Vous pouvez aussi découvrir cette vidéo comparant les examens sanguins d'individus vaccinés et non-vaccinés.
Une fois dans le cerveau, ils agiraient comme une sorte d’antenne, transformant l’activité neuronale en signaux optiques qui pourraient être envoyés sans fil à un dispositif externe.
Dans une capsule datée du 23 novembre 2021 le Dr Andreas Noack alertait sur le danger de l'hydroxide de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection, expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, « comme des nano-lames de rasoir ».
Il y affirmait que cela pourrait expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle...
Le Dr Noack a été « battu à mort » après avoir publié cette dernière vidéo.
A noter que le chancelier autrichien Alexandre Schallenberg annoncera sa démission le 2 décembre 2021, soit une semaine plus tard.
« Je fais appel à vous pour que vous partagiez cette vidéo sur toutes les chaînes. Mr Schallenberg (Chancelier d'Autriche) doit recevoir des milliers, des centaines de milliers de lettres. Il doit savoir que ce sont des lames de rasoir, que c'est fait pour tuer. Et s'il sait ça et qu'il continue, c'est un tueur en série. Il marchera dans les pas d'Hitler. »
Cela fait plus de 10 ans que la prestigieuse revue « American Chemical Society » a publié un papier intitulé : « Le premier dispositif auto-alimenté avec transmission de données sans fil »
La liste des contaminants qui ne constituent en aucun cas un médicament est édifiante : aluminium, tungstène, acier inoxydable, chrome, magnésium, titane, nickel... Cela pose question. Que font-ils là ? Ces particules sont-elles placées intentionnellement dans les vaccins ?
« Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés, les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les fabricants, mais contre lesquels le corps réagit quoi qu'il en soit. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d'un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination est involontaire, puisqu'elle est probablement due à des composants ou des procédures pollués de processus industriels — par exemple, des filtrations — utilisés pour produire des vaccins. »