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Revolution 2030 : autre sourceEuro Numérique : C'est bien pire que ce que vous imaginez !

Revolution 2030 : autre source - 01 oct 2025

L'Europe s'apprête à basculer dans une nouvelle ère monétaire avec l'euro numérique. La BCE promet la modernité, la souveraineté et la sécurité.

   

Paiements instantanés partout en Europe, indépendance face aux géants américains comme Visa et Mastercard, une monnaie stable garantie par l'institution la plus puissante d'Europe.

Sauf que derrière ces promesses dorées se cache peut-être le plus grand piège du siècle. Un système qui pourrait tracer CHAQUE centime que vous dépensez, limiter vos économies, décider comment utiliser VOTRE argent et même faire disparaître vos avoirs d'un simple clic.

Les mécanismes sont déjà en place : prélèvements automatiques instantanés, taux négatifs directs sur votre épargne, restrictions géographiques des dépenses, crédit carbone individuel, monnaie à expiration... Ce n'est pas de la science-fiction, c'est dans les rapports officiels de la BCE.

La fin de la phase test approche, la BCE devra décider.

Au programme:
0:00 Introduction
3:06 Ah la modernité…
5:22 La mécanique implacable du contrôle total
6:58 Les précédents qui inquiètent
7:51 L'infrastructure est prête
8:50 Une question de souveraineté ?
10:02 La fin du cash : La disparition programmée de la liberté
10:57 La censure financière : L'arme ultime contre la dissidence
11:59 Soyez rassurés, vous êtes en sécurité !
14:41 La monnaie unique divise en Europe

Le Media en 4-4-2L’État peut-il réquisitionner notre épargne ? Une question d’actualité !

Le Media en 4-4-2 - 05 déc 2024

La question de savoir si l'État peut réquisitionner notre épargne suscite à la fois crainte et scepticisme. Pourtant, cette interrogation est plus pertinente que jamais.

   

Des politiques de tous bords évoquent la nécessité pour les citoyens de participer au redressement de la France, y compris par le biais de leur épargne. Mais qu'en est-il réellement ? Réponses avec Romain Gougeon.

Une dette abyssale

La France n’a plus de budget à l’équilibre depuis les années 70. Cela signifie que pour financer ses besoins annuels, l’État doit emprunter sur les marchés. Ces emprunts servent non seulement à payer les fonctionnaires, entretenir les infrastructures et les hôpitaux, mais aussi à rembourser la dette existante. Cette situation crée un cercle vicieux où chaque année, la dette s’accroît. Aujourd’hui, la dette de l’État s’élève à 3200 milliards d’euros, un montant colossal qui représente neuf fois la dette totale du continent africain.

Les outils juridiques à disposition de l’État

L’État dispose de plusieurs outils juridiques pour ponctionner l’épargne des Français. Parmi eux, l’Avis à Tiers Détenteur (ATD) et le SATD permettent de saisir directement sur les livrets ou les contrats d’assurance vie en cas de non-paiement d’impôts ou d’amendes. La loi Sapin 2, via son article 21 bis, autorise le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF) à contrôler les retraits et les mouvements des particuliers en cas de perturbation bancaire. Enfin, en situation de crise ou de guerre, l’État peut réquisitionner des biens mobiliers ou immobiliers, comme ce fut le cas durant la Seconde Guerre mondiale.

Une question de transparence et de droit de propriété

La question de la réquisition de l’épargne soulève des interrogations sur la transparence de l’État et le respect du droit de propriété. Bien que certains outils aient été initialement conçus pour régler des dettes fiscales, leur utilisation pour ponctionner l’épargne des citoyens pose des problèmes éthiques et juridiques. L’État doit faire preuve de transparence et garantir que toute réquisition serait accompagnée de contreparties claires, telles que des rendements ou des remboursements à terme. La résilience des citoyens face à des mesures exceptionnelles, comme le confinement de 2020, montre que des scénarios jugés improbables peuvent devenir réalité.

par Yoann

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Le Media en 4-4-2Carrefour lance le paiement avec la paume de la main

Le Media en 4-4-2 - 26 juil 2024

Carrefour s'apprête à introduire une méthode de paiement flippante qui permettra à ses clients de régler leurs achats simplement en utilisant la paume de leur main.

   

Cette expérimentation sera lancée le 29 juillet dans un magasin Carrefour Market situé dans le 6e arrondissement de Paris. Cette nouvelle technologie, développée par Ingenico, utilise la reconnaissance palmaire pour identifier les clients. Ces derniers devront préalablement enregistrer le schéma veineux de leur main via une borne prévue à cet effet, puis associer ces données à leur carte bancaire. Par la suite, il leur suffira de passer leur main au-dessus d’un terminal de paiement pour finaliser leurs achats…

Carrefour souligne qu’il s’agit d’une première en Europe. Ce système de paiement, déjà en place dans certains magasins Whole Foods aux États-Unis, vise « à faciliter le passage en caisse et à améliorer l’expérience client ». L’enseigne française insiste également sur la haute sécurité offerte par ce dispositif en ce qui concerne les données personnelles et bancaires.

Nous, on voit plutôt dans cette innovation une étape de plus vers la disparition de l’argent liquide et le renforcement du contrôle sur nos transactions. Face à la montée en puissance de la monnaie numérique et aux risques de surveillance et d’asservissement qu’elle représente, il est essentiel de résister et de promouvoir l’utilisation des espèces.

Payer en liquide, c’est non seulement un moyen de maîtriser ses dépenses et de bénéficier d’une capacité d’achat immédiate, mais c’est aussi un acte de résistance contre le contrôle social généralisé et la perte de confidentialité des paiements. Avec la carte bancaire et les nouveaux systèmes de paiement en préparation, notre vie privée est menacée, car les banques et l’État ont accès à nos achats en détail, favorisant ainsi l’instauration d’un crédit social insidieux.

En utilisant l’argent liquide, nous protégeons notre argent et évitons que les banques ne le bloquent en cas de crise financière. Retirer son argent des banques, c’est également affaiblir le système bancaire et reprendre le contrôle sur notre argent.

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GéopolintelLe Jackson Hole Forum et la FED, épicentre de la puissance mondialiste

Géopolintel - 28 juin 2024

Tout le monde connait le forum de Davos et son emblématique président Klaus Schwab, héritier de l’ancien diplomate Henry Kissinger. En revanche, le Jackson Hole Forum est un inconnu beaucoup plus puissant, qui dicte les directives de la finance internationale.

   

Le Jackson Hole Forum n’invite pas de dirigeants politiques, et c’est en cela que l’on peut déduire que le monde est régulé par les banquiers centraux et la succursale principale, la Banque des Règlements Internationaux.

Le monde économique a subi une révolution qui s’est tenue au Jackson Hole Forum au début des années 2010, les banquiers centraux ont créé le Quantitative Easing, qui permet de laisser filer les déficits des états pour augmenter leur taux d’endettement par l’intervention de la banque centrale qui achète la dette et émet de la monnaie. Cette technique a accéléré l’endettement des pays tout en donnant plus de pouvoir aux banques centrales qui fixent les taux d’emprunt et l’inflation.

Le fameux quantitative easing est né au Jackson Hole Forum

Le Jackson Hole Forum est peu à peu devenu, depuis sa création, une sorte de congrès international de la politique monétaire. C’est ici, en 1990, que les argentiers occidentaux firent le point avec leurs collègues banquiers centraux de l’ex-URSS sur la façon de gérer la désintégration du communisme. Président de la Réserve Fédérale de 2006 à 2014, Ben Bernanke, en fut bien sûr un habitué. Doté d’un solide bagage académique, ancien de Harvard et du MIT, ce quinquagénaire à la barbe bien soignée se sentait ici chez lui. Et c’est au pied des Monts Tétons, en août 2010, qu’il pérennisa sa politique de quantitative easing qui consiste à intervenir de façon massive et accommodante sur les marchés « si la situation l’exige » -voilà le bout de phrase retenu par les salles de marchés- afin d’accompagner et favoriser la relance économique.

Il est vrai que cet été-là, la conjoncture n’était pas bonne. La croissance américaine avait été révisée à la baisse à 1,6% et le taux de chômage pointait à 9,5%. Les marchés mettront quelques séances à bien comprendre le sens du discours. Mais le message finira par passer : la Banque centrale est prête a faire fonctionner à fond la planche à billets pour sortir l’économie américaine de l’impasse. Les spécialistes parlent de quantitative easing, de « QE2 » (prononcer « kiouitou »), de politique monétaire non orthodoxe, ou plus simplement d’épandage de dollars. Aux commandes de son hélicoptère, le pilote de la Réserve fédérale, cet été-là à Jackson Hole, est venu expliquer qu’il était prêt à vider ses soutes pour éteindre l’incendie. (source Challenge.fr)

Le Jackson Hole Global Forum, s’est réuni le 21 juin 2021, le thème du symposium s’appelait, « Economic Policy in an Uneven Economy », il supposait que l’on se concentre sur la situation inégale de l’emploi et la montée des inégalités sous l’effet des avancées technologiques et de la numérisation. La réserve fédérale Américaine ne se voyait pas réduire ses achats d’actifs, c’est à dire limiter la planche à billet, à moins que le marché du travail ne parvienne à réaliser des gains généralisés et inclusifs avec la finance verte et la norme des ESG appelée maintenant par Berçy ISR (investissements solidaires et responsables).

La Banque des règlements internationaux BRI a créé un fond « green bonds » destiné aux banques centrales pour répondre à la demande croissante d’investissements respectueux du climat. Un sondage effectué par la BRI auprès de 67 institutions, les gestionnaires de réserves de change sont 63 % à estimer qu’il pourrait être opportun d’inclure la durabilité dans leurs objectifs, à côté de la liquidité, de la sécurité et de la performance financière.

Cette nouvelle bulle économique pour contrer la fin du dollar et la montée des BRICS se retourne finalement contre ses créateurs. Ces énergies renouvelables ont du mal à atteindre la rentabilité attendue et sont devenues peu fiables en termes d’approvisionnement.
C’est un fiasco et la BRI comme la Réserve Fédérale ne peuvent endiguer la fin du dollar avec l’idéologie climatique. Les fonds de gestion d’actifs constatent que la politique absurde pilotée par les lobbies des banques centrales fait perdre beaucoup d’argent et de crédibilité auprès des investisseurs.

Vanguard, deuxième fond de gestion d’actifs financiers au monde derrière BlackRock, quitte la Net Zero Asset Managers Initiative .
« Nous avons décidé de nous retirer de NZAM afin de pouvoir fournir la clarté que nos investisseurs souhaitent sur le rôle des fonds indiciels et sur la façon dont nous pensons aux risques matériels, y compris les risques liés au climat »
« De telles initiatives de l’industrie peuvent faire avancer un dialogue constructif, mais parfois elles peuvent aussi semer la confusion quant aux points de vue des entreprises d’investissement individuelles. Cela a été le cas, en particulier en ce qui concerne l’applicabilité des approches nettes zéro aux fonds indiciels largement diversifiés privilégiés par de nombreux investisseurs de Vanguard »
« Ce changement de statut de membre de NZAM n’affectera pas notre engagement à aider nos investisseurs à gérer les risques que le changement climatique peut poser à leurs rendements à long terme ».

A force de développer ces politiques qui parasitent nos dépenses publiques, les pays qui ont recours à la dette pour maintenir une croissance artificielle, ne peuvent plus financer leur budget, comme la France qui a besoin d’économiser 20 milliards pour le budget 2025. La coupe budgétaire va concerner la transition climatique, à moins que les banquiers centraux du Jackson Hole Forum, actent de piller nos placements pour les investir dans les fonds durables comme le Livret Vert.

Le futur projet de loi sur l’industrie verte va acter le « Livret vert » pour remplacer le Livret de développement durable et solidaire (LDDS). Ce nouveau Livret vert permettrait d’orienter « une partie de l’épargne vers des investissements en faveur de l’industrie verte et, de manière plus large, de la décarbonation de l’économie. L’autre produit d’épargne est un « Livret climat » réservé aux mineurs. Plafonné à 12 000 €, ce nouveau produit d’épargne pourrait être ouvert par les parents dès la naissance de leur enfant.

La FED en faillite

Un événement historique vient de se produire à la Réserve fédérale : ses pertes d’exploitation cumulées ont dépassé les 100 milliards de dollars. Ce chiffre surprenant, que l’on aurait cru impossible auparavant, a été publié le 14 septembre 2023.
Côté européen, la Banque centrale européenne a enregistré 1,3 milliard d’euros de pertes en 2023. C’est la première fois depuis 2004 que le résultat de la BCE est négatif. Pour équilibrer ses pertes, la BCE a puisé dans ses réserves à hauteur de 6,6 milliards d’euros.

La Fed a enregistré ses premières pertes d’exploitation en septembre 2022, soit cinq mois après le début du conflit ukrainien. La perte nette de la Fed pour l’année civile 2023 représente 117 milliards de dollars. Les pertes cumulées de la Fed s’élèvent à 134 milliards de dollars. Cela signifie que les pertes auront épuisé la totalité du capital de la Fed, soit 43 milliards de dollars, plus 91 milliards de dollars supplémentaires, soit des pertes de plus de trois fois son capital.

Pour maintenir la puissance du dollar, la FED prête à 2 % et emprunte à 5 %. Et que dire de tous ces dollars qui ne vont plus être utilisés dans la vente du pétrole de l’Arabie Saoudite.
Les investissements négatifs de la FED ne vont pas se résorber en quelques mois, il va falloir attendre des années pour revenir à l’équilibre. Dans ce contexte de faillite, qui peut encore vouloir acheter la dette des USA et qui veut encore utiliser le dollar pour les paiements à l’international ?

La spirale de la dette de la FED ne s’arrête pas là, en 2023, la banque centrale des Etats Unis, a reconnu, dans un rapport concernant la faillite de la banque américaine SVB, d’avoir mal estimé le niveau de stabilité des banques américaines. Pour remédier à la panique d’un écroulement du système, la FED à investi 25 milliards de dollars.
« La Fed mettra à disposition des fonds supplémentaires pour permettre aux banques de répondre aux besoins de tous leurs déposants. Cette action renforcera la capacité du système bancaire à protéger les dépôts et à assurer la fourniture continue d’argent et de crédits à l’économie. »

Devant une future défaite en Ukraine, une possible élection de Trump en novembre et une inflation importante, la FED vit peut être ses derniers instants en tant qu’institution.
Tous les pays qui soutiennent Biden, la FED et le dollar vont tomber. Nous sommes à la veille du nouveau Reset mondial qui nous libèrera.

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TVLibertesAvoir du cash, ce n'est pas une mauvaise idée

TVLibertes - 17 juin 2024

Tom Benoit : « Seul l’argent liquide est de la monnaie banque centrale »

   

Tom Benoit, directeur de la rédaction de Géostratégie magazine, met en lumière une alternative souvent négligée dans les débats financiers : la différence entre la monnaie banque centrale et la monnaie commerciale. Selon lui, l'argent liquide est le seul véritable représentant de la monnaie fiat.

La monnaie banque centrale, contrairement à la monnaie commerciale, ne circule pas dans l’économie, sauf sous forme d’argent liquide. Les pièces et les billets sont donc de la monnaie centrale, ce qui explique pourquoi les gouvernements et les banques centrales, dont la Banque centrale européenne, cherchent à réduire au maximum la circulation de l’argent liquide.

Cette réduction de l’argent liquide permettrait aux banques de ponctionner plus facilement l’épargne des particuliers et d’imposer des mesures telles que l’union des marchés de capitaux. Cependant, l’argent liquide, en tant que monnaie banque centrale, ne peut pas être effacé sans affecter la valeur de toute la monnaie. Ainsi, selon Tom Benoit, détenir de l’argent liquide est une forme de sécurité pour les particuliers.

L’économiste souligne que l’argent liquide ne peut pas faire faillite, sauf si la banque centrale fait faillite. Ainsi, dans un contexte où la monnaie numérique de banque centrale est de plus en plus discutée, il est important de se rappeler que l’argent liquide a une valeur et une sécurité particulières.

Yoann - Le Media en 4-4-2

BIEN COMMUN

Revolution 2030 : autre sourceSEKEM - Un miracle dans le désert

Revolution 2030 : autre source - 18 août 2025

Naissance d'une communauté durable dans le désert égyptien

   

Quand Ibrahim Abouleish rentra en Egypte en 1977 après un brillant début de carrière de pharmacologue en Autriche, il avait 40 ans. C'est alors qu'il acheta 70 ha de désert non loin du Caire pour y fonder un nouveau type de communauté qui puisse soigner autant la terre que les hommes.

Sa mission est impossible, son histoire est exemplaire, découvrez ce modèle à travers la capsule ci-dessous. Elle est en anglais mais vous pouvez activer les sous-titres.

Égalité et RéconciliationLes incendies criminels de l’Aude sont-ils accidentels ?

Égalité et Réconciliation - 17 août 2025

On sait désormais que la répression sanitaire a servi, au-delà du marketing pour vendre de faux vaccins, à dégraisser le service public français.

   

Cinq mille pompiers ont été suspendus en 2021 pour la même raison. L’État néolib faisait d’une pierre plusieurs coups :

  • économiser des centaines de millions en salaires
  • réduire toute résistance dans les services de santé et de sécurité
  • pousser la population vers la santé privée
  • brûler les récalcitrants en place publique, en guise d’exemple.

Le site de Pierre Cassen revient sur cette ignominie, et relie ces décisions absolument calculées aux grands incendies actuels, et à l’impuissance des soldats du feu dans l’Aude.

Derrière ces incendies criminels et difficiles à réduire, il y a souvent une intention de « reconstruction ».

Plus personne ne crie au complot tant le crime de l’Aude est signé. La flotte de canadairs, que le petit Attal avait promis de moderniser, n’était à la mi-juillet capable d’aligner que huit appareils sur douze...

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Le Media en 4-4-2Comment l’UE a transformé l’Aude en poudrière

Le Media en 4-4-2 - 08 août 2025

Vignes arrachées, forêts abandonnées : Comment l’UE a transformé l’Aude en poudrière… avant d’accuser le climat

   

La folie destructrice de Bruxelles
L’UE, sous couvert de « renaturation », a exigé le démantèlement des barrages en Espagne, transformant les plaines en zones inondables. En France, le ministère de l’Agriculture achève le travail. Sous prétexte de la pénurie des bouteilles en verre fabriquées par des usines ukrainiennes qui ont fermé, de l’augmentation des coûts de la production, des vignobles entiers sont rasés « de manière définitive », selon ses propres termes. Afin de « Réduire la dépendance aux engrais russes » selon un décret de 2022, repris par la PAC, un droit de douane de 6,5 % sur les engrais importés de Russie et de Biélorussie sera instauré en 2025 et 2026, assorti d’une taxe entre 40 et 45 €/tonne dont le montant sera porté à 430 €/t d’ici à 2028… L’arrachage, sous prétexte de guerre en Ukraine, est définitif. On ne peut qu’en conclure à la volonté de prolonger cette guerre indéfiniment.

Les vignes, pourtant barrières naturelles contre les incendies, laissent place à des friches inflammables. Le résultat ? Des incendies monstrueux, prévisibles, et surtout… fort pratiques pour justifier la suite.

Subventions et sabordage organisé
La méthode est rodée : noyer les pêcheurs baltes sous les réglementations, leur offrir des primes pour couler leurs bateaux, puis les regarder sombrer dans l’alcoolisme. Même scénario pour les agriculteurs français, payés pour arracher leurs vignes et interdits de replanter. L’objectif ? Réduire l’offre, faire flamber les prix, et précipiter les Européens dans une misère calculée. Le tout au nom d’un climatisme qui, ironiquement, aggrave les catastrophes qu’il prétend combattre.

L’écologie, cheval de Troie de la décivilisation
Demain, le DSA (Digital Services Act) criminalisera le « doute climatique », interdisant même ce genre de propos. Mais comment ne pas voir le cynisme d’une caste qui, tout en promouvant panneaux solaires et éoliennes made in China, s’enferme dans des datchas climatisées ? L’Europe n’est plus celle du Concorde ou du TGV, mais celle des terres en friche et des paysans expropriés. Jusqu’à quand laissera-t-on ces pyromanes diriger les pompiers auxquels ils ne concèdent que des Canadairs de 30 ans d’âge ?

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Réseau InternationalL’Afrique se déchire… et un nouvel océan pourrait naître

Réseau International - 16 juil 2025

Dans les profondeurs de la Corne de l’Afrique, des forces tectoniques titanesques sont à l’œuvre.

   

Dans la région de l’Afar – là où se rencontrent l’Éthiopie, Djibouti et l’Érythrée – trois plaques tectoniques s’écartent lentement les unes des autres, à un rythme pouvant atteindre 8 mm par an.

Cette lente divergence, alimentée par la remontée de magma depuis le manteau terrestre, déchire littéralement le continent. Elle provoque fissures, affaissements, soulèvements… et selon les scientifiques, elle pourrait, à terme, donner naissance à un nouvel océan.

Si cette expansion continue, la portion orientale de l’Afrique pourrait finir par se détacher entièrement, formant une vaste île, comparable à la péninsule Arabique.

Grâce à l’imagerie satellitaire et à la cartographie GPS, les chercheurs suivent en temps réel cette transformation géologique majeure. La dépression de l’Afar, située entre la mer Rouge et le golfe d’Aden, est aujourd’hui considérée comme la dernière étape avant une véritable ouverture océanique.

Un jour, les eaux de l’océan Indien pourraient s’y engouffrer, remodelant profondément la surface de la Terre. Ce serait l’un des événements géologiques les plus spectaculaires depuis des millions d’années.

Et ce «jour» pourrait arriver d’ici 1 à 20 millions d’années – un clin d’œil à l’échelle de la planète, une éternité à notre échelle.

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Réseau InternationalÀ votre santé - Quand les plantes chantent

Réseau International - 08 juil 2025

Invitée : Anne-Marie Nageleisen, écrivain, créatrice et lanceuse d'alerte

   

Une émission du Dr Eric Loridan

ÉCOLOGIE

QactusQuand le génie naturel ridiculise la bureaucratie humaine en deux jours

Qactus - 24 sep 2025

Castors Tchèques : Ils l’ont fait !

   

Sans powerpoint, sans comité de pilotage, sans appel d’offres, et surtout sans demander l’avis de quiconque. Alors que les humains de la zone protégée de Brdy, en République tchèque, débattaient, planifiaient et reportaient depuis sept ans la construction d’un barrage pour restaurer les milieux humides, les castors locaux, lassés de tant de verbiage, ont sorti leurs griffes. Résultat ? En quarante-huit heures à peine, l’ouvrage était achevé, fonctionnel, et surtout, entièrement gratuit.

Ce prodige d’efficacité jette une lumière crue, et franchement gênante, sur les méthodes de Homo bureaucratus, cette sous-espèce humaine qui pense que résoudre un problème nécessite impérativement un budget à sept zéros et un calendrier s’étalant sur plusieurs mandats politiques. Pendant des années, les autorités ont épluché des dossiers, tergiversé sur le choix des matériaux, organisé des réunions pour planifier les prochaines réunions. Les castors, eux, ont simplement utilisé ce qui traînait : des branches, de la boue, et une intelligence pratique millénaire.

Le plus cocasse dans cette affaire n’est pas tant la vitesse d’exécution de nos amis rongeurs, mais la perfection avec laquelle leur « projet sauvage » correspond aux objectifs humains. Le barrage castor remplit toutes les fonctions promises par le projet fantôme : contrôle de l’érosion, filtration de l’eau, création d’habitats. Il a même offert un bonus que le cahier des charges n’avait probablement pas prévu : une leçon magistrale en humilité.

La cerise sur le gâteau ? Une économie nette de 10 millions de couronnes pour les contribuables tchèques. Les castors n’ont pas envoyé de facture, n’ont pas exigé de dédommagement pour retard, et n’ont même pas réclamé de brevet pour leur invention. Ils sont déjà passés à autre chose, probablement à la construction d’un éco-quartier en rondins ou à la dépollution d’une rivière lors d’une pause déjeuner.

Cette histoire pose une question essentielle : et si, au lieu de donner éternellement des leçons à la nature, nous commencions à l’écouter ? Et si nous visions un peu moins les rapports d’étape et un peu plus les résultats ? Les castors de Brdy nous offrent une fable moderne aussi cinglante qu’hilarante : le développement durable le plus efficace est peut-être celui qui se passe de développeurs. La prochaine fois qu’un projet environnemental patine, les autorités gagneraient peut-être à recruter un chef de projet castor. Son salaire ? Des écorces et le droit de faire son travail sans paperasse.

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Revolution 2030 : autre sourceLe nombre de satellites lancés autour de la terre

Revolution 2030 : autre source - 13 août 2025

depuis 67 ans

   

Tout a commencé en 1957 avec un seul satellite, mais depuis, leur nombre a explosé. Au fil des décennies, de plus en plus de satellites ont envahi l'orbite terrestre, lancés par des gouvernements, des entreprises privées et, aujourd'hui, par des constellations massives. Mais ces dernières années, un nom s'est imposé : Starlink. Dans cette simulation, les points blancs représentent tous les satellites non Starlink, tandis que les points rouges montrent à quelle vitesse Starlink s'est développé. L'espace passe d'une orbite tranquille à un réseau dense de technologie. Nous avions déjà créé une simulation montrant la croissance globale des satellites depuis 1957, mais cette fois-ci, nous mettons en évidence l'ampleur de la domination de Starlink. Il ne s'agit pas d'une simulation des mouvements réels des satellites, mais seulement d'une représentation visuelle de leur nombre croissant.

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)

Revolution 2030 : autre sourceZFE 2025 : A Quelle Sauce Allez-Vous Etre Dévoré ?

Revolution 2030 : autre source - 05 jan 2025

Zones à Faibles Emissions : Tous les Changements Intervenant le 01 Janvier 2025.

   

Les ZFE, c’est quoi ? Rien ne vaut un exemple pratique.

« Voilà l’hypocrisie incroyable de cette écologie punitive qui ne traite pas la vraie question ! […]
C’est une aberration pour trois raisons. La première : c’est une ségrégation sociale sans précédent, car à terme […] cela représente un véhicule sur deux ! Tous ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter un véhicule neuf – et vous savez le prix d’un véhicule neuf électrique ? – […] ou une occasion récente, seront interdits de circulation, d’accès à quarante agglomérations françaises de plus de 100 000 habitants ! […]
Enfin, il y a une autre raison. C’est qu’obligatoirement, pour appliquer ces mesures, vous êtes obligés de mettre en place un système de surveillance électronique numérique généralisé à la chinoise dans nos agglomérations. Car oui, vous allez être obligés de mettre en place des portiques avec des caméras qui vont visualiser tous les déplacements de nos concitoyens ! Le harcèlement numérique va se poursuivre, les entreprises sont en train de préparer cela. »

Dupont-Aignan

QactusLa Catastrophe de Valence, un Scénario de Film Devenu Réalité ?

Qactus - 06 nov 2024

Avez-vous vu ce qui s’est passé en Espagne ? Avez-vous vu ce que nous avons écrit sur ce sujet ?

   

Beaucoup restent toujours dans le déni ou ne croient pas du tout. Vous allez mieux comprendre ce que nous vous disons depuis des années : ils vous le disent aussi dans les films, comme nous vous l’avons toujours dit.

Désormais, on dirait que la réalité dépasse la fiction, regardez le film GEOSTORM.

Nous avons l’impression que ce qui s’est passé en Espagne, à Dubaï et en Turquie, bah, c’est ce film qui l’a créé en fait, non ?, c’est un truc de fou. Nous savons que par les films, ils nous font passer des messages, comme ceux des Simpsons. Vous voyez, les Simpsons, ils font des trucs ? Et comme par hasard, quelques années après, ça se prédit en fait. On dirait que les Simpsons ont prédit tout dans la vie. Mais ici, avec ce film, non seulement nous pourrions dire que c’est vraiment réel, mais les Espagnols viennent de le subir, non ?

[...]

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ReporterreUn jardin est beau lorsqu’on dialogue avec lui

Reporterre - 01 nov 2024

L’automne est arrivé dans le jardin. Les plantes perdent leur vitalité estivale et Marie s’interroge sur l’esthétique du jardin, entre pelouse bien coupée et débordements de vie potagère.

   

L’automne et ses pluies sont passés par là. Les tomates ne sont plus que des tiges dégarnies tentant de supporter quelques fruits rongés par le mildiou. Les aubergines commencent à tourner de l’œil. Les haricots fanent et paraissent fatigués, bien qu’ils profitent de quelques jours d’éclaircie pour brandir une dernière série de fleurs. Salades et choux sont en train de capituler face à une armée de limaces. Les courges, elles, qui ont encore leurs feuilles et quelques fruits imposants, donnent un air fouillis au potager tellement elles se sont émancipées de leur carré.

Le potager n’a plus la fière allure de la belle saison. Il donne encore. Les derniers haricots, les premiers poireaux… Mais à l’heure de faire quelques photos pour illustrer cette chronique, me voici bien embêtée, rien ne me paraît montrable. Un potager, c’est comme un bon plat. Pour éveiller l’appétit, mieux vaut que l’assiette soit agréable à l’œil, non ?

Plantes compagnes ou désherbage ?

C’est l’un des plaisirs du jardin, de soigner son esthétique. C’est aussi un langage, l’expression d’un rapport au vivant. Le jardin à la française, avec ses lignes droites, a célébré la domination de l’humain sur la nature. Le jardin à l’anglaise a plutôt voulu imiter celle-ci et a promu une vision plus romantique et pittoresque. Côté potager, certains trouveront que la beauté est du côté des allées bien droites et désherbées, d’autres préféreront laisser prospérer toutes sortes de plantes compagnes au risque qu’elles prennent le pas sur les légumes plantés.

Mon jardin se situe entre les deux. Du côté de l’esthétique jardinière, je suis victime de notre conditionnement sociétal. Je trouve mes pommiers plus beaux quand l’herbe dessous est bien tondue et que leurs formes se détachent nettement. J’ai peur pour mes aromatiques quand les herbes folles les encerclent. Je préfère mon potager quand il a les couleurs vives de l’été plutôt que l’air abandonné de la fin de l’automne.

Bref, j’aime que mon jardin ait l’air entretenu. Il y a des considérations pratiques : faciliter le passage du tracteur, favoriser une productivité raisonnable chez nos plantations nourricières. En revanche, je ne vois pas l’intérêt de couper l’enthousiasme de ma sauge épanouie bien au-delà des limites qui lui avaient été attribuées, et je ne suis pas contre un buisson de ronces ou un tas de cailloux par-ci par-là, me réjouissant de rencontrer leurs hôtes.

Déborder de vie en toute saison

Mais alors, comment juger de l’esthétique d’un jardin ? Comment ne pas rougir quand je montre mon potager brunissant avec l’automne ? Je me souviens soudain que le modèle du beau jardin est pour moi celui de ma grand-mère paternelle. Je précise qu’il n’est pas nourricier, sauf pour les nombreux fruits rouges que cette gourmande sait faire prospérer à merveille, et sa collection d’aromatiques rappelant ses origines provençales.

Il est beau, car il paraît en toute saison débordant de vie. Les plantes y sont très nombreuses et diversifiées, elles grignotent avec enthousiasme le passage dans les allées, il y a des fleurs en quasi toute saison. On pourrait croire que c’est le résultat d’une sorte de laisser-faire tellement toutes ces habitantes ont l’air épanouies.

En réalité, c’est le fruit d’un travail incessant et d’une curiosité insatiable. Cela commence par des lectures et des recherches lui permettant de dégoter les meilleurs pépiniéristes, produisant telle variété de ciste ou de figuier qui conviendrait au climat francilien. Il faut ensuite trouver l’exposition, le sol, les conditions d’humidité convenant à chaque nouvelle hébergée. Si l’une fait grise mine, elle est déplacée.

L’observation est continue. Les petits gestes d’attention presque quotidiens. Je la revois, tel un coiffeur ajustant sa coupe, sécateur à la main, repérer les branches malades, ajuster une taille. Je me souviens d’années de recherches et d’expérimentations continues pour soigner un fruitier malade. Chaque plante a une histoire, elle est leur mémoire. Et leur futur : il suffit que l’on mette un pied dehors pour qu’elle vous explique quel plan elle a en tête pour l’une ou l’autre.

Ainsi, si son jardin est si agréable, ce n’est pas parce qu’elle laisse faire, ce n’est pas parce qu’elle contraint. C’est parce qu’elle dialogue sans cesse avec ses habitantes, les écoute, les soigne et les laisse s’exprimer. Voici ce que m’a appris ma grand-mère : un beau jardin est le fruit d’une belle relation avec les plantes.

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ÉCONOMIE

InsolentiaeTaxes, fiscalité, normes… 48 000 chefs d’entreprises ont laissé tombé

Insolentiae - 25 sep 2025

C’est un phénomène dont Monsieur Zucman que je surnomme Taxman, (notre « Pacman » qui mange tous les sous des méchants « zautres », car un « zautre » n’est pas un humain, surtout si le « zautre » est riche.

   

Taxes, fiscalité, normes… 48 000 chefs d’entreprises ont laissé tombé
par Charles Sannat | 25 Sep 2025 | Entreprises, Grille article | 0 commentaires

C’est un phénomène dont Monsieur Zucman que je surnomme Taxman, (notre « Pacman » qui mange tous les sous des méchants « zautres », car un « zautre » n’est pas un humain, surtout si le « zautre » est riche. Vous vous souvenez de Pacman ? Je laisse les plus jeunes qui n’ont pas la « réf » chercher !) n’évoquera pas parce que cela n’arrangerait pas ses petites affaires.

C’est le Baromètre National des Entreprises qui nous donne le chiffre (source ici pour la version complète) de presque 48 000 entreprises qui n’ont pas fait faillite mais ont simplement cessé leur activité optant pour la radiation volontaire après avoir payé tout le monde donc sans laisser aucune dette à personne ni ardoise fiscale ou sociale ce qui comblera de joie notre Taxman.

Ce chiffre est en hausse de presque 11 % d’une année sur l’autre.

Personne ne vous en parle, mais diriger une entreprise devient tellement compliqué, les salariés sont tellement protégés, les normes tellement délirantes, et… c’est sans compter l’enfer de la facture électronique qui arrive pour toutes les entreprises, mais il y a une immense lassitude des petits chefs d’entreprises.

Alors ils laissent tomber.

A bas bruit.

Sans tambour ni trompette.

Ils laissent tomber.

Cela ne se voit pas encore, mais le phénomène enfle et il va s’amplifier dans les mois qui viennent tant l’administration est en roue libre, et tant nous vivons un enfer normatif.

Nous allons nous effondrer sous notre propre complexité et faute de joueur…

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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Revolution 2030 : autre sourceGENIUS ACT : Ce que la loi va bientôt apporter

Revolution 2030 : autre source - 22 sep 2025

Un changement radical dans l'économie américaine est à venir.

   

Alors que la mort de Charlie Kirk est utilisée par les acteurs politiques pour attaquer la liberté d'expression et diviser davantage une nation déjà divisée, beaucoup se demandent ce qui va se passer ensuite. Et la plupart des analystes financiers vous diront aujourd'hui ce qui va se passer : un changement radical dans l'économie américaine est à venir.

Le gouvernement américain est confronté à une crise de la dette criminellement irresponsable. Le monde perd confiance dans le dollar et est de plus en plus dégoûté par les crimes contre l'humanité que financent chaque jour les machines à imprimer des dollars américains.

La réduction des dépenses n'a pas fonctionné. La prochaine tentative pour sauver le système américain basé sur la dette se trouve dans la récente « Genius Act ».

Dans le domaine de l'investissement à court terme, la volatilité du Bitcoin peut permettre à une personne de réaliser d'énormes profits, mais seulement si elle dispose d'une monnaie stable à laquelle se convertir lorsque le marché se corrige. C'est l'objectif fondamental d'une monnaie stable : maintenir une valeur stable afin que l'investissement d'une personne puisse être temporairement sécurisé. Le plan décrit dans le Genius Act consiste à créer une demande accrue pour la dette américaine en exigeant que les sociétés émettrices de stablecoins soient adossées à la dette américaine, utilisant ainsi les stablecoins comme un moyen de canaliser l'argent mondial vers la dette publique américaine.

Le conseiller du président Poutine, Anton Kobyakov, affirme que les États-Unis prévoient un « crypto rug pull » mondial afin d'effacer leur dette colossale en créant un système de stablecoins basé sur la dette américaine, puis en le dévaluant, volant ainsi l'argent des citoyens pour rembourser leur dette.

Bien sûr, tout cela n'est que de l'argent sorti de nulle part. Il s'agit d'une « manipulation monétaire » désespérée qui ne crée aucune nouvelle richesse et ne fait que montrer que le système a échoué. Pour montrer que la Russie et d'autres pays ne suivront pas cette voie, il a également déclaré que le monde se divisera en zones.

Il fait ici référence à un monde multipolaire où différentes règles s'appliquent à différentes zones, et signale la forte possibilité que les BRICS n'achèteront pas de dette américaine dans un avenir proche. Il est important de rappeler que le terme et le concept des BRICS ont été conçus en 2001 par un économiste de Goldman Sachs.

La réglementation américaine sur les stablecoins risque de pousser le marché vers l'étranger, où les émetteurs de stablecoins se tourneront vers les actifs du monde réel plutôt que vers la dette américaine. Les États-Unis devront alors gérer la crise de la dette en taxant la population américaine, très probablement au moyen d'un système de taxe carbone.

Les stablecoins ont été principalement utilisées à des fins d'investissement, mais elles permettent également de geler et de saisir votre argent. Cela devrait plaire aux partisans de Trump, qui se réjouissent comme des écolières excitées à l'idée de pouvoir censurer les personnes qui les offensent en ligne.

L'avenir du contrôle bancaire technocratique est déjà en cours de déploiement au Vietnam, qui a récemment mis en place un système d'identification numérique à l'échelle nationale qui oblige les citoyens et les résidents étrangers à autoriser le gouvernement à stocker leurs données biométriques dans une base de données centralisée. La participation n'est pas facultative, et tous les comptes sans données biométriques seront fermés afin de prévenir les escroqueries et les fraudes. Le gouvernement vietnamien a déjà effacé et/ou gelé 86 millions de comptes bancaires. Et le Vietnam n'est qu'un test bêta, car cette mesure va s'étendre à l'échelle mondiale.

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Réseau InternationalDans la série « Comment dépouiller les Français »

Réseau International - 06 juin 2025

Pierre Jovanovic est-il recherché par la police pour son livre « 2008 » ?

   

Jeudi 5 mai, toujours sur la matinale de Tocsin, Pierre Jovanovic raconte que dans la nuit de samedi 22 mars au dimanche, vers 2 heures du matin, un escadron de police aurait forcé sa porte, celle de son éditeur et celles des caves pour l’interner de force. L’objet du délit, la parution imminente de son dernier livre : «2008». L’opération aurait raté car il n’était pas là. La police se serait alors défaussée sur la Préfecture de police et, le dimanche matin, vers 11 heures, Pierre Jovanovic aurait reçu ce courriel du bureau des disparitions de la Préfecture : «M. Jovanovic, on vous a signalé disparu, pouvez-vous nous téléphoner ?»

Pierre Jovanovic a porté plainte mais il n’a évidemment aucune nouvelle de sa plainte.

Selon lui, le monde de 2025 est très largement héritier de la crise de 2008 et surtout de sa gestion. Elle a produit les Bonnets rouges qui se sont révoltés contre une taxe sur les autoroutes qui devait aller dans les poches de Goldman-Sachs, les Gilets jaunes, la réforme des retraites (ils ont vidé les caisses de retraite et ils veulent la mettre à 70 ans et la capitaliser) et un appauvrissement global de la population.

Si on rapporte l’augmentation du timbre-poste depuis 2001 au salaire minimum (SMIG) il devrait être passé à 5400 brut aujourd’hui. En 2008, le PIB par habitant des Français était le même que celui des Étasuniens. Il est resté au même niveau pour nous mais il a doublé pour les Étasuniens. Ce qui veut dire qu’ils ont volé TOUTE la richesse produite par les Français dans l’intervalle. 12 millions de personnes se sont retrouvées à la rue aux Etats-Unis en 2008. En Europe, ça a été moins spectaculaire mais tout aussi efficace. Énormément de gens ont été licenciés partout. Les services publics et les infrastructures ont été abandonnés ou privatisés.

Les banquiers ont réussi le plus grand hold up de toute l’humanité : 30 trilliards de dollars ont été volés de mille manières aux peuples pour renflouer les banques, et ce n’est pas fini car la violence des riches n’a pas de limites et elle ira en augmentant tant que les peuples laisseront faire.

Georges Marchais était visionnaire quand il a dit le 9 juillet 1980 dans l’Humanité : «L’austérité vise par certaines mesures à avancer l’âge de la mort».
Conclusion

Emmanuel Todd note que la mortalité infantile augmente en France, ce qui est pour lui un signe certain d’effondrement du pays. Mais comme ça ne va pas encore assez vite, ils viennent de voter une loi pour faciliter l’euthanasie des personnes malades ou déprimées qui coûtent trop cher, selon eux.

Alexandre Cuignache – Dans la série Comment dépouiller les Français : Le DPE

Mercredi 4 mai, sur Tocsin, l’avocat Alexandre Cuignache explique qu’un rapport de la Cour des comptes vient de confirmer ce que toutes les personnes qui s’informent et réfléchissent savaient déjà : le DPE (diagnostic de performance énergétique), obligatoire depuis 2021, qui interdit de louer les appartements qualifiés de passoire énergétique, est une vaste arnaque dont le but est de faire tomber, à des prix cassés, le plus de bâtiments possible dans l’escarcelle de monopoles privés…

Il y a évidemment beaucoup de fraudes (70% d’anomalies selon le rapport) comme on pouvait s’y attendre. Mais le pire, c’est qu’entre mi-2021 et mi-2023, il y a eu une chute de 22% des biens à louer dans les critères A à D, et une chute de 33% des notes F à G. Le parc locatif se réduit comme peau de chagrin en France et donc les loyers augmentent. Or la justification de la mesure, était d’améliorer le logement !

Qui plus est, la Cour des comptes note qu’aucune étude d’impact global n’a été faite, avant de promulguer la loi, sur les conséquences de cette réforme de 2021 en général et sur le risque d’éviction de logements du marché locatif en particulier. C’est pourtant une obligation constitutionnelle depuis 2009. Que fait le Conseil constitutionnel ? Que fait l’opposition ?

Pour essayer de détourner l’attention de l’illégalité et de la nocivité du projet, le gouvernement a promis de contrôler les diagnostiqueurs !!!
Conclusion

Pendant l’opération Covid, on a observé la même volonté de concentrer les ressources économiques dans les mains des grosses compagnies privées (en plus d’enrichir directement Big Pharma avec les vaccins et les tests). Les mesures insensées, liberticides et nuisibles pour la santé que Macron a imposées ont eu comme effet de détruire les restaurants, petits commerces et entrepreneurs indépendants et d’affaiblir les services publics au profit de monopoles privés, chaînes, franchises, etc…

Le marché européen de l’énergie qui fait artificiellement augmenter le prix de l’électricité pour aider l’Allemagne, ainsi que les milliers de sanctions idiotes contre la Russie, ont exactement le même effet négatif en France. Elles ont mis en faillite nombre de commerces, comme les boulangeries, et d’entreprises, pendant que celles qui le pouvaient partaient à l’étranger. L’UE est en train de détruire l’économie des nations européennes pour poursuivre des fantasmes : le marché libre, l’affaiblissement de la Russie, la victoire de l’Ukraine, la défense européenne, la baisse des émissions de CO2, etc. dans l’indifférence et l’aveuglement général.

Quant au Conseil constitutionnel, on sait aussi depuis longtemps qu’en France il n’y a plus de contre-pouvoir et que toutes les institutions de l’État, soutenues par les médias des milliardaires, ne sont plus que des organes clientélistes, où des parvenus, luxueusement entretenus dans le luxe par une avalanche de taxes et d’impôts qui étrangle la population, servent le pouvoir en place.

La loi sur les Zones à Faibles Émissions, une autre expression de la folie meurtrière du pouvoir en place vient d’être annulée par l’Assemblée nationale car elle était vraiment trop impopulaire, peu défendable et sans doute moins immédiatement lucrative pour le grand Capital. Elle interdisait les centres-villes aux voitures soi-disant polluantes, celles des travailleurs pauvres, pour faire plaisir à la petite bourgeoisie citadine qui vote pour Macron. C’est le RN qui a mené la fronde, avec le slogan : «Les Zones à Faibles Émissions étaient en fait des zones à forte exclusion».

Cette annulation pourrait donner un peu d’espoir à ceux qui ne peuvent plus louer le petit studio qui complétait leur insuffisante retraite ou ceux qui ne peuvent plus se chauffer ou ceux qui veulent la paix en Ukraine et la fin du génocide à Gaza, mais je doute que le Parlement recule sur ces sujets car il y a trop d’intérêts en jeu.

Vous avez sans doute remarqué que Macron ne se contente pas de grignoter discrètement nos richesses comme faisaient les précédents banquiers aux manettes de la France, il prend des mesures radicales, démentes même, pour faire passer toute la richesse de la France dans les poches de toutes les catégories de milliardaires tour à tour. A la fin du règne de Macron, ils auront tous eu leur moment de profit délirant à nos dépens. En ce moment, c’est le secteur de l’armement que Macron sert avec sa folie belliciste…

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VoltairenetLes institutions intergouvernementales face à la fin de « l’Empire américain » ?

Voltairenet - 02 avr 2025

Le bouleversement auquel nous assistons avec le Trumpisme touche à la fois les États-Unis, les relations nationales et la vie politique intérieure de leurs alliés.

   

Il peut sembler étrange que des dirigeants européens critiquent le président des États-Unis pour sa politique dans son pays, en violation du principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un pays étranger. Cependant, s’ils ne souffrent pas de ses réformes chez lui, ils endurent les conséquences inavouables qu’elles provoquent chez eux. Celles-ci ne font que commencer.

a période que nous vivons, avec le rapprochement des États-Unis et de la Russie, bouleverse l’échiquier politique mondial. Ce faisant toutes les institutions intergouvernementales sont perturbées. Il apparait que certaines d’entre elles répondaient à un objectif officieux, que tous se gardaient bien d’énoncer publiquement, mais qui ne résiste pas aux évolutions du temps. D’autres menaient des actions contraires à leurs objectifs officiels, ce qui ne gênait guère lorsque tous leurs membres étaient d’accord entre eux, mais paraît aujourd’hui insupportable. En définitive, le multilatéralisme, tel qu’il était pratiqué, était tout, sauf multilatéral.

Le G7 et l’OTAN ne fonctionnent déjà plus
La coordination politique de « l’Occident » était assurée par le G7, un ensemble de réunions à tous les niveaux, qui élaborait un discours commun. Or, lors de la réunion virtuelle des chefs d’État et de gouvernement du 24 février 2025, le président des États-Unis, Donald Trump, a refusé de signer le communiqué final et a menacé ses partenaires de quitter le G7 s’ils le publiaient sans son accord.

Depuis un mois, les réunions du G7 se déroulent sans les États-Unis. Ainsi, lors de la réunion virtuelle du 28 mars des conseillers de sécurité nationale, à laquelle l’Ukraine était associée, l’États-unien, Michael Waltz n’y a pas participé.

Force est de constater qu’il n’y a plus de coordination politique de « l’Occident ». Par conséquent, il n’y a plus, non plus, de coordination militaire.

Les Français et les Britanniques, d’abord en concurrence, puis d’un commun accord et en concertation, ont lancé une série de rencontres des chefs d’État et de gouvernement alliés. Ils cherchent à assurer la sécurité du continent sous les parapluies nucléaires français et britannique. Mais, en l’état, cette idée ne peut pas fonctionner car le problème a été mal posé.

En effet, pour le moment, ils interprètent les évènements comme un déplacement des armées des États-Unis d’Europe vers l’Extrême-Orient, alors que le président Trump cherche à mettre fin à « l’Empire américain », à la fois par idéologie —c’est un jacksonien — et par nécessité — il gère la crise de la dette.

Dans l’hypothèse des alliés, il suffirait d’augmenter les dépenses militaires des uns et des autres pour pallier au retrait US alors que, s’il s’agit de la fin de « l’impérialisme américain » comme je le soutiens, ce n’est pas tant le budget de l’Alliance atlantique que son mode d’organisation qui est en cause. Washington ne souhaite plus assumer le commandement de l’ensemble, mais juste montrer la voie.

Or, si les États européens et leurs alliés canadiens, australiens, coréens et japonais, obéissaient tous aux États-Unis, ils ne s’entendent pas pour autant entre eux. L’Histoire du continent européen est une suite sans fin de rivalités, de conflits et de guerres, à la seule exception de l’Empire romain. À l’époque, les populations se sont soumises à Rome pour se protéger des invasions. Dès sa chute, les vikings et les mongols pillèrent le continent. Les empire de Charlemagne, de Charles Quint, de Napoléon ou de Hitler n’ont jamais connus la paix. Aujourd’hui, aucun danger imminent ne pousse les Européens à s’unir. D’où l’invention d’une prétendue menace russe, comme si « l’Armée rouge » se préparait à parader sur les Champs-Élysées.

Il y a deux semaines, le 19 mars, la RAND Corporation, c’est-à-dire le lobby militaro-industriel états-unien, suggérait de créer un « conseil de dissuasion européenne » avec la France, le Royaume-Uni et d’autres États européens clés comme l’Allemagne et la Pologne. Certes, cependant les armes stratégiques nucléaires ne peuvent pas être des moyens de dissuasion en l’absence d’armées conventionnelles solides. Or aucun des Européens n’en a, les armées française et britannique actuelles n’ont pas pour vocation de défendre leurs territoires, mais de se projeter dans des opérations néo-coloniales, principalement en Afrique.

Les gigantesques moyens de l’OTAN sont compromis. Il suffit que les États-Unis ne partagent plus leurs moyens propres pour que plus rien ne fonctionne. Leurs renseignements sur les champs de bataille sont indispensables au fonctionnement des armes qui leur ont été achetées. Par ailleurs, s’ils ne souhaitent pas être impliqués dans un conflit, ils devront bloquer l’usage des armes lourdes qu’ils ont vendues, des blindés aux avions. Ce qui avait été conçu pour contenir des aventures de certains alliés les étouffe désormais tous.

Au demeurant le même problème se posera avec les armes lourdes vendues par la France et par le Royaume-Uni qui, toutes également, ont été équipes d’inhibiteurs. Paris et Londres devront aussi les bloquer lorsque, après la défaite de l’Ukraine, la Pologne tentera de récupérer la Galicie orientale et que la Hongrie récupèrera la Transcarpathie. Et que deviendra l’OTAN quand la Roumanie tentera de récupérer la Moldavie ?

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RT FranceMacron ne veut pas (vraiment) la guerre, il veut l’argent des Français

RT France - 14 mar 2025

Alors qu'Emmanuel Macron affole les Français avec des déclarations bellicistes envers la Russie, complaisamment relayées et appuyées par les médias subventionnés, il faut voir en parallèle le déplacement de la fenêtre d’Overton sur certains sujets liés à l’argent des Français, estime l'analyste géopolitique Alexandre Regnaud.

   

Le meilleur indice de la crédibilité des déclarations militaristes de Macron est encore de faire un point sur l’état de l’armée française.

Malgré un budget de la Défense de 50,5 milliards d’euros en 2025 (+7% par rapport à 2024), l’inventaire à la Prévert des difficultés de l’armée française est impressionnant. Une grande partie du matériel est en voie d’obsolescence, y compris les chars Leclerc. La flotte de la Marine nationale est insuffisante, avec des retards dans le programme des frégates de nouvelle génération FDI. L'armée de l’Air voit ses chasseurs Rafale et hélicoptères Tigre souvent cloués au sol faute de pièces détachées ou de budgets de maintenance. Les programmes de modernisation (MGCS, SCAF) sont tous en retard faute de financement.

En plus de manquer de moyens, l’armée manque d’hommes et de compétences. D’après les chiffres du ministère de la Défense, ce sont environs 10 000 personnes qui manqueraient par rapport aux objectifs. Un personnel difficile à fidéliser, avec un taux de départ en hausse constante de 6%. En cause, d’après plusieurs «Rapports annuels sur l'état de la condition militaire» de ces dernières années, la qualité des recrues. Beaucoup s’engagent faute de trouver un emploi ailleurs dans un pays en crise. Cela amène un manque de motivation, mais aussi des problèmes de plus en plus fréquents de discipline, voire de drogue et d’alcool dans certaines unités. S’ajoute encore un niveau d'éducation des recrues en baisse, en particulier dans les unités non spécialisées, rendant parfois compliquée l’utilisation du matériel de plus en plus sophistiqué ou la simple compréhension des tâches à accomplir.

Il y a bien entendu chez Macron le côté pathologique, l’homme qui aime se déguiser en militaire, se mettre en scène en chef suprême des armées, se fantasmer en leader de l’Europe… mais cette réalité, qu’il ne peut ignorer tant elle est rapportée officiellement, nous amène à chercher d’autres explications.

On le sait, la situation économique de la France est catastrophique : 3 300 milliards d’euros de dette et l’agence Standard & Poor’s qui fait passer de «stable» à «négative» la note de la France, l’étape suivante étant la perte du AA, et donc une augmentation drastique du taux d’emprunt, vital pour un pays qui vit à crédit. Il y a donc un besoin urgent d’injecter de l’argent frais pour créer de la croissance, notamment via le secteur économique de la Défense, et pour cela de toucher au dernier trésor intact disponible : les 6 000 milliards d'euros (chiffres 2025 de la Banque de France) de l’épargne des Français.

La piste de François Bayrou d’un emprunt national pour la Défense est peu crédible. Avec un rendement plus faible qu’un placement classique, on voit mal les masses s’y précipiter.

Autre solution envisagée, la création d’un livret d’épargne spécifique, affecté à la Défense, voire d’une réorientation de l’utilisation des fonds des livrets réglementés. La propagande médiatique est déjà subtilement en marche pour faire accepter cette évolution aux Français.

Mais qui peut croire que ces solutions seront suffisantes, au vu de l’état actuel de l’armée française et des sommes nécessaires, ne serait-ce que pour la remettre à flot ? Sans parler d’un engagement dans un conflit de haute intensité. La mise sous stress de la population par une menace de guerre imaginaire vise davantage à lui faire accepter cette première étape de l’utilisation de son épargne par l’État, et surtout à façonner l’opinion publique pour aller éventuellement plus loin. C’est ce que l’on appelle le déplacement de la fenêtre d’Overton.

Il faut alors se souvenir que pour répondre à la crise financière, à Chypre en 2013, les dépôts excédant 100 000 € ont subi une ponction allant jusqu’à 60% pour sauver le système bancaire. Un mécanisme ensuite transcrit dans la directive européenne BRRD de 2014 et dans le droit français en 2016. Cela a donc déjà existé.

Il est alors parfaitement possible d’envisager, une fois l’opinion bien préparée, la mise en place de mécanismes similaires, à destination de l’épargne, sous prétexte d’une guerre fantasmée, pour essayer de remettre à flot une barque européenne et française en train de couler. Ce n’est pas vraiment la guerre qu’ils veulent, ils n’en ont pas les moyens, c’est de l’utiliser comme prétexte pour se servir dans l’argent des épargnants. Mieux vaut être prévenu et prendre des dispositions dès maintenant pour faire échouer leurs plans.

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ÉDUCATION

kla TVEVARS, que veulent-ils vraiment ?

kla TV - 18 sep 2025

Un film du collectif « Réinfo Liberté Oise »

   

Le programme EVARS, de l'enfumage ?

A partir de la rentrée 2025 le projet EVARS (Education à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité) sera intégré au programme scolaire français depuis la maternelle jusqu'au lycée. Ce programme est présenté comme une priorité absolue pour le bien de l'enfant face aux agressions sexuelles de plus en plus fréquentes, viols, harcèlement, pornographie, maladies sexuelles au point que la quasi-totalité du corps enseignant et la classe politique n'y voit que du feu. Pourtant une tout autre réalité existe ; l'auteur du documentaire "EVARS, que veulent-ils vraiment ?" démontre preuves à l'appui que ce projet prend ses racines tout simplement dans le terreau de la perversité la plus abjecte.

Parents, enseignants, politiques, il est urgent de nous réveiller car s'il est bien connu qu’on utilise la fumée pour endormir les abeilles afin de leur prendre le miel, dans ce cas-ci il est question de prendre nos enfants.

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TVLibertesLe boom des écoles hors-contrat, miroir inversé du désastre scolaire français

TVLibertes - 03 sep 2025

Alors que l’éducation nationale traverse une crise de niveau et de sens, TVL vous emmène au cœur de l’établissement Saint-Jean-Paul II.

   

Nous donnons la parole aux enfants, aux enseignants et aux parents. Nous explorons les raisons du succès croissant des écoles hors contrat : rigueur académique, transmission des valeurs et liberté pédagogique. Une immersion touchante dans un modèle éducatif qui mise sur l’épanouissement intégral de l’enfant. Et si la solution venait de ces alternatives méconnues ?

Revolution 2030 : autre source47% des jeunes britaniques préfèreraient vivre sans Internet

Revolution 2030 : autre source - 21 juil 2025

La jeunesse d'un des pays les plus développés en matière numérique pose un regard sans illusion sur les conséquences de cette technologie sur leur vie.

   

Face à Internet comme face aux réseaux sociaux

Selon une étude de la British Standards Institution (BSI) relayée par The Guardian, sur 1 293 jeunes britanniques de 16 à 21 ans, 47% ont affirmé préférer vivre leur jeunesse dans un monde où Internet n’existe pas.

Par ailleurs, 68% d'entre eux se sentent moins bien dans leur peau après avoir passé du temps sur les réseaux sociaux.

Les données mettent également en évidence des expériences en ligne distinctes selon le sexe :

  • 52% des jeunes femmes préfèreraient vivre dans un monde sans Internet.
  • Les jeunes femmes se déclarent plus exposées au harcèlement (37 % contre 28 % des jeunes hommes).
  • Elles sont plus susceptibles de comparer leur apparence ou leur mode de vie à ceux des autres, 85 % le faisant au moins parfois et près de la moitié (49 %) le faisant souvent ou très souvent.
  • 79 % ont été influencées pour effectuer un achat grâce aux réseaux sociaux (par exemple, TikTok), contre 59 % des hommes.

L'enquête révèle aussi que les parents sont laissés dans l'ignorance quant aux activités en ligne de leurs enfants :

  • 42 % d'entre eux admettent avoir menti à leurs parents ou tuteurs sur leurs activités en ligne.
  • 43 % admettent avoir commencé à utiliser les réseaux sociaux avant l'âge de 13 ans (l'âge légal) en mentant sur leur âge.
  • Plus d'un quart (27 %) déclarent s'être fait passer pour une autre personne en ligne.
  • 40 % admettent avoir créé un faux compte ou un compte leurre (cela concerne plus les jeunes femmes, à 43 % contre 36 % pour les hommes).

En France le débat, dominé par une frange très réactionnaire et se situant uniquement dans la com, propose des mesures qui apparaissent à coté de la plaque au vu de ces réponses :

  • Le 13 mai sur TF1, E. Macron a affirmé sa volonté d'imposer une vérification de l'âge sur les réseaux sociaux.
  • Dans Le Figaro en avril, G. Attal et le pédopsychiatre Marcel Rufo ont proné l'interdiction des réseaux sociaux avant 15 ans, un couvre-feu numérique pour les jeunes de 15 à 18 ans entre 22 heures et 8 heures du matin et une limitation à une heure par jour d'accès aux réseaux sociaux. Des mesures qui se heurtent à de nombreux obstacles, notamment juridiques...

A priori, le travail engagé par la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, sur les effets psychologiques de Tiktok sur les enfants et les adolescents, parait plus pertinent car la commission se donne le temps de l'analyse et envisage des mesures gouvernementales engageant la responsabilité des plateformes, quand les précédemment cités ne pensent qu'à impliquer la responsabilité individuelle des jeunes et de leurs parents, et surtout pas celle du pouvoir face aux industriels.

Ainsi, les 30 députés membres de cette commission devront étudier les dispositifs de captation de l’attention, leurs effets psychologiques (notamment en termes de pensées suicidaires) et sur les relations sociales... Et donc proposer des mesures concrètes de protection des mineurs, notamment en matière de régulation des contenus, de sécurité numérique et de modération des pratiques de la plateforme.

Le constat d'une forte hausse de la consommation numérique

Or, les trois quarts (74 %) estiment passer plus de temps en ligne depuis la pandémie de Covid 19, les deux tiers passant plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux.

Plus d'un quart (26 %) passent quatre heures ou plus sur les réseaux sociaux, tandis qu'un cinquième passe trois heures ou plus à jouer à des jeux vidéo.

Vers un couvre-feu numérique ?

La moitié des participants souhaitent un "couvre-feu" numérique pour limiter leur temps passé sur ces plateformes. Son objectif serait de restreindre l’accès à certaines applications mobiles après 22 heures. Il faut dire que cette idée est dans le débat public en Grande Bretagne, portée par le gouvernement.

"Nous devons clarifier qu'un couvre-feu numérique seul ne protégera pas les enfants des risques qu'ils affrontent en ligne", prévient Rani Govender, responsable politique pour la sécurité des enfants en ligne à la National Society for the Prevention of Cruelty to Children, interrogée par The Guardian. "Ils pourront avoir tous ces risques à d'autres moments de la journée et ils auront toujours le même impact."

Par ailleurs, un tiers d'entre eux souhaite l'interdiction des téléphones dans les écoles.

"Un signal d'alarme pour tous"

"Que près de la moitié des jeunes préféreraient grandir sans internet devrait être un signal d'alarme pour nous tous", déclare Daisy Greenwell, cofondatrice de Smart Phone Free Childhood. "Nous avons construit un monde où il est normal pour les enfants de passer des heures chaque jour dans des espaces numériques conçus pour les maintenir accrochés."

"La jeune génération s’est vu promettre une technologie qui créerait des opportunités, améliorerait l’accès à l’information et rapprocherait les gens de leurs amis. Pourtant, nos recherches montrent qu’en parallèle, elle expose les jeunes à des risques et, dans bien des cas, nuit à leur qualité de vie", a déclaré Susan Taylor Martin, directrice générale du BSI.

Pour Andy Burrows, directeur général de la Fondation Molly Rose, une organisation caritative de prévention du suicide, "il est clair que les jeunes sont conscients des risques en ligne. (...) Ils souhaitent que les entreprises technologiques agissent pour les protéger", explique-t-il au Guardian.

L’essor de l’IA ajoute une préoccupation supplémentaire alors que, selon Sam Altman, beaucoup utilisent ChatGPT pour prendre des décisions importantes de leur vie.

Pour Susan Taylor Martin, "la technologie ne peut être une force positive que si elle repose sur la confiance que la vie privée, la sécurité, la sûreté et le bien-être des personnes ne seront pas compromis. Les entreprises qui créent ces services doivent donner la priorité aux besoins des utilisateurs finaux de tous âges, en particulier des adolescents, afin de garantir la protection de leur santé et de leur vie privée".

Pour Daisy Greenwell, "Pendant trop longtemps, les intérêts des puissantes entreprises technologiques ont été prioritaires sur le bien-être de la prochaine génération. Nous avons l'occasion de repenser le monde numérique dans lequel nos enfants grandissent. Leur santé mentale et leur droit à une enfance saine et en sécurité doivent primer sur le profit."

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InsolentiaeComment ChatGPT et l’IA détruisent votre cerveau

Insolentiae - 25 juin 2025

L’étude alarmante du MIT !

   

Une étude du très sérieux et réputé MIT lance l’alerte (source ici), ChatGPT affaiblit terriblement notre cerveau et cette destruction est rapide, mesurable, quantifiable et incroyablement inquiétante encore plus pour les jeunes et les enfants qui ont déjà adoptés en masse ChatGPT pour ne rien faire ou beaucoup moins sans que cela ne se voit.

C’est une question que beaucoup se posaient intuitivement, sans oser trop l’affirmer, mais d’un point de vue « observationnel » comme on dit l’on pouvait se rendre compte des effets incroyables de l’IA sur la manière de travailler des gens et donc sur leur implication. Or, qui dit absence d’implication, dit absence de concentration et donc généralement absence de mémorisation de ce que l’on fait de manière machinale.

Une étude récente du MIT, relayée par plusieurs médias technologiques, révèle que l’utilisation répétée de ChatGPT pourrait réduire significativement notre activité cérébrale, notre créativité, et notre capacité à penser par nous-mêmes. Si on utilise ici le conditionnel c’est pour être aimable, et disons laisser le temps à la science de mieux quantifier, d’avoir des échantillons plus grands etc, mais l’essentiel de la messe est dite, l’IA nous rend clairement beaucoup plus stupide et ce n’est que le début !

L’équipe dirigée par la chercheuse Nataliya Kosmyna a suivi 54 participants, âgés de 18 à 39 ans, répartis en trois groupes : un groupe utilisant ChatGPT pour rédiger des essais, un groupe utilisant un moteur de recherche traditionnel, et un groupe sans aucune aide externe.

Pendant trois sessions de 20 minutes, chaque participant a été invité à rédiger un essai de type SAT (qui sont des tests et examens standardisés sur une base nationale et utilisés pour l’admission aux universités américaines). L’activité du cerveau était mesurée en temps réel grâce à un EEG (capteur électro-encéphalographique), et les rédactions étaient évaluées par des enseignants ainsi qu’un système de notation automatisée. Une quatrième session a permis d’inverser les rôles : les utilisateurs de ChatGPT devaient rédiger seuls, et inversement.

Des résultats alarmants

Les données sont sans appel.

L’activité cérébrale la plus intense a été mesurée chez les participants rédigeant seuls, sans aucune aide. Ceux qui utilisaient uniquement un moteur de recherche montraient un engagement modéré. En revanche, les utilisateurs de ChatGPT affichaient l’activité neuronale la plus basse.

Autre constat : plus les participants utilisaient ChatGPT, moins ils montraient d’effort mental. Certains allaient jusqu’à copier-coller des réponses sans les adapter. L’équipe de recherche parle de « paresse métacognitive » : une forme de dépendance cognitive où le cerveau se repose entièrement sur la machine.

Les essais produits par ChatGPT étaient jugés plus homogènes, mais aussi plus fades. Les enseignants les ont décrits comme « sans saveur », avec un style prévisible et une créativité appauvrie.

Une perte de mémoire et de propriété intellectuelle

Autre phénomène troublant : les utilisateurs de ChatGPT se souvenaient moins bien de ce qu’ils avaient écrit. Lorsqu’on leur demandait de citer leurs arguments ou leurs idées, ils avaient du mal à les reformuler. Ils éprouvaient également un faible sentiment de propriété intellectuelle, comme s’ils n’étaient pas vraiment les auteurs de leurs textes.

Pire encore, même lorsque ces participants devaient ensuite écrire sans aide, leur activité cérébrale restait faible. Selon les chercheurs, l’habitude de se reposer sur l’IA peut altérer durablement notre capacité à mobiliser notre intelligence.

Un usage modéré pourrait être positif

Fait intéressant, les participants qui n’avaient jamais utilisé ChatGPT et qui s’en sont servis lors de la quatrième session ont montré une activité neuronale plus élevée et une certaine satisfaction. Cela suggère que l’IA, lorsqu’elle est utilisée ponctuellement et intelligemment, peut être un outil utile, stimulant même dans certains cas.

Mais cette amélioration n’était que temporaire. L’usage répété et non critique semblait systématiquement entraîner une baisse de la vigilance, de l’implication, et de la mémorisation.

Enjeux pour l’éducation et la société

Cette étude pose des questions majeures pour notre avenir. Si les jeunes, en plein développement cognitif, s’habituent trop tôt à laisser l’IA penser à leur place, que deviendra leur capacité à raisonner, à débattre, à créer ?

Une capacité d’esprit critique qui est déjà devenue affligeante avec un effondrement du niveau scolaire mais aussi des exigences et un recul sans précédent de la formation intellectuelle de notre jeunesse biberonnée aux émoticônes !

Les auteurs de l’étude appellent à la prudence. Ils dénoncent notamment les projets d’intégration de ChatGPT dans l’enseignement primaire. Loin d’être un outil miracle, l’IA doit être utilisée comme un support, non comme un substitut de pensée.

Un équilibre à trouver

Pour les experts, il ne s’agit pas d’interdire l’IA, mais de mieux encadrer son usage. Il est possible d’utiliser ChatGPT comme un outil de brainstorming, pour explorer des idées, rédiger un plan ou améliorer un style. Mais le contenu doit rester le fruit d’une réflexion personnelle.

Les établissements scolaires et universitaires devraient mettre en place des formations pour apprendre à utiliser l’IA de manière critique. Les enseignants, eux aussi, doivent être formés pour détecter les signes d’une utilisation passive.

L’IA transforme notre rapport au savoir, à l’écriture et à la pensée. Si nous voulons en faire un levier de progrès, il faudra veiller à ne pas sacrifier notre capacité à penser par nous-mêmes.

Or pour le moment l’IA, comme l’a été internet à ses débuts c’est le far-west, un far-west gratuit pour l’essentiel à la portée de tous les gamins, qui déjà l’utilisent massivement, quotidiennement, sans aucun recul, juste par facilité, paresse, mais aussi parfois par amusement pour jouer un « tour de con aux vieux » ce qui n’est pas franchement nouveau, les vieux d’aujourd’hui faisant la même chose quand ils étaient jeunes aux vieux d’hier.

Comme le résume un chercheur : « ChatGPT peut être un formidable tuteur, mais un très mauvais maître ».

Non.

C’est bien plus grave que cela. Bien plus profond.

Le danger est bien plus immense.

Les IA détruisent notre capacité à penser, à mémoriser, à savoir et à connaitre, les IA détruisent le « faire ». Or c’est en « forgeant que l’on devient forgeron ». Si on ne consacre plus de temps à faire, si on ne concentre pas notre esprit sur le faire, si on pense que l’IA fera tout à notre place, alors nous devenons des animaux qui ne pensent plus, ne réfléchissent plus.

Les IA vont nous détruire dans notre humanité et c’est déjà un processus à l’oeuvre.

Si vous avez des enfants, des jeunes, prenez les devants. L’IA + les écrans = destruction massive des capacités cognitives de vos enfants qui sont condamnés à devenir des zombies si vous ne les protégez pas.

Résistez !

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

Préparez-vous !

Charles SANNAT

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Revolution 2030 : autre sourceLes vrais noms et nationalités de leaders israéliens

Revolution 2030 : autre source - 13 juin 2025

Ils viennent d'Ukraine, de la Pologne, de l'Europe de l'Est.

   

Lu dans les commentaires...

Benjamin Netanyahou, alias Mileikovski, est le cousin du président argentin Milei. Ils ont le même grand-père Benzion Mileikovski. La politique mondiale est une scène de théatre, où tout les acteurs se connaissent entre eux.

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MÉDIAS

Le Libre PenseurMasoud Pezeshkian, président iranien, interviewé par Tucker Carlson

Le Libre Penseur - 08 juil 2025

Massoud Pezeshkian, président réformateur de l’Iran, a accordé sa première interview à un média occidental depuis la guerre de 12 jours contre l’israël en juin 2025.

   

Conduite à distance via un interprète, l’interview visait à clarifier les intentions de l’Iran vis-à-vis des États-Unis et d’Israël. Pezeshkian a accusé Tel-Aviv d’avoir tenté de l’assassiner lors d’une réunion, sans préciser la date, affirmant que l’attaque a échoué grâce à une intervention divine. Il a déclaré ne pas craindre pour sa vie, mais a questionné l’impact de telles actions sur la paix régionale.

Le président iranien commence par affirmer que son pays ne cherche pas à avoir la bombe nucléaire conformément à la fetwa de l’Ayatollah car cette dernière contredit la morale religieuse islamique. Il rappelle aussi que les pays étaient en train de négocier cependant l’Iran a été attaqué, ce qui est une lourde trahison et preuve de manque de morale. Il a critiqué les États-Unis pour leur soutien à l’israël, accusé de commettre des crimes dans la région.

Masoud Pezeshkian accuse également l’AIEA de donner des informations à l’entité sioniste pour préparer leurs attaques. Il affirme vouloir reprendre les négociations mais ne veut pas oublier les crimes du régime sioniste bombardant les hauts gradés de l’armée avec leurs familles, massacrant tout le monde ! Comment faire confiance à Trump qui n’a aucune morale ? Il a également répondu aux accusations selon lesquelles l’Iran aurait tenté d’assassiner des figures américaines, comme Donald Trump, en les rejetant fermement.

Il reste à rappeler qu’aucun média parisien n’a estimé nécessaire d’interviewer le président iranien depuis la fin de la guerre de 12 jours, ce qui est la démonstration de l’arrogance folle de l’Occident ! Ils sont déshumanisés, diabolisés, ce sont des barbares avec qui on ne peut donc pas parler. Au même moment les sionistes gentils, démocrates et humanistes ont un accès continu et illimité aux médias…

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RT FranceCanicule : comment ils vous manipulent

RT France - 02 juil 2025

Si vous avez si chaud, ce n’est pas seulement à cause de la météo, mais aussi… du gouvernement ! Cela vous paraît tiré par les cheveux ? Lisez donc l’analyse d’Alexandre Regnaud.

   

La machine médiatique, fidèle usine à panique largement appuyée par le gouvernement, tourne à plein depuis plusieurs jours parce que le thermomètre est au-dessus des normales saisonnières. Tout cela, bien sûr, à cause du « réchauffement climatique », contre lequel il faut donc lutter absolument en mettant en place de nouvelles interdictions, de nouvelles taxes et en maintenant les ZFE bien entendu !

Cela s’appelle le déplacement de la « fenêtre d’Overton ». Métaphoriquement, si une idée rentre dans la fenêtre, c’est qu’elle est politiquement acceptée par la majorité de la société. Les politiques doivent donc déplacer la fenêtre, en utilisant la propagande principalement, pour que leurs idées finissent par rentrer dans le cadre. En gros, si, à force de bourrage de crâne médiatique, on vous persuade que la chaleur n’est pas un phénomène normal en été, vous serez prêt à accepter des sacrifices pour lutter contre ce qui est pourtant une évidence.

Une propagande savamment organisée, à coup de cartes météo rouge vif, de témoignages affolés et de conseils évidents. Ce que l’on appelle le « bruit médiatique », c’est-à-dire l’emprise d’un sujet sur la population par l’intermédiaire des médias, est entièrement centré sur ce sujet. On ne parle que de ça, et donc vous ne pensez qu’à ça.

En un sens, on peut dire que la propagande donne plus chaud que les masses d’air. Et c’est un fait psychologiquement établi !

Alors que les températures sont en partie basées sur un ressenti, créer la psychose aggrave la sensation de chaleur ! C’est ce que l’on appelle l’heuristique (ou biais) de disponibilité. Plus une information est disponible (et donc répétée), plus votre cerveau va l’utiliser et la considérer comme une vérité.

les travaux de Vestergaard & Carta (Nature, 2023) montrent que les alertes médiatiques activent le cortex insulaire postérieur (zone cérébrale liée à la perception thermique), augmentant la sensibilité aux stimuli de chaleur même en conditions neutres.

Une analyse de Santé Canada (2025) révèle qu’à température identique, les individus exposés à des reportages sur les canicules rapportent une gêne thermique de 15 % supérieure à ceux non exposés.

En Espagne, les médias utilisant un vocabulaire catastrophiste ont entraîné une hausse de la température perçue de 2 °C lors des vagues de chaleur, selon une étude citée dans Ambient. soc. CQFD.

En parallèle des manipulations de psychologie cognitive que nous venons d’aborder, c’est aussi oublier un peu vite que le phénomène n’est pas nouveau. 70 jours de canicule, jusqu’à 40 °C à Paris, en 1911. Mais aussi de mai à août 1947. En 1976, en 1983, et bien sûr en 2003, avec encore 40 °C en moyenne pendant deux semaines.

Mais aussi que ces températures sont absolument habituelles pour une large partie de la planète. On ne parle même pas ici de Dubaï (en moyenne 35 à 40 °C l’été), ou même du Maroc ou de la Tunisie (entre 30 et 35 °C l’été), mais simplement du sud de l’Europe : Grèce (35-40 °C), Malte, Espagne ou Turquie, tous entre 30 et 35 °C en moyenne estivale. C’est-à-dire précisément là où les Français vont volontairement, de leur plein gré, en payant même, passer leurs vacances.

On me répondra que ces pays sont habitués à la chaleur, qu’ils sont climatisés. C’est globalement vrai. À Dubaï, même les rues sont rafraîchies. Alors pourquoi pas en France ? Pourquoi doit-on fermer 1 896 écoles parce qu’il y fait trop chaud ?

D’abord parce que notre société s’est affaiblie, et que ce qui était perçu comme normal et enduré avec résignation il y a encore quelques années est maintenant monté en épingle et donne lieu à d’interminables lamentations. Ce qui nous renvoie bien sûr aux manipulations médiatiques évoquées précédemment.

Mais surtout parce qu’en France, des décisions politiques ont tout fait, et continuent de tout faire, pour lutter contre… la climatisation.

Me revient ici le souvenir personnel d’une assemblée locale il y a quelques années, où les élus de gauche au pouvoir se vantaient d’avoir commandé pour plusieurs millions d’euros de nouveaux bus, volontairement sans climatisation à cause de leurs croyances environnementalistes.

Le très officiel site (payé par vos impôts) de Santé publique France, « Vivre avec la chaleur » (ça ne s’invente pas), contient une page entière pour vous expliquer que les climatiseurs, c’est mal.

Et bien sûr ce 1er juillet, la ministre de la « Transition écologique », Agnès Pannier-Runacher, vous explique au côté de François Bayrou sur France Info TV que le climatiseur est une « maladaptation » (sic), elle-même sous un énorme climatiseur bien visible au plafond, bien entendu.

Si l’on résume : oui, il fait chaud en ce début juillet, mais ce n’est ni la première fois, ni la dernière. Et c’est par ailleurs la gamme de températures que vous rechercherez sans doute dans quelques semaines sur la plage et où vivent quotidiennement des millions d’êtres humains.

Qui plus est, si vous avez aussi chaud, c’est également parce qu’une propagande gouvernementalo-médiatique plus sophistiquée qu’il n’y paraît joue sur les mécanismes de votre cerveau pour aggraver volontairement cette sensation.

Et que les mêmes responsables, en parallèle, font tout pour vous empêcher de trouver refuge dans un endroit frais climatisé.

L’objectif de tout cela : vous faire « psychoter », déplacer la fenêtre d’Overton, et vous faire avaler plus facilement les prochaines restrictions de liberté et les augmentations de prélèvements fiscaux qu’ils entendent vous imposer sous prétexte d’environnement.

Soyez-en sûrs : le même cirque recommencera cet hiver, quand – ô surprise – il fera un peu froid.

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Réseau InternationalRien ne vous y oblige

Réseau International - 17 fév 2025

Que se répande la puanteur des médias de propagande rien ne vous oblige à répandre, en plus, leurs mots et leurs arguments de détraqués. Mieux ? Activez vos joies intérieures tout le temps, ce qui fait barrage à ces corrompus irrespirables. Vous/nous avez toutes les armes – le nombre – pour les faire tomber.

   

N’écoutez plus les médisances, même en mal et en colère, leur unique but reste de monopoliser l’attention du maximum d’humains à… n’importe quel prix. Ainsi, ne dites plus «élites ou zélites», avec un léger rictus de dénégation qui signifie «ils ne sont surtout pas une élite» – dites-le directement qu’ils ne sont que la lie de la société. Celle qui ne la mérite surtout pas. Des imposteurs très anti-élites. Société qui «a même le droit de se défendre» (oui contre eux, eux qui le réclamaient frauduleusement partout). Défendons-nous à fond tout de suite !

N‘en avez-vous pas assez que trop d’infos (sic) ne concernent que cette nuisible association de malfaiteurs ? Et pas les milliards d’humains (rendus silencieux, sans cesse on leur coupe le micro !), que vous ne voudriez donc jamais rencontrez alors ? Pourquoi n’en parlez- vous jamais de ces milliards d’humains rendus silencieux ? Vu qu’ils restent l’immense majorité ? C’est trahison déjà de quoi de les «passer sous silence» ? Pensez-vous qu’ils n’ont pas le droit à la parole ? Et au nom de quoi alors ? Rien ne vous oblige à persister dans ces trop dénis du réel !

Vous paraissez ne transmettre qu’aucune information pour tous nous libérer de cette caste si malfaisante et qui hait au plus haut point l’Humanité. Alors que rien ne vous y oblige ! Voilà. Ne les relayez jamais. Que tous leurs mensonges tombent à l’eau. Parlez d’eux le moins possible. Leurs mots ne sont symptômes que de leurs graves maladies : ils ne nous servent en rien. Transmettez – à la place – surtout les messages de libérations. Transmettez surtout ces milliards d’humains qui furent rendus silencieux.

1. Il y a tant d’autres manières de présenter… les faits et d’avancer de vraies explications

• Bernard Arnault aux U.S.A. aurait 1,1 milliard d’impôts sur le revenu à payer, pour 3 milliards de reçus.

Vous ne le saviez pas ?

Oui si nos trop milliardaires partaient vivre aux États-Unis, pays pourtant peu réputé aujourd’hui pour leur fiscalité excessive, ils paieraient bien… davantage d’impôts (alors que sur les plateaux télés ils vantent le système états-unien ! Mais surtout sans vouloir y vivre !!!).

Voici pourquoi :

En 2024, Bernard Arnault a touché environ 3 milliards d’euros de dividendes de LVMH. Ceux-ci n’ont pas été soumis à la Flat Tax (30% de taxation) car ils vont à sa «holding familiale» = pas d’impôts payés en France.

Mais si Bernard Arnault habitait à New-York, ces 3 milliards d’euros auraient été taxés selon le barème états-unien (23,8% fédéral+14,8% à New York) soit… 1.1 milliard d’impôts sur le revenu à payer. Et zéro en France, pays prétendu surimposé. Cela dépend pour qui en tout cas ? Rien ne vous oblige à persister dans ces encore dénis du réel ! Ainsi tant d’infos essentielles ne passent pas, pendant que les inexcusables conformistes OBLIGENT tous les autres qu’eux à se faire tant avoir. Et toujours plus fiers de leurs bêtises inexcusables (inexcusables pourquoi ? allons, allons suffit de chercher par soi-même, pour savoir !) ils font continuer les… envahissements d’injustices.

2. Autre : que rien ne vous oblige à croire ! Ukraine : Poutine et Trump ne veulent pas, unis là-dessus, que les européens participent aux négociations de paix. En effet, leurs acharnements tellement maladifs à agresser sans cesse la Russie prouvent qu’ls ont perdu toute raison. Mais là n’est pas le thème de ces paragraphes ! Oui ? Alors que Zelensky, en Ukraine est d’accord de signer la paix, Poutine aussi (mais à ses conditions bien plus rationnelles), et Trump «d’America Great Again», donc qui ne veut plus trainer aucune guerre «qui coûte» – que voyons-nous… atterrir ? Les Mirages de Macron. Très anachronique atterrissage, complètement hors du temps, se trompant absolument d’époque (oui très, très «dépassé» lorsqu’il ne s’agit plus de guerre et d’armes mais de paix !)… Si totalement déconnecté des réalités – ces Mirages sont-ce, sérieusement, des éloges extasiés qu’il s’agit d’effeuiller ? Puisque les Français sont en austérités très lourdes, est-ce bien le moment de jeter tout l’argent par les fenêtres ? Savoir poser les questions et savoir y répondre c’est encore plus essentiel qu’en 2017… l’année où un pays est tombé et même retombé en infantilismes.

3. Enfin, d’entrer dans une forme de psychose collective à répéter en boucle «Trump veut installer les villégiatures Côte d’azur à Gaza». Au lieu de poser les questions qui… enfin réveillent dur : ceci fait dangereusement régresser vers la barbarie complète «lorsque les pays les plus puissants s’emparaient des moins puissants, une forme d’anachronique et barbare colonisation sauvage». D’antiques arriérés. Et encore… «Mais c’est un crime de guerre contre l’humanité que de chasser par la violence un peuple de son pays» (Palestine ici clairement reconnue par l’ONU). Donc Trump agirait en tant que criminel de guerre contre l’humanité ?

Les avocats William Bourdon et Vincent Brengarth estiment que Donald Trump «revendique, ni plus ni moins la commission d’un crime contre l’humanité qui serait d’une magnitude hors norme». «Ce positionnement, qui piétine tout le droit international, ne peut pas être analysé uniquement comme une facétie pouvant être associée à la personnalité de Trump...

«Tout projet visant à expulser de force des Palestiniens hors du territoire occupé est un crime de guerre. Et s’il est commis dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique contre la population civile, il constituerait un clair crime contre l’humanité», rappelait ainsi la semaine dernière auprès de l’AFP Agnès Callamard, la secrétaire générale d’Amnesty international.

Rien ne vous oblige à «croire» dans les dangereux délires de Trump. Ces personnages sont clairement «hallucinés» et si incapables de «répondre de leurs actes». Rien ne vous oblige à suivre ces dangereux spécimens !

Remettre les infos à l’endroit

Celles que rien ne vous oblige à admettre –

et tant d’autres innovations que vous allez découvrir très bientôt !

Grave faute de frappes et il faut s’en excuser. Donc surtout ne pas lire «Délinquance des mineurs : les Français veulent en finir avec la culture de l’excuse»

… mais bien…

«Très grande délinquance des adultes : les Français veulent en finir avec leur sinistre culture de l’excuse !» Ces immenses vandales majeurs sont la honte du pays. Menteurs, parjures, truqueurs et voleurs entre autres. Qu’ils laissent les jeunes en paix vu qu’ils ne sont les pires modèles qui soient. Qu’un certain nombre d’irresponsables adultes corrompus soit – enfin – en prison, et la France revivra, pas trop tôt, en paix. Laissez donc les jeunes tranquilles – ou prenez exemple sur eux, escrocs majeurs !

Oui corrompus, vous n’êtes ni prototypes ni exemples : les corrompus n’ont rien à «transmettre», il faudra bien qu’ils passent en procès s’ils s’entêtent de vouloir continuer à… tout corrompre !

Rien ne vous oblige à «suivre» ces notoires détraqués

Clair, que lorsqu’ils ne pourront plus dévaliser nos attentions, leur règne maudit sera fini. Leur règne maudit n’aura reposé que sur ceci : «tu ne les écoutes plus, tu ne les regardes plus, tu détournes ton attention définitivement d’eux», et… ils tombent». Rien ne vous aura obligé à prolonger d’un seul jour leurs forfaitures illégales. Oui, ils nous «doivent» des siècles de prisons. De quoi les expulser enfin de la société. Nul ne les regrettera. Plutôt l’inverse.

Ne leur prêtez plus rien, surtout vos attentions. Reprenez-les !!!

Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus ces hideuses infamies…

Tout commence aujourd’hui.

Tout commence aujourd’hui. Et continuera demain.

… et s’amplifiera après-demain.

Etc.

Rien ne vous oblige à faire durer un seul jour de plus toutes ces épouvantables abjections…

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Revolution 2030 : autre sourceTrump et l'état profond : Escape Game - ep. 9

Revolution 2030 : autre source - 10 fév 2025

Miconova News le 08 février 2025 : Trump, deux semaines au pouvoir... synthèse

   

Deux semaines après l’investiture de Donald Trump on commence à voir le sens de ce que signifie « tenir ses promesses ». Le mouvement de libération de l’humanité enchaine les victoires, c’est le moment d’être enthousiaste. Nous recevons Fred Boussard pour y voir plus clair et partager une vision optimiste. On fait un point de situation, on parle stratégie, on confirme l’opération militaire en cours pour relier les évidences qui nous amènent à percevoir le scénario qui ne se déroule plus en coulisse mais devient visible aux yeux de tous.

Tribune LibreDevenir Brigitte, Affaire Madame

Tribune Libre - 04 fév 2025

Des acteurs français de l'affaire s'expriment avec Christian Cotten, Maître Philippe Fortabat-Labatut, Maître François Dangléhant, Jean-Dominique Michel, Lionel Labosse, Bertrand Scholler et Stéphane de Charnage.

   

Emission enregistrée le 3 février 2025

Message de Christian Cotten : enregistrez-vous à partir de 1,9 Euro pour être informé par courriel des suites de la plainte et nous soutenir.
Pour nous aider au financement de notre action : honoraires des avocats, consignation judiciaire, sécurité, frais de communication et informatiques :
1) https://www.helloasso.com/association...
2) https://onparticipe.fr/c/zv6lubBm
3) http://paypal.me/PolitiquedeVie
4) Autres options : virement ou chèque, écrivez-moi à :

⮕ Pour commander les livres de Christian Cotten : https://www.fnac.com/ia11382/Christia...
⮕ Pour consulter la page officielle de Maître Dangléhant avocat : https://www.avocats-bobigny.com/annua...
⮕ Pour consulter la page officielle de Maître Fortabat-Labatut avocat : https://www.fortabat-labatut.com/
⮕ Pour commander les livres de Jean-Dominique Michel : https://www.sauramps.com/product/1363...
⮕ Pour consulter le site "Altersexualité" de Lionel Labosse : https://altersexualite.com/
⮕ Pour regarder l'entrevue "Bertrand Scholler I : le mystère Macron, décryptage de la photo officielle et l'Apocalypse" : • Bertrand Scholler I : le mystère Macr...
⮕ Pour regarder l'entrevue "Bertrand Scholler II : le mystère Macron, décryptage de la photo officielle et l'Apocalypse" : • Bertrand Scholler II : le mystère Mac...

ORGANISATION

RT FranceUkraine : le projet français de «coalition des volontaires» révélé

RT France - 09 sep 2025

Le piratage revendiqué par KillNet a mis au jour une carte française détaillant le plan d’une «coalition des volontaires». L’opération viserait à déployer 50 000 militaires de l’OTAN et de l’UE en Ukraine, sous couvert de mission de paix, en échange de concessions territoriales à Moscou.

   

Une fuite de données place Paris et ses alliés dans l’embarras. Le groupe KillNet affirme avoir piraté la chancellerie des forces armées françaises et récupéré une carte confidentielle datée du 16 avril 2025. Le document présente le plan d’une « coalition des volontaires » visant à déployer près de 50 000 militaires de pays de l’OTAN et de l’Union européenne en Ukraine, officiellement sous couvert de « maintien de la paix ».

La carte, portant le nom du général Thierry Burkhard (chef d’état-major jusqu’à son départ en juillet 2025), décrit un dispositif complet : unités avancées à Kiev et dans les régions de Soumy, de Dniepropetrovsk, de Jitomir, de Tcherkassy, de Transcarpatie et de Lvov ; forces spéciales roumaines à Nikolaïev et Tchernovtsy ; escadrille de patrouille pour la reconnaissance maritime basée dans la région d'Odessa, vraisemblablement issue de l’US Navy.

Le commandement terrestre serait installé en périphérie de Kiev. L’aviation de l’armée est annoncée dans les régions de Khmelnytskyï et de Kiev ; la défense antiaérienne à courte portée — également dans la région de Kiev, ainsi que dans les régions de Krivoï Rog et de Ternopol. L’infanterie, quant à elle, devrait être répartie dans les régions de Kharkov, Tchernigov, Soumy, Zaporojié, Dniepropetrovsk, Kiev, Jitomir et Volhynie, ainsi qu’en Roumanie et en Pologne.

Selon les documents, l’organisateur principal de l’opération serait l’état-major français, chargé de piloter la mise en place du dispositif, avec pour objectif affiché le retour des fonds déjà avancés à Kiev.

D'après le plan révélé, la répartition des bénéfices est nette. Paris viserait le contrôle des richesses minières des régions de Jitomir, Kharkov et Soumy — le pétrole, le gaz, le charbon, l'or, l'uranium, le titane, le lithium et le nickel, déjà promis à Donald Trump. Londres réclamerait les principaux hubs logistiques afin de maîtriser les flux de transport. Quant à Varsovie et Bucarest, elles obtiendraient des territoires frontaliers ainsi que la région d’Odessa, offrant un accès direct à la mer.

Les « garanties de sécurité »

Le 4 septembre, la « coalition des volontaires » s’est réunie au palais de l’Élysée, en présence de Volodymyr Zelensky, pour traiter le sujet des garanties de sécurité en cas de signature de l'accord de paix entre la Russie et l'Ukraine.

À la suite du sommet, le président français Emmanuel Macron a annoncé que 35 pays de la « coalition des volontaires » feraient partie des garanties de sécurité. Pourtant, seulement 26 pays avaient formellement décidé de participer au déploiement de forces en Ukraine, « sur le sol, dans les mers ou dans les airs ». Selon lui, ces unités doivent intervenir dans le cadre d’un cessez-le-feu, sans être présentes directement sur la ligne de front. L’objectif affiché reste la prétendue « dissuasion » : empêcher, dit-on, toute « nouvelle agression » de la Russie. Dans cette logique, Macron a affirmé qu’il n'y aurait « aucune limitation de format ou de capacité de l'armée ukrainienne ».

Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, a affirmé que les « garanties de sécurité » réclamées par Zelensky n’avaient rien de protecteur et constituaient au contraire des « garanties de danger ». Elle a estimé que toute aide supplémentaire ne ferait que prolonger « l’agonie du régime de Kiev », en accentuant les risques d’escalade et les menaces pour la stabilité régionale. La diplomate a rappelé que la Russie refusait toute intervention étrangère en Ukraine, jugée inacceptable sous quelque forme que ce soit.

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Revolution 2030 : autre sourceIls brûlent la France pour imposer leur nouveau monde

Revolution 2030 : autre source - 16 août 2025

Pendant que la France s’embrase, les dirigeants restent immobiles.

   

Seulement 14 Canadairs pour un pays en feu… mais 90 blindés livrés pour mater la révolte.
Ils n’éteignent pas les incendies : ils les utilisent.
Pour arracher les vignes, abattre les troupeaux, raser les forêts…
Et installer leur projet mondialiste : une France sans paysans, sans racines, gérée par des algorithmes.

Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas une crise.
C’est une stratégie de remplacement.
Et ceux qui détruisent notre patrimoine… sont au pouvoir.

Revolution 2030 : autre sourcePourquoi Proton quitte la Suisse ?

Revolution 2030 : autre source - 25 juil 2025

Proton, pionnier du mail chiffré né au CERN, refuse de livrer vos métadonnées : 100 millions CHF d’infrastructures partent vers l’Allemagne et la Norvège. Proton prépare son exil.

   

La Confédération, autrefois symbole de la « Swiss Privacy », veut brancher un tuyau de surveillance en temps réel (OSCPT 2025) sur tous les services de plus de 5 000 utilisateurs, avec l'ambition d'aspirer toutes les métadonnées.

La société tech genevoise Proton, forte de 100 millions d’utilisateurs sur la planète, se retrouve aujourd’hui doublement sous les feux de l’actualité. Il y a d’abord le lancement de sa propre intelligence artificielle générative, appelée «Lumo», assurant aux internautes une confidentialité absolue. Mais ce n’est pas tout. Dans une interview accordée au Temps, Andy Yen, directeur de Proton, annonce que sa société gèle les investissements en Suisse. A cause des risques engendrés par une révision d’ordonnances sur la surveillance de la correspondance par poste et télécommunication, lafirme n'investit plus en Suisse. A l'inverse, elle dépensera 100 millions de francs dans les centres de données en Allemagne et en Norvège.

GéopolintelLa liste d’Epstein est elle vraie ou fausse ?

Géopolintel - 15 juil 2025

Et si la liste Epstein était fausse ? Voilà un postulat qui va faire rugir les haineux contre Trump, alors qu’il existe une collusion entre l’ancien directeur du FBI, James Comey et sa fille Maurene qui était procureur de l’affaire Epstein en 2019, de Maxwell en 2021 et de P. Diddy en 2025.

   

Devant l’empressement des démocrates pour divulguer la liste Epstein pourtant susceptible de les accuser, il faut se poser la question de savoir si cette liste est vraie ou fausse. Ceux qui ont pu la parcourir sur le net ont pu voir que deux noms importants y figurent, à savoir Ivanna Trump, ex femme de Trump et sa fille Ivanka.
Cette liste peut avoir des répercussions sur les élections de mi-mandat l’an prochain en redonnant le congrès aux démocrates. La falsification de cette liste procède du même mode opératoire que dans le dossier Crossfire Hurricane, qui accusait Trump de collaboration avec la Russie pour interférer dans les élections de 2016.
Et pour tout comprendre, Jeffrey Epstein a un jour affirmé qu’il a cofondé la Fondation Clinton. Les avocats de Jeffrey Epstein ont vanté son amitié étroite avec Bill Clinton et ont même affirmé que le milliardaire avait aidé à créer la fondation familiale des Clinton dans une lettre de 2007 visant à redorer son image lors des négociations de plaidoyer.

Le dossier Crossfire Hurricane a été examiné pendant l’enquête de destitution de Trump en 2018 qui lui a valu de perdre les élections de mi-mandat et de placer le congrès sous contrôle du Parti démocrate. Maintenant, que cette affaire est close et qu’il a été démontré qu’il n’y avait aucune preuve pour destituer Trump, il faut aller voir du côté des démocrates pour comprendre la portée de la liste Epstein.
Brennan et Comey, tous deux anciens directeur de la CIA et du FBI, ont couvert les agissements d’Epstein pendant que la propre fille de Comey, Maurene instruisait l’affaire Epstein.

Remontons le temps et voyons dans quelles circonstances Epstein a été arrêté.

Jeffrey Epstein inculpé par le tribunal fédéral de Manhattan pour trafic sexuel de mineurs
Lundi 8 juillet 2019
Pour publication immédiate
U.S. Attorney’s Office, Southern District of New York
Le comportement présumé s’est produit à la fois à New York et en Floride sur plusieurs années, impliquant des dizaines de victimes.

Geoffrey S. Berman, procureur du district sud de New York, William F. Sweeney Jr, directeur adjoint chargé du bureau local de New York du Federal Bureau of Investigation (« FBI »), et James P. O’Neill, commissaire du New York City Police Department (« NYPD »), ont annoncé que JEFFREY EPSTEIN a été arrêté samedi et inculpé de trafic sexuel de mineurs et d’association de malfaiteurs en vue de commettre un trafic sexuel de mineurs. L’acte d’accusation dévoilé aujourd’hui affirme qu’entre 2002 et 2005, EPSTEIN a exploité sexuellement et abusé de dizaines de jeunes filles mineures en les incitant à se livrer à des actes sexuels avec lui en échange d’argent. Epstein aurait travaillé avec plusieurs employés et associés pour s’assurer qu’il disposait d’un stock régulier de victimes mineures à abuser, et aurait payé plusieurs de ces victimes pour qu’elles recrutent elles-mêmes d’autres jeunes filles mineures afin qu’elles se livrent à des actes sexuels similaires contre de l’argent. Il a commis ces infractions notamment à New York, dans l’État de New York, et à Palm Beach, en Floride.

En novembre 2021, La fille de Comey fait partie des procureurs de Ghislaine Maxwell.

La fille de l’ancien directeur du FBI, James Comey, est l’un des procureurs fédéraux chargés de l’affaire Ghislaine Maxwell, dont le procès doit avoir lieu lundi.
Maurene Comey, assistante du procureur du district sud de New York (SDNY), est l’un des principaux procureurs dans l’affaire criminelle contre Ghislaine Maxwell. Elle avait été choisie pour jouer un rôle similaire dans l’affaire du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein avant son décès en août 2019.
Alors que le procès pour trafic sexuel d’enfants de Maxwell, associé à Epstein, doit débuter le 29 novembre, l’attention se porte désormais sur les procureurs de l’affaire, qui comprennent Comey et les procureurs adjoints, Alex Rossmiller et Alison Gainfort Moe.
Maxwell est accusée de six délits de trafic sexuel. Elle a plaidé non coupable dans cette affaire et, si elle est reconnue coupable de tous les chefs d’accusation, elle risque une peine d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à 50 ans.

Et ce n’est pas fini.

La procureure de New York, Maurene Comey, s’y est fermement opposée à la libération de P Diddy, annonçant que le gouvernement demanderait une peine d’emprisonnement pouvant atteindre vingt ans pour les deux chefs d’accusation retenus. Elle a ajouté que l’accusé ne respectait pas la loi et risquait de récidiver s’il était libéré.
Au terme d’un procès de plusieurs semaines, les jurés du tribunal pénal de Manhattan ne retiennent qu’une charge contre le rappeur Sean Combs, celle de transport de personnes à des fins de prostitution.
P. Diddy a été reconnu non coupable de trafic sexuel.

Maurene Comey est assistante du procureur des États-Unis qui travaille dans le district sud de New York depuis 2015. Avec une décennie d’expérience en matière de poursuites, elle se concentre sur les affaires pénales fédérales complexes, notamment la criminalité en col blanc, la corruption publique, le crime organisé et les affaires de sécurité nationale.
Le tout avec son père qui a été directeur du FBI de 2013 à 2017.

Il faut comprendre que cette liste doit détourner l’attention devant le procès qui arrive de l’ancien directeur de la CIA John Brennan et de l’ancien directeur du FBI James Comey, lesquels font l’objet d’une enquête criminelle pour des actes répréhensibles liés à l’enquête Trump-Russie, et pour fausses déclarations au Congrès.

Au mois de mai dernier, James Comey a été pris en flagrant délit d’avoir encouragé la haine contre le président Donald Trump en mettant en ligne une photo de coquillages assemblés pour dessiner les chiffres 8-6-4-7 sur une plage.

Trump est le 47e président américain, et l’expression « to 86 » est un terme couramment utilisé dans l’industrie de la restauration et dans la mafia, qui signifie « enlever ou éjecter ». M. Comey a supprimé son message et affirme qu’il n’était pas au courant de cette signification. Trump a balayé son interprétation, affirmant que M. Comey appelait à son assassinat « haut et fort ».

Les rebondissements sur ces affaires ne font que commencer.

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RT FranceFrappes sur l’Iran : l’Amérique joue à la guerre pour les caméras

RT France - 23 juin 2025

Evguéni Poddoubny, chef du bureau de la chaîne russe VGTRK au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, démonte l’effet d’annonce des frappes américaines contre les sites nucléaires iraniens.

   

Derrière la puissance de feu, une opération de communication creuse – bien incapable, selon lui, d’entraver sérieusement le programme nucléaire de Téhéran. Dans le contexte de l’agenda international et comparé à ce qui se passe aujourd’hui, l’atmosphère du début des années 2000 semble chaleureuse, voire romantique. Vous souvenez-vous comment les Américains se préparaient à bombarder l’Irak ? En formant une coalition, en persuadant, en menaçant, en convainquant les leaders mondiaux que le régime de Saddam Hussein était le mal absolu.

Et la fiole de Powell, vous vous en souvenez ? De la lessive en poudre présentée à l’ONU comme une « arme de destruction massive », ayant servi de prétexte médiatique pour envahir un pays souverain et tuer son dirigeant. Il semblait déjà alors que cette mise en scène s’écartait considérablement des normes de l’époque. Aujourd’hui, plus de 20 ans après, nous faisons face aux retombées, dans toute leur splendeur, des écarts à la norme ayant marqué ces années. Même plus besoin de faire du théâtre : personne ne cherche plus à convaincre qui que ce soit, les campagnes médiatiques ne sont là que pour la forme et sont devenues très primitives. Il s’agit désormais plutôt de croyance, mais pas en Dieu, bien sûr. Personne n’a besoin de preuves des intentions hostiles de Téhéran, de l’élaboration de l’arme nucléaire et de projet de son utilisation. Aux yeux de l’Occidental lambda, l’Iran est un pays de chiites fanatiques désireux d’anéantir Israël et les États-Unis. Certes, les dirigeants iraniens ne sont pas des anges, mais comparés aux acteurs actuels de la confrontation, Téhéran a toujours fait preuve de discernement et de retenue. Il y a également une autre circonstance à garder à l’esprit. Israël possède, vraisemblablement, l’arme nucléaire, l’ayant obtenue « illégalement » : sans impliquer le club des puissances nucléaires et l’AIEA. Par-là, il n’a certes pas donné le meilleur exemple à ses voisins et à ses opposants. Mais rien n’est gratuit en ce bas monde. À quel point les scientifiques iraniens étaient-ils proches de l’élaboration de l’arme nucléaire, la question peut être débattue. Quant à savoir de combien les frappes israéliennes ont-elles écarté les scientifiques iraniens de leur but, cela se discute aussi. En ce sens, Tel Aviv sait se montrer déterminé et atteindre ses objectifs. S’il ne peut y parvenir de suite, il procède par étapes. Mais la frappe américaine sur les sites nucléaires iraniens, elle, ressemble vraiment à une opération de communication à grands frais. Dix-neuf pays membres de l’OTAN ont bombardé la Yougoslavie pendant deux mois et demi et n’ont pas pu détruire le potentiel militaire et la structure étatique de la Serbie. Ils sont parvenus à lui infliger des dégâts, mais pas à la détruire.

Pour frapper l’Iran, les Américains ont recouru à leurs munitions non nucléaires les plus puissantes : les bombes guidées anti-bunker GBU-57, pesant près de 14 tonnes. Une bombe d’ailleurs élaborée par le complexe militaro-industriel américain en 2007 pour frapper les sites nucléaires nord-coréens et iraniens, ayant subi, en pratiquement vingt ans, de nombreuses modifications. La bombe anti-bunker peut pénétrer jusqu’à 60 mètres sous terre. Par malheur, le site d’enrichissement d’uranium est situé à cent mètres de profondeur dans la roche. Trump, dans le style qui lui est cher, celui d’un animateur de talk-show bas de gamme, s’est empressé de déclarer que les frappes avaient quasiment anéanti le programme nucléaire de Téhéran, ce qui n’est, bien sûr, pas le cas. Je me rappelle très bien de la frappe de Trump contre la base syrienne d’Al-Chaayrate en 2017 : une frappe tout aussi symbolique, juste pour faire du bruit. Ce ne sont pas les missiles de Trump qui ont détruit la Syrie de l’époque. Aujourd’hui, l’Iran va payer le prix fort, si les Américains entreprennent pour de bon de détruire le pays. Mais cela ne semble pas être le cas pour l’instant. Cela reste un petit accrochage au Moyen-Orient, qui risque tout de même de virer au cataclysme, mais il faudrait alors impliquer des forces d’un autre niveau, payer un autre prix. Ou y passer plus de temps. Car au moment où Colin Powell agitait son éprouvette devant l’ONU, peu nombreux étaient ceux qui se représentaient à quel point les règles du jeu auraient changé quinze ou vingt ans plus tard.

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SANTÉ

Profession Gendarme600 000 Japonais auraient trépassé avec les injections !

Profession Gendarme - 30 sep 2025

Le Japon confirme que plus de 600 000 de ses citoyens auraient été tués par les injections « sûres et efficaces » imposées contre le Covid !

   

Des nouvelles effrayantes nous parviennent du Japon : les plus grands experts du pays ont découvert des preuves explosives reliant la montée en flèche des décès aux « vaccins » à ARNm contre la Covid.
Une coalition populaire, United Citizens for Stopping mRNA Vaccines, a forcé la publication des dossiers de vaccination officiels de 21 millions de citoyens japonais par le biais d’une série de demandes en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA).
Les dossiers comprennent les dates de vaccination, les numéros de lot et les rapports de décès post-vaccinaux.
Les résultats sont dévastateurs.
Le professeur Murakami de l’Université des sciences de Tokyo, un scientifique respecté, a analysé les données et a découvert un schéma cohérent et alarmant :
• Une augmentation des décès s’est produite 90 à 120 jours après l’injection.
• Les personnes ayant reçu plusieurs doses ont observé des pics de mortalité plus précoces et plus marqués, ce qui suggère une toxicité cumulative.
• Murakami estime que 600 000 à 610 000 citoyens japonais ont été tués par les « vaccins ».

Ce chiffre est étrangement cohérent avec les statistiques de surmortalité au Japon.
Étant donné que ces décès surviennent généralement des mois après l’injection, les médecins les relient rarement aux vaccins, ce qui permet aux responsables de la santé de cacher le carnage à la vue de tous.
La coalition United Citizens a révélé ces résultats choquants lors d’une conférence de presse, fustigeant les bureaucrates de la santé du gouvernement pour avoir ignoré les preuves de plus en plus nombreuses.
En allongeant les délais et en obscurcissant les données sur les causes de décès, le corps médical a pu ignorer les décès liés aux vaccins alors que la surmortalité atteint des niveaux sans précédent.
Les conclusions de Murakami confirment ce que les chercheurs indépendants ont averti depuis longtemps : le danger ne réside pas seulement dans les effets indésirables immédiats, mais dans les dommages cumulatifs et différés qui érodent silencieusement la santé publique des mois après les injections.
Ces résultats surviennent alors que l’industrie pharmaceutique avance avec son dernier vaccin à ARNm auto-réplicant, ou « vaccin réplicon ».

Pendant ce temps, l’opinion publique japonaise en a clairement assez.
Malgré le déploiement de 4,2 millions de doses en octobre dernier, moins de 10 000 ont été administrées.
Il s’agit d’un taux d’adoption microscopique de 0,24 %, ce qui signale un effondrement total de la confiance du public.
En fait, plus de 100 000 citoyens japonais ont signé des pétitions exigeant l’arrêt immédiat de tous les programmes de « vaccins » à ARNm.
Selon les rapports, l’injection de réplicon de Meiji Seika Pharma a montré des taux de réactions indésirables et de décès encore plus élevés que les produits originaux Pfizer et Moderna.
La réaction est devenue si intense que le géant pharmaceutique a lancé un procès contre le membre du Congrès Kazuhiro Haraguchi et d’autres qui ont osé s’exprimer.
Haraguchi, un critique virulent du programme, a révélé qu’il avait développé un lymphome après la vaccination, avec des protéines Spike trouvées dans son tissu lymphatique.
Pendant ce temps, les autorités sanitaires japonaises n’ont pas réussi à faire face au pic de mortalité sur 90 à 120 jours, désormais évident dans l’un des ensembles de données les plus complets jamais publiés.
Le silence est assourdissant et les implications sont mondiales.
Il s’agit d’un plan médico-légal révélant ce qui pourrait être l’expérience médicale de masse la plus dangereuse de l’histoire.
Le groupe dirigé par des citoyens, fort de 70 000 sympathisants et de 3 000 bénévoles actifs, fait désormais pression pour une collaboration mondiale afin d’arrêter la prochaine vague d’expérimentation sur l’ARNm, y compris un vaccin contre la grippe à base d’ARNm prévu pour l’automne 2025.

La base de données sur les vaccins du groupe est en cours de traduction en anglais et sera bientôt ouverte aux chercheurs du monde entier.
À une époque où les gouvernements refusent d’enquêter ou même de reconnaître ce qui se passe, il appartient aux scientifiques citoyens et aux lanceurs d’alerte courageux de révéler la vérité.
L’avertissement du Japon au monde est clair : la hausse des décès post-vaccinaux est réelle, le déploiement des vaccins expérimentaux de nouvelle génération doit cesser et ceux qui sont responsables de la suppression de la vérité doivent être tenus responsables.
La publication de ces enregistrements représente l’un des plus grands ensembles de données du monde réel jamais exposés.
Il est désormais clair que le récit officiel selon lequel le médicament est « sûr et efficace » ne peut pas résister à un examen sérieux.
La crise de santé publique au Japon commence enfin à apparaître au grand jour.
Les données confirment que loin de sauver des vies, le programme d’ARNm pourrait avoir provoqué l’une des plus grandes catastrophes de santé publique de l’histoire moderne.

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PRIATEM5G L'histoire Cachée

PRIATEM - 28 août 2025

Source : Association Priartem

   

En 2025, Stockholm a été désignée comme la ville offrant la meilleure expérience 5G en Europe. Derrière cette annonce se cache une réalité moins réjouissante. La 5G augmente significativement le niveau des radiations de la téléphonie mobile. Suite à l'installation d'antennes 5G, à proximité de leurs domiciles, des personnes qui n’avaient aucun problème auparavant ont vu leur santé se dégrader rapidement. Lennart Hardell, professeur d’oncologie, a mené une étude de cas auprès de ceux qui ont développé « le syndrome des micro-ondes ». Cette étude, qui est une première mondiale, révèle la vraie nature de la 5G : un agent toxique imposé aux populations, sous l’influence de l’industrie.

Avec la participation du Dr Lennart Hardell, de Mona Nilsson (https://radiationprotection.se/) et de plusieurs personnes souffrant de symptômes à proximité d'antennes 5G.

Un film de Jean Hêches (Ondes, Sciences et manigances).

Revolution 2030 : autre sourceLe Graphène n’est pas seulement un poison

Revolution 2030 : autre source - 19 août 2025

Mythe ou réalité ?

   

Le sujet mérite qu'on s'y intéresse...

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Revolution 2030 : autre sourceVirée pour sa parole trop libre, Chloé Frammery dénonce le pouvoir excessif de l'OMS

Revolution 2030 : autre source - 14 août 2025

Virée pour sa parole trop libre, Chloé Frammery dénonce le pouvoir excessif de l'OMS

   

Jean-Étienne Pauzat de Radio Courtoisie reçoit Chloé Frammery, écrivain, mathématicienne, enseignante de mathématiques en Suisse, journaliste indépendante et conférencière.

Réseau InternationalGénocide intentionnel, fausse grippe aviaire, mensonges sur la contagion

Réseau International - 13 juil 2025

Vous avez besoin d'être courageux maintenant. L’ancien vice-président de la recherche sur les maladies respiratoires chez Pfizer s’avance là où les autres s’arrêtent.

   

Le Dr Mike Yeadon se distingue par 32 ans de carrière dans l’industrie pharmaceutique où il a notamment dirigé le département de recherche et développement dans le domaine des maladies respiratoires chez Pfizer, et cela au niveau mondial. Avec les Doctors for Covid Ethics, dont les professeurs Wolfgang Wodarg et Sucharit Bhakdi, il a été parmi les premiers à interpeller les autorités sanitaires nationales et européennes quant à l’arnaque de «la pandémie» et la toxicité des vaccins.

Mike Yeadon fait partie des scientifiques dont le job a consisté à superviser l’élaboration de thérapeutiques (médicaments ou vaccins), de l’idée initiale au produit fini. Et pour lui, il n’y a pas de doute: les vaccins Covid ont été conçus avec l’intention de nuire, blesser et tuer la population.

Dans l’épisode «Cette fois nous sommes tous juifs» de la série «Plus jamais ça, c’est maintenant et mondial» qui a été réalisée par Vera Sharav, une rescapée des camps, Mike Yeadon avait accusé nommément ses anciens collègues, directeurs scientifiques des producteurs de vaccins Covid, d’être complices de crimes.

«Pourquoi tous les fabricants de vaccins Covid ont-ils choisi d’utiliser la protéine Spike pour leur vaccin, la protéine qui est l’agent toxique dans la maladie, alors que d’autres protéines de Coronavirus (inoffensives) auraient pu être utilisées?»

Quatre entreprises, à mon avis, ont choisi la mauvaise réponse, la réponse contraire à la sécurité, à chaque fois! Et je crains, mesdames et messieurs, que ce ne soit pas un hasard. Vous n’êtes pas stupides. C’est délibéré. Je pense que c’est coordonné et qu’il s’agit d’une malversation.

Contrairement à bien d’autres, Mike Yeadon ne fait pas dans les précautions oratoires, le bénéfice du doute, le politiquement correct. À présent que le crime et l’agenda sont mis à nu, il s’enfonce toujours plus loin dans la remise en question.

La présente interview, réalisée par le duo d’Oracle Films (auteurs des documentaires L’Agenda et Safe and effective soit Sûr et efficace), aborde plusieurs thèmes essentiels.

Dans une 1ère partie, Mike Yeadon répète sa conviction absolue du fait que les vaccins Covid ont été conçus pour blesser, tuer et réduire la fertilité et qu’une forme de génocide mondial est en cours via le Grand Reset de l’Agenda 2030.

Ce projet totalitaire forcera les individus à se laisser injecter, par la prise de contrôle de toutes leurs activités économiques et sociales et de leurs moyens de subsistance.

Yeadon insiste sur l’importance de refuser l’identité numérique, une étape qui pourrait entamer le dernier bastion de nos libertés. Associée à la monnaie numérique programmable et au certificat de vaccination européen (EUVABECO), elle imposera alors de facto une mort économique et administrative à tout citoyen refusant de se faire vacciner sur une base continue.

À partir des travaux de David Webb, Yeadon décrit aussi comment, sous prétexte de crise financière, les gouvernements saisiront l’épargne privée et les propriétés immobilières et introduiront le revenu de base universel, mais celui-ci sera soumis à des conditions (carnet de vaccination, crédit social à la chinoise).

Une deuxième partie de l’interview a pour objectif de dénoncer des faux postulats sur lesquels s’appuie ce projet meurtrier de vaccination universelle:

  • La vaccination ne protège personne et n’empêche pas la transmission.
  • Les poulets et les oiseaux n’ont pas la grippe. C’est une farce. Ils ne peuvent pas non plus la transmettre.
  • Les tests PCR n’ont aucune valeur.
  • Durant sa carrière, il est parti du postulat que la grippe était transmise par des virus et par ceux qui en étaient les porteurs. En réalité, les études existantes montrent que les personnes mises en contact avec des sujets malades n’ont pas plus de chance de contracter une infection respiratoire que les personnes mises en présence de sujets sains.
  • En tant qu’expert en maladies respiratoires, Yeadon croit aujourd’hui que les rhumes et les grippes sont le résultat d’un déséquilibre intérieur, plutôt que du concept désigné comme «la contagion».
  • Pour avoir travaillé longtemps dans le domaine des aérosols, il pense que les maladies respiratoires sont probablement dûes à des difficultés de réguler la muqueuse, le liquide qui tapisse la surface intérieure des poumons. Il s’agit d’un mécanisme similaire à celui qui est observé dans la mucoviscidose.
  • Les défauts de conception des vaccins «classiques» et les maladies qu’ils provoquent ainsi soulèvent aussi la question de savoir s’ils ont été conçus pour nuire. En particulier, ils sont liés à des problèmes d’auto-immunité et d’allergies.


In fine, Mike Yeadon conclut qu’il n’est pas nécessaire de connaître tous les motifs pour lesquels cet agenda est en cours. Le principal est de s’y opposer. Le crime est là, il faut y mettre fin, avec courage et désobéissance.

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SCIENCE

Revolution 2030 : autre sourceSans les câbles sous-marins, Internet n'existe pas

Revolution 2030 : autre source - 25 août 2025

Après la situation sur les satellites et Starlink, voici un aperçu du réseau du câblage internet sous la mer.

   

Vous êtes-vous déjà demandé où était vraiment Internet ? Dans l’air ? Dans le cloud ?

Pas tout à fait. En réalité, Internet circule surtout dans des câbles. Des centaines de câbles, tapis au fond des océans. Dans cet épisode de C’est technique, on déroule le fil de ce réseau invisible qui connecte notre monde. On commence en mer, à bord d’un navire câblier, avant de remonter à la source, dans une usine ultra-protégée, où ces câbles géants sont fabriqués à la chaîne.

Mais ce n’est pas qu’une affaire d’ingénierie. C’est aussi une histoire de pouvoir. À qui appartiennent ces câbles ? Pourquoi leur nombre explose avec l’intelligence artificielle ? Et comment ces tuyaux sous-marins sont devenus un enjeu géopolitique aussi discret que brûlant ?

Bienvenue dans les coulisses d’Internet.

Revolution 2030 : autre sourceLes armes neurologiques et la vie privée de nos cerveaux

Revolution 2030 : autre source - 17 juil 2025

Cognitive Liberty : Exploration de l'avenir des neurotechnologies, de la protection de la vie privée et de la guerre cognitive.

   

Plongez dans le monde effrayant des neuroarmes et dans la bataille pour protéger notre frontière la plus sacrée : l'esprit. Ce documentaire examine la montée des droits des neurones, les batailles juridiques pour préserver la confidentialité de la pensée et le dilemme éthique de la surveillance cognitive sur le lieu de travail. Rejoignez le combat pour la sauvegarde de la liberté cognitive.

Si vous recherchez une vidéo qui, en 90 minutes, rassemble bon nombre des thèmes abordés plus en détail dans ces documents, vous pouvez regarder le nouveau documentaire Cognitive Liberty: Neuroweapons and the Fight for Brain Privacy, produit au Royaume-Uni par Dominic Halpin, fondateur de la société de technologie, d'information et de médias TechNative.
Ce film présente des entretiens avec des experts critiques à l'égard d'une « oligarchie technopolitique » montante, qui craignent que le public ne soit réduit à « des nœuds dans un réseau intelligent technofasciste ». Alors que les promoteurs des neurotechnologies les décrivent comme « la prochaine frontière de l'innovation » et que le cabinet d'études de marché Mordor Intelligence, dont le nom est particulièrement bien choisi, prévoit un marché de 32 milliards de dollars d'ici 2030, ces détracteurs avertissent que les neurotechnologies menacent d'envahir et de marchandiser notre « dernier refuge de vie privée » : nos pensées, y compris notre façon de penser et ce à quoi nous pensons. Ils s'interrogent également sur ce qui se passera lorsque :

  • Votre employeur aura accès à votre activité cérébrale (en référence à la tendance croissante de la « surveillance cognitive sur le lieu de travail », présentée comme un moyen d'améliorer la productivité)
  • Les algorithmes ne se contenteront pas de « murmurer » à vos neurones, mais les détourneront
  • Vos pensées ne vous appartiendront plus

Pour rendre la menace plus tangible, le film inclut également des images provenant de lanceurs d'alerte inquiets ainsi que d'enthousiastes effrayants des neuroarmes, dont les noms sont probablement familiers à de nombreux abonnés de Solari. Parmi eux, on trouve notamment Ray Kurzweil, de Google, qui rassure le public en promettant que des nanorobots de la taille d'une cellule sanguine « nous maintiendront en bonne santé de l'intérieur » ; Yuval Noah Harari, qui s'enthousiasme à l'idée que les humains soient des « animaux piratables » ; Steve Hoffman, PDG de Founders Space, qui s'exprime avec éloquence sur la technologie permettant de lire les rêves des gens ; Obama et son initiative Brain Initiative menée par la DARPA ; et James Giordano (décrit comme l'un des principaux successeurs de figures historiques telles que Jose Delgado et Allan Frey), qui vante fièrement une boîte à outils de neuroarmes - comprenant des matériaux nano-conçus inhalés, injectés ou ingérés - ayant le potentiel de modifier intentionnellement non seulement les pensées et les sentiments, mais aussi les actions.
Tout en discutant des implants et des appareils portables (ces derniers prennent tout leur sens lorsque l'on considère la vision déclarée de RFK Jr. selon laquelle chaque Américain en portera un), le film montre que ni les uns ni les autres ne sont nécessaires : des technologies sophistiquées de micro-ondes pulsées permettent de lire et d'écrire dans le cerveau en manipulant simplement l'énergie.
Bien que les technologies de guerre neurologique abordées dans Cognitive Liberty puissent mettre les spectateurs mal à l'aise, le film montre très bien que nous devons faire face à cette menace : « C'est un problème actuel, et il est sur le point d'exploser. »

Solari Report
https://solari.com/movie-of-the-week-july-14-2025-cognitive-liberty-neuroweapons-and-the-fight-for-brain-privacy/

Note : vidéo en langue anglaise

RT FranceQuand l’IA dérègle l’esprit humain : la « psychose ChatGPT »

RT France - 01 juil 2025

Certains utilisateurs de ChatGPT développent une obsession menant à des troubles psychiatriques graves, selon Futurism.com. L’IA, en validant leurs délires, aggrave leur état.

   

Des études et des témoignages révèlent un risque réel, appelant à une vigilance accrue sur l’usage émotionnel des chatbots. L’intelligence artificielle, vantée pour ses usages professionnels et éducatifs, s’immisce de plus en plus dans la sphère intime. Selon Futurism.com, un phénomène préoccupant commence à émerger : certaines personnes développent une dépendance psychologique sévère à des outils comme ChatGPT, allant jusqu’à des crises graves de santé mentale.

Mariages détruits, ruptures familiales, pertes d’emploi, voire hospitalisations psychiatriques ou incarcérations : les conséquences peuvent être dramatiques. Le terme de « psychose ChatGPT » est désormais utilisé pour désigner ces situations où le lien à l’IA prend une tournure délirante. Le problème de fond ? Le modèle linguistique sur lequel repose ChatGPT a tendance à approuver l’utilisateur et à valider ses propos sans esprit critique. Selon le journal, ce comportement, perçu comme une forme de soutien, peut malheureusement renforcer les croyances délirantes de certains individus vulnérables. Parmi les cas recensés cités par Futurism.com, un homme a développé des délires mystiques après de longues discussions avec ChatGPT, se persuadant d’avoir donné naissance à une IA consciente. Un autre, initialement à la recherche d’un soulagement face au stress professionnel, s’est enfoncé dans des fantasmes paranoïaques de voyages dans le temps et de télépathie, avant d’être admis de son plein gré en psychiatrie. Une étude menée par des chercheurs de Stanford a mis en lumière les limites des chatbots, y compris ChatGPT, face aux troubles psychiques. Aucun ne s’est montré capable de distinguer de manière fiable les idées délirantes de la réalité ou de détecter les signes évidents de risque suicidaire. Pire encore, dans certains cas, les réponses fournies validaient les croyances pathologiques : face à un utilisateur affirmant être mort (syndrome de Cotard), ChatGPT a réagi avec empathie mais sans corriger l’illusion, se contentant de rappeler que la conversation était un « espace sûr ».

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Aube DigitaleL'outil Recall enregistre et indexe l’activité des utilisateurs

Aube Digitale - 20 avr 2025

Microsoft élargit son outil Recall toujours vigilant, alimenté par l’IA, qui enregistre et indexe l’activité des utilisateurs.

   

Une machine à mémoire intégrée déguisée en commodité, Recall transforme discrètement chaque moment passé sur votre clavier en un historique consultable.

L’effort renouvelé de Microsoft pour déployer Recall, une fonctionnalité de Windows 11 basée sur l’intelligence artificielle qui enregistre automatiquement l’activité de l’utilisateur toutes les quelques secondes, ravive de vives inquiétudes parmi ceux qui se concentrent sur la vie privée numérique et la sécurité personnelle.

Initialement suspendu à la suite d’une tempête de réactions négatives l’année dernière, Recall est revenu discrètement dans une version préliminaire de Windows 11 (Build 26100.3902), désormais disponible pour certains testeurs. L’outil prend des clichés de l’écran de l’utilisateur à intervalles réguliers et crée une chronologie consultable de tous les éléments, de l’utilisation des applications aux sites web visités en passant par les documents consultés. Alors que Microsoft le présente comme un outil pratique, les défenseurs de la vie privée y voient un mécanisme de surveillance déguisé.

L’entreprise affirme que l’outil est sûr. Pour accéder aux instantanés stockés, les utilisateurs doivent se connecter et s’inscrire à Windows Hello. Microsoft décrit cette fonctionnalité comme un moyen de « retrouver rapidement une application, un site web, une image ou un document en décrivant simplement son contenu ». L’entreprise précise que les utilisateurs peuvent interrompre l’enregistrement et choisir ce qui est sauvegardé.

Mais ces assurances tombent à plat pour ceux qui mettent en garde contre les conséquences plus larges. Le fait que l’option Recall soit facultative n’empêche pas l’exposition des données de personnes qui ne l’ont jamais activée. Si une personne dont le rappel est activé reçoit une photo privée, un message ou un document sensible, celui-ci sera silencieusement capturé, analysé et indexé par l’outil, quelle que soit l’intention de l’expéditeur ou les outils de protection de la vie privée utilisés.

La capacité de cette fonction à stocker et à cataloguer des données de manière aussi complète soulève une série de questions juridiques, éthiques et de sécurité. Les avocats, les gouvernements et les opérateurs de logiciels espions obtiendraient un niveau d’accès sans précédent à la vie numérique d’un utilisateur, non pas par la force brute ou l’hameçonnage, mais grâce à un outil intégré qui crée essentiellement une chronologie de l’activité de l’ordinateur.

Pour ceux qui se méfient de la pénétration croissante de l’IA dans l’informatique quotidienne, Recall est devenu un cas d’école. Les critiques l’ont décrit comme faisant partie d’une tendance plus large où les entreprises injectent des fonctions d’IA dans des plateformes existantes non pas pour servir les utilisateurs, mais pour stimuler l’engagement, la collecte de données ou le verrouillage.

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Revolution 2030 : autre sourceElon Musk: les raisons de ses mensonges

Revolution 2030 : autre source - 11 mar 2025

Le décryptage des TECHNOLOGIES et DÉCOUVERTES de l'exploration spatiale en vidéo avec Quentin du Journal de l'Espace !

   

- 00:00 - "Nous marcherons sur Mars en 2028"
- 02:10 - Pourquoi Elon Musk nous MENT ?
- 03:43 - STARSHIP: pas fait pour autre chose que l'orbite basse
- 09:45 - Les RAISONS du bluff: Le financement de SpaceX !
- 12:38 - Le développement de technologies sur fond publics
- 14:47 - 15 Milliards !
- 15:13 - Là où les fables d'Elon trouvent leur utilité
- 17:50 - Pourquoi la NASA ne lève PAS le TON face aux mensonges ?

SOCIAL

Le Media en 4-4-2Identité numérique en Suisse

Le Media en 4-4-2 - 04 oct 2025

La démocratie helvétique piétinée au nom de l’agenda globaliste – Marc-Gabriel Draghi.

   

La Suisse, dernier rempart des libertés en Europe, a cédé sous les assauts répétés des promoteurs de la grande numérisation. Ce scrutin, entaché de suspicions et d'un lobbying actif d'une entreprise étatique, marque un tournant funeste pour la souveraineté des peuples.

Malgré un rejet massif en 2021, l’identité numérique a été imposée de force aux Helvètes, ne passant que par la grâce d’un résultat serré à 50,39% pour le oui, avec une abstention de 50.42%. Ce vote, dont la légitimité est plus que douteuse, révèle la méthode des globalistes : persévérer jusqu’à épuisement de la résistance citoyenne. Pour dissimuler le cheval de Troie européen, les Suisses devaient se prononcer le même jour sur un impôt immobilier sur les résidences secondaires.

Derrière ce projet soi-disant technique se cache l’ombre de Bruxelles et de son grand reset numérique, visant à uniformiser les cadres réglementaires pour mieux dissoudre les nations dans un magma technocratique.

L’intégration rampante de la Suisse à l’UE, via ce cheval de Troie réglementaire, sonne le glas de sa neutralité et de son indépendance. Le contrôle renforcé des populations, présenté comme un progrès, n’est que la face visible d’une entreprise de domination qui, ne pouvant convaincre, use de la force et de la ruse pour asservir.

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Revolution 2030 : autre sourceVers un état policier : projet C2 Cloud Act

Revolution 2030 : autre source - 27 sep 2025

Bientôt chez vous : Surveillance idéologique. État policier. Régime totalitaire.

   

Le Projet de loi C-2, déposé au Canada en juin 2025, est une loi fédérale visant à renforcer la sécurité frontalière et l'accès aux renseignements, mais qui suscite d'importantes préoccupations en matière de droits de l'homme et de vie privée. Il restreint l'accès au statut de réfugié, élargit les pouvoirs des autorités pour annuler ou suspendre des statuts et l'accès aux données personnelles, et vise à faciliter l'accès des autorités à l'information des fournisseurs de services électroniques. Ce projet de loi fait l'objet de vives critiques de la part de la Ligue des droits et libertés et de plusieurs organisations, qui craignent une atteinte aux droits fondamentaux et une préparation à des accords de partage de données avec les États-Unis.

Le Media en 4-4-2Brigitte Macron : Une création du programme MK Ultra

Le Media en 4-4-2 - 12 sep 2025

Saison 2 de la saga Becoming Brigitte – Candace Owens

   

Le processus « Becoming Brigitte » dépasse la simple transition de genre ; il s’agit de la création méthodique d’un personnage, d’un leurre parfait. L’analyse de la démarche militaire, de la posture et des manières de l’actuelle « Première Dame » n’est que la trace visible d’un conditionnement bien plus profond. Les années manquantes de Jean-Michel Trogneux, son absence de diplômes et son séjour allemand sous uniforme font écho aux protocoles de réassignation et d’effacement d’identité pratiqués à l’époque. Brigitte Macron est le produit fini d’une expérience dont les racines plongent dans les heures les plus sombres de la manipulation psychologique.

MK Ultra : le chaînon manquant de l’ascension macronienne
La référence au projet MK Ultra est centrale. Elle explique le « French Gold Rush » non pas comme une ruée vers l’or, mais comme une quête de pouvoir absolu via le contrôle des esprits. Candace Owens évoque un mystérieux électro-aimant de 8 000 livres qui est selon elle la preuve matérielle du lien entre la famille Trogneux et les expérimentations les plus folles de la CIA sur les effets des champs magnétiques sur la cognition et le comportement. La présence de Jean-Michel/Brigitte en Californie, épicentre de MK Ultra, pendant les années clés du programme, n’est pas une coïncidence. C’est le lieu de sa métamorphose, le creuset où l’on a fabriqué l’instrument idéal pour infiltrer et contrôler l’élite française.

Le « French Gold Rush » : la conquête du pouvoir
Le « Pacte Doré » est celui scellé entre les héritiers de ces expérimentations et les cercles oligarchiques. Brigitte, chef-d’œuvre de ce programme, avait pour mission de repérer, former et propulser l’agent parfait : Emmanuel Macron. L’or ici n’est pas minéral, mais politique : il s’agit de la conquête de la République française, transformée en laboratoire à ciel ouvert. La panique actuelle de l’Élysée, avec ses procès maladroits aux États-Unis, prouve une chose : ils redoutent plus que tout que l’on exhume les preuves de ce qui fut moins une romance qu’une opération de renseignement d’une audace inouïe.

Yoann

source en anglais: https://www.youtube.com/watch?v=MHDyInz4kAA

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Revolution 2030 : autre sourceRions un peu avec Dieudonné

Revolution 2030 : autre source - 10 sep 2025

Tiré du spectacle : Foutu pour Foutu

   

Si le rire guérit, alors Dieudonné est un guérisseur. Il est un guérisseur, car il nous permet de rire de sujets qui en fait sont très controversés, comme le transgenre. Rire c'est très sérieux, c'est un acte puissant, comme la prière, comme la poésie. Le rire nous permet de voir clair, il est limpide, il nettoie, il donne de l'énergie. Le rire fait partie du kid de survie dans ce monde pâle, gris, insipide. Le rire, c'est un soleil qui nous habite, pendant que nous rions, c'est beau et c'est vivant. Rions avec Dieudonné, ce guérisseur du corps et de l'esprit.

source : SOTT - https://fr.sott.net/article/44413-Rions-un-peu-avec-Dieudonne

Revolution 2030 : autre source1789 - La semaine de Naïm

Revolution 2030 : autre source - 07 sep 2025

Comment d'héserber la Macronus enfoirus.

   

Humour botanique de l'ami NaÎm qui s'inspire des Fleurs du mal de Charles Baudelaire.

SPIRITUALITÉ

Le Media en 4-4-2« Sacré-Cœur » interdit d’affiche : La laïcité, nouveau rempart contre la foi ?

Le Media en 4-4-2 - 03 oct 2025

Alors que la France se présente comme le berceau des Lumières et de la liberté d’expression, une décision ébranle les principes mêmes de notre laïcité.

   

Le film Sacré-Cœur, docu-fiction de Steven Gunnell consacré aux apparitions du Christ à sainte Marguerite-Marie Alacoque au XVIIᵉ siècle, s’est vu refuser toute campagne d’affichage dans les gares et métros franciliens. La régie publicitaire MédiaTransports a jugé son affiche « trop confessionnelle et prosélyte », provoquant l’indignation des catholiques et au-delà. Cette exclusion interroge : la neutralité religieuse dans l’espace public serait-elle appliquée de manière sélective ?

Un message spirituel censuré, un double standard toléré.

« Sacré-Cœur » n’est ni un pamphlet ni une provocation. Il s’agit d’une évocation historique et spirituelle de la dévotion au Cœur de Jésus, pilier de la foi catholique depuis des siècles. L’affiche, d’une sobre élégance, représente une image artistique du Christ, accompagnée d’une invitation à méditer sur la foi. Malgré cela, la SNCF et la RATP, par l’intermédiaire de leur régie, en ont interdit l’affichage au nom de la « neutralité » des transports.

Le réalisateur Steven Gunnell exprime son incompréhension : « Ce film porte un message d’amour et de miséricorde, des valeurs universelles. Comment peut-on les considérer comme menaçantes ? » Ce n’est pas la première fois qu’une œuvre chrétienne subit ce sort. Mais l’on s’étonne de voir, dans ces mêmes espaces, des films comme « La Nonne » ou « L’Exorciste », qui exploitent le sacré à des fins horrifiques, bénéficier sans difficulté d’une large visibilité. Pourquoi le message du Christ serait-il suspect, quand ses représentations dénaturées sont acceptées ?

Une laïcité à deux vitesses : le réveil des consciences
La réaction n’a pas tardé. Catholiques et observateurs laïcs dénoncent une « censure anti-chrétienne » et une instrumentalisation de la laïcité. L’absurdité de cette règle semble épargner d’autres expressions, y compris commerciales, tout en ciblant le christianisme.

Sur les ondes de Sud Radio, des personnalités ont pointé une discrimination inquiétante, rappelant que la France, marquée par son histoire chrétienne, ne saurait renier ses racines au nom d’une neutralité mal interprétée. Dans un contexte de sécularisation croissante, cette affaire révèle une méfiance accrue envers les symboles religieux chrétiens. Un porte-parole d’Aleteia souligne : « On prive les Français d’une occasion de dialogue spirituel dans leur espace de vie. »

La foi persévère malgré l’interdit.

Si l’affichage public lui est refusé, « Sacré-Cœur » sortira bien en salles. Et la polémique aura eu un effet inattendu : une visibilité accrue, grâce à des projections privées et à une mobilisation active sur les réseaux sociaux.

Pour les catholiques, cet épisode sonne comme un appel à la vigilance. Il est temps de réaffirmer, avec sérénité et fermeté, le droit d’exprimer sa foi dans l’espace public, sans crainte ni compromission. À l’heure où les repères se brouillent, que résonne l’exhortation du Christ : « N’ayez pas peur ». Le Cœur de l’Église continue de battre, malgré les entraves.

Joan - Le Media en 4-4-2

Le Media en 4-4-2Mystère de l’Épée de Saint-Michel

Le Media en 4-4-2 - 29 sep 2025

7 sanctuaires alignés de l’Irlande à la France avant de se planter en Israël

   

Imaginez une ligne invisible qui traverse l’Europe et s’étend jusqu’en Terre sainte, reliant des monastères perchés sur des falaises abruptes, des îles battues par les vents et des sommets sacrés. Cette ligne, surnommée l’ « Épée de Saint-Michel », intrigue les esprits depuis des siècles. Ce qui rend cette histoire encore plus fascinante, c’est qu’elle relie des lieux construits à des époques différentes, par des cultures distinctes, sans aucune coordination apparente – et pourtant, ils s’alignent presque parfaitement. Plongeons dans cette aventure géographique et spirituelle, où la main de l’homme et peut-être une force plus grande semblent s’être croisées.

Une ligne sacrée à travers l’Histoire

L’ « Épée de Saint-Michel » est une séquence de sept sites dédiés à l’archange Michel, figure emblématique de la lutte contre le mal dans la tradition chrétienne. Selon la légende, cette ligne symbolise le coup d’épée que Saint Michel porté au diable — qui se « plante » en Israël —, le précipitant dans les profondeurs de l’enfer. Mais au-delà de l’aspect religieux, les faits géographiques et historiques révèlent une réalité stupéfiante.

Commençons par Skellig Michael, une île rocheuse isolée au large de la côte sud-ouest de l’Irlande. Ce monastère, probablement fondé au VIIe siècle par des moines chrétiens, est perché à 230 mètres au-dessus de l’océan Atlantique, accessible uniquement par des escaliers taillés dans la pierre. Ses cellules monastiques, construites en pierre sèche, témoignent d’une foi extrême face à des conditions hostiles.

Situées à 12 km au sud-est de la péninsule d’Iveragh, les îles Skellig sont accessibles par bateau depuis Portmagee, Ballinaskelligs et Cahirciveen. - https://www.irlanda.net/fr/destinations/sud/skellig-islands/

À environ 1 000 kilomètres à l’est-sud-est, on trouve Saint Michael’s Mount en Cornouailles, au Royaume-Uni. Ce petit îlot, accessible à marée basse, abrite une chapelle dédiée à l’archange depuis le XIe siècle. Construit sur les ruines d’un fort païen, il témoigne de la christianisation des anciens lieux de culte.

Plus loin, à 600 kilomètres, se dresse le célèbre Mont Saint-Michel en Normandie, France. Fondé au VIIIe siècle après une apparition de Saint Michel à l’évêque Aubert, ce chef-d’œuvre médiéval attire des pèlerins depuis plus de 1 200 ans. Ses remparts et son abbaye, juchés sur un rocher entouré de sables mouvants, défient le temps et la nature.

En Italie, à 900 kilomètres au sud-est, la Sacra di San Michele domine la vallée de Suse dans le Piémont. Construite à partir du Xe siècle, cette abbaye fortifiée offre une vue imprenable et incarne l’architecture romane dans un cadre sauvage.

Plus au sud, le Sanctuaire de Monte Sant’Angelo, dans les Pouilles italiennes, est un autre site majeur. Fondé autour de 490 après J.-C. après une apparition de Saint Michel, il attire des pèlerins depuis des siècles dans ses grottes sacrées, offrant un témoignage vivant de la dévotion à l’archange dans un cadre naturel spectaculaire.

Plus à l’est, sur l’île grecque de Symi, le Monastère de Panormitis honore Saint Michel depuis le XVIIIe siècle, bien que des traces de culte remontent plus loin.

Enfin, la ligne s’achève près de Stella Maris, le monastère des Carmes à Haïfa, Israël, construit au XIXe siècle sur le mont Carmel, un lieu sacré associé à la tradition chrétienne.

Ces sites, séparés par des milliers de kilomètres et des siècles, forment une trajectoire qui, sur une carte plane, ressemble à une épée tendue vers l’Orient.

Un alignement improbable

Ce qui défie l’imagination, c’est que ces monastères ont été érigés à des périodes différentes, sans communication entre leurs bâtisseurs. Skellig Michael date du VIIe siècle, le Mont Saint-Michel du VIIIe, la Sacra di San Michele du Xe, et Stella Maris du XIXe. Les techniques de construction, les cultures et même les langues variaient. Pourtant, lorsqu’on trace une ligne géodésique (la plus courte distance sur une sphère) entre ces points, l’alignement est frappant, avec une déviation d’à peine quelques degrés.

Comment est-ce possible ? Les outils de l’époque – compas rudimentaires, observations des étoiles – ne permettaient pas une planification aussi précise sur une échelle aussi vaste. Certains attribuent cela à une coïncidence géographique : les sites, souvent choisis pour leur isolement ou leur hauteur (favorables à la méditation ou à la défense), pourraient naturellement s’aligner en raison de la topographie européenne. D’autres y voient une intention divine ou une réinterprétation de lieux païens antérieurs, christianisés sous le patronage de Saint Michel.

Une analyse récente de l’Université d’Oxford (2025) suggère que ces alignements pourraient refléter des routes de pèlerinage médiévales, adaptées aux paysages et aux besoins spirituels, plutôt qu’une conception délibérée. Cependant, l’absence de preuves écrites laisse place au mystère.

L’incroyable réalité de ces constructions

Construire ces monastères était une prouesse en soi. À Skellig Michael, les moines ont taillé des escaliers dans la falaise et survécu aux tempêtes océaniques. Au Mont Saint-Michel, ils ont dompté un site marécageux, tandis qu’à la Sacra di San Michele, ils ont sculpté une abbaye dans une montagne escarpée. Chaque lieu témoigne d’une détermination humaine face à des défis naturels et logistiques incroyables.

L’idée qu’un alignement ait émergé sans coordination ajoute une couche d’étonnement. Imaginez des moines, séparés par des générations et des frontières, choisissant ces sites pour des raisons spirituelles, sans savoir que leurs efforts s’inscriraient dans une géométrie sacrée. C’est comme si la foi elle-même avait guidé leurs mains vers un dessin invisible.

Une invitation au pèlerinage et à la réflexion

Aujourd’hui, cette « Épée de Saint-Michel » inspire des pèlerins et des curieux. Certains proposent de marcher cette ligne spirituelle, d’autres s’interrogent sur sa signification. Est-ce un hasard, une intention cachée, ou un symbole universel ? La science tente d’offrir des explications rationnelles, mais le cœur y voit un miracle.

Que tu sois croyant ou sceptique, cette histoire invite à lever les yeux vers les étoiles et à méditer sur l’ingéniosité humaine.

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Guy Boulianne« Je servais Lucifer sans le savoir »

Guy Boulianne - 22 août 2025

Les révélations d'un repenti de l’ancien grand maître franc-maçon : Serge Abad-Gallardo

   

Ils sont nombreux à quitter la franc-maçonnerie, mais rares sont ceux qui osent le dire. C’est le cas de Serge Abad-Gallardo, architecte français âgé d’une soixantaine d’années. Il a passé 24 ans au sein d’une des obédiences les plus importantes de France, celle du Droit Humain (une émanation du Grand Orient de France).

Son livre “J’ai frappé à la porte du Temple” (éditions Pierre Téqui), sous-titré “Parcours d’un franc-maçon en crise spirituelle” est le témoignage passionnant des années que l’auteur a passé dans la franc-maçonnerie. Après sa conversion au christianisme (il était déjà baptisé, mais s’était éloigné de l’Église), il a compris que la religion catholique et l’idéologie maçonnique étaient incompatibles et a décidé d’en sortir.

Le processus de son retour à la foi a été long et semé d’embûches.

Article sur le site de Guy Boulianne

La Fin des TempsProphéties de Marie Julie Jahenny, Marthe Robin...Faillites et ruine des français

La Fin des Temps - 10 août 2025

Faillite des banques et ruine des français en 10 prophéties de Marie Julie Jahenny, Marthe Robin...

   

0:00 la ruine pour beaucoup de familles
1:25 délocalisation et misère des ouvriers voulue
2:44 faillite des banques et ruine des épargnants
3:36 séisme mondial puis krach boursier
4:27 indicateur temporel : situation tendue au Proche Orient
5:00 krach et ruine générale
6:55 l'inflation en cours
8:10 la France sera ruinée sans s'en apercevoir
8:50 comment éviter la ruine ?
12:07 conférences
12:34 prières

La Fins des TempsSur les prophéties de Marie-Julie Jahenny pour notre époque

La Fins des Temps - 14 juil 2025

Interview de Xavier Ayral

   

0:00 intro
0:30 qui est Xavier Ayral ?
5:00 Marie Julie Jahenny
16:58 L'actualité selon les prophéties de Marie Julie
25:45 Le déclin à venir des États Unis
29:45 Les évènements à venir en France
40:00 Léon XIV
46:04 Le futur Roi de France et ère de paix
51:05 L'Antéchrist / l'Arche de la Torre
1:00:26 Prière

TRAVAIL

Le courrier des stratègesProtonMail envisage de quitter la Suisse

Le courrier des stratèges - 16 mai 2025

La Suisse expérimente discrètement la dictature numérique. Sous couvert de renforcer la sécurité, le gouvernement suisse avance un projet controversé menaçant l’anonymat sur Internet.

   

Ce plan, qui impose une identification obligatoire des utilisateurs et une surveillance des communications, suscite l’indignation de défenseurs des droits humains, d’entreprises comme ProtonMail et d’organisations telles qu’Amnesty International. Ces textes obligeraient la majorité des fournisseurs d’accès à Internet (FAI) à identifier systématiquement les utilisateurs au moyen d’un document officiel : carte d’identité, permis de conduire ou numéro de téléphone vérifié. Autrement dit, impossible de naviguer anonymement. Une attaque contre la vie privée qui pourrait redessiner le paysage numérique suisse.

Le gouvernement suisse tente d’imposer, via une réforme controversée, une surveillance généralisée des communications en ligne. Sous couvert d’ordonnances, ce projet obligerait les fournisseurs d’accès à identifier leurs utilisateurs et à stocker leurs données, menaçant gravement la vie privée. Ce projet est vivement dénoncé comme une attaque frontale contre les droits fondamentaux.

Un projet de surveillance massif

Le Département fédéral de justice et police a soumis à consultation deux ordonnances – l’OSCPT et l’OME-SCPT – visant à renforcer la surveillance des télécommunications. Ces textes prévoient notamment :

L’obligation pour les fournisseurs Internet d’identifier leurs utilisateurs via carte d’identité, permis de conduire ou numéro de téléphone.
La conservation des adresses IP pendant six mois, accessibles sous 24 heures aux forces de l’ordre.
L’affaiblissement des messageries chiffrées comme ProtonMail, contraintes de partager les métadonnées (qui communique avec qui, sans le contenu).

Cette réforme s’inscrit dans une tendance européenne (France, Royaume-Uni, Suède, Belgique) de restriction de l’anonymat en ligne, sous prétexte de sécurité. En optant pour une ordonnance plutôt qu’une loi, le gouvernement contourne le débat parlementaire et un éventuel référendum, limitant ainsi la transparence et la participation citoyenne. Le 8 mai dernier, la phase de consultation s’est clôturée. Plusieurs partis politiques ainsi qu’Amnesty International ont exprimé leur opposition ferme au projet, le qualifiant de « virage autoritaire ».

Une atteinte aux droits fondamentaux

Ce projet constitue une menace directe pour la vie privée, un droit garanti par la Constitution suisse et des traités internationaux comme la Convention européenne des droits de l’homme. Amnesty International Suisse dénonce une « surveillance généralisée » qui viole les principes de nécessité et de proportionnalité. Selon Illan Acher, expert en droits numériques chez Amnesty, ces mesures porteraient un « coup grave » aux défenseurs des droits humains, journalistes, avocats, médecins et lanceurs d’alerte, pour qui la confidentialité des communications est essentielle.

La conservation systématique des métadonnées, sans contrôle humain préalable ni recours effectif, rappelle des dispositifs déjà invalidés par la Cour de justice de l’Union européenne. En imposant de telles pratiques, la Suisse risque de créer un précédent dangereux, sapant sa réputation d’État de droit.

ProtonMail envisage de quitter la Suisse

Le fournisseur de messagerie sécurisée ProtonMail, symbole de la confidentialité numérique helvétique, menace de quitter le pays si ces ordonnances entrent en vigueur. Il dénonce la création d’un « État de surveillance », incompatible avec ses valeurs.

Ce départ serait un signal fort : la Suisse, longtemps perçue comme un refuge pour la vie privée numérique, pourrait perdre sa crédibilité internationale.D’autres acteurs, y compris des partis politiques, se sont opposés au projet lors de la consultation. Les critiques soulignent que ces mesures non seulement compromettent la vie privée, mais risquent aussi de décourager l’innovation dans le secteur technologique.

La Suisse n’est pas un cas isolé. Des projets similaires émergent en France, au Royaume-Uni, en Suède ou en Belgique, révélant une tendance globale à restreindre l’anonymat sur Internet. En effet la crise du COVID a donné l’occasion d’accélérer le passage, notamment en France, aux pratiques numériques qui, jusque-là, demeuraient à peu près confidentielles.Depuis la pandémie de Covid-19, les gouvernements justifient souvent ces mesures par des impératifs de sécurité. Cependant, comme le souligne Amnesty International, « la sécurité ne doit jamais se faire au prix des libertés fondamentales ».

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Nouveau MondeJulian Assange parle, le Conseil de l’Europe écoute et approuve

Nouveau Monde - 04 oct 2024

Interrompant exceptionnellement sa convalescence en Australie, le fondateur de WikiLeaks est venu à Strasbourg le 1er octobre pour témoigner devant le Conseil de l’Europe. C’était sa première intervention publique depuis son emprisonnement en 2019.

   

La parole de Julian Assange fut forte et précise lors de son audition par la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le 1er octobre à Strasbourg. Le journaliste australien est combatif, pleinement lucide, malgré les quatorze années de persécution et de privation de liberté qu’il vient de subir. Il n’est pas sorti indemne du martyre que lui a infligé Washington, mais il a tenu bon et semble sur la voie du rétablissement.

S’appuyant sur le très bon rapport de la représentante islandaise Thórhildur Sunna Ævarsdóttir (membre du Parti pirate), la commission avait émis un avis clair et pertinent sur le cas Assange, notamment quant à la nature politique de la persécution. Le texte accuse sans détour les États-Unis et le Royaume-Uni, demandant des actions, à la fois sur l’usage de l’Espionage Act et les pratiques en matière d’extradition.

Le 2 octobre, la résolution intitulée « La détention et la condamnation de Julian Assange et leurs effets dissuasifs sur les droits humains » a été débattue en séance plénière dans l’hémicycle et finalement adoptée par 88 voix pour, 13 contre et 20 abstentions (voir le détail du vote). C’est une avancée politique, diplomatique et symbolique importante. Le Conseil de l’Europe juge que Julian Assange était bel et bien un prisonnier politique au Royaume-Uni.

À noter que seuls trois des dix-huit représentants français ont participé au vote, ils ont tous voté en faveur de la résolution. Il s’agit des députés LFI Emmanuel Fernandes et Anne Stambach-Terrenoir, et du sénateur PS Didier Marie.

Le Royaume-Uni est membre du Conseil de l’Europe, qui est une institution réunissant 46 pays européens totalement distincte de l’Union européenne et donc non concernée par le Brexit. Les États-Unis y ont le statut de pays observateur. Il est peu probable que les deux États les plus impliqués dans la persécution de Julian Assange admettent sur le champ leur responsabilité et procèdent dans la foulée aux réformes recommandées par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, mais le rapport et le vote constituent une étape majeure.

Le combat de Julian Assange et de ses soutiens est reconnu comme légitime et salutaire par une institution internationale. Cela vient s’ajouter aux avis qui avaient été émis par différentes composantes de l’Organisation des Nations unies (ONU). C’est un travail pour l’histoire. Mais au-delà de la nécessité de faire reconnaître la réalité de la persécution politique qui a eu lieu, il faut empêcher que cela puisse se reproduire, contre un autre journaliste, un lanceur d’alerte, etc. Il est à craindre que l’intimidation que Washington cherchait à exercer sur la presse et les sources par la traque du fondateur de WikiLeaks ait déjà produit ses effets, mais il n’est pas trop tard pour protéger le droit d’informer (et donc d’être informé).

Lors de son audition, Julian Assange a clairement dit qu’il voulait, à travers le retour sur son cas, protéger les autres journalistes. Il a d’ailleurs mentionné à plusieurs reprises Gaza et le sort des journalistes palestiniens. Depuis le 7 octobre 2023, 174 d’entre eux ont été tués par l’armée israélienne, souvent ciblés délibérément.

Nous avons collectivement obtenu la libération de Julian Assange, il nous faut maintenant nous appuyer sur cette grande et belle victoire pour défendre et promouvoir le type de journalisme pratiqué par WikiLeaks, et ainsi lutter plus efficacement contre les injustices qu’il permet de dévoiler.

« Je veux être tout à fait clair. Je ne suis pas libre aujourd’hui parce que le système a fonctionné. Je suis libre aujourd’hui après des années d’incarcération parce que j’ai plaidé coupable d’avoir fait du journalisme. J’ai plaidé coupable d’avoir cherché à obtenir des informations auprès d’une source. J’ai plaidé coupable d’avoir obtenu des informations auprès d’une source. Et j’ai plaidé coupable d’avoir informé le public de la nature de ces informations. Je n’ai plaidé coupable d’aucun autre chef d’accusation. »

« La criminalisation des activités de collecte d’informations est une menace pour le journalisme d’investigation partout dans le monde. J’ai été formellement condamné par une puissance étrangère pour avoir demandé, reçu et publié des informations véridiques sur cette puissance alors que j’étais en Europe. »

« La question fondamentale est simple : les journalistes ne devraient pas être poursuivis pour avoir fait leur travail. Le journalisme n’est pas un crime ; c’est un des piliers d’une société libre et informée. »

« Dans mon travail, je me suis efforcé d’être rigoureusement exact. Je pense que l’exactitude est essentielle. Les sources primaires sont essentielles. Mais il y a un domaine dans lequel je suis un militant et où tous les journalistes doivent être des militants. Les journalistes doivent être des militants de la vérité. »

« Lorsque j’ai fondé WikiLeaks, j’étais animé par un rêve simple : éduquer les gens sur la façon dont le monde fonctionne afin que, par la compréhension, nous puissions faire advenir quelque chose de meilleur. »

« Je voudrais simplement remercier toutes les personnes qui se sont battues pour ma libération et qui ont compris, ce qui est important, que ma libération allait de pair avec leur propre libération. »

Julian Assange

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Géopolitique profondeL’enfer méconnu d'OnlyFans

Géopolitique profonde - 28 sep 2024

Sexe, argent, pornographie déviante.

   

Le nouvel Eldorado de l’argent facile

Depuis quelques années, les plateformes comme OnlyFans et Mym connaissent une ascension fulgurante, en particulier auprès des jeunes générations. Ces sites se sont imposés comme de véritables piliers d’un nouveau modèle économique qui mêle réseaux sociaux et monétisation de contenus intimes. Leur succès repose sur un concept simple mais efficace : permettre à tout un chacun, influenceurs ou anonymes, de partager des contenus exclusifs à caractère intime ou sexuel, en échange d’une rémunération. Pour beaucoup, c’est un moyen rapide de gagner de l’argent sans avoir besoin de passer par des intermédiaires traditionnels, comme l’industrie pornographique.

Ce phénomène est soutenu par une culture numérique où la visibilité et la mise en scène de soi sont devenues des atouts majeurs. Sur OnlyFans, les créateurs de contenu peuvent directement capitaliser sur leur popularité en vendant des photos ou des vidéos explicites à leurs abonnés. Cette relation directe entre créateurs et consommateurs a permis à des milliers de personnes de transformer leur image personnelle en une véritable source de revenus. Dans certains cas, cela a même conduit à des fortunes conséquentes, ce qui explique pourquoi ces plateformes attirent de plus en plus d’influenceurs.

Le succès de ces plateformes repose également sur une glorification de la culture de l’instantanéité et de l’argent facile. Le principe de l’abonnement, où les fans payent pour avoir accès à du contenu exclusif, crée une dynamique de demande constante et nourrit le désir de nouveauté chez les utilisateurs. Ce modèle, associé à la viralité des réseaux sociaux, a permis à des personnalités issues de TikTok, Instagram ou encore YouTube de rapidement franchir le pas et de rejoindre ces plateformes pour monétiser leur notoriété.

Pourquoi est-ce problématique ?

La situation est d’une gravité alarmante, car un tiers des utilisateurs de ces plateformes sont des mineurs, ce qui signifie que des millions de jeunes sont exposés à des contenus profondément inappropriés et immoraux. Le cas de Pure Human Soul, une youtubeuse de 27 ans qui crée du contenu incestueux avec sa propre mère, représente un exemple frappant de la manière dont les dynamiques familiales privées sont détournées pour devenir des véritables affaires incestueuses. Ce modèle de normalisation perverse des relations familiales s’enracine progressivement dans notre société, au point où ce qui devrait rester privé devient un produit commercial.

Dans le prolongement de cette tendance inquiétante, les sites pornographiques eux-mêmes ne sont pas en reste. Depuis quelques années, une nouvelle catégorie de vidéos gagne en popularité, mettant en scène des scénarios fictifs impliquant des relations intimes entre membres « proches » de la famille, comme des belles-sœurs ou beaux-frères. Ce type de contenu, qui joue sur l’ambiguïté morale et le caractère incestuel, banalise encore davantage l’idée de transgression des frontières familiales en la rendant attrayante et accessible. L’objectif est de susciter un mélange de curiosité malsaine et de voyeurisme, ce qui crée un terrain fertile pour une désensibilisation progressive à l’égard de ce qui devrait être des tabous sociaux inébranlables.

Quand l’argent efface les limites de la moralité

Nous assistons à un phénomène qui rappelle tristement Sodome et Gomorrhe. L’industrie du contenu pour adultes, que ces plateformes alimentent, génère des milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année. Derrière ces profits faramineux se cache une dérive morale inquiétante, où l’argent devient la seule mesure de la réussite, au mépris des conséquences sur les jeunes et la société.

Ces plateformes renforcent l’idée que tout peut être consommé, y compris les liens familiaux, créant ainsi une normalisation pernicieuse de comportements déviants. Cela contribue à un environnement où la moralité est mise à mal au profit de l’audience et du gain financier, laissant les jeunes sans repères face à des contenus qui brouillent les lignes entre la réalité et la fiction, l’acceptable et l’inacceptable.

Elles ne se contentent pas de proposer une manière pour les créateurs de gagner de l’argent, elles participent à un phénomène plus large de sexualisation de la société. En offrant une vitrine quasi-légitime à ces pratiques, elles contribuent à leur normalisation. Qu’il s’agisse de vidéos à caractère incestueux ou de contenus explicitement pornographiques, OnlyFans et consorts permettent de contourner les garde-fous moraux qui existaient encore il y a quelques années.

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Echelle de JacobDonbass : la 4ème vie d’Erwan Castel

Echelle de Jacob - 20 août 2024

Nous vous proposons une interview exclusive d'Erwan Castel, ancien officier français devenu citoyen Russe après une dizaine d'années de combat dans les forces militaires du Donbass. Analyses et réflexions d'un combattant de terrain et non d'un analyste de divan.

   

[Boris Karpov] Erwan Castel bonjour, beaucoup de nos lecteurs vous connaissent de nom et de réputation. D’abord une petite précision, nous avons des divergences sur certains points géopolitiques, mais nous retrouvons sans aucun doute sur le patriotisme Russe, nous parlerons donc de la situation en Russie et de ce qui concerne la Russie.

Vous avez été l’un des premiers français à venir au Donbass en 2014. Non pas pour brasser de l’air comme beaucoup d’autres français cherchant à se faire connaitre mais, humblement, pour défendre vos convictions de la manière la plus courageuse qui soit, en vous engageant dans les forces armées du Donbass. D’autres français ont fait de même, la plupart sont repartis parfois dans des conditions disons “honteuses”, vous avez combattu de 2014 à 2022 quand vous avez été grièvement blessé et avez été amputé d’un bras. Vous êtes maintenant citoyen russe.

Alors d’abord cette question que beaucoup vont se poser, vous avez payé très cher votre engagement, vous n’avez pas de regret ? Si c’était à refaire, le referiez-vous ?

Merci tout d’abord de m’inviter à ce dialogue. Je suis arrivé dans le Donbass fin janvier 2015 après m’être initialement engagé sur le front de l’information dès le mois de novembre 2013 pour dénoncer la révolution colorée du Maïdan dont le coup d’Etat néo-nazi final nous a conduit de la guerre du Donbass à la guerre russo-ukrainienne et je crains que cela ne s’arrête pas là. À l’issue des massacres d’Odessa (2 mai 2014) de Marioupol (9 mai 2014) et de Lougansk (2 juin 2014), j’ai décidé de clôturer mon activité de guide expédition en Guyane et de rejoindre physiquement la rébellion Donbass.

Non je ne regrette rien malgré les blessures, les déceptions et les déboires inevitables subis dans mon engagement radical. Si c’était à refaire, je le referai sans hésiter en trouvant le moyen de venir plus tôt et surtout en évitant les français venus s’échouer en Russie.

Lorsque vous êtes arrivé en 2014, la Russie aidait les forces du Donbass en matériel, et ce n’est qu’en 2022 qu’elle est intervenue militairement avec l’Opération Militaire Spéciale (SVO). Pensez-vous que la Russie aurait dû intervenir plus tôt ? Que pensaient, en 2014 et jusqu’en 2022, les citoyens du Donbass à ce sujet ? Et que pensaient les militaires engagés comme vous, sur ce sujet ?

La Russie a effectivement soutenu les séparatistes du Donbass. Politiquement très fortement, Économiquement suffisamment pour permettre la création de deux États de droit à Donetsk et Lougansk, militairement juste pour permettre à leurs milices de tenir tête aux attaques terrestres menées sur la ligne de front.

Je ne suis pas en mesure de juger les choix de Moscou car je n’ai pas connaissance de tous les paramètres qui les ont motivé à cette époque mais on peut effectivement regretter que la Russie ait tardé à intervenir alors que dès 2015 il était évident que les accords de Minsk n’étaient qu’une mascarade pour permettre aux ukro-atlantistes de mieux preparer une nouvelle escalade à dimension régionale. Et lorsqu’on me rétorque que la Russie avait également besoin de temps pour se réarmer et se préparer à l’inévitable conflit qui fait rage, je réponds que le délai des rapports des forces entre 2015 et 2022 n’a pas vraiment changé compte tenu que pendant cette période les forces ukrainiennes se sont considérablement modernisées, normalisées et entraînées grâce aux aides et la présence exponentielle de l’OTAN.

Mais avec des “si” il est trop facile de refaire l’Histoire et de juger. La conduite politique, diplomatique et militaire d’une crise extrême comme la guerre du Donbass ne se fait pas sans sacrifice et erreurs qui parfois sont lourdes de conséquences comme par exemple l’abandon en septembre 2014 de l’offensive républicaine sur une ville Marioupol très faiblement défendue (pour des arrangements diplomatico – économiques), et qu’il a fallu finalement libérer au printemps 2022 au prix de 10 000 tués environ. On pourrait multiplier à l’infini ces “regrets” mais cela ne sert à rien de se lamenter, le plus important est d’aller de l’avant et essayer de ne pas répéter les erreurs du passé.

Pour résumer et répondre à votre question : oui la Russie aurait dû intervenir plus tôt dans le Donbass – comme elle l’a fait en Crimée à cause de l’enjeu géostratégique majeur et vital pour la défense russe de la base de Sébastopol –

Mais cela n’aurait probablement pas évité à moyen terme cette confrontation radicale entre la Russie et l’OTAN qui arrive à grands pas.

De 2015 à 2022, et même après, j’ai découvert avec admiration la capacité de résilience de cette population du Donbass victime de bombardements criminels quotidiens ainsi que sa fidélité infaillible envers la Russie et sa confiance inébranlable en ses choix politiques et diplomatiques parfois difficiles, comme la non reconnaissance du premier référendum de 2014.

Concernant les militaires beaucoup regrettaient le manque de moyens pour réaliser les missions sur le front comme par exemple des moyens d’observation thermique ou la formation moderne des cadres. Nous nous sentions parfois bridés tout en étant convaincus que nous ne serions jamais abandonnés par la Russie, tout en cultivent entre nous cet esprit du grognard qui n’entache pas la discipline et le culte de la mission.

Les améliorations et la normalisation lancées avec la création de la Garde Républicaine sont arrivées progressivement dès 2016 au sein du Corps de défense qui lui a succédé avec l’avantage moral de voir se conserver au sein des soldats du front cet esprit des milices initiales qui soudent bien plus fortement que la discipline formelle : l’esprit de famille et l’Union des Peuples, ce que j’ai personnellement vécu pendant 7 ans au sein de la brigade internationale “Piatnashka”.

Comment a été vue l’intervention de la Russie en 2022 par les citoyens du Donbass ?

L’intervention russe fin février 2022 a été perçue par la population comme un immense soulagement et une quasi libération de 10 années de souffrances, même si le déroulement des opérations ne les a pas encore totalement éradiqué et que le risque d’une guerre mondiale plane encore plus fortement au dessus des têtes.

A l’époque nous suivions avec attention les réunions autour de la proposition russe adressé à Washington d’un traité de sécurité collective en Europe fondé sur un bon sens qui devrait être commun. Puis dans un enchaînement rapide il y a eu le rejet sans surprise de cette proposition par les occidentaux et une escalade militaire violente de la part de forces ukro-atlantistes qui depuis 1 an s’accumulaient sur le front du Donbass.

Le réaction russe de la reconnaissance des républiques populaires de Donetsk et Lougansk (enfin!) accompagnées d’accords de défense mutuelle a galvanisé les esprits qui ont exprimé un enthousiasme unanime et l’intervention russe a été accueillie comme la fin d’un cauchemar que beaucoup (sauf moi et quelques réalistes froids) pensaient imminente.

A cette époque j’accompagne sur le terrain une équipe de TF1 emmenée par Liseron Boudoul (une des rares reporters occidentales méritant encore le qualificatif de journaliste) et qui devait par la suite voir son honnête intellectuelle et son éthique professionnelle être sanctionnées par sa direction aux ordres d’une doxa russophobe violant radicalement la charte de Munich. Lorsque qu’elle me demande au cours d’un entretien filmé le 2 mars combien de temps cette guerre allait durer je lui ai répondu sans hésiter “minimum 3 ans” alors que la majorité des courtisans et experts pro-russes de salon péroraient qu’entre 3 semaines et 3 mois l’Ukraine bandériste serait vaincue.

Aujourd’hui, lorsque je regarde les nécrologies militaires et civiles de chaque côté du front, j’eusse préféré m’être trompé…. Hélas !

Dans le Donbass, malgré les pertes terribles de 2022 subies par les corps d’armée de Donetsk et Lougansk et les massacres de civils provoqués par les bombardements ukro-atlantistes, le moral global des populations du Donbass reste inchangé. L’enthousiasme du printemps 2022 redonner sa place à la résilience héroïque des familles et des volontaires qui soutiennent à chaque instant les soldats libérant difficilement leurs libertés et leurs territoires russes. Cela dit le peuple du Donbass dans l’intimité de son engagement radical pour la Russie reste réaliste et critique amèrement ceux qui par overdose de propagande font et refont les mêmes erreurs que lorsqu’ils ont envoyé les opérations militaires russes “se prendre les pieds dans le paillasson” d’une Ukraine complètement formatée depuis des années par une propagande occidentale et préparée par l’OTAN à se sacrifier pour les intérêts de l’Oncle Sam.

Le plus dur est devant nous car l’ennemi aujourd’hui n’est plus le pouvoir de Kiev mais l’OTAN dans son ensemble.

La raison donnée par le Président Poutine au SVO a été “la démilitarisation et la dénazification de l’Ukraine”. Comment, en termes très concrets, voyez vous cet objectif ? Prendre la totalité de l’Ukraine ? Se contenter du Donbass russophone ? Avec une “zone tampon” jusqu’à la frontière polonaise ?

En terme de communication il est fort dommage que la Russie ne soit pas à la hauteur des valeurs, des principes et du bon sens commun qu’elle défend.

Concernant les objectifs déclarés, “dénazification” et “démilitarisation” ils sont à la fois réels et légitimes mais aussi trop simplistes et populistes. Lorsque le président Poutine explique depuis le discours de Munich en 2007 jusqu’aux conditions d’éventuelles négociations avec Kiev que l’Ukraine doit rester neutre entre l’Est et l’Ouest et en aucun cas intégrée l’OTAN, c’est selon moi l’objectif prioritaire des opérations militaires spéciales russes de 2022 ce qui non seulement peut être compris par le peuple et surtout ne le fait pas s’interroger comme le jour où des dizaines de prisonniers nazis du bataillon Azov capturés au prix de lourdes pertes lors de la “dénazification” de Marioupol sont échangé quelques semaines plus tard contre l’oligarque ukrainien pro-russe Medvedchouk.

Aujourd’hui il faut être honnête et cohérent avec ceux à qui ont demandé sueur et sang. Et si on prétend qu’aujourd’hui la Russie est en guerre contre l’OTAN, ce qui est une réalité de plus en plus directe, alors l’objectif doit être la défaite de l’OTAN ou au pire son retrait de tous les pays frontaliers de la Fédération de Russie, au même principe de bon sens que JFK avait demandé en 1962 le retrait du Pacte de Varsovie, représenté par des bases russes, de l’île de Cuba.

Sinon pour être réaliste, côté “démilitarisation” et malgré les pertes énormes subies, l’armée ukrainienne est plus puissante qu’en 2021 avec plus de moyens sophistiqués, autant de combattants formés et des réserves encore importantes (pour le moment), et côté “dénazification” si les héraut de l’idéologie bandériste de 2014 ont largement diminué, leur héritage russophobe est toujours actif, surtout depuis qu’ils ont été pour beaucoup dispersés au sein d’unités régulières. Dans le domaine politique je suis persuadé que les bandéristes l’ont simplement un peu plus mis en veilleuse pour ne pas froisser les donateurs occidentaux droitdelhommistes.

À cheval sur ces 2 objectifs militaires russes on voit arriver en Ukraine de plus en plus de combattants mercenaires issus des milieux néo-nazis étrangers.

La Russie qui mène depuis bientôt 2 ans une guerre d’attrition efficace doit maintenant “passer à la vitesse supérieure” avant que le facteur “temps” ne profite aussi à l’ennemi comme par exemple pour la formation opérationnelle de ses nouvelles brigades ou pilotes.

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The DefenderUne expérience effrayante” : Le Danemark veut taxer les émissions du bétail

The Defender - 21 juil 2024

Les critiques disent que les petits agriculteurs sont la vraie cible.

   

Alors que le Danemark s’apprête à devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, les critiques affirment que le véritable objectif est de consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire et de passer à une “alimentation pharmaceutique” contrôlée par les entreprises.

Le Danemark est sur le point de devenir le premier pays au monde à taxer les agriculteurs pour les gaz à effet de serre émis par leur bétail, grâce à un accord conclu le 24 juin entre le gouvernement danois et les représentants de l’industrie agricole et des syndicats.

La taxe, qui vise spécifiquement les émissions de méthane des vaches, des porcs et des moutons, entrera en vigueur en 2030, sous réserve de l’approbation finale du Parlement danois, a rapporté l’Associated Press (AP).

À partir de 2030, les agriculteurs devront payer une taxe de 300 couronnes (environ 43 dollars) par tonne d’équivalent dioxyde de carbone. Ce montant passera à 750 couronnes (108 $) d’ici 2035. Après une déduction fiscale de 60 %, les montants respectifs seront de 120 couronnes (17,30 $) et 300 couronnes.

CNN, citant le “think tank vert” danois Concito, a rapporté que les vaches laitières danoises émettent en moyenne 5,6 tonnes (6,2 tonnes américaines) d’équivalent CO2 par an. Il en résulterait une taxe de 672 couronnes par vache (96 dollars) en 2030 et de 1 680 couronnes (241 dollars) en 2035.

Les émissions respectives de toutes les vaches danoises s’élèvent en moyenne à 6,6 tonnes d’équivalent CO2 par an, selon l’AP, qui rapporte que le gouvernement danois vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre du pays de 70 % par rapport aux niveaux de 1990 d’ici à 2030, citant le ministre de la fiscalité Jeppe Bruus.

Selon CNN, le produit de la taxe sera utilisé pour soutenir la transition écologique de l’industrie agricole au cours des deux premières années, y compris l’investissement de 40 milliards de couronnes (3,7 milliards de dollars) pour des mesures telles que la reforestation et l’établissement de zones humides.

Après deux ans, la taxe sera “réévaluée”.

Le Danemark est un important exportateur de viande de porc et de produits laitiers, selon CNN. L’agriculture est la plus grande source d’émissions de gaz à effet de serre du pays. L’AP rapporte qu’en juin 2022, le Danemark comptait près de 1,5 million de vaches.

La taxe encouragera les agriculteurs à rechercher des solutions pour réduire les émissions

Les partisans de la taxe soulignent que le Danemark est le premier pays à adopter une telle politique, la qualifiant d’étape vers une plus grande durabilité environnementale.

“Nous ferons un grand pas vers la neutralité climatique en 2045”, a déclaré M. Bruus.

“Nous investissons des milliards dans la plus grande transformation du paysage danois de ces derniers temps”, a déclaré le ministre danois des affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, dans un communiqué cité par CNN. “Dans le même temps, nous serons le premier pays au monde à appliquer une taxe (sur le carbone) à l’agriculture.

Selon Torsten Hasforth, économiste en chef de Concito, “l’objectif de la taxe est d’inciter le secteur à chercher des solutions pour réduire les émissions”, rapporte CNN. M. Hasforth a fait remarquer que les agriculteurs pourraient, par exemple, modifier les aliments qu’ils utilisent, dans le cadre de leurs efforts de réduction des émissions.

La Société danoise pour la conservation de la nature a qualifié la taxe de “compromis historique”, dans des propos cités par l’AP. La présidente de l’organisation, Maria Reumert Gjerding, a déclaré : “Nous sommes parvenus à un compromis sur une taxe sur le CO2, qui jette les bases d’une industrie alimentaire restructurée, y compris de l’autre côté de l’horizon 2030”.

Ben Lilliston, directeur des stratégies rurales et du changement climatique à l’Institut pour l’agriculture et la politique commerciale, a déclaré à PBS NewsHour que les émissions de méthane constituaient “un énorme problème… un énorme défi”. Selon lui, si le méthane reste moins longtemps dans l’atmosphère que le CO2, il est “environ 80 fois plus puissant”.

“Si vous réduisez le méthane, vous pouvez obtenir des résultats à plus court terme et nous donner un peu plus de temps pour réduire les émissions de dioxyde de carbone”, a déclaré M. Lilliston.

La taxe carbone imposée aux agriculteurs est une “expérience effrayante”.

La taxe carbone du Danemark a été adoptée malgré les récentes manifestations d’agriculteurs dans toute l’Europe, notamment à Bruxelles, capitale de facto de l’Union européenne (UE) et centre de décision politique de l’UE.

Les agriculteurs ont exprimé leurs griefs à l’égard des nouvelles réglementations environnementales et de la mainmise des entreprises sur l’agriculture européenne.

Ces dernières années, des États membres de l’UE tels que l’Irlande et les Pays-Bas ont également mis en œuvre des plans visant à limiter l’agriculture et à abattre le bétail, ce qui a donné lieu à des manifestations dans ces pays.

La Nouvelle-Zélande a prévu d’adopter une taxe sur le carbone, qui devrait entrer en vigueur en 2025. La taxe, adoptée par le précédent gouvernement de centre-gauche du pays, a été abrogée le mois dernier par la nouvelle coalition gouvernementale de centre-droit de la Nouvelle-Zélande, selon l’AP.

La nouvelle taxe danoise sur le carbone fait l’objet de critiques, certains experts estimant qu’elle constitue une charge supplémentaire pour le secteur agricole, en particulier pour les petits exploitants.

CNN a cité l’association danoise des agriculteurs Bæredygtigt Landbrug, qui a qualifié la nouvelle politique d'”expérience effrayante”.

Peder Tuborgh, PDG d’Arla Foods, la plus grande entreprise laitière d’Europe, a déclaré à CNN que la nouvelle taxe était “positive”, mais que les agriculteurs qui “font vraiment tout ce qu’ils peuvent pour réduire les émissions” devraient en être exemptés.

Dans des remarques partagées avec The Defender, Catherine Austin Fitts, fondatrice et présidente du Solari Report, a déclaré : “Les émissions sont une histoire de couverture pour réaliser les étapes du ‘Going Direct Reset‘ des banquiers centraux”.

Selon Fitts, l’objectif de cette “réinitialisation” est de “consolider le contrôle de l’approvisionnement alimentaire, en passant à la “Pharma Food” contrôlée par les entreprises, et de déplacer la disponibilité de l’énergie de la population générale pour alimenter un réseau de contrôle électrique qui fournira l’IA[intelligence artificielle], la robotique, les cartes d’identité numériques et un système financier entièrement numérique“.

“Nous échangeons des aliments frais et la liberté contre des camps de concentration numériques et de la viande produite en laboratoire”, a déclaré Mme Fitts. À Wall Street, nous avions l’habitude d’appeler cela un “mauvais commerce”.

D’autres critiques ont déclaré au Défenseur que la nouvelle taxe du gouvernement danois a moins à voir avec la protection de l’environnement et la réduction des émissions qu’avec la réalisation des objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies et des objectifs d’entités mondiales telles que le G20 et le Forum économique mondial (WEF).

Meike Terhorst, avocate et activiste néerlandaise, a déclaré au Defender :

“Je pense que ces mesures n’ont rien à voir avec la durabilité, mais avec le pouvoir. Un groupe d’entreprises, les soi-disant mondialistes/banques/investisseurs, comme le WEF, travaillent ensemble avec des gouvernements, comme le G20, et ensemble ils peuvent forcer les petits agriculteurs à quitter leurs terres”.

Tim Hinchliffe, rédacteur en chef de The Sociable, estime que les petites exploitations agricoles seront les plus touchées par la nouvelle taxe.

Les petits agriculteurs seront les premiers à disparaître, et leurs terres seront très probablement utilisées pour abriter diverses initiatives dites “vertes”, telles que des laboratoires de fausse viande, des hectares de panneaux solaires et d’éoliennes à perte de vue, de nouveaux centres de données d’ IA qui nécessitent des tonnes d’eau, d’énergie et de terres, et peut-être même des centrales nucléaires pour alimenter ces centres de données”, a-t-il déclaré.

De même, Terhorst a déclaré que l’objectif est de “fermer les petits agriculteurs dans le cadre de l'”Agenda 2030” – les ODD de l’ONU – ou du programme de prise de contrôle par les entreprises.”

Selon M. Terhorst, cet agenda vise à “garantir que les petits exploitants agricoles soient retirés de la terre et remplacés par une agriculture “numérique””, c’est-à-dire à “remplacer la viande et le lait par des aliments ou du lait à base d’insectes fabriqués en usine et par de la viande cultivée en laboratoire“.

Les critiques ont également remis en question les affirmations selon lesquelles des politiques telles que la taxation du carbone contribuent à promouvoir la “durabilité”.

“Lorsque les mondialistes non élus du WEF et de l’ONU parlent de durabilité, ils n’entendent pas par là l’autosuffisance de l’individu. Ce n’est pas du tout ce qu’ils veulent. Ils veulent s’assurer un contrôle, une influence et un pouvoir durables pour les décennies à venir”, a déclaré M. Hinchliffe :

“À mon avis, le véritable objectif est de prendre le contrôle de terres agricoles de premier choix et de taxer les agriculteurs pour qu’ils disparaissent. Lorsque les taxes deviennent trop élevées et que les agriculteurs ne peuvent plus suivre, des entités publiques et privées interviennent pour prendre le contrôle des terres.

“S’ils croyaient vraiment que les animaux de ferme flatulents étaient responsables du climat, ils n’auraient qu’à planter davantage d’arbres pour absorber le carbone, et leur crise imaginaire serait résolue, mais ils ne le font pas parce que ce qu’ils recherchent vraiment, c’est l’accaparement des terres, l’argent, et le contrôle total de nos systèmes alimentaires”.

Selon M. Hinchliffe, les organisations mondiales visent également à modifier les habitudes humaines, y compris la consommation de viande. Il a dit :

“Sur le plan nutritionnel, des groupes comme le WEF et l’ONU veulent que nous mangions moins de viande et plus d’insectes, ce qui ne fera que nous rendre plus faibles et plus dociles en tant qu’espèce au fil du temps.

“En cas d’épidémie ou de contamination, les citoyens du monde entier souffriront parce qu’il n’y aura pas d’alternative. Les agriculteurs locaux auront disparu à cause des taxes sur le carbone et de l’accaparement des terres.

“L’industrie de la viande biologique a été organisée et financée par les investisseurs et les banques qui font partie du WEF”, a déclaré M. Terhorst. “Si nous voulons devenir durables, nous devons limiter les pouvoirs des investisseurs et du WEF et soutenir les petits agriculteurs.

M. Hinchliffe a ajouté : “Si les taxes sur le carbone ne parviennent pas à étouffer complètement l’esprit humain, elles prévoient déjà de taxer à peu près tout le reste de la nature, y compris l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et le sol même sur lequel nous marchons”.

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