Je suis géobiologue et sensibilisé par l’hygiène de l’habitat. Le terme géobiologie est formé de : géo – la « Terre » (du grec gê), bio – la « vie » (du grec bios) et logie – l’ « étude », la « raison » (du grec logos). Un géobiologue s’intéresse donc à une certaine sagesse de vie sur Terre appliqué à l’habitat, c’est-à-dire à l’espace qui offre des conditions favorisant la vie et le développement des différents règnes.

Quand on pense – habitat – on a souvent en tête la maison, l’appartement, le bureau, l’exploitation agricole… c’est-à-dire les murs abritant des êtres vivants. Mais nous sommes en 2023, les trois dernières années ont levé le voile sur l’infamie et le mal s’est montré au grand jour. Il est temps de se recentrer sur l’essentiel.

Dans mon parcours de vie j’ai fait plusieurs fois l’expérience concrète d’être vivant et conscient au-delà de mon corps charnel. Je sais que je ne suis pas mon corps physique, que je ne suis pas mes émotions, que je ne suis pas mes pensées. Ainsi, je ne m’identifie plus au « Cogito ergo sum » de Descartes. J’ai fait l’expérience du « Je Suis, donc je pense ». Un être humain est avant tout un esprit, un souffle vital, un principe de vie.

À noter que l’esprit n’est pas de la matière très raffinée et subtile, comme on peut le lire parfois, c’est un mensonge. L’esprit est immatériel et n’a aucun atome crochu avec la matière !

L’échelle de Bovis et la montée en fréquence

Pour de nombreuses personnes, la Terre est un organisme vivant. C’est un Être et son taux vibratoire augmente. C’est ce que constatent aussi de nombreux géobiologues et certains scientifiques. Un géobiologue évalue le taux vibratoire principalement sur un cadran de Bovis, établi par le radiesthésiste Alfred Bovis au siècle dernier. Son cadran standard s’échelonne de 0 à 18 000 unités Bovis [ UB ] (cf. image ci-dessus). Nombreux sont celles et ceux qui ont augmenté la limite supérieure jusqu’à 40 000, voir 300 000 unités Bovis pour mieux prendre en compte l’augmentation du taux vibratoire de la Terre et de certains lieux sacrés.

Pour ma part je suis resté avec la version standard. Pourquoi ? Parce que s’il est vrai que la Nature et la Terre ont amorcé leur transformation et ascension dans l’invisible (cf. ouvrage ci-après : Sauvons la Nature), il n’en est pas de même pour l’être humain, qui est en retard sur le Planning. L’échelle graduée jusqu’à 18 000 est encore suffisante aujourd’hui pour apprécier le taux de vitalité global des gens. La seule correction que j’ai apportée est le déplacement de la limite entre santé et maladie que je ne situe plus à 6 500 mais à 9 000 UB. Un être humain en bonne santé vibre selon moi à 12 000 UB sur cette échelle.

Certains scientifiques quant à eux étudient les résonances de Schumann dues aux champs électromagnétiques naturels qui circulent entre la croute terrestre et l’ionosphère. Ces fréquences sont générées principalement par les orages (éclairs) et l’activité solaire. La résonance de Schumann est considérée par les géophysiciens comme le « battement de cœur de la Terre » ! Elles sont mesurées la première fois en 1957 par Winfried Otto Schumann. Il repère et mesure alors l’onde de base à 7,83 Hz. Aujourd’hui elle aurait dépassé les 10 Hz avec des pics au-delà de 16 Hz.

Les résonances de Schumann s’insèrent dans le même domaine de fréquences que les ondes cérébrales. Toute variation notoire de leurs caractéristiques, due soit à des phénomènes naturels soit à des technologies artificielles comme le système HAARP a une incidence sur la santé humaine.

Pour de nombreuses personnes l’augmentation du taux vibratoire de la Terre est le signe distinctif qu’on quitte l’ère des Poissons pour entrer dans l’ère du Verseau, une ère de spiritualité et de fraternité. Grâce à Gaïa, l’humanité va elle aussi se spiritualiser et tout va aller pour le mieux.

C’est une grosse illusion !

Si j’augmente la fréquence de mon cerveau en le soumettant à des micro-ondes il crame et je meurs. Notre planète se spiritualise, mais pas l’être humain, du moins pas à la même vitesse. Il est trop lourd. Pour suivre le rythme il faudrait qu’il s’allège. Qu’il lâche la manipulation, le mensonge, la décadence, la terreur organisée, la nourriture frelatée, la 5G, le wokisme, la pédophilie, le massacre des enfants, les guerres inutiles, les attentats sous faux drapeaux, le gazage par chemtrails, les rituels satanistes, etc.

Vous en conviendrez, on n’y est pas. Nous sommes toujours à l’ère des Poissons et devons cultiver la foi dans le Créateur et Sa création pour changer de cap et nous transformer en profondeur.

Un habitat pour l’esprit

C’est dans ce contexte que j’ai revu la notion d’habitat. Si je suis avant tout un esprit libre qui s’incarne sur Terre pour évoluer quels sont les habitats, les véhicules, les enveloppes auxquels je dois prêter attention afin de les protéger, purifier, harmoniser, régénérer ?

Le sang : En partant de l’esprit, du souffle de vie, il y d’abord le sang. La science de l’esprit enseigne que l’essence même de l’être humain, l’ambassadeur de l’Âme en incarnation, son Je – le seul mot qui désigne celui par qui il est prononcé – s’exprime dans le sang (cf. ouvrage ci-après : conférence de Rudolf Steiner : Le sang est un suc tout particulier). La chaleur dans le sang est son support. D’où l’intérêt de garder le sang « propre » car il est intimement lié à la conscience de soi. Cela explique pourquoi certaines personnes en quête de notoriété ou de pouvoir signent le pacte qu’ils font avec le Diable de leur sang. Celui-ci, à travers le sang, s’empare alors d’une partie de l’individualité de l’imprudent. C’est très dangereux !

Le corps : Le réseau sanguin avec toutes ses ramifications se trouve aujourd’hui dans le corps de l’être humain. Il fonctionne en circuit fermé. Tout comme je prends soin de mon sang, je prends aussi soin de mon corps physique. Je lui donne une nourriture vivante, je ne le surcharge pas, je pratique de temps en temps le jeûne, je l’amène en nature pour le rééquilibrer et le recharger, je prends soin de mon sommeil, etc.

Les habits : Je ne me balade pas tout nu, je porte des habits. Souvent ils sont l’expression de mon être intérieur. Je me nourris de couleurs, de textures. Je fais attention de ne pas acheter des vêtements toxiques, j’évite la chimie comme le formaldéhyde, les composés perfluorés, les colorants artificiels, les nanoparticules, etc. Je prends conscience que je suis en contact quasi permanent avec les tissus : sous-vêtements, vêtements, draps, pyjamas. Je choisis mes lessives, j’évite les assouplissants.

La voiture : Ce corps nous le déplaçons et nous passons beaucoup de temps dans nos chers engins. J’y inclus aussi les transports en commun, le bus, le train, le métro. Dans ces espaces confinés l’air y est parfois dense, lourd, irrespirable. Je prends soin d’aérer mon habitacle, de changer les filtres à temps, d’utiliser des diffuseurs d’huile essentielle et non des arômes artificiels, j’évite de fumer ou de vapoter. Je n’utilise pas mon téléphone portable pour le GPS, je n’active pas la wifi ou le bluetooth, etc.

La maison : On en vient à l’habitat proprement dit. Je mets le véhicule au garage et j’ai habituellement un toit sur la tête. C’est là que j’éduque mes enfants, je prends soin du foyer familial. Autant que possible j’essaie d’utiliser des matériaux nobles comme le bois, j’évite les peintures polluantes, les revêtements toxiques. J’opte pour un chauffage économe et respectueux de la nature. Je cherche des solutions pour abaisser l’intensité des champs électromagnétiques hautes fréquences comme la wifi et les faisceaux d’antennes relais. Je n’utilise pas de dispositifs polluant le 50 Hz de mon réseau domestique, j’évite les croisements géotelluriques pathogènes, etc.

L’éco-lieu : Mon habitat peut faire partie d’un village en transition, d’un éco-quartier, d’un éco-village. Autonomie, éco-construction, école alternative, maraichage en permaculture, en biodynamie, gouvernance partagée, monnaie locale, communication non violente sont des valeurs partagées par de plus en plus de personnes. Des initiatives de vie en communauté privilégiant convivialité, entraide et décroissance existent déjà un peu partout en France et dans le monde. Il existe pas moins de 1 000 oasis en France actuellement. Ces regroupements sont souvent proches et respectueux de la Nature.

L’emboîtement de ces différents espaces peut être vu comme les emblématiques poupées russes, des matriochkas où « JE » demeure. Tous ces habitats devraient être dans l’absolu en accord avec l’esprit que nous sommes et convenir à la vie.

Un fléau terriblement intrusif

Jusqu’à récemment l’espace privé était respecté par les institutions. La vie privée, la propriété privée était un espace – temps où nous étions souverains. D’ailleurs l’article 17 de la déclaration des droits de l’homme de 1789 ne stipule-t-il pas que la propriété est un droit inviolable et sacré !

Ce n’est plus vrai. Aujourd’hui notre « chez soi », à tous les niveaux, est mis à mal par un monde de plus en plus connecté.

Le peuple se voit proposé / imposé :

La ville intelligente ( smart city ) : Ces villes connectées à la pointe des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) auraient comme objectif une meilleure optimisation et répartition des ressources. Elles touchent à des domaines aussi variés que le logement, la mobilité, le commerce, la sécurité, le travail, l’éducation, etc. Est apparu aussi le concept de villes 15 minutes où les services essentiels tels que magasins, écoles, parcs, etc. seraient disponibles en un quart d’heure à pied ou à vélo de sa demeure.

La maison connectée ( smart grid ) : La domotique s’invite allègrement dans nos chaumières. Il suffit de penser au chauffage par exemple, à la sécurité. L’idée que ses occupants puissent surveiller et gérer à distance leur lieu de vie est séduisante. À cela s’ajoute les appareils connectés tels que le frigo, l’aspirateur, la tondeuse, les enceintes bluetooth, l’imprimante, le wifi de la box internet, etc. Tout ça c’est bien pratique, mais il faut savoir que d’autres gens surveillent votre ligne aussi et engrangent des données privées à foison. L’état veut vous connecter à la smart grid et vous terrorise pour que vous acceptiez des compteurs d’électricité, de gaz et d’eau « intelligents ».

La voiture connectée ( smart phone ) : De plus en plus de voitures dites intelligentes disposent aujourd’hui de systèmes de communication embarqués qui permettent des communications sans fil avec l’environnement, le constructeur automobile et ses partenaires. Elles vont disposer de série d’une boîte noire (comme dans les avions) afin de traquer tous les faits et gestes de votre auto et de ses occupants, sécurité oblige. J’ai pu constater que chez certains constructeurs la navigation n’était plus livrée en série et qu’elle devenait une option. Ce qui pousse les utilisateurs à brancher leur téléphone portable pour avoir le GPS et internet.

Les habits connectés ( smart wearables ) : Les Smart Wearables, appelés plus simplement « Wearables » sont de petits systèmes informatiques qui peuvent être portés directement sur le corps comme accessoire ou comme vêtement. Ces technologies incluent notamment des textiles, des traqueurs de santé, des lunettes, des écouteurs, des montres, des bijoux connectés. Tout cela est intégré via les radiofréquences au vaste réseau de l’Internet Of Things (IOT), l’internet des objets.

Un corps pucé ( microchip implant ) : La puce électronique sous-cutanée n’est plus un scénario de film de science-fiction. Elle permet d’embarquer avec soi ses clés de maison, son porte-monnaie, ses billets de train, ses cartes de visites, son dossier médical, etc. En Suède, pays féru de nouvelles technologies, quelques milliers d’inconscients en sont déjà équipés. Le sujet peut via le Wireless Body Area Network (WBAN) être facilement intégré à la smart grid et au mode de vie intelligent mais néanmoins aliénant plébiscité par les transhumanistes.

Un sang connecté ( smart dust ) : La poussière intelligente est un réseau sans fil de minuscules microsystèmes électromécaniques, de capteurs, de robots ou de dispositifs informatiques autonomes à l’échelle submillimétrique. Elle détecte et enregistre des données sur son environnement, telles que la lumière, la température, le son, la présence de toxines ou les vibrations, et transmet ces données à des systèmes informatiques plus importants. Suite à la campagne menée à l’échelle planétaire d’injection ARNm pour enrayer la pandémie Covid (qui s’est éteinte en juin 2020) de nombreux injectés se sont retrouvés avec des structures en nano-carbone dans leur sang ayant des propriétés d’auto-assemblage, ce qui peut expliquer les nombreux effets secondaires dus aux injections Covid. D’après une étude publiée en septembre 2023 les quelque 13 milliards de doses distribuées auraient provoqué environ 17 millions de morts sur la planète. De surcroît nombre d’observateurs détectent sur leur smart phone des signaux de type bluetooth non identifiés quand ils sont proches de personnes ayant été injectés avec la thérapie génique expérimentale.

On l’aura compris. Tout objet et tout être vivant est destiné à être identifiable numériquement et connecté à un gigantesque réseau de télécommunication. Cela est techniquement possible grâce aux radiofréquences millimétrées que sont la 5G, la 6G, etc.

L’électrification à outrance de la Terre et de l’humanité est un véritable fléau, elle assèche, elle fige, elle tue le vivant.

En résumé on vit quoi ?

Une planète qui s’épure, qui se spiritualise et dont le taux vibratoire augmente.

Une humanité qui se densifie, qui s’animalise et dont le taux vibratoire est ralenti. En effet l’électromagnétisme est une énergie dense qui fait chuter l’homme. Plus les fréquences augmentent 4G, 5G, 6G et plus l’être humain s’alourdit. Il prend des G (gravité – unité d’accélération) et chute grave. Les technologies high tech l’amène à se rigidifier, à s’engluer dans la matière. Il est donc loin de se spiritualiser et d’accompagner l’ascension de la Terre.

Alors on fait quoi ?

Connaissez-vous le signe astrologique du Soleil ? C’est un cercle avec un point au milieu. Le Soleil est une étoile qui se suffit à elle-même. Ses rayons nous bercent, nous apaisent, nous réchauffent, nous illuminent. Le Soleil est source de vie sur Terre.

On vient de voir que la société est devenue dangereusement intrusive, elle pénètre partout et viole notre espace privée. Elle fait pression sur le cercle extérieur (image des matriochkas) et Je dois y résister pour ne pas faire entrer n’importe quoi chez moi et perdre l’équilibre. La solution est de renforcer le cœur, l’esprit individuel pour qu’il rayonne fort afin de créer une aura protectrice du vivant. Je me solarise, je sanctifie mes habitats et fonctionne à ma mesure comme un mini-soleil.

Avant tout, je fais des choix, je résiste à la déferlante mortifère. Pourquoi ? Plus l’étau se resserre et plus je dois chercher au fin fond de mon être des ressources pour faire face au mal. On se surprend alors à avoir plus de force qu’on ne le pensait. Et d’où vient le surplus ? Elle provient de notre Âme (avec un grand A), de notre Soi supérieur. Elle est notre Soleil et quand nous arrivons à nous y relier, alors c’est une force d’Amour qui se déverse dans notre cœur spirituel au centre de notre poitrine. Cela procure de la dignité, de la joie, une paix profonde. Cette force d’amour qui jaillit est abondante, elle déborde de partout et nous pouvons en abreuver toutes celles et ceux qui vivent autour de nous. Nous savons alors que, dans cet état, le mal ne peut pas nous atteindre. Que l’être humain n’est pas la petite chose qu’on essaie de nous vendre à tout bout de champ. L’Homme est grand, son potentiel est considérable et tout est possible.

La résistance consciente au mal déclenche des forces de vie. Et c’est cela qui sauvera l’humanité.

Quelques jours avant de quitter ce monde, le Professeur Luc Montagnier, lors de son discours en extérieur à Milan le 15 janvier 2022, a prononcé cette curieuse assertion :

« C’est aux non-vaccinés qu’il appartiendra de défendre l’humanité. »

Aurait-il saisi la même chose ?

L’être humain est un trait d’union entre terre et ciel, il est donc vital qu’il garde un équilibre entre ces deux pôles. Voici les paroles du Christ concernant la période actuelle :

« Ils seront nombreux, alors, ceux qui perdront leur équilibre et qui se trahiront et se haïront les uns les autres. De nombreux faux prophètes se lèveront et ils séduiront beaucoup de gens. Et dans l’anarchie qui se généralisera, la faculté d’aimer s’éteindra chez plus d’un. Mais celui dont la patience ne perdra pas de vue le but sera sauvé. »

Petite Apocalyspe : Mt 24 / 10-13

article issu d’un exposé proposé par Marc Hild (octobre 2023)

Bibliographie

Une proposition de deux ouvrages pour approfondir le sujet

transformation et ascension de la Nature, révélations sur le sang

Sauvons la Nature - de Pierre Lassalle

éditions Terre de Lumière

Pierre Lassalle

Le sens de la vie - Rudolf Steiner

Triades Poche

Rudolf Steiner