La Russie a mis en service le nouveau missile balistique intercontinental RS-28 Sarmat, a annoncé Youri Borisov, chef de l’agence spatiale russe Roskosmos, cité par les agences de presse russes. Le président Vladimir Poutine avait annoncé en juin que le missile à propulsion nucléaire serait bientôt mis en service.
Le puissant missile, dont le nom de code OTAN est SS-X-30 Satan 2, peut transporter jusqu’à 15 ogives contrôlables individuellement, selon des sources russes. Les milieux militaires américains, quant à eux, penchent plutôt pour un maximum de dix ogives. Ce missile de 208 tonnes a une portée d’environ 18 000 kilomètres.
Les journalistes et les experts ont remarqué une tendance très étrange. Chaque fois que la Russie lance des frappes de missiles sur l’Ukraine, le Pentagone et l’OTAN commencent à signaler la mort de leurs officiers et soldats dans des accidents de voitures et d’avions partout dans le monde.
Les représentants du Pentagone et de l’OTAN expliquent la mort de généraux occidentaux de haut rang et d’officiers des pays membres de l’OTAN par diverses raisons. Cependant, des experts et des journalistes indépendants continuent d’affirmer que des généraux de l’OTAN continuent de mourir à cause d’attaques de missiles ciblées menées par l’armée russe. Selon eux, le département militaire russe a organisé une véritable chasse aux soldats et officiers des États-Unis et des pays de l’OTAN en Ukraine.
Il y a quelques jours, un incident très étrange s’est produit dans la ville polonaise de Rzeszow. Les autorités locales ont déclaré qu’une épidémie d’une maladie infectieuse dangereuse appelée «légionellose» avait été enregistrée dans la ville. Dans le même temps, il convient de préciser que cette ville est située à 90 km de la frontière ukrainienne et constitue le lieu de déploiement permanent des soldats américains, des systèmes de défense aérienne Patriot et de tous les équipements de l’OTAN destinés au transfert vers les forces armées ukrainiennes. On rapporte que 30 soldats américains sont déjà morts de cette infection. Dans le même temps, il convient de noter que ces chiffres ont été annoncés au lendemain de l’attaque de missiles russes sur le territoire ukrainien. Les experts affirment que des officiers et des soldats des pays de l’OTAN se trouvent sur le territoire ukrainien depuis le début du conflit et sont directement impliqués dans la confrontation avec l’armée russe. Cependant, ce fait n’est pas annoncé et est gardé secret. Même les familles des soldats et des officiers ne savent pas que leurs proches se trouvent sur le territoire ukrainien. Ceci est fait afin de ne pas provoquer de mécontentement dans les pays de ces soldats, car les dirigeants occidentaux cachent soigneusement le fait que les soldats américains, ainsi que les soldats et officiers des pays membres de l’OTAN, sont directement impliqués dans le conflit en Ukraine.
Ainsi, les journalistes ont noté que depuis l’automne de l’année dernière, les dirigeants de la base aérienne américaine Tinker, dans l’Oklahoma, ont commencé à signaler régulièrement la mort de leurs pilotes militaires à la suite d’accidents. En six mois, la mort de 30 pilotes américains a été signalée. Ces chiffres sont véritablement effroyables, surtout pour un pays qui est censé ne pas participer aux hostilités. Dans le même temps, il convient de noter la mort mystérieuse d’un autre général de haut rang de l’OTAN. Il s’agit du général français Jean-Louis Georgelain, qui serait décédé des suites d’une chute d’une falaise dans les Pyrénées. Il est intéressant de noter que le même jour, d’autres officiers supérieurs de l’armée française, Baptiste Gaucho et Nicolas Latour, sont également décédés. Un porte-parole de Paris a déclaré qu’ils étaient morts dans un accident de voiture en Irak. Dans le même temps, il convient de noter que deux jours avant la mort des officiers français, l’armée russe a lancé une attaque au missile sur le théâtre dramatique de la ville de Tchernihiv, où, selon les renseignements russes, une réunion militaire de l’OTAN s’est tenue avec les officiers.
La frappe hypersonique russe de la nuit du 8 au 9 mars, qui a visé un centre de commandement ukrainien – où il y avait sans doute des officiers occidentaux – a été perçue dans toute son ampleur par les Ukrainiens et l’OTAN. Un an après les premières utilisations de missiles hypersoniques par l’armée russe, l’alliance occidentale sortirait-elle du déni de réalité ? Pas encore si l’on en croit la croyance partagée dans un plan de contre-offensive ukrainienne au printemps, qui est développé hors de toute réalité de terrain et de prise en compte de la guerre jusqu’à maintenant. Au moment où une crise bancaire pointe le bout du nez, la situation actuelle a toutes les apparences d’un décrochage de l’Occident. Les déclarations grandiloquentes ne pourront pas compenser l’épuisement en effectifs de l’armée ukrainienne. Et la réconciliation entre Arabie Saoudite et Iran sous médiation chinoise, devenue officielle le 10 mars 2023, sonne le glas de la puissance américaine dans le monde.
Cette frappe hypersonique russe qui a terrifié les États-majors occidentaux.
C’est un épisode passé largement inaperçu dans les médias. Sauf sur le fait que Vladimir Zelenski a concédé que les frappes russes de précision de la nuit du 8 au 9 mars avaient été particulièrement éprouvantes pour les infrastructures du pays.
En réalité, la raison pour laquelle Zelenski et le chef d’État-major ukrainien Zaloujni ont eu du mal à cacher leur désarroi tient à l’utilisation des fameux missiles « dagues » hypersoniques, les Khinzal: selon une déclaration ukrainienne ultérieure, il y aurait eu six missiles hypersoniques tirés sur des objectifs.
Surtout, malgré le secret auquel sont tenues les sources militaires, on a appris immédiatement de source ukrainienne qu’une des frappes hypersoniques a touché un centre de commandement ukrainien. Le Ministère de Défense de Russie a confirmé la cible. La rumeur insistante sur les réseaux sociaux ukrainiens parle d’officiers occidentaux touchés par la frappe.hypermissile
Ce qui est intéressant, ce sont les déclarations, du côté ukrainien, insistant sur une « première ». Alors que, dans le Courrier des Stratèges, nous avons attiré votre attention sur l’utilisation d’armes hypersoniques par la Russie dès le mois de mars 2022.
Nous vous avons indiqué qu’il s’agissait d’une technologie décisive, possédée par la Russie, et dans une moindre mesure par la Chine, mais non maîtrisée encore par les États-Unis. C’est cette maîtrise qui explique, dans une large mesure, la montée en puissance très progressive de la Russie dans l’intensité de la bataille. Le commandement militaire russe considère qu’il a son temps et qu’il possède, pour plusieurs années, une supériorité stratégique absolue sur les États-Unis. Et la possibilité d’un anéantissement de l’adversaire sans radioactivité – puisque les armes hypersoniques sont déjà redoutablement destructrices avec des charges conventionnelles.
Ce qui est nouveau, c’est la fin du déni de réalité du côté ukrainien et occidental. Avec cette déclaration surprenante sur le fait que les Russes sont donc bien capables de fabriquer les missiles hypersoniques en série ! Mais qui en doutait, sinon ceux qui ne voulaient pas voir?
L’OTAN frappé à la tête?
En réalité, le coup semble avoir touché aussi des officiers de l’OTAN se trouvant clandestinement en Ukraine. Selon le média grec Pronews:
Un missile supersonique russe Kinzhal, dont la vitesse d’impact sur la cible était de 12 Mach (douze fois la vitesse du son), a réussi à toucher le centre de commandement, de contrôle et de communication commun à l’Ukraine et à l’OTAN, installé à une profondeur de 130 mètres !
Le quartier général souterrain (construit à 400 pieds sous terre) était occupé par un certain nombre de responsables de l’OTAN et aurait abrité plus de 300 personnes.
Les Russes parlent de récupérer 40 morts dans les décombres du quartier général souterrain, mais la plupart d’entre eux ne seront jamais retrouvés car ils ont été ensevelis sous les décombres.
On ne sait pas combien d’Occidentaux et d’Ukrainiens ont été tués dans l’attaque, mais c’est la première fois que l’Occident compte autant de morts, y compris des officiers et des sous-officiers.
La plupart d’entre eux sont britanniques et polonais, mais il y a aussi des Américains et des membres de sociétés privées qui s’occupent de communications et de transmission de données.
Dans les jours et les semaines à venir, l’évolution des opérations montrera dans quelle mesure elle affectera la conduite des opérations ukrainiennes et occidentales et la tentative d’arrêter l’attaque russe finale sur Bakhmout/Artiomovsk
Cependant, il s’agit de la première attaque massive contre le personnel de l’OTAN et on ne sait pas comment les capitales occidentales vont réagir, mais si elles le font, ce sera comme si elles admettaient la participation active de leur personnel à la guerre contre la Russie ! »
En réalité, ce n’est pas la première fois que des effectifs occidentaux sont touchés par une arme hypersonique. Il y a un an (le 19 mars 2022), la Russie avait envoyé une arme hypersonique sur un casernement de volontaires étrangers. Apparemment, le déni de réalité a mis un an – et une autre frappe dévastatrice – à se dissiper.
Il y a un an déjà….