Complotisme ? Non, c’est officiel !
Parmi les auteurs figurent Flávio Cadegiani, endocrinologue certifié par le conseil d’administration, et Pierre Kory, un spécialiste franc de la médecine pulmonaire et des soins intensifs, ainsi que président et médecin en chef de la Front Line Critical Care Alliance.
L’étude, publiée le 31 août dans le Cuerus Journal of Medical Science, a été menée via une étude observationnelle prospective d’une « population strictement contrôlée » de 88 012 sujets dans la ville brésilienne d’Itajaí.
« Les personnes qui prenaient de l’ivermectine comme médicament préventif avant l’infection COVID ont vu des réductions remarquables des hospitalisations ainsi que des décès, selon la publication. »
Parce que les décès excédentaires (par rapport aux moyennes annuelles) sont très difficiles à cacher pour les gouvernements, ces décès excédentaires apparaissent comme la preuve incontestable qu’ils sont dus aux « vaccins » Covid.
Steve Kirsch estime qu’une personne est actuellement décédée à cause des vaccins pour 1 000 doses administrées. Or, les chiffres officiels britanniques montrent qu’en réalité, ce sont plus de 2 personnes sur 1000 qui meurent dans le mois qui suit leur vaccination covid.
Maintenant que la saison des plages est à nos portes, un nouveau phénomène déchirant se produit : des vacanciers en bonne santé meurent d’une « urgence médicale » soudaine et inattendue.
Dans le monde entier, des plagistes s’effondrent en marchant sur la plage ou en se baignant. Beaucoup d’entre eux font des arrêts cardiaques et meurent. Le blogueur Tom Stahl rapporte : « Début juillet, en seulement 24 heures, au moins 11 vacanciers sont tombés morts sur des plages italiennes. » Combien d’autres cas se sont produits qui n’ont pas été rapportés dans les journaux ?
Le 17 juin 2022, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a prolongé de manière criminelle l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections d’ARNm Covid-19 pour une utilisation chez les enfants dès 6 mois.