La Suisse, dernier rempart des libertés en Europe, a cédé sous les assauts répétés des promoteurs de la grande numérisation. Ce scrutin, entaché de suspicions et d'un lobbying actif d'une entreprise étatique, marque un tournant funeste pour la souveraineté des peuples.
Malgré un rejet massif en 2021, l’identité numérique a été imposée de force aux Helvètes, ne passant que par la grâce d’un résultat serré à 50,39% pour le oui, avec une abstention de 50.42%. Ce vote, dont la légitimité est plus que douteuse, révèle la méthode des globalistes : persévérer jusqu’à épuisement de la résistance citoyenne. Pour dissimuler le cheval de Troie européen, les Suisses devaient se prononcer le même jour sur un impôt immobilier sur les résidences secondaires.
Derrière ce projet soi-disant technique se cache l’ombre de Bruxelles et de son grand reset numérique, visant à uniformiser les cadres réglementaires pour mieux dissoudre les nations dans un magma technocratique.
L’intégration rampante de la Suisse à l’UE, via ce cheval de Troie réglementaire, sonne le glas de sa neutralité et de son indépendance. Le contrôle renforcé des populations, présenté comme un progrès, n’est que la face visible d’une entreprise de domination qui, ne pouvant convaincre, use de la force et de la ruse pour asservir.