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mascarade des élections EU

VoltairenetL’élection du Parlement européen : une onéreuse mascarade

Voltairenet - 15 de maio de 2024

Les élections européennes servent à montrer que l’Union européenne est démocratique puisqu’elle organise des élections. Bien sûr, ce Parlement n’a pas du tout les attributs des parlements nationaux.

   

Dans la réalité, il ne sert presque à rien… sauf à être élu. Il coûtera durant sa mandature 15 milliards d’euros, non compris le prix de l’élection.

L'élection du nouveau Parlement européen se tiendra du 6 au 9 juin selon les États membres. Les parlementaires n’auront qu’un pouvoir très limité : ils votent les lois rédigées par la Commission. Depuis sa création, celle-ci n’est que la courroie de transmission de l’Otan dans les institutions européennes. Elle s’appuie à la fois sur le Conseil des chefs d’État et de gouvernement et sur le patronat européen (BusinessEurope). Les parlementaires disposent en outre d’un pouvoir de résolution par lequel ils expriment des avis à la majorité simple, sans que personne ne les lise, ni ne leur donne de suite. La majorité actuelle étant atlantiste, tous ces avis reprennent la logorrhée de la propagande de l’Otan.

Traditionnellement, ces élections servent de défouloir dans les différents États membres. Les Exécutifs les craignent donc et suscitent une multiplication de listes alternatives sur les territoires de leurs concurrents. En France, où la législation sur le financement des campagnes est très restrictive, l’argent que les États-Unis et l’Élysée injectent dans ces campagnes provient prioritairement d’États étrangers (généralement africains) et des imprimeurs des candidats. Cette stratégie conduit à une impressionnante multiplication des listes : déjà 21 en France et 35 en Allemagne !

Si les élections sont toujours de liste, chaque État dispose de son propre mode de scrutin. Dans la plupart des cas, il s’agit de listes bloquées comme en Allemagne et en France. Dans certains autres, de listes transférables : chaque poste à pourvoir est élu un à un (ce qui diminue le rôle des partis tout en conservant le côté proportionnel), comme en Irlande et à Malte. Dans d’autres cas, les électeurs peuvent modifier l’ordre de la liste qu’ils choisissent, comme en Suède et en Belgique. Ou encore, comme au Luxembourg, ils peuvent choisir des candidats dans différentes listes. Chacun de ces modes de scrutin a ses avantages et ses inconvénients, mais chacun ne mesure pas la même chose.

Les Traités avaient prévu des partis européens, mais à ce jour, il n’y en a aucun ; signe qu’il n’y pas de peuple européen.

Les partis nationaux sont donc invités à se réunir au sein d’alliances partisanes européennes qui peuvent désigner leur candidat à la présidence de la Commission européenne. C’est désormais parmi eux que le Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement doit le choisir. Ce mode d’élection indirecte a été mis en place en 2014. Dans la pratique la plus grosse coalition était identifiée à l’avance. Jean-Claude Juncker, puis Ursula von der Leyen étaient donc désignés avant que leur coalition n’emporte une majorité relative.

Si Mario Draghi devait s’imposer à la tête de la Commission, il faudrait donc que la coalition arrivée en tête change son fusil d’épaule au dernier moment. Elle aurait désigné à nouveau Ursula von der Leyen, mais après avoir eu connaissance du rapport Draghi sur la compétitivité des entreprises européennes, elle le choisirait. Cette manipulation permettrait de changer brutalement des sujets de discussion : pendant les élections on parle du bilan de l’administration von der Leyen, puis soudain de la fédéralisation de l’Union européenne au détriment des États membres.

Il s’agit là d’un sujet auquel les électeurs ne comprennent rien. Ils peuvent penser que l’« Union fait la force », mais pas ce que la disparition des États-membres signifierait pour eux. L’Union n’est déjà pas du tout une organisation démocratique, l’État-Europe le serait encore moins.

Même si Mario Draghi ne peut pas se présenter, la question centrale, et pourtant cachée, est celle-là : « Les populations de l’Union européenne doivent-elles ou non former un État unique, bien qu’à ce jour, elles ne forment pas un peuple unique ? ». En d’autres termes, accepteront-elles que des décisions leur soient imposées par une majorité de « régions » (on ne devrait plus parler d’États membres) dont elles ne feraient pas partie ?

Cette problématique avait été explicitement posée, dès 1939, par le chancelier allemand Adolf Hitler. Il entendait former une Grande Allemagne, constituée de tous les peuples parlant l’allemand, au centre d’une constellation de petits États européens, fondés chacun autour d’une ethnie. Après la chute du Reich, en 1946, le Premier ministre britannique, Winston Churchill, souhaitait voir se former des États-Unis d’Europe auxquels son pays ne devrait surtout pas participer [1]. Il s’agissait pour l’« Empire sur lequel le soleil ne se couchait jamais » de pouvoir traiter avec un seul interlocuteur qui ne pourrait pas rivaliser avec lui. Ce projet non plus ne fut pas réalisé, au profit cette fois d’un « marché commun ». C’est à lui que nous revenons maintenant.

En matière économique, l’Union se dirige vers une spécialisation du travail : par exemple, à l’Allemagne l’automobile, à la France, les produits de luxe et à la Pologne les produits agricoles. Mais, que vont penser les agriculteurs allemands et français qui seront sacrifiés ou les fabricants d’automobile polonais qui le seront aussi ?

En matière de politique étrangère et de Défense, l’Union est déjà sur une ligne atlantiste. C’est-à-dire qu’elle défend les mêmes positions que Washington et Londres. Mais cette ligne s’imposerait à tous, y compris aux Hongrois qui refusent de devenir anti-Russe ou aux Espagnols qui refusent de soutenir les génocidaires israéliens. Selon les Traités, c’est l’Otan qui est responsable de la Défense de l’Union. Le président états-unien Donald Trump exigeait que cette défense ne coûte rien aux États-Unis et donc que les Européens augmentent leurs budgets militaires à hauteur de 2 % de leur PIB. À ce jour, seuls 8 États sur 27 l’ont fait. Si l’UE devenait un État unique, ce souhait de Washington deviendrait une obligation pour tous. Pour certains États, comme l’Italie, l’Espagne ou le Luxembourg, cela impliquerait une ponction subite dans leurs programmes sociaux. Il est peu probable que les populations concernées apprécient.

En outre, il y a le cas particulier de la France, qui dispose d’un siège au Conseil de sécurité des Nations unies et de la Bombe atomique. Elle devrait mettre ces atouts au service de l’État unique au risque que la majorité du Conseil européen les utilise contre les opinions françaises. Là encore, les populations concernées, les Français en l’occurrence, ne l’accepteront pas.

Au demeurant, l’État-Europe (sans rapport avec le continent européen qui est beaucoup plus vaste) serait donc un Empire, bien qu’une partie de son territoire (Chypre-Nord) soit occupé par la Türkiye depuis 1974 et qu’il s’en accommode.

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Licenciement de Patrick Provost

O defensorLicenciement, puis 42 millions pour préparer la prochaine pandémie

O Defensor – 15 de maio de 2024

Une université obtient 42 millions de dollars pour la “préparation à la pandémie”, deux semaines après avoir licencié un scientifique qui remettait en question les vaccins COVID destinés aux enfants.

   

L’université Laval de Québec, au Canada, a licencié le professeur Patrick Provost, docteur en médecine, pour avoir publiquement mis en doute la sécurité et la nécessité des vaccins COVID-19 pour les enfants. Deux semaines plus tard, l’université a reçu 42 millions de dollars de la Fondation canadienne pour l’innovation afin de créer un centre de préparation aux futures pandémies.

Une université canadienne a licencié Patrick Provost, docteur en sciences, professeur et scientifique expérimenté dans le domaine des nanoparticules d’ARN et de lipides, relançant ainsi le débat sur la liberté académique et la suppression du discours scientifique.

L’université Laval, une université publique de recherche située dans la ville de Québec, a suspendu M. Provost à plusieurs reprises pour avoir publiquement remis en question la sécurité des vaccins COVID-19 et la nécessité de vacciner les enfants.

Le 28 mars, l’université a licencié M. Provost, qui était titulaire du département de microbiologie, de maladies infectieuses et d’immunologie de la faculté de médecine de l’université.

Le licenciement, qui intervient alors que les suspensions précédentes font toujours l’objet d’un arbitrage – et malgré une loi québécoise protégeant la liberté académique – a d’abord fait les gros titres du journal québécois Le Devoir le 26 avril, un jour après que Libre Média a publié des extraits de la lettre de M. Provost à ses collègues.

“Sommes-nous en train d’assister à une réingénierie de la société, où nous ne pourrons plus nous exprimer ou débattre librement … où les professeurs se censureront eux-mêmes, plutôt que d’intervenir … afin de préserver leurs privilèges ? a écrit M. Provost.

La décision controversée de l’Université Laval fait suite à l’exemple de l’Université Harvard qui, en mars dernier, a congédié Martin Kulldorff, Ph.D., l’un des auteurs de la Déclaration de Great Barrington, apparemment pour ne pas avoir respecté le mandat de l’Université concernant le vaccin COVID-19.

Au cours de ses 35 années de carrière dans la recherche universitaire, M. Provost a rédigé près de 100 articles, a été cité dans plus de 16 000 articles de recherche et a reçu trois prix “Découverte de l’année” en reconnaissance de ses recherches.

Il a été un expert de premier plan dans le domaine de l’ARN au cours des 20 dernières années et dans le domaine des nanoparticules lipidiques au cours des 10 dernières années.

Sa connaissance approfondie de ces composants clés des vaccins mRNA COVID-19 l’a amené à s’interroger sur les dangers potentiels associés à ces nouveaux traitements lorsque le gouvernement canadien les a mis en œuvre en 2021.

Conscient des risques potentiels, connus et inconnus, associés à ces nouveaux “vaccins”, je ne pouvais rester silencieux sur des questions aussi importantes, où des vies sont en jeu, en particulier celles d’enfants”, a écrit M. Provost dans sa lettre.

Il a déclaré qu’il se sentait obligé de partager ses préoccupations avec le public, ses collègues et les représentants du gouvernement, afin de promouvoir la transparence et la prise de décision en connaissance de cause.

Malgré ses tentatives de dialogue et de débat, le Provost n’a reçu d’autre réponse que les mesures disciplinaires prises par l’Université Laval.

Il a été suspendu sans salaire à quatre reprises. La première suspension, de huit semaines, a été imposée le 13 juin 2022 à la suite d’une plainte d’un professeur, et la seconde, de quatre mois, a été imposée le 23 janvier 2023 à la suite d’une plainte d’un citoyen.

Une sixième plainte a été retirée le 14 février 2023, après que plus de 275 collègues ont écrit à l’université pour dénoncer la façon dont elle traitait M. Provost, la qualifiant d'”abusive”.

Laval maintient que ses actions n’étaient pas liées à la liberté académique mais qu’elles portaient atteinte à l’autorité politique de l’université, a déclaré le vice-recteur à The Defender.

Dans sa lettre, M. Provost a exprimé sa déception face à l’absence de discussion ouverte sur la question du vaccin COVID-19, en demandant : “Pourquoi les pairs ont-ils disparu du débat public avec opinions dissidentes ?

La liberté académique est la dernière ligne de défense de la démocratie

Le licenciement de M. Provost a suscité des inquiétudes quant à l’application de la loi québécoise – adoptée en juin 2022 – protégeant la liberté académique, a rapporté The Epoch Times.

“Les professeurs d’université ont le droit de critiquer leurs propres institutions, et même le gouvernement”, a déclaré M. Provost au Defender, qui a ajouté que son affaire n’aurait jamais dû être soumise à un arbitre.

Le ministre parlementaire a toutefois refusé d’intervenir et, voulant éviter d’être accusé d’intervenir dans la procédure judiciaire, a affirmé que la procédure d’arbitrage devait se poursuivre, selon M. Provost.

Les critiques affirment que la loi n’a pas été appliquée de manière efficace, ce qui a conduit à la suppression des opinions dissidentes et à la sanction des chercheurs qui remettent en cause les récits dominants.

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entender o mundo

Novo mundoGrande demais para entender

Novo Mundo - 14 de maio de 2024

Lembro-me de uma época, não muito tempo atrás, em que era possível ver com certo grau de certeza o que estava acontecendo no mundo, até mesmo em casa.

   

Olhando de perto, indo além dos políticos, dos capitalistas gananciosos e dos socialistas ideológicos, poderíamos ver claramente. Mesmo assim, deu trabalho. Era preciso ler muito e encontrar jornalistas, historiadores e autores em quem pudesse confiar um pouco.

Adicione um pouco de bom senso aqui e ali e você poderá ter uma ideia bastante confiável do que é verdade e do que provavelmente não é. Pelo menos é o que parece.

Sempre houve mistérios. As pessoas diziam uma coisa e faziam outra. Mas havia riscos no terreno: pilares da verdade, algumas coisas em que se podia confiar, sempre com cautela, mas principalmente confiáveis. Tomemos o exemplo da imprensa americana.

Sim, coisas estranhas são descobertas aqui e ali na imprensa, mesmo nos melhores momentos, mas lembro-me de confiar na imprensa. Você se lembra das grandes revelações do Washington Post durante os escândalos de Watergate na década de 1970? O resultado foi um grande livro e um grande filme, Todos os Homens do Presidente. Este foi o melhor do jornalismo (certo?). A forma controlada como as informações foram apresentadas ao público, para garantir precisão e relevância. Fiquei muito orgulhoso deste diário. Mas era a verdade?

Sim, houve problemas com a repressão jornalística, especialmente durante o conflito do Vietname. Mas a verdade sempre parecia prevalecer. Foi realmente esse o caso? Infelizmente, eu não pensava assim, mesmo naquela época. Mas parecia haver vários bastiões da verdade em que se podia confiar.

Lembro-me que mesmo durante o assassinato de JFK pensei que a corrupção exposta naquele fiasco era limitada. Logo no início das minhas investigações sobre este acontecimento, não compreendi que todo o governo americano estava envolvido. Achei que a falta de escrúpulos era limitada. Foi também nisso que acreditei durante o escândalo Watergate.

Mesmo quando o 11 de Setembro nos atingiu, não me apercebi de quão profundamente o cancro tinha penetrado no nosso governo (os Estados Unidos) e até no mundo. Eu estava longe de suspeitar na época da bagunça em que tudo estava. E para falar a verdade, ainda não sei até que ponto isso. Apesar de ter um nariz muito afilado, tenho certeza de que não sei nem metade. É bastante desanimador.

Quando começou toda essa mentira e corrupção?

Pode não haver uma “data de início”, o que significa que eles sempre estiveram lá de alguma forma. Voltando à Idade das Cavernas, provavelmente encontraremos a primeira tentativa de uma classe dominante de aprisionar as massas e criar um mundo de ilusão inteiramente sob o seu controlo. Durante a minha vida, desde o início da década de 50, a CIA e o seu homólogo da União Soviética, a KGB, fizeram de tudo para manipular os meios de comunicação social, utilizando notícias falsas espalhadas pelos gigantes dos meios de comunicação de ambos os países (o New York Times e o Washington Post, em nos Estados Unidos e Pravda na URSS).

Há alegações de que os dois governos governantes enganaram um ao outro e às massas. Por exemplo, quando Nikita Khrushchev era o chefe da União Soviética, ele agitava continuamente o seu grande bastão nuclear e afirmava que a URSS poderia fabricar mísseis nucleares como salsichas. Este não era o caso.

A maioria dos historiadores argumenta que os Estados Unidos foram enganados pela postura nuclear da URSS durante os primeiros anos da Guerra Fria. Duvido seriamente que tenham sido enganados, como se soubessem o número real de armas nucleares de Moscovo. O estratagema soviético deu-lhes uma excelente desculpa para aumentar o orçamento de defesa dos EUA ano após ano e convencer o povo americano, e o povo do mundo, de que havia boas razões para estar aterrorizado. O medo é sempre uma coisa boa para se ter no bolso ao tentar controlar as pessoas.

A União Soviética era um tigre de papel. Pelo menos nos anos 50 e início dos anos 60. Após a crise dos mísseis cubanos e o governo de Khrushchev, a União Soviética começou a fabricar mísseis como salsichas. Ela realmente fez isso? É difícil dizer quantas ogivas nucleares estavam em circulação, nascidas em ambos os lados. A informação, a desinformação, a propaganda, as mentiras e a corrupção são simplesmente demais para compreender e chegar à verdade.

O medo da bomba soviética durante a Guerra Fria é apenas um pequeno exemplo da “falsa realidade” que temos alimentado durante décadas. E, nem é preciso dizer, a situação só piorou. Muito pior. Hoje, graças às tecnologias avançadas e à inteligência artificial, é mais fácil do que nunca manipular a informação e, portanto, a realidade.

Já não podemos nem dizer se o Presidente dos Estados Unidos que faz um discurso é o verdadeiro Biden em carne e osso, um holograma, um clone biológico ou um robô. A mão direita certamente não sabe o que a mão esquerda está fazendo, mas posso garantir que existe um programa claro e consciente, e que esse programa não confunde quem o executa, e que também não é difícil de definir. Mas é muito difícil de compreender, pelo menos para as massas cegas.

As coisas simples, no entanto, ainda são verossímeis. O amor que você sente pelo seu companheiro, pelos seus filhos e pela sua família. A paz que você sente ao caminhar na praia ou na calma de uma floresta. A alegria que você sente enquanto dança e ouve música. E a maravilha que você sente diante de uma obra de arte. A risada de um bebê sempre será verdadeira, a lambida babada de um cachorro e o olhar em seus olhos quando expressa seu amor incondicional por seu dono. Essas verdades também são enormes, mas fáceis de entender. Nascemos com uma compreensão apurada de sua essência, significado e propósito.

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uma semana sem smartphone

Amanhecer DigitalApós a proibição de telefones celulares em várias escolas

Digital Dawn - 13 de maio de 2024

A proibição de telemóveis nas escolas ajudou a melhorar o desempenho académico, a reduzir o bullying e a reduzir a necessidade de aconselhamento dos alunos, de acordo com um estudo norueguês de 73 páginas.

   

As meninas foram as que mais beneficiaram destas políticas.

“A proibição de smartphones reduz significativamente o uso de cuidados de saúde para sintomas e doenças psicológicas entre as meninas”, escreve Sara Sofie Abrahamsson, pesquisadora de pós-doutorado e única autora do artigo, no resumo. Após a proibição, o bullying entre ambos os sexos diminuiu.”

O estudo baseou-se em dados das últimas décadas, concentrando-se principalmente no período 2010-2020.

O pesquisador não observou nenhum impacto negativo da introdução de tal política.

“Os telefones são uma distração absoluta. Mesmo que uma criança tenha o telefone no bolso durante a aula, se ele vibrar sempre, o que acontece o tempo todo, a mente dela automaticamente se afasta do ensino do professor e se concentra no telefone”, disse Tom Kersting, psicoterapeuta que atuou como professor. conselheiro escolar por 25 anos, disse ao Epoch Times, concordando com as conclusões do relatório.

Como defensor da proibição dos telefones nas escolas, Kersting acredita que a Noruega verá uma melhoria no desempenho académico, na saúde mental e nas competências sociais e emocionais dos alunos.
Conclusões principais

Não existem diretrizes nacionais sobre o uso de smartphones na Noruega. As escolas decidem por si mesmas se permitem ou não o uso de smartphones.

Portanto, Abrahamsson utilizou um inquérito para recolher dados de faculdades norueguesas sobre a utilização de smartphones e para descobrir se e quando tinham regulamentações para smartphones em vigor.

Esses dados foram então comparados com os dados da escola, incluindo notas de professores e exames externos, médias de notas dos alunos, visitas de alunos a psicólogos e clínicos gerais e medidas de bullying.

As quatro principais conclusões da Sra. Abrahamsson são:

O número de consultas psicológicas foi reduzido em 60% entre as estudantes.
A incidência de bullying diminuiu entre meninas e meninos.
As meninas progrediram em termos de média geral de notas e testes de matemática avaliados externamente.
As meninas eram mais propensas a seguir um caminho acadêmico no ensino médio.

O autor descobriu que quanto mais rigorosa a política de smartphones, maior será a melhoria entre as estudantes do sexo feminino. As escolas mais rigorosas proíbem os alunos de trazerem seus telefones para a escola ou exigem que os devolvam antes do início das aulas.

As raparigas oriundas de meios socioeconómicos desfavorecidos são as que mais progrediram.

No entanto, a proibição dos smartphones não teve impacto na saúde mental e na média dos rapazes.

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Padre Adam Skwarczynski

Revolução 2030: Outra fonteEu visitei os novos céus

Revolução 2030: Outra fonte - 13 de maio de 2024

Um padre místico polonês nos conta o que está por vir.

   

Padre Adam Skwarczynski é um carismático padre polonês que também é místico e desde a infância recebe visões sobre o futuro da humanidade.

Padre Artur Migas perguntou-lhe sobre suas opiniões a respeito do Aviso e da Parousia (segunda vinda de Cristo).

A história do Padre Adam Skwarczynski é particularmente importante para o momento histórico que vivemos no mundo e na Igreja. Ele nos fala no vídeo sobre o Aviso, a perseguição aos cristãos, o castigo que Deus enviará, mas sobretudo “os novos céus e a nova terra” que virão depois destes acontecimentos... motivo de grande esperança!

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sem o GAFAM

Sr. GlobalizaçãoViver sem GAFAM? A lista de alternativas!

Mr Globalização - 12 de maio de 2024

GAFAM – esses gigantes da web – são regularmente criticados pelos críticos.

   

Controlo do mercado de informação e publicidade online, revenda de dados pessoais, hegemonia económica, influência da democracia através de lobbies poderosos, não faltam razões para ter cuidado com estes gigantes. No entanto, é difícil livrar-se deles, pois estão por toda parte em nosso universo digital. No entanto, aqui estão algumas idéias para substituí-los diariamente.

Por trás da sigla GAFAM escondem-se cinco grupos extensos que trabalham em novas tecnologias de informação e comunicação: Google, Amazon, Facebook, Apple e Microsoft. Estes gigantes, conhecidos de todos e com um crescimento alucinante, são hoje os líderes em termos de capitalização de mercado à custa de práticas moralmente duvidosas. No centro dos escândalos, entre a intrusão massiva na vida privada dos utilizadores e a gestão inescrupulosa dos seus dados pessoais, encontramos também a conivência com certos governos, como demonstraram os denunciantes do Wikileaks ou Edward Snowden. Uma hegemonia quase total que não é sinal de boa saúde para as nossas democracias já enfraquecidas.

Outra visão da Web e da computação

Desde os primórdios da computação, outro modelo se organizou à margem das lógicas comerciais e liberticidas graças aos atores – ou hackers – do “software livre”. De modo geral, este software pode ser redistribuído gratuitamente (gratuito na maioria dos casos, mesmo que não seja obrigatório) e o usuário pode ter acesso aos seus códigos-fonte para personalizar e melhorar sua experiência e a de outros usuários.

A maior parte dos softwares ou serviços distribuídos sob licença gratuita são desenvolvidos cooperativamente pela sua comunidade, permitindo assim responder eficazmente às necessidades dos utilizadores e corrigir um grande número de bugs. Muito menos ávidos por dados pessoais, porque não são financiados por publicidade, podem revelar-se boas alternativas aos serviços oferecidos pelo GAFAM e por vezes até mais eficientes. O VLC Media Player, por exemplo, é um dos únicos programas de software de consumo que permite reproduzir, converter e baixar arquivos de áudio e vídeo em todos os formatos existentes.

Para Richard Stallman, pioneiro da filosofia do Livre, este movimento quer lançar as bases de uma nova sociedade onde ideias e cultura sejam livremente trocadas. Ou seja, sem submissão a uma lógica estritamente comercial que norteia a atuação dos produtores de conteúdo. O objectivo é permitir que todos floresçam sem obstáculos, promovendo a compreensão da tecnologia e a utilização de equipamento informático, limitando ao mesmo tempo o desperdício e a obsolescência. Construída sobre este modelo, a fundação Wikipédia, enriquecida diariamente pelas contribuições dos seus utilizadores, continua a ser o melhor exemplo.
Alternativas concretas ao GAFAM para recuperar seu computador e navegação na web

Na medida do possível, tentamos oferecer aqui algumas soluções gratuitas e de código aberto que respeitem a privacidade dos usuários, sem pretender que sejam qualitativamente superiores. Se não conseguirmos abranger todos os serviços oferecidos pelo GAFAM num único artigo, tentaremos destacar alternativas aos serviços mais utilizados.

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Soros financia os protestos

Igualdade e ReconciliaçãoGeorge Soros financia protestos pró-Palestina

Igualdade e Reconciliação - 12 de maio de 2024

Se o velho George Soros financia a porcaria universitária pró-Palestina, podemos muito bem imaginar que por trás desta generosidade há um projecto necessário e uma vilania necessária. Bingo!

   

Como nos explica Renaud Beauchard no menu, o financiamento das manifestações e ocupações universitárias serve para alimentar o caos que exaspera os estudantes não militantes, que irrita as testemunhas de um espectáculo de violência e caos, e que depois justifica o giro do parafuso pela autoridades a favor de uma segurança sacrossanta. Chegamos então ao nó górdio – ou melhor, sorosiano –: a censura das ideias em geral e a repressão de tudo o que possa ser qualificado de alguma forma como anti-semitismo.

Nada de novo, portanto, os esquerdistas são aqui usados ​​como os idiotas úteis que sempre foram, mas a um nível que actualmente beira um notável tour de force.

Assim, uma lei do tipo Gayssot está em curso ou já implementada – apesar da sacrossanta Primeira Emenda – mas também a “lei Tik Tok”, a Lei de Segurança Nacional, a monstruosa ajuda à Ucrânia, a renovação da Lei de Vigilância de Inteligência Estrangeira (FISA), etc. Tudo isto permite o estabelecimento de uma oligarquia de vigilância que nos conduz a uma distopia perigosa mas muito real.

O pior é a mobilização da maioria dos republicanos contra todos estes desejos repressivos e estas censuras. Até Donald Trump, envolvido nos seus julgamentos, alinha-se com um certo número destas posições. Os otimistas esperam que ele tente não criar muitas ondas e enviar sinais que lhe permitam um tratamento melhor. O futuro dirá.

Finalmente, mesmo Robert Kennedy Jr, que esperávamos que fosse um verdadeiro subversivo (onde Trump ainda se felicita pela sua política de vacinas e nunca despediu Anthony Fauci), parece alinhar-se com certas posições desagradáveis, seja sobre o conflito israelo-palestiniano ou sobre a sua escolha de Nicole Shanahan, ex-esposa do cofundador do Google, Sergey Brin, como companheira de chapa.

O futuro parece sombrio, mas não esqueçamos que o pior nunca é certo e que a esperança nos mantém vivos, às vezes até ao ponto da vitória.

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História de Gaza

VoltairenetA narrativa do 7 de Outubro desmentida pela História

Voltairenet - 11 de maio de 2024

Reproduzimos o texto de uma conferência proferida no dia 4 de maio em Boulogne-sur-mer. Thierry Meyssan explica que o actual conflito na Palestina não é atribuível às populações árabes e judaicas.

   

Foi organizado, a partir de 1915, pela potência colonial com a ideia de que o(s) futuro(s) Estado(s) nunca deveriam conseguir garantir a sua segurança. Sem o conhecimento deles e às suas custas, os palestinianos e israelitas, ao desempenharem a operação de 7 de Outubro e a sua resposta, estão apenas a implementar esta política. Ao não conseguirem travar a limpeza étnica dos habitantes de Gaza, os anglo-saxões não demonstram a sua insensibilidade, mas sim o facto de considerarem os massacres como simples variáveis ​​de ajustamento.

Embora os massacres no Sudão e no Congo sejam muito mais mortíferos do que na Palestina, é sobre estes últimos que vos vou falar hoje. Na verdade, esta é a primeira vez que testemunhamos uma limpeza étnica ao vivo nos nossos telemóveis. Gostaria de voltar a diversas informações que já abordei em diversos artigos, mas que, evidentemente, alguns meios de comunicação não querem incluir nas suas análises. Gostaria de vos dizer que não há fatalidade comunitária: este conflito não foi provocado pelas populações da Palestina, sejam elas judaicas, cristãs ou muçulmanas, mas por potências externas que, durante um século, desejaram nunca conhecer a paz.

A criação de Israel pelos britânicos

Para me fazer entender, falarei, em primeiro lugar, sobre o Reino Unido. Você assistiu à coroação do rei Carlos III. Você se lembra que no meio da cerimônia ele tirou suas roupas ricas e se vestiu com um pano de linho. Suas páginas montavam telas para que o público não ficasse deslumbrado. Quando as telas foram removidas, ele se tornou rei. Ele recebeu então os símbolos de seu poder, o cetro e o globo. O que aconteceu naqueles poucos momentos fora da vista do público? O Príncipe de Gales viu Deus, como Moisés diante da sarça ardente [1]. Esta explicação provavelmente parece absurda para você e você se pergunta como seus sujeitos puderam acreditar em uma história tão complicada. Na realidade, desde Jaime VI, no século XVI, os soberanos britânicos declararam-se reis de Israel [2]. Foi contra a sua concepção de direito divino que Oliver Cromwell derrubou o rei Carlos e proclamou a Commonwealth. No entanto, o Senhor Protetor foi igualmente esclarecido, ele professou que era necessário reunir todos os judeus na Palestina e reconstruir ali o templo de Salomão [3]. Em última análise, dinastias sucessivas mantiveram este mito. Eles adotaram vários ritos e impuseram outros aos seus súditos, como a circuncisão judaica, praticada automaticamente nas maternidades no século XX em todos os recém-nascidos do sexo masculino no Reino ao nascerem.

Dois anos antes da Declaração Balfour (1917) que anunciou a criação de um lar nacional judaico na Palestina, um diplomata judeu e futuro Ministro dos Negócios Estrangeiros, Lord Herbert Samuel, escreveu um memorando sobre o Futuro da Palestina (1915). Ele defendeu um estado judeu que colocaria toda a diáspora a serviço do Império. Um pouco mais tarde, esclareceu que este novo Estado nunca deveria ser capaz de garantir sozinho a sua segurança para ser eternamente dependente da Coroa de Inglaterra. Isto é exatamente o que estamos testemunhando hoje. Foi o destino que amaldiçoou a população da Palestina.

A declaração de Lord Arthur Balfour foi seguida pelos 14 pontos do presidente dos EUA, Woodrow Wilson. Ele descreve os objetivos alcançados pelo seu país durante a Primeira Guerra Mundial. O ponto 12 está redigido de forma estranha, mas durante a Conferência de Paris que redigiu o Tratado de Versalhes, especificou por escrito o que deveria ser entendido: a criação do Estado de Israel na Palestina (e do Curdistão na Turquia). A Guerra Mundial provocou um reequilíbrio de forças, de modo que a partir de agora Washington trabalhou ao lado de Londres na defesa dos interesses comuns.

Durante o período entre guerras, a imigração judaica para a Palestina Obrigatória correu bem. Os proprietários árabes venderam parte de suas terras aos judeus sem nenhum problema. No entanto, já em 1920, terroristas árabes assassinaram judeus. Entre os assassinos, Mohammed Amin al-Husseini foi condenado pelos britânicos a 10 anos de prisão, mas nunca o executaram. Pelo contrário, Lord Herbert Samuel (aquele que escreveu que nunca deveria ter segurança na Palestina), que se tornou o alto comissário britânico na Palestina, perdoou-o e nomeou-o grande mufti de Jerusalém, alegadamente para manter um equilíbrio entre a duas grandes famílias locais.

Apareceu um salafista (ou seja, um muçulmano que desejava viver como os companheiros do Profeta no século VII), Izz al-Din al-Qassam, que já havia organizado uma revolta contra os franceses na Síria e que se tornou imã em Haifa . Ele decidiu pela jihad, não contra os ocupantes britânicos, mas contra os imigrantes judeus. Seguiram-se vários ataques e pogroms contra judeus. Para manter a paz civil, os britânicos mataram al-Qassam, que deu o seu nome às actuais Brigadas al-Qassam do Hamas.

A morte de al-Qassam não resolveu absolutamente nada. Os britânicos, fiéis à sua técnica colonial de “Dividir para Governar”, sempre desenvolveram com uma mão o que lutaram com a outra. Em 1936, Lord Willam Peel, à frente de uma comissão oficial, assegurou que a paz só poderia ser restaurada separando as populações árabe e judaica em dois estados distintos. Isto é o que chamamos agora de “solução de dois Estados”.

Durante a Segunda Guerra Mundial, o Grande Mufti de Jerusalém tornou-se aliado do Chanceler Adolf Hitler. Ele mobilizou notavelmente os muçulmanos dos Bálcãs para se juntarem às SS e apoiou a "solução final da questão judaica". Por seu lado, os fascistas judeus (“sionistas revisionistas”) liderados pelo ucraniano Vladimir Jabotinsky, lutaram ao lado do Eixo contra os britânicos. Os sionistas, por seu lado, lutaram ao lado dos Aliados enquanto contestavam os limites que os britânicos teoricamente impuseram à imigração judaica; apenas em teoria.

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Última modificação por Nathan- anos 54 atrás
roubar ativos russos

A mídia em 4-4-2Roubar bens russos congelados para financiar o exército ucraniano

A mídia em 4-4-2 - 10 de maio de 2024

Os embaixadores dos 27 membros da União Europeia abriram a caixa de Pandora ao chegar a um acordo para utilizar as receitas geradas pelos activos russos congelados para financiar o exército ucraniano.

   

A medida ocorre num momento em que a Rússia continua a ganhar terreno na Ucrânia, forçando os soldados ucranianos a racionar as suas munições. No total, 200 mil milhões de euros de activos russos foram congelados em países europeus, principalmente na Bélgica. O objetivo não é tocar nesses ativos, mas sim apropriar-se dos rendimentos que eles geram. Estes são estimados entre 2,5 e 3 mil milhões de euros por ano.

90% deste montante será destinado à assistência militar à Ucrânia, enquanto os restantes 10% serão utilizados “para a reconstrução do país”, devastado pela guerra desde Fevereiro de 2022. A primeira parcela da ajuda deverá ser entregue ao governo em Kiev a partir de julho próximo.

Os Estados Unidos aprovaram a Lei REPO em Junho de 2023 para utilizar bens apreendidos à Rússia e entregá-los à Ucrânia, suscitando preocupações em alguns países europeus de que estaria a estabelecer um precedente perigoso. A UE elaborou um plano semelhante em outubro de 2023 para financiar a reconstrução da Ucrânia com os lucros provenientes dos ativos congelados do Banco Central Russo, mas alguns Estados-Membros permaneceram céticos devido a questões jurídicas sobre os direitos de propriedade, e a Rússia anunciou apelos.

Yoann

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Segurança: Larry Fink

GeopolintelCEO da BlackRock sob vigilância rigorosa

Geolintel - 10 de maio de 2024

Ao roubar impostos de países de todo o mundo com padrões ESG para a transição climática, social e política, Larry Fink, o CEO da BlackRock, vê os seus investidores e políticos republicanos a voltarem-se contra a estratégia do rolo compressor financeiro.

   

As perdas da BlackRock são maiores do que o esperado e a guerra apresenta maiores retornos do que a transição verde.

Larry Fink estava até preocupado com a queda acentuada do dólar e implorou aos investidores e países de todo o mundo que comprassem títulos do Tesouro dos EUA para limitar a queda do dólar.

Se o dólar cair, a culpa é de alguma forma desses ESGs e da BlackRock, o mercado ficou restrito e a empresa não consegue gerar lucros que correspondam às expectativas dos investimentos.
Macron foi forçado a comprar títulos americanos enquanto negociava a captura das poupanças francesas.
Se os nossos impostos são o principal recurso destes ladrões, a recessão reduziu as receitas fiscais e limitou os fluxos para estes fundos de investimento, uma vez que os militares monopolizaram as doações à Ucrânia e a Israel.
Como resultado, Larry Fink teme pela sua pessoa e recebeu ameaças suficientemente graves para solicitar proteção rigorosa para garantir as suas viagens.

Tremam senhores, vocês colhem o que plantam.

BlackRock dobra gastos com segurança do CEO Larry Fink à medida que investimentos ESG geram reação crescente

A BlackRock, a maior gestora de ativos do mundo, aumentou significativamente os gastos com segurança de seu CEO, Larry Fink, no ano passado, de acordo com registros junto aos reguladores de valores mobiliários.
Essas despesas incluíram US$ 216 para a contratação de guardas de segurança e US$ 837 para atualização do sistema de segurança da casa do Sr. Fink.

A BlackRock começou a fornecer serviços de segurança ao Sr. Fink em 2022 a pedido do conselho, de acordo com documentos apresentados no ano passado. Na época, a empresa contratou uma empresa de segurança terceirizada para fazer uma recomendação sobre qual segurança o Sr. Fink poderia precisar. Em 2022, o primeiro ano em que a empresa lhe forneceu serviços de segurança, o Sr. Fink recebeu US$ 198 por guardas de segurança e US$ 410 por um sistema de segurança residencial.

Nos últimos anos, Fink e BlackRock foram criticados por políticos e especialistas conservadores (bem como por alguns ativistas liberais) pelo uso pela empresa de princípios ESG em seus produtos de investimento. Muitos destes grupos acreditam que a decisão do Sr. Fink de incorporar o ambiente, a sustentabilidade e a governação como um dos vários factores de selecção de investimentos é uma tentativa de impor ideologias de esquerda às empresas. Na realidade, esta prática visa simplesmente fornecer uma visão mais holística do futuro de uma empresa, contabilizando factores de risco e oportunidades que vão além do seu desempenho financeiro.

Na sua carta anual aos acionistas para 2020, Fink anunciou que a BlackRock, que gere cerca de 10 biliões de dólares, colocaria a sustentabilidade no centro da sua abordagem de investimento. Esta decisão colocou a BlackRock e a Fink na mira de alguns responsáveis ​​republicanos, que acreditavam tratar-se de uma forma de selecção ideológica que discriminava certas empresas.

Vários funcionários republicanos eleitos procuraram então rescindir os contratos assinados com a BlackRock para os fundos públicos que esta administrava.

No Texas, o estado retirou um fundo de educação de 8,5 mil milhões de dólares gerido pela BlackRock. Na Florida, o governador republicano Ron DeSantis ameaçou encontrar outro gestor para os fundos públicos geridos pela BlackRock. DeSantis conseguiu remover 2 mil milhões de dólares em activos sob gestão da BlackRock, mas em Janeiro passado, a BlackRock ainda geria 13 mil milhões de dólares em nome do Estado.

A reação pessoal contra Fink atingiu o auge durante os debates primários republicanos no final do ano passado. Num debate em dezembro, DeSantis e o investidor em biotecnologia Vivek Ramaswamy enfrentaram a BlackRock. DeSantis elogiou como “tirou US$ 2 bilhões” da empresa, enquanto Ramaswamy chamou Fink de “o rei do complexo industrial de evasão”. Os comentários geraram uma resposta de Fink, que chamou o caso de uma representação “triste” do estado da política americana.

Fink falou repetidamente sobre a reação negativa que enfrentou, dizendo em uma ocasião que ficou surpreso com a natureza pessoal dos ataques. “É difícil, porque não são mais negócios, eles estão fazendo isso de forma pessoal”, disse Fink à Bloomberg em janeiro de 2023. “Pela primeira vez na minha carreira profissional, os ataques agora são pessoais. Eles tentam demonizar os problemas.”

Na maioria das vezes, Fink atribui o furor a um mal-entendido sobre o que é ESG e ao fato de que ele e a BlackRock foram apanhados nas contracorrentes da política americana. “A história é horrível”, disse Fink na entrevista à Bloomberg. “Infelizmente, alguns políticos interpretam certas passagens de uma frase fora do contexto, e esse é o mundo em que vivemos hoje.

A BlackRock, tal como outras instituições financeiras, está agora mais indiferente em relação a alguns compromissos anteriormente assumidos sobre as alterações climáticas, que alguns vêem como o resultado da pressão de políticos e activistas conservadores.

Em última análise, os boicotes tiveram pouco efeito nos negócios da BlackRock. No início de 2023, o Sr. Fink reconheceu que no ano anterior, a BlackRock havia perdido cerca de US$ 4 bilhões em ativos sob gestão devido a boicotes que a empresa enfrentou. No entanto, de acordo com Fink, este número é insignificante em comparação com os 230 mil milhões de dólares em dinheiro novo que a BlackRock recebeu dos seus clientes americanos.

Fortune

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vaxx e cegueira

A mídia em 4-4-2AstraZeneca retira a sua vacina contra a covid-19 em todo o mundo

A mídia em 4-4-2 - 09 de maio de 2024

Um julgamento está em andamento no Reino Unido.

   

A farmacêutica britânica AstraZeneca anunciou a retirada mundial da sua vacina contra a Covid-19, após a empresa admitir que a vacina “pode causar trombose-trombocitopenia (TTS)”.

A farmacêutica britânica AstraZeneca anunciou a retirada da sua vacina contra a Covid-19 em todo o mundo, após a empresa admitir que a vacina “pode causar TTS”. TTS, ou síndrome de trombose com trombocitopenia, pode causar coágulos sanguíneos e baixa contagem de plaquetas.

A vacina, conhecida como Vaxzevria, não pode mais ser usada na União Europeia agora que a AstraZeneca a retirou, segundo o jornal The Telegraph. No Reino Unido, está em curso uma ação coletiva contra a AstraZeneca, com a gigante farmacêutica a ser processada por alegações de que a sua vacina, desenvolvida com a Universidade de Oxford, causou mortes e ferimentos graves em dezenas de casos.

Os advogados das vítimas e dos seus entes queridos afirmam que a vacina produziu um efeito secundário que teve um efeito devastador em muitas famílias. O primeiro caso foi aberto no ano passado por Jamie Scott, pai de dois filhos, que sofreu danos cerebrais permanentes após desenvolver um coágulo sanguíneo e uma hemorragia cerebral que o deixou impossibilitado de trabalhar após receber a vacina em abril de 2021.

Cinquenta e um casos foram apresentados ao Tribunal Superior, com as vítimas e os seus familiares a pedirem indemnizações estimadas em £100 milhões. Os cientistas identificaram pela primeira vez uma ligação entre a vacina e uma nova doença chamada trombocitopenia e trombose imune induzida por vacina (VITT) já em março de 2021, logo após o início do lançamento da vacina Covid-19, mas foram consideradas “conspiração” em todos os aparelhos de televisão ao redor. o mundo.

A admissão da AstraZeneca segue-se a intensas disputas legais e poderá resultar em pagamentos se a empresa farmacêutica admitir que a vacina foi a causa de doenças graves e morte em casos legais específicos. O governo britânico concordou em cobrir os custos legais da AstraZeneca.

“A AstraZeneca é uma vacina muito eficaz, muito eficaz! »

Olivier veran

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Macron vai para a guerra

VoltairenetParis 2024 e Berlim 1936 ao serviço de um sonho imperial impossível

Voltairenet - 09 de maio de 2024

Thierry Meyssan: Emmanuel Macron nunca teve qualquer respeito pela cultura francesa.

   

Durante sua primeira campanha eleitoral, ele nunca parou de zombar dela. A sua ambição incluía a presidência da República Francesa, mas, aos seus olhos, só ganhou sentido na União Europeia. Durante os seus dois mandatos, resolveu poucos problemas franceses, mas construiu pacientemente a transformação da UE num império de cerca de trinta estados.

Na sua opinião, os próximos Jogos Olímpicos serão uma oportunidade para manipular as massas para engrandecer os “Estados Unidos da Europa”, para que estejam espontaneamente preparados para a dissolução dos Estados-membros da UE.

Durante o seu discurso programático na Sorbonne, há sete anos, ele declarou: “Algumas semanas depois das eleições europeias [de 2024], Paris acolherá os Jogos Olímpicos. Mas não é Paris quem recebe. É a França e com ela a Europa que dará vida ao espírito olímpico nascido neste continente. Será um momento único de encontro, uma magnífica oportunidade para celebrar a unidade europeia. Em 2024, ressoará a Ode à Alegria e a bandeira europeia poderá ser orgulhosamente exibida ao lado dos nossos emblemas nacionais.”

Sim, os Jogos Olímpicos de 2024 em Paris serão uma oportunidade para ele mostrar a sua visão do mundo: a cada vitória de um Estado-Membro, o hino europeu deverá ser tocado, se nada impedir este plano. Sem dúvida, a UE seria então a potência vitoriosa. Realizaria assim o sonho do chanceler Aldolf Hitler em Berlim em 1936. Ele já adoptou os códigos. Assim, o revezamento da tocha olímpica, que não existia durante os Jogos originais, é uma sobrevivência do nazismo. O chanceler alemão queria engrandecer os corpos dos arianos e cruzar os Bálcãs, prenunciando as suas futuras conquistas. O presidente francês pretende mobilizar os franceses em torno do seu impossível sonho europeu para melhor manipulá-los nas próximas semanas. Ele também confiou a produção da tocha à Usinor, hoje chamada ArcelorMittal, assim como seu antecessor a confiou ao grupo armamentista Krupp.

Não se preocupe, não estou comparando Emmanuel Macron a Adolf Hitler para sugerir que o presidente francês seria racista, mas esta alusão histórica será útil após as minhas observações. Por enquanto, lembre-se que haverá atletas russos, mas não haverá hino russo, e nenhum campeão inscrito em nome da União Europeia, mas sim hinos europeus.

Para compreender a armadilha que está sendo preparada e na qual todos provavelmente cairemos, devemos refazer os passos anteriores.

Durante o seu discurso de 27 de setembro de 2017, declarou: “Viramos a página de uma forma de construção europeia. Os pais fundadores construíram a Europa longe do povo, porque eram uma vanguarda iluminada, porque talvez isso pudesse ser feito, e avançaram e depois provaram que funcionava.” Ele então estabeleceu os princípios de uma produção da qual assistimos, às vezes participamos, sem entender.

• Em 25 de junho de 2018, lançou a Iniciativa de Intervenção Europeia. Este não era um programa da UE. Pelo menos metade dos Estados-membros não o quiseram, incluindo a Alemanha. Também inicialmente participaram apenas nove estados, incluindo o Reino Unido, que estava a sair da UE. Existem 14 deles hoje. Esta iniciativa está atualmente em funcionamento no Golfo Pérsico (Consciência Marítima Europeia no Estreito de Ormuz ou EMASoH). Inicia uma “capacidade de acção autónoma para a Europa, para além da NATO”.
A Missão Europeia da Alemanha era, segundo os nazis, proteger o povo da Europa do bolchevismo. Hoje, a missão da União Europeia, segundo Emmanuel Macron, é protegê-los da Rússia.

Entendam: nunca se tratou de criar um exército para a defesa colectiva dos Estados-membros. Na verdade, estamos a testemunhar exactamente o contrário: a guerra na Ucrânia é o pretexto para transferências gigantescas de armas, de modo que hoje nenhum Estado-Membro tem meios para se defender durante mais de dois dias se for convencionalmente atacado por um Estado desenvolvido. Ao contrário do que se fala em reforço do poder militar, o Ministério das Forças Armadas francês, segundo o Tribunal de Contas, cortou 3 postos militares no ano passado. Em última análise, já somos, e tornar-nos-emos ainda mais, dependentes dos Estados Unidos e do Reino Unido, ou seja, da NATO.

• Em 4 de março de 2019, Emmanuel Macron publicou um artigo de opinião apelando à criação de uma “Conferência para a Europa, a fim de propor todas as mudanças necessárias ao nosso projeto político”. Pretendia “reunir painéis de cidadãos, académicos, parceiros sociais, representantes religiosos e espirituais”. Para definir “um roteiro para a União Europeia que traduza estas grandes prioridades em ações concretas”. Note-se que o Presidente Macron escreveu “estas grandes prioridades” com um “c” e não com um “s”, para especificar que a Conferência tinha de expressar os meios para atingir um objectivo que não escolheria, mas que lhe foi imposto. ele.

Esta é a retomada do Grande Debate Nacional que se seguiu à revolta dos “Coletes Amarelos”. Foram organizadas 10 reuniões públicas, abertos 134 registros de reclamações, participadas 19 prefeituras, escritas 899 mil contribuições detalhadas. Toda essa discussão e papelada acabou no lixo.

• Poucos meses depois, a alemã Ursula von der Leyen apresentou o programa da sua administração em 16 de julho de 2019, dizendo que “a Europa é como um longo casamento. O amor não se desenvolve necessariamente desde o primeiro dia, mas depende.”

A partir desse momento, o Eliseu e a administração de Bruxelas começaram a trabalhar para transformar a União num “Império”, os comunicadores dizem mais bem numa “federação”. Estava claro que não seria possível passar esta convulsão por referendo. Além disso, a administração Von der Leyen pretendia avançar passo a passo: modificar as regras de adopção através de um procedimento simplificado e, posteriormente, dissolver os Estados-Membros e substituí-los por um Estado centralizado.

• Durante o seu primeiro mandato, o Presidente Emmanuel Macron visitou cada uma das 28 capitais da UE. Foi a sua campanha eleitoral para justificar a sua futura nomeação.

• De Abril de 2021 a Maio de 2022, 830 “cidadãos” europeus reuniram-se para debater “O Futuro da Europa”. Esta conferência, aberta pelo Presidente Emmanuel Macron, produziu 49 propostas e 326 medidas dirigidas aos presidentes do Parlamento, do Conselho e da Comissão.

Primeiras observações: esta apresentação dos factos mascara problemas reais. Para dar uma aparência de legitimidade ao processo em curso, trata-se de dar a ilusão de que o Império Europeu não é uma ideia vinda de cima, mas um desejo ardente das populações europeias. Falamos, portanto, de “cidadãos” europeus quando não existe Estado europeu, nem povo europeu, portanto, não há “cidadãos” de todo. Os participantes foram sorteados, o que dá a ilusão da sua representatividade e da legitimidade das suas decisões. No entanto, na prática, foram pagos com os nossos impostos, embora não constituíssem uma instituição europeia. Adotaram certas medidas que discutiram durante muito tempo, mas também votaram precipitadamente no que Paris e Bruxelas queriam que adotassem e que vai contra os seus interesses.

• Em 25 de março de 2022, o Conselho Europeu, então presidido por Emmanuel Macron, adotou a Bússola Estratégica. Este primeiro definiu ameaças, das quais tirou as diretrizes da sua estratégia. Isso levou ao estabelecimento de uma Força de Reação Rápida de 5 homens.

• Em 9 de junho de 2022, o Parlamento Europeu, depois de ter adotado vários textos relativos à Conferência para o Futuro da Europa, adotou uma resolução (P9_TA(2022)0244) convocando uma Convenção para a revisão dos Tratados, em aplicação do artigo 48 do Tratado UE (Tratado de Nice).

• Nos dias 10 e 11 de março de 2022, Emmanuel Macron convocou uma reunião informal do Conselho Europeu em Versalhes. Os chefes de estado e de governo aprovaram a criação de um orçamento de apoio à Ucrânia e do programa para mudar a dependência energética.

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