Deux choses rendent actuellement le pouvoir des élites occidentales bien plus absolu que celui de la monarchie absolue de l'Ancien régime, qui a toujours dû faire front à de puissants adversaires intérieurs et extérieurs, sauf peut-être sous Louis XIV qui, échaudé par l'expérience de la Fronde, a réussi à les contrôler, du moins dans la première partie de son long règne. Il s'agit, comme nous le savons tous, des progrès techniques et de l'affaiblissement physique, psychologique et spirituel des populations occidentales qui préfèrent désormais les pétitions aux barricades.
N'y a-t-il alors aucun espoir de retrouver notre liberté et notre prospérité, ni même d'en préserver les derniers restes ?
Eh bien, comme les populations ont accepté, avec la mondialisation, d'être gérés comme des troupeaux d'animaux par des milliardaires aussi cupides que cyniques, à travers donc l'UE, l'ONU, l'OTAN, l'OMC, l'OMS, le FMI, la Banque mondiale, le Vatican, etc., etc. et leurs relais nationaux, nous ne pouvons plus compter, à mon sens, pour nous débarrasser de nos oppresseurs, que sur deux facteurs, tous les deux hors de notre contrôle : l'émergence de conflits destructeurs entre ces élites qui les affaibliraient pendant que la perte de notre niveau de vie, de notre sécurité et de nos libertés réveillerait des populations appauvries.
En lisant l'Histoire de France de Jacques Bainville, on se rend compte que la France aurait pu ne jamais exister et/ou disparaître à de nombreuses reprises, mais que, au cours des siècles, les Français se sont presque toujours battus contre l'oppression. Le livre est paru une dizaine années après la boucherie de la Grande Guerre (1914-1918) et il se termine par ce constat qu'on pourrait appliquer à notre époque en changeant simplement le mot guerre pour mondialisation :
« On peut remarquer que partout en Europe, dans les pays éprouvés par la guerre, les gouvernements ont perdu pied. Extrême est la confusion des idées. Pleins pouvoirs, dictature, ce sont des mots qui n'effraient plus ou des choses qui semblent naturelles, tandis que partout sont affichées les noms de République ou de démocratie. »
Mais pour Bainville, en 1924, rien n'était perdu, car l'histoire montre que la France s'était toujours relevée. Son livre se termine d'ailleurs sur ces mots :
« Après toutes ses convulsions, parfois plus violentes qu'ailleurs, elle ne tarde pas à renaître à l'ordre et à l'autorité dont elle a le goût naturel et l'instinct. Si l'on n'avait pas cette confiance, ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants ».
Faut-il en conclure que c'est parce que les Français n'ont désormais plus confiance dans la capacité de redressement de la France, ni dans sa pérennité, qu'ils n'ont plus d'enfants ? Personnellement, je crois qu'il n'y a plus de nationalisme en France aujourd'hui, les gens se moquent d'être Français ou pas, ce qu'ils veulent, c'est une vie agréable et sereine. Peu leur importe sous quel régime ou quelle bannière. Je viens d'entendre sur BFMTV, la voix de son maître, Bruno Retailleau, l'impuissant et médiocre ministre de l'Intérieur et candidat à la présidence de la république, expliquer qu'« être Français, c'est aimer la France », un peu, sans doute, comme on aime le chocolat...
Mais le problème justement, c'est que la vie des populations occidentales est loin d'être agréable et sereine, dans des États où des élites, que les richesses et le pouvoir ont rendu folles, contrôlent les populations par la peur, la propagande, la privation, la dette.
Et donc j'en reviens à ce que je disais précédemment, notre seul espoir, c'est que les tyrans qui nous oppriment se déchirent entre eux. Et cela est justement en train de se produire.
Une partie du système se retourne contre l'autre
Philippe Grasset qui est un fin connaisseur des États-Unis, note, avec satisfaction, dans un article intitulé « Le Système contre le Système à 180° » que les États-Unis de Trump se sont retournés avec force contre le double standard de l'UE qui se débarrasse de ses opposants, le RN en France, Droit et Justice (PiS) en Pologne, ou l'AFD en Allemagne, et s'ingère dans les élections d'autres pays, comme en Roumanie et ailleurs :
« Le Grand Tournant des trumpistes-populistes, ce n'est pas tant le foutoir de l'Ukraine et autres joyeusetés, mais en réalité le développement de cette guerre civilisationnelle dont nous parlons souvent. S'il y a bien un domaine où l'administration Trump marche bien cela depuis le fameux discours de JD Vance à Munich en février, c'est l'attaque nouvelle, complètement renversée à 180° contre cette politique Système [système politique] des néoconservatrices, et cela, à l'aide de la "politique Système des néocons".
Bref, et sans grande originalité, la conversivité selon Sun Tzu : retourner contre lui la force de l'adversaire... »
Philippe Grasset, qui s'étonne au passage « de se retrouver pro-américain, en cet instant, applaudissant à la manipulation américaniste de l'espèce-UE de nos dirigeants », n'est pas aussi optimiste que Bainville. Pour lui : « Tout cela doit se terminer en autodestruction et il en sera ainsi ». Il est vrai que dans le cas de Bainville, l'autodestruction était déjà consommée et il ne restait plus qu'à se relever...
Il est difficile de savoir si les États-Unis vont vraiment se libérer de l'idéologie globaliste et son cortège de totems mortifères (wokisme, climatisme, LGBTisme, immigrationnisme, technicisme, transhumanisme, malthusianisme, etc.), comme elle semble le faire en ce moment, mais ce dont on peut être sûr, c'est que pour nous, en Europe, les choses vont empirer, car pour compenser sans doute la « trahison » de l'administration Trump, l'UE et les marionnettes despotiques portées par l'oligarchie à la tête de nos pays se dépêchent d'instaurer une dictature fascisante sur des États européens où tout est déjà largement verrouillé pour empêcher toute contestation.
Tout le monde le voit, sauf la petite bourgeoisie, de tout temps l'instrument inconscient du fascisme, comme le souligne Régis de Castelnau sur Vu du droit. Les lois liberticides et destructrices (15 vaccins pour les bébés, euthanasie pour tous, éoliennes partout) s'accumulent ; la censure est partout, comme vient de le dénoncer Pavel Durov, qui avait déjà été arrêté en France, en septembre 2024, pour le forcer à supprimer les voix dissidentes de Telegram ; un bellicisme dangereux tient lieu d'épine dorsale à des dirigeants téléguidés ; les impôts augmentent sans cesse pour les classes laborieuses et les milliardaires s'enrichissent à toute allure ; il n'y a plus de services publics ; les menaces et les interdictions pleuvent ; on baisse désormais la voix pour critiquer le gouvernement comme dans toutes les dictatures ; le chaos et la misère s'installent.
Que faire ?
Pour toutes les raisons que j'ai dites, il ne semble pas possible, pour le moment, de renverser les maîtres absolus et sans scrupules qui ont décidé de tout détruire, y compris nous, pour instaurer leur totalitarisme réinventé, comme Macron l'a lui-même avoué en avril 2023, à propos de l'hôpital : « C'est plus dur de le réinventer quand tout n'a pas été détruit ».
Il ne reste plus, dans ce contexte délétère et hostile, qu'à protéger, le mieux possible, notre vie, nos moyens de subsistance et notre santé physique et mentale.
Beaucoup de monde y réfléchit et certains ont déjà commencé à le faire depuis longtemps en construisant des bunkers contre les bombes atomiques ou autres catastrophes, en apprenant à survivre dans la nature et à se défendre, comme les survivalistes, en créant des communautés où on réapprend la solidarité, le partage, le respect de soi-même, de la vie et des autres.
Attention Spoiler
Un excellent film étasunien de Jeff Nichols, « Take shelter », est sorti en 2011. Curtis, le héros du film, est certain que les éléments vont bientôt se déchaîner et décide de construire un abri souterrain. On peut penser, au début, avoir affaire à un énième film de propagande sur le climat, mais on comprend vite qu'il n'en est rien. Au contraire, le fait que la peur des changements climatiques, une des nombreuses menaces inventées pour servir des intérêts économiques et faire tenir tranquille les populations, soit extrêmement forte et répandue, accentue le côté dramatique du film. On est en effet surpris que, malgré la puissance de l'idéologie climatique, Curtis se retrouve seul contre tous quand il décide de construire un abri anti-cyclone. Tout le monde le croit fou, obsédé, sa femme y compris. Malgré cela, il s'entête et refuse même de s'éloigner de son abri. Hélas, sa femme finit par le convaincre de partir avec elle et leur fille au bord de la mer, et là, arrive ce qu'il avait prévu : ils sont engloutis par un tsunami.
À mon avis, le film cherche à nous dire plusieurs choses. La première est qu'on a beau se préparer au maximum, le danger vient rarement de là où on pensait. La seconde est que dans les périodes de danger, il faut se resserrer sur un petit groupe de proches et d'amis qui partagent notre vision des choses. La troisième, c'est que sans force intérieure, on ne résistera pas aux pressions exercées par la société, ni à fortiori aux épreuves. La quatrième, c'est que si on ne peut pas compter les uns sur les autres, si on n'est pas solidaires, on n'a aucune chance de survivre.
On peut tirer les mêmes enseignements de l'opération Covid, qui a sans doute été lancée dans le but d'imposer un gouvernement mondial à des populations déstabilisées par la peur d'une soi-disant pandémie soi-disant mortelle, alimentée par tout un ensemble de mesures démentes et contradictoires prises soi-disant pour nous protéger.
Les Gaulois, réfractaires, comme dit Macron, à la dangereuse injection, se sont souvent retrouvés seuls comme Curtis, et ont été traités de fous et de complotistes, le terme à la mode pour discréditer tout opposant à la Caste. Comme Curtis, beaucoup ont cédé aux pressions de l'État et de l'entourage.
Mais ceux qui ont pris l'habitude de penser et de s'informer par eux-mêmes, ceux qui se connaissent eux-mêmes et connaissent leur environnement, ceux qui ont développé une relation assez forte avec eux-mêmes et la nature pour supporter la solitude et l'opprobre sans céder à la haine, ceux qui savent que les autorités occidentales actuelles sont loin de nous vouloir du bien, ceux qui se rendent compte de la corruption incroyable qui touche la soi-disant science et tous les secteurs de la société, ceux qui se sont forgés des convictions et qui ont développé une bonne capacité de résistance et une grande force d'âme, ceux-là ne se sont jamais laissé injecter le poison lucratif, la marque des esclaves.
Eh bien, ce sont ceux-là, et ceux qui suivent leur exemple, qui ont des chances de survivre et d'aider d'autres à survivre au désastre provoqué par des élites autodestructrices, prêtes à tous les crimes pour se maintenir au pouvoir. Elles entraînent le monde occidental dans une nouvelle ère de ténèbres comme dit Chris Hedge, symbolisée, à mes yeux comme aux siens, par le soutien de l'Occident au génocide israélien des Palestiniens, pendant que le reste du monde retrouve la souveraineté, la stabilité et la prospérité sous la houlette des BRICS.
Lorsque j’étais enfant, très peu de gens pensaient à ce genre de choses. En fait, ce n’est qu’à l’âge adulte que j’ai entendu les mots « prepper » ou « prepping » (en bref survivalisme, ndlr). Mais aujourd’hui, tout a changé.
Des millions d’Américains dépensent d’énormes sommes d’argent pour se préparer à des scénarios apocalyptiques qui, selon eux, risquent fort de se produire dans un avenir proche. Selon Investopedia, environ 20 millions d’Américains se considèrent aujourd’hui comme des preppers…
La préparation à l’apocalypse est devenue un véritable domaine d’investissement, les experts estimant la croissance annuelle moyenne du secteur de la survie à plus de 7 % jusqu’en 2030. Quelque 20 millions d’Américains se considèrent aujourd’hui comme des « preppers », soit à peu près la taille d’États entiers tels que New York.
Il s’agit d’une part importante de notre population.
Et ils dépensent beaucoup d’argent.
Une enquête récente a révélé que les dépenses en matériel de préparation ont atteint environ 11 milliards de dollars au cours d’une période récente de 12 mois…
L’enquête a révélé que, collectivement, les preppers ont dépensé environ 11 milliards de dollars au cours d’une période de 12 mois. Selon l’enquête, les preppers ont tendance à vivre dans l’ouest des États-Unis et dépensent le plus d’argent pour des produits de base tels que la nourriture, l’eau et le papier hygiénique.
Alors que notre société s’effondre autour de nous, plus d’Américains que jamais sont déterminés à atteindre au moins un certain niveau d’autosuffisance tant qu’ils le peuvent encore.
Des personnes de tous les horizons politiques et de tous les milieux se préparent fébrilement à un avenir très sombre.
Bien entendu, il n’y a pas de consensus général sur ce à quoi ressemblera cet avenir très sombre.
Dans cet article, je vais traiter spécifiquement de la manière de se préparer à la vie dans un monde post-apocalyptique. De nombreux preppers se préparent à des scénarios beaucoup moins extrêmes. Le type de scénario dont je parle dans cet article est une situation où toutes nos principales institutions ne fonctionnent plus et où la société telle que nous la connaissons s’est totalement effondrée.
Cela signifie que les éléments de la liste que je m’apprête à partager avec vous ne seront pas nécessaires dans l’immédiat. Mais si un événement apocalyptique ou une série d’événements apocalyptiques met soudainement fin à notre société, vous en aurez certainement besoin.
J’imagine une époque où les chaînes d’approvisionnement ne fonctionneront plus et où il n’y aura plus rien à acheter dans les magasins.
Et comme les chaînes d’approvisionnement ne fonctionneront pas, vous n’aurez pas accès à l’essence ou au propane.
Je n’ai donc inclus dans ma liste aucun article dépendant de l’essence ou du propane.
N’oubliez pas non plus que cette liste n’est pas exhaustive et qu’elle ne représente que le strict minimum dont vous aurez besoin.
Il existe d’innombrables autres éléments que vous pourriez ajouter à cette liste, mais pour cet article, j’ai voulu me concentrer sur les éléments de base.
Ceci étant dit, voici une liste de 24 choses dont vous aurez désespérément besoin dans un monde post-apocalyptique…
#1 Des aliments d’urgence pour nourrir votre famille
#2 Un système de filtration de l’eau pour nettoyer l’eau
#3 Une barre de fer pour allumer un feu
#4 Une trousse de premiers soins complète pour les urgences sanitaires
#5 Une réserve d’antibiotiques en cas d’urgence
#6 Un outil multiple comprenant des pinces, un couteau, une scie et un tournevis
#7 Un générateur à énergie solaire
#8 Une lampe de poche solaire
#9 Une radio d’urgence à ondes courtes pour rester informé
#10 Un équipement de pêche
#11 Des graines pour planter un jardin
#12 Un poêle à bois
#13 Une hache pour couper le bois
#14 Une pelle de qualité
#15 Paracord
#16 Duct tape
#17 Un ouvre-boîte à manivelle
#18 Une veste d’hiver très chaude pour chaque membre de votre famille
#19 Un sac à dos durable pour chaque membre de la famille
#20 Une boussole
#21 Une bonne paire de jumelles
#22 Des couvertures en laine
#23 Une Bible
#24 Un moyen de protéger tout ce que vous avez stocké des hordes de maraudeurs qui voudront désespérément vous le prendre.
Dans un scénario post-apocalyptique, combien de temps pensez-vous pouvoir tenir ?
Dans toute situation de survie, il y a quatre grands domaines qui doivent toujours être abordés : la nourriture, l’eau, l’énergie et l’abri.
Bien entendu, beaucoup ajouteraient la sécurité à cette liste.
Dans un monde devenu complètement fou, nombreux sont ceux qui sont prêts à faire tout ce qu’il faut pour rester en vie.
Si vous vivez dans une région à forte densité de population, il peut devenir presque impossible de survivre, quelle que soit la quantité de préparation que vous avez effectuée à l’avance. Lorsque les choses se gâteront, vous voudrez fuir vers une zone moins densément peuplée, si cela est possible.
De nombreuses personnes me demandent des conseils en matière de préparation, et j’ai donc essayé de couvrir certaines des bases les plus essentielles dans cet article.
Mais bien sûr, ce que j’ai partagé ici n’est que la partie émergée de l’iceberg. Se préparer correctement à ce qui va arriver demande énormément de temps, d’efforts et d’énergie, et l’heure tourne…
Dans ce graphique, Marcus Lu, de Visual Capitalist, a visualisé les données du Global Footprint Network pour voir le nombre de Terres nécessaires pour soutenir une population mondiale qui vivrait comme les Américains, les Allemands, etc.
Données et méthodologie
Les données utilisées pour créer ce graphique sont énumérées dans le tableau ci-dessous. Les chiffres ont été publiés en 2022 (avec les données de 2018).
Ces estimations sont basées sur l’empreinte écologique de chaque pays, qui est mesurée en hectares globaux (gha).
Elle représente la quantité de terres et d’eau biologiquement productives dont une population a besoin pour produire toutes les ressources qu’elle consomme et pour absorber les déchets qu’elle génère, en utilisant les technologies courantes.
Principaux enseignements de ces données
Les données présentées dans ce graphique mettent en lumière l’impact des différents pays sur la planète.
Les pays qui dépassent leur biocapacité respective sont appelés « débiteurs de biocapacité« . Cela signifie que le pays importe de la biocapacité nette par le biais du commerce, qu’il liquide des actifs écologiques nationaux ou qu’il émet plus de déchets de dioxyde de carbone dans l’atmosphère que ses propres écosystèmes n’en absorbent.
Les pays qui ont un excédent écologique, en revanche, sont appelés « créanciers de biocapacité ». Si tous les habitants de la planète vivaient comme ces pays, nous aurions besoin de moins de Terres et non de plus de Terres.
Jour du dépassement de la Terre
Un autre concept intéressant est le « Jour du dépassement de la Terre » (Earth Overshoot Day), qui marque le moment où la demande de l’humanité en ressources écologiques au cours d’une année donnée dépasse ce que la planète peut régénérer au cours de cette même année. En 2024, le jour du dépassement tombera le 1er août.
« Le manuel de la vie sauvage ou revivre par la nature » empreint d'un profond humanisme et d'un amour fou pour tout ce qui vit, peut être considéré comme une véritable bible de survie. Il nous permet, dès aujourd'hui, de nous initier progressivement à la vraie vie, selon les lois de la Nature (et de notre nature), dans le respect de toute la création, dans l'économie et donc dans la générosité. Un ouvrage à deux niveaux : trucs, recettes, idées, conseils, techniques pour tous les aspects d'une vie dans la nature; poésie, humanisme, amour, dignité de l'homme que ce dernier devrait s'efforcer de retrouver.
Dans notre pauvre monde en perdition , si l'apocalypse advenait - à juste titre car la disharmonie est insupportable - avec sa cohorte de famines, épidémies, guerres, cataclysmes... ce manuel de la vie sauvage pourrait certainement nous aider à sauver ce qui pourra l'être encore et, dès maintenant, il peut nous permettre de prévenir ces catastrophes et nous acheminer vers l'harmonie - salut de nos enfants et de tout ce qui vit dans la complicité et le don de soi, dans l'Amour.
Vous y découvrirez et apprendrez mille et une choses utiles - voire indispensables - au fil de ses 13 parties, dont voici quelques aspects (nous ne pouvons reproduire ici les 12 pages de table des matières !) :
1. Comprendre le temps : l'astronomie, compter et mesurer le temps, les prévisions météorologiques (traditionnelles, empiriques et techniques), connaître les climats, les nuages, construire des instruments météorologiques simples, etc.
2. Marcher et s'orienter : de jour comme de nuit, construire une boussole, lire une carte, s'équiper pour un déplacement, trouver le Nord, se défendre, s'abriter, nager, construire un radeau, grimper, se repérer, etc.
3. Se chauffer : allumer et construire un feu dans n'importe quelles conditions, les matériaux à utiliser, les divers types de feux de plein air, couper et abattre, chauffer son logis. faire son charbon de bois, etc.
4. Boire et trouver l'eau : la rendre potable, la filtrer, la stocker, reconnaître les sols, la radiesthésie, creuser un puits, drainer, irriguer, construire une pompe, etc.
5. Cueillir : identifier et récolter les plantes sauvages, les conserver, connaître leurs multiples usages (nutritifs, à huile, mellifères, à farine, textiles, à savon, à papier...), les champignons. cultiver le champignon de couche, etc.
6. Cuisiner : notions essentielles de diététique, le jeûne, quelques recettes importantes, cuisine et feux de plein air par tous les temps, etc.
7. Conserver : les méthodes de conservation suivant chaque catégorie d'aliments, à long ou à court terme, les boissons fermentées et non fermentées, etc.
8. Apprivoiser, ou chasser et pêcher : hébergement et nourriture des animaux domestiques, sauvegarde des animaux dits sauvages, tout sur les pêches en eau douce et en mer, le matériel, les diverses formes de chasses, pièges, armes rudimentaires ou sophistiquées, quelques gibiers, etc.
9. Se loger : les constructions simples et de type sauvage, abris de survie en pleine nature, igloo, tipi, grottes, tentes simples, techniques et matériaux de construction, maçonneries, charpentes simples, outillage, etc.
10. Fabriquer : se vêtir (couture, tricot, crochet, tissage, laine, costumes simples), autres artisanats (macramé, vannerie, verre...), la menuiserie (outils, affûtage, assemblages de base...). le travail du métal (outillage, construction d'une forge...), les nœuds, fabrications diverses d'une multitude d'objets nécessaires et utiles, etc.
11. Replanter : techniques de l'agriculture biologique (compost, fertilisants naturels, couches et châssis, semis, associations, culture, potager...), le reboisement et son utilité (haies, arbres, replantations...), greffes et boutures, etc.
12. Soigner et sauver : les principaux accidents et comment les traiter (plaies, brûlures, entorses, fractures, asphyxie, morsures, empoisonnements, accouchement...), notions de secourisme indispensables, le transport des blessés, la noyade, l'incendie, les médecines douces, etc.
13. Se nourrir subtilement : l'air, la lumière, le silence, la musique, la créativité, la spiritualité, l'amour sensuel et universel, etc.
Autant de questions (et bien d'autres !) auxquelles ce guide pratique répond, et dont les solutions sont là pour nous initier progressivement à une existence adulte, responsable, autarcique, altruiste, dans la joie et le respect de nous-même, des autres et de notre environnement.
Un livre à lire, à méditer, à pratiquer, à faire lire autour de soi - et surtout à nos enfants car ce sont eux qui feront peut-être de l'enfer que nous leur léguons aujourd'hui un paradis pour demain ? ...
Télécharger gratuitement « Le manuel de la vie sauvage ou revivre par la nature » : http://www.aryanalibris.com/index.php?post/Saury-Alain-Le-manuel-de-la-vie-sauvage
Aussi riches qu'ils soient, tous ces gens vont mourir dans d'horribles souffrances, par ce qu'ils n'ont pas d'empathie, pas de spiritualité, ce sont des matérialistes athés, et ils devraient toutes et tous lire Jean....
En tant qu'humaniste qui écrit sur l'impact de la technologie numérique sur nos vies, on me prend souvent pour un futurologue. Les personnes les plus intéressées à m'engager pour mes opinions sur la technologie sont généralement moins préoccupées par la création d'outils qui aident les gens à vivre mieux dans le présent que par l'identification de la prochaine grande chose qui leur permettra de les dominer dans le futur. Je ne réponds généralement pas à leurs demandes. Pourquoi aider ces types à ruiner ce qui reste de l'internet, et encore moins la civilisation ?