La France, ingouvernable, n'est plus qu'un théâtre d'ombres. Le véritable pouvoir, désormais, siège à Bruxelles et à Francfort, où se trame la plus grande dépossession financière de notre histoire : l'euro numérique.
Derrière un jargon technique volontairement abscons se cache un projet éminemment politique de destruction des souverainetés nationales. La Banque Centrale Européenne, bras armé technocratique d’une Union européenne devenue un État fédéral despotique, œuvre à une mutation monétaire radicale.
L’objectif inavoué est un contrôle fiscal et financier total, usant de la taxation punitive de l’épargne dite « dormante » pour contraindre les citoyens à financer, bon gré mal gré, les projets fous du Green Deal. Ce qui se présente comme une simple modernisation n’est rien de moins qu’une reprise en main de la monnaie, non pas pour la mettre au service des peuples, mais pour asseoir la domination d’une oligarchie bruxelloise déconnectée.