Découvrez ici l'interview du réalisateur de ce film, Bernard Crutzen, producteur de films indépendant belge. Dans son interview, il explique ce qui l'a poussé à réaliser le documentaire "Ceci n'est pas un complot", comment les grands médias et le public ont réagi, quels obstacles il a rencontré, et comment nous pouvons légitimement retrouver nos libertés perdues.
Clément a transitionné d'homme à femme pendant quelques mois. Constatant qu'il avait pu être fortement influencé, il a décidé de revenir en arrière en arrêtant ses traitements hormonaux et d'accepter en tant qu'homme la part de féminité de sa personne. Il décrit l'endoctrinement du milieu LGBT sur la question de la transidentité et du manque de jugements de certains médecins face à la dysphorie de genre. Vous pouvez trouver d'autres témoignages dans cette vidéo.
« Être transgenre ce n'est pas que haïr son corps, c'est aussi haïr son sang, haïr son peuple, ...[...] l'idéologie trans est mortifère, elle veut tout détruire »
« Le gouvernement interdit que des médecins puissent dire qu’ils aient pu soigner des patients du covid. Quel est le but de tout ça ? Je ne sais pas, mais cela a des conséquences dramatiques. »
Voici les premières lignes de ce témoignage : En février 2021, j’ai reçu une injection du vaccin Moderna en fin d’après-midi. Quatre jours et demi après l’injection de vaccin, tôt matin, pendant six heures, j’ai, à l’âge de 63 ans, eu des troubles importants de la parole (dysarthrie) constatés par au moins une vingtaine de personnes. Le surlendemain, un accident vasculaire cérébral (AVC, une zone de nécrose) dans le cervelet a été visualisé à la résonance magnétique (IRM), compatible avec mes troubles de dysarthrie.
Face à ces effets secondaires, Jimmy Dore a demandé, via tweeter, si d'autres avaient les mêmes problèmes. C'est alors qu'il a été qualifié d'anti-vax, il dénonce les utilisateurs des réseaux sociaux comme instrument de pouvoir, une sorte d'auto-censure du peuple par le peuple...