves. Mais ces personnes seront prises en charge et seront heureuses.
La seule chose, c’est qu’elles ne seront pas heureuses. Les forces d’élite qui sont derrière tout cela ont avalé leur propre pilule. Elles pensent que tout ce qui rend un être humain heureux, c’est la richesse matérielle, la nourriture, le sexe, le divertissement, des objets, la santé et l’absence de souffrance. Elles ne pensent pas à l’âme et à ce dont l’âme a besoin pour être satisfaite et épanouie. Cela ne leur vient jamais à l’esprit. Selon eux, nous sommes des machines, et nous sommes des machines qui ne font l’expérience de la vie qu’à travers les sens. L’idée d’une âme est un mythe (voir les travaux de Noah Harari). Si nous gardons nos sens heureux et satisfaits, rien d’autre n’a vraiment d’importance. Lisez Le meilleur des mondes de Huxley pour en savoir plus à ce sujet… une vision brillante datant d’il y a près de 100 ans.
Ils vont donc nous installer dans des villes intelligentes, limiter nos déplacements, nos libertés et nos ressources, nous interdire de posséder quoi que ce soit et nous inonder de « choses » qu’ils nous loueront. Jeux, holodecks, drogues, sexe (porno — pas de sexe avec de vraies personnes, bien sûr, car nous pourrions confondre le sexe avec l’amour, et nous ne pouvons pas avoir cela, bien sûr) — tout cela sera abondant. Ils diront : « Vivez pleinement votre vie », « Soyez heureux ». Mais ils limiteront nos contacts avec les autres humains que nous aimons, ils limiteront nos sources de vénération, ils limiteront ou détruiront notre communauté, ils tenteront de détruire la nature. Mais ils penseront que rien de tout cela n’a d’importance.
Je suis presque certain que leur plan échouera. Qu’en pensez-vous ? Nous (ou je devrais dire beaucoup d’entre nous, si ce n’est la plupart — à l’exception de la plupart d’entre vous qui lisez ceci) jouerons le jeu pendant très longtemps. Comme nous le faisons manifestement en ce moment. Titiller les sens fonctionne toujours pendant un certain temps.
Les toxicomanes sont heureux au début, puis ils se ratatinent et meurent. Inévitablement, la satisfaction des sens matériels finit par se retourner contre eux. Mais malheureusement, beaucoup de gens souffriront avant de se rendre compte qu’ils se sont fait avoir. C’est alors qu’ils s’en rendront compte. Et lorsqu’ils le feront, la grande expérience de Dieu reprendra, cette fois avec une compréhension plus claire de ce qui donne un sens à la vie.
Todd Hayen PhD
Si cette nouvelle technologie nous est présentée comme un moyen de lutter contre le fléau des morts sur la route, la réalité semble toute autre. Imposée par les institutions européennes, cette nouvelle mesure semble être une volonté bien éloignée des simples questions sécuritaires.
Surveillance et contrôles renforcés
L’intégration de la reconnaissance faciale dans les véhicules ouvre la porte à une surveillance accrue des conducteurs. En reliant cette technologie aux systèmes de contrôle routier, l’État ou les entreprises privées pourraient avoir accès à des informations précises sur les déplacements de chaque individu.
Ce système pourrait être utilisé pour :
Traquer les habitudes de conduite : Chaque fois que vous montez dans votre véhicule, vos trajets seraient potentiellement suivis, enregistrés et analysés, créant un profil de vos comportements. Cette collecte de données soulève des questions sur leur exploitation à des fins commerciales ou gouvernementales.
Amendes automatiques : Si la reconnaissance faciale est couplée à un système de contrôle automatisé des infractions, cela pourrait mener à une gestion stricte et inflexible des infractions (excès de vitesse, utilisation du téléphone, etc.). Chaque comportement répréhensible pourrait être immédiatement enregistré et sanctionné, sans intervention humaine.
Criminalisation des comportements : Certains comportements bénins ou les oublis mineurs, comme le fait de ne pas attacher sa ceinture immédiatement, pourraient entraîner des amendes automatiques, exacerbant une logique de « zéro tolérance ». Ce type de contrôle rigide limite la flexibilité des interactions humaines.
Quel impact sur vos assurances ?
L’obligation de reconnaissance faciale pourrait transformer radicalement le secteur des assurances automobiles.
En effet, cette technologie permettrait aux compagnies d’assurance d’accéder à des données très fines sur votre conduite, modifiant ainsi la manière dont les contrats sont établis et les primes calculées.
Les conséquences possibles incluent :
- Tarification en fonction du comportement : En analysant en temps réel votre manière de conduire (vitesse, vigilance, respect du code de la route), les assureurs pourraient ajuster vos primes en fonction de votre « risque » estimé. Cela créerait une forme de discrimination algorithmique, où les conducteurs seraient pénalisés financièrement pour des comportements jugés « à risque ».
- Exclusions ou restrictions de couverture : Si le système identifie des comportements dangereux ou des infractions récurrentes, l’assureur pourrait choisir de restreindre votre couverture ou même de refuser de vous assurer. Les conducteurs n’auraient plus seulement à répondre de leurs accidents, mais également de leurs habitudes quotidiennes de conduite.
- Délégitimation de la vie privée : En collectant des données personnelles, comme l’état de fatigue ou la fréquence d’utilisation du véhicule, les compagnies d’assurance pourraient évaluer des éléments qui relèvent normalement de la sphère privée. Cela soulève des questions éthiques quant à la légitimité de cette intrusion dans la vie des assurés.
Risque de dérives autoritaires
En reliant cette technologie à d’autres bases de données (étatiques, fiscales, médicales), il deviendrait possible de croiser les informations sur les citoyens, facilitant le contrôle social.
Par exemple, des citoyens déjà fichés pour des opinions dissidentes ou critiques envers le gouvernement pourraient être davantage surveillés.
Les implications politiques incluent :
- Limitation des déplacements : En cas de non-respect de certaines réglementations (impôts, comportements « déviants », etc.), les autorités pourraient restreindre ou surveiller vos déplacements. Un système pourrait être mis en place pour vous empêcher de conduire (empêcher le véhicule de démarrer) ou limiter l’accès à certaines zones.
- Répression des opinions dissidentes : Tout comme pour les réseaux sociaux, où les comportements « non conformes » peuvent entraîner des sanctions (comme la suppression de comptes), la reconnaissance faciale dans les véhicules pourrait servir à réprimer les citoyens jugés indésirables, en leur imposant des restrictions de déplacement ou en multipliant les amendes pour des infractions mineures.
Conclusion
La reconnaissance faciale obligatoire dans les véhicules neufs pose donc des problèmes majeurs en termes de libertés individuelles.
Si elle continue à évoluer, cette technologie pourrait instaurer une forme de contrôle social sur le même modèle que la Chine, et une surveillance massive, bien au-delà de la simple sécurité routière. Étant donné que les médias nous vendent cette technologie comme quelque chose de bien, permettant d’éviter des morts sur les routes, beaucoup n’y voient aucun mal et sont même d’accord.
Mais comme on a pu le voir durant la crise sanitaire, notre santé est le cadet de leurs soucis !