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Les vaccins anticovid ont transformé les gens en zombies décérébrés

Nouveau MondeLes vaccins anticovid ont transformé les gens en zombies décérébrés

Nouveau Monde - 16 avr 2024

Michael Nehls est un médecin allemand titulaire d’un doctorat en génétique moléculaire. Il a publié deux articles avec des lauréats du prix Nobel.

   

Partout dans le monde, les performances mentales diminuent, en particulier chez les jeunes, tandis que les taux de dépression augmentent de façon spectaculaire. Une personne sur quarante souffre aujourd’hui de la maladie d’Alzheimer, et l’âge d’apparition de la maladie recule rapidement. Mais les causes ne sont pas éliminées. S’agit-il d’une coïncidence ? « The Indoctrinated Brain » présente un mécanisme neurobiologique puissant et largement méconnu, dont les multiples perturbations, passées le plus souvent inaperçues, sont à l’origine de ces évolutions catastrophiques. Dans ce livre, le Dr Michael Nehls, médecin et généticien moléculaire de renommée internationale, expose une chaîne de preuves stupéfiante qui suggère que derrière ces nombreuses influences négatives se cache une attaque ciblée et magistralement exécutée contre notre individualité, dans le but de priver les gens de leur capacité à penser par eux-mêmes. Mais il n’est pas trop tard. En révélant ces processus qui endommagent le cerveau et en décrivant des contre-mesures applicables individuellement, Nehls apporte de la lumière et de l’espoir à ce chapitre funeste de l’histoire de l’humanité. La question de savoir si notre espèce sera capable de préserver son humanité et son pouvoir créatif, ou si elle les perdra irrémédiablement, ne sera rien de moins que décidée à notre époque.

« Le livre de Michael Nehls, The Indoctrinated Brain (Le cerveau endoctriné), a suscité une vive controverse en raison de ses affirmations audacieuses concernant les effets des vaccins à ARNm COVID-19 sur la cognition et l’autonomie humaines. Nehls suggère que ces vaccins, parmi d’autres pressions modernes, font partie d’un assaut global de manipulation de l’esprit humain, visant à faciliter un contrôle gouvernemental accru sur les individus. Ses théories s’alignent sur des récits conspirationnistes plus larges, qui ont été diffusés par le biais de diverses plateformes connues pour héberger ce type de contenu.

Les travaux de Nehls ont été présentés lors d’une discussion avec Tucker Carlson, où il a exposé son point de vue sur la manipulation de la mémoire et de la cognition humaines par la peur, suggérant un effort délibéré pour contrôler la population. En outre, les théories de Nehls ont été citées par des sites conspirationnistes tels qu’Infowars dans un article intitulé “Molecular Geneticist Explains How mRNA Vaccines Were Designed to Conquer the Human Mind” (Un généticien moléculaire explique comment les vaccins ARNm ont été conçus pour conquérir l’esprit humain), ce qui associe encore davantage ses travaux à des récits marginaux.

En outre, The Indoctrinated Brain a été publié par Skyhorse Publishing, une société qui a l’habitude de publier des ouvrages à caractère conspirationniste. Skyhorse Publishing s’est fait une réputation en acceptant des auteurs que d’autres maisons évitent, y compris des personnalités qui ont propagé des informations erronées, notamment de fausses théories sur les vaccins contre le coronavirus. Cette toile de fond place le travail de Nehls dans un contexte spécifique de littérature controversée.

Si les hypothèses de Nehls ont été soutenues par certains cercles, notamment par des personnalités telles que Naomi Wolf et Stephanie Seneff, elles n’ont pas été largement acceptées par la communauté scientifique dominante. Les principales organisations de santé, dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), continuent de soutenir la sécurité et l’efficacité des vaccins COVID-19, réfutant les allégations selon lesquelles ils seraient des outils de manipulation gouvernementale.

Le débat autour de The Indoctrinated Brain illustre la tension entre les théories marginales et le consensus scientifique établi, soulignant les défis de la communication en matière de santé publique et de la lutte contre la désinformation à l’ère du COVID-19. »

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