Alors que la guerre en Ukraine occupe le devant de la scène médiatique, une autre bataille, plus silencieuse mais tout aussi décisive, se joue : celle de l'information. À travers une immersion directe dans le Donbass, Alain Soral et Franck Pengam offrent un point de vue radicalement opposé au discours dominant en Occident. Sur le terrain, la réalité contredit les narratifs médiatiques : infrastructures en pleine reconstruction, population largement pro-russe, absence d’un climat de guerre tel qu’il est décrit par les grands médias.
Derrière les accusations de crimes de guerre et la diabolisation de la Russie, se révèle une volonté d’hégémonie idéologique et géopolitique. L’Ukraine devient l’écran de fumée d’une lutte plus profonde : celle entre deux visions du monde.
La figure de Vladimir Poutine s’impose comme celle d’un contre-pouvoir global, en opposition frontale à la dérive morale et identitaire de l’Occident. Cette vision du conflit bouscule toutes les certitudes : elle interroge la souveraineté, l’avenir des nations, et le rôle des élites occidentales dans l’effondrement de leurs propres sociétés.
Entre manipulation médiatique, retour du réel et confrontation des blocs, cette émission propose un renversement total de perspective sur la géopolitique contemporaine.
« ... C'est ça aussi le l'espoir qu'on peut avoir et ça serait je dirais quelque part l'échec de l'anti-Christ. D'ailleurs dans l'eschatologie je rappelle que l'anti-Christ vient il gagne pendant un certain temps et il finit par être vaincu. Donc on est dans ce moment de fin de l'histoire qu'on peut expliquer de manière totalement matérialiste comme je viens de le faire par des relations géopolitiques économiques historiques mais on peut aussi le faire de façon théologique et ces deux visions matérialistes et et religieuses s'emboitent parfaitement.
Voilà, nous sommes dans une période de fin des Temps.
Nous sommes dans une période où l'anti-Christ est sur le point d'arriver. Mais il est certain, quand on fait une analyse hégélienne de la situation, qu'il ne peut que perdre, même pas à long terme, à moyen terme !
J'espère simplement être vivant jusqu'au bout pour voir ce que ce que je suis en train de vous prophétiser... ».