Ça pique, ça griffe, ça gratte. Sous un soleil déjà vif, notre balade printanière prend vite des airs de parcours du combattant. Slalomer entre les chênes kermès aux feuilles dentelées et les genêts scorpions, veiller à ne pas trébucher sur les rocailles, guetter l’ombre bienfaisante d’un pin. « Bienvenue dans la garrigue ! » dit dans un sourire Thibault Suisse. Notre guide du jour est botaniste au sein des Écologistes de l’Euzière, une association héraultaise qui fait, entre autres, de l’éducation à l’environnement.
« La particularité de ce milieu, c’est qu’il est semi-aride », explique le naturaliste. Et c’est justement ce qui nous amène ici, dans ce massif buissonnant à quelques kilomètres de Montpellier : en ces temps de sécheresse chronique, la région méditerranéenne, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle. Demain peut-être, d’autres zones de France ressembleront à ces collines pelées et étonnantes. n ces temps de sécheresse chronique, la garrigue, qui vit depuis des millénaires sans beaucoup d’eau, fait figure de modèle en France.
L’habit ne fait pas le moine, dit l’adage. Et la garrigue, sous ses allures revêches, cache une multitude d’espèces aux super-pouvoirs. Pour survivre ici, la végétation a en effet dû s’adapter au manque d’eau, aux étés caniculaires, aux feux…
Petits, feuillus et luisants
Première singularité, « les plantes d’ici ne perdent pas leurs feuilles, explique Thibault Suisse. Elles les gardent toute l’année pour pouvoir faire de la photosynthèse et se développer dès que les conditions sont optimales ». Nombre de végétaux méditerranéens germent et fleurissent ainsi à l’automne, quand la plupart de leurs congénères continentaux préfèrent le printemps ou l’été. Autre originalité, leur taille : « Plus on est petits, moins a besoin d’eau », précise le naturaliste.
Face aux sécheresses, il s’agit aussi — et surtout — de garder son eau, autrement dit, de ne pas trop transpirer. « Beaucoup d’espèces ont développé la “technique du K-Way”, souligne notre guide. Leurs feuilles sont enduites d’une mince pellicule de cire, qu’on appelle une cuticule. » Avec leur feuillage luisant, le chêne kermès ou le chêne vert suent moins l’été.
Autre astuce imparable : « Le thym ou le romarin ont des feuilles toutes fines, le genévrier cade s’est plutôt doté d’aiguille, décrit le naturaliste. Le genévrier de Phénicie a opté pour des sortes d’écailles. » Différentes options pour un même résultat : réduire la surface d’évapotranspiration.
Gagnant du prix du public du meilleur documentaire au festival Dances With Films, le film partage le parcours de la famille Tickell avec le pouvoir de guérison de la mise à la terre, alias la mise à la terre, et les personnes avec lesquelles ils ont rencontré et appris en cours de route; mettant en vedette le pionnier de la mise à la terre Clint Ober, l'auteur Deepak Chopra M.D., l'actrice / activiste Amy Smart, l'auteur / activiste Mariel Hemingway, le cardiologue Dr Stephen Sinatra, le guérisseur renommé Dr Joseph Mercola, l'ingénieur et physicien Gaetan Chevalier, PhD. et plein d'autres.
Plus de 20 études évaluées par des pairs ont montré que la mise à la terre (mise à la terre) réduit l'inflammation ... l'un des processus biologiques internes les plus dommageables qui conduit à une maladie chronique. Alors sortez et mettez les pieds sur terre, et / ou augmentez votre temps de mise à la terre à l'intérieur avec des produits de mise à la terre. Votre corps et votre esprit vous remercieront! Renseignez-vous sur toutes les études et recherches sur https://earthinginstitute.net
Une puissante éjection de masse coronale pourrait endommager les réseaux de transmission d’électricité et faire tomber Internet si elle était dirigée vers la Terre.
Lundi 13 mars en fin de journée, le Soleil a émis une éjection de masse coronale (EMC) à une vitesse d’au moins 3 000 kilomètres par seconde, peut-être la plus rapide jamais enregistrée. Les particules expulsées ont atteint l’orbite terrestre en moins d’une journée. Si elles avaient touché la Terre, les résultats auraient pu être catastrophiques, mais heureusement, l’EMC était dirigée presque directement à l’opposé. Toutefois, l’explosion nous rappelle que la prochaine fois, nous ne serons peut-être pas aussi chanceux.
Bien qu’il provienne de la face cachée du Soleil, l’événement semble avoir provoqué une tempête de radiations mineure sur la Terre. Une EMC plus petite et beaucoup plus lente, qui devait frôler la Terre samedi, pourrait également y avoir contribué. Les EMC peuvent s’influencer mutuellement, l’une ouvrant la voie aux particules chargées d’une autre. Spaceweather.com prévoit des pannes de radio à ondes courtes pour les avions survolant les pôles.
Il arrive cependant qu’à force d’obstination les militants finissent par arracher quelques victoires retentissantes aux pouvoirs publics.
Nous vous retraçons les dix plus belles réussites de la dernière décennie.
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Les aurores boréales prennent souvent des couleurs vertes ou bleues. Mais ces derniers jours, les Norvégiens ont pu en admirer des roses. Pour bien comprendre ce changement de couleur, il faut revenir à la définition même des aurores boréales. Elles sont provoquées par le passage de vents solaires. Elles sont visibles aux pôles (Nord et Sud), l’endroit où le champ magnétique de la Terre est le plus fin.
En lutte contre la bétonisation, les opposants dénoncent les potentiels conflits d’intérêts du maire et les intimidations qu’ils subissent.
« C’est Byzance ! » Chaussures de randonnée aux pieds et sourire aux lèvres, Nicolas n’en revient pas de la qualité du sol qu’il arpente avec aisance, malgré les tranchées qui sillonnent la terre. Un terrain situé en bordure de Pertuis, commune de près de 20 000 habitants nichée au sud-est du Vaucluse, à une cinquantaine de kilomètres de Marseille. « Cette ancienne prairie n’a jamais reçu d’intrants et est particulièrement fertile », s’enthousiasme le jeune paysan. Au milieu des calcaires arides, la zone bénéficie notamment d’un avantage de taille : elle est parcourue de canaux du 19e siècle qui lui assurent une irrigation optimale. Alors que la parcelle n’a pas été entretenue depuis l’été, quelques pieds de tomates ont survécu au cagnard et les blettes se portent bien.
Un collectif de parents s’était rencontré en 2016 et avait ouvert l’école privée et hors contrat en 2018, avec deux salariés à plein temps et une subvention. À son maximum au moment de la crise sanitaire, la classe « multiâge » comptait une vingtaine d’élèves de 3 à 9 ans. La journée, les enfants avaient des temps « d’apprentissage autonome au contact de la nature » et aussi des moments pour apprendre à leur rythme les compétences obligatoires, lecture, écriture ou maths.
« L’enfant passe une ou deux heures à jouer dans la gadoue, et après ses performances en maths sont très bonnes. Je pense que les bonnes hormones, le plaisir et l’enthousiasme, sont vertueuses pour l’apprentissage. Les enfants avaient de très très bons résultats. »
Au total, l’équipe a enregistré 114 incidents dans 23 pays entre avril 2020 et décembre 2021, avec une majorité importante de rencontres impliquant des oiseaux.
Les animaux les plus fréquemment signalés comme étant pris dans des EPI étaient des oiseaux, les cygnes tuberculés étant les plus souvent repérés.
« Il est crucial que nous identifiions les possibilités d’améliorer nos infrastructures de gestion des déchets, afin de prévenir des fuites similaires lors des inévitables futures pandémies »
Au travers de jeux, l'association Dryade amène a une redécouverte de la nature, en famille. Elle transmet des connaissances naturalistes, adaptées à tous. Une excellente manière de renouveler le lien entre parents et enfants !
« Je souhaite faire vivre aux gens des expériences dans la nature en développant tous leur sens, explique l’animatrice. Leur permettre de voir ce qu’ils ne voient pas. Je veux que les gens, quand ils repartent, aient envie d’emmener plus souvent leurs enfants dans la nature. C’est simple et très puissant. »
Sous forme d'une interview, cet article évoque l'importance de la reforestation, de la présence de zones humides, la fonte du permafrost etc...
« Je pense qu’avec le géomimétisme et une sortie des énergies carbonées rapide et ambitieuse, il est probable que l’on puisse rester sous la barre des deux degrés de réchauffement. »
Le projet se veut simple : créer une zone d'au moins 70 000 ha, soit 26 km², dans laquelle les humains n'interviendront jamais. (Ni cueillette, ni quoi que ce soit). Il est également question que cette forêt accueille la faune locale qui n'a actuellement plus d'espace pour prospérer : Loup, ours, bison, d'Europe, aurochs, etc...
Découvrez le site de l’association porteuse de ce beau projet :
L'association Francis Hallé pour la forêt primaire.
« Curieusement, c’est un projet qui ne coûte pas cher, puisqu’il s’agit de ne rien faire ! »