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2023. Entretien A. Bilheran et O. Soulier sur Philosophie et Médecine

Ariane Bilheran Officiel2023. Entretien A. Bilheran et O. Soulier sur Philosophie et Médecine

Ariane Bilheran Officiel - 16 juil 2023

Hommage à Olivier Soulier

   

Pour Tribune Libre, le 6 mai 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Ariane Bilheran, normalienne (Ulm), philosophe, psychologue clinicienne, docteur en psychopathologie, conférencière et écrivain, et Olivier Soulier, docteur en médecine, médecin homéopathe, acupuncteur, chercheur et conférencier : ensemble, ils nous parlent du rapport entre médecine et philosophie, des techniques de manipulation des masses, de la dissonance cognitive, de la censure, de la propagande, de l’OMS et autres organismes supranationaux, des projets mondialistes, de l’effondrement de l’Occident, du contrat social de plus en plus malmené depuis quelques années et de tous les signes avant-coureurs d’un totalitarisme qui, insidieusement, est mis en place en France.

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Edward Bernays, le père du lobbying

Le Media en 4-4-2Edward Bernays, le père du lobbying : mensonges et manipulation contre le peuple

Le Media en 4-4-2 - 12 juin 2023

Il est le père du lobbyisme, le maître dans l’art de manipuler l’opinion que ce soit à des fins politiques ou publicitaires.

   

Edward Bernays, c’est une vie consacrée à l’une des tâches majeures de notre siècle : celle qui consista à pervertir les démocraties pour faire plier les volontés des masses, afin de satisfaire des élites gouvernementales et ensuite des multinationales.

Né en 1891 et mort en 1995, à l’âge de 103 ans. Edward Bernays était le double neveu de Sigmund Freud car sa mère, Anna était la sœur de Sigmund Freud et son père Eli était le frère de la femme de Freud, Martha Bernays. Il est mort dans l’indifférence, presque oublié du grand public alors qu’il a inventé l’un des grands maux du XXe siècle : la manipulation de masse par de fausses informations. (1)

Avant de devenir cet homme, il a été, en 1912, corédacteur en chef de la « Medical Review of Reviews » et de la « Dietetic and Hygienic Gazette ». Il est embauché car c’est un ami qui a hérité de ces deux revues scientifiques et qui a ne sait pas trouver une bonne ligne éditoriale.
Au même moment, en ville, une pièce de théâtre, dont le sujet est très tabou, est en train de se mettre sur pied. Cette pièce décrit l’histoire d’un homme qui a la syphilis et qui le cache à sa future femme. Ils ont un enfant qui naît malade. Un sujet très délicat pour l’époque.
Il crée un comité composé de médecins dont il a convaincu que le sujet de la pièce (la syphilis) est d’utilité publique car méconnu du grand public. Le comité parraine la pièce et à l’aide d’une des revues de son ami qu’il utilise comme support pour la publicité, et une nouvelle technique de promotion. Il n’a alors que 21 ans. Cette première action de publicité est très novatrice à l’époque. En effet, au début du siècle, les messages publicitaires sont simples : il s’agit de vanter un produit en le décrivant, tout simplement, pour ce qu’il est. Bernays procède par biais, il utilise des figures d’autorité et, via elles, rend le produit intéressant voir incontournable.

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bouffée délirante ne Macronie

Jean-Dominique MichelAffaire Raoult : bouffée délirante en Macronie

Jean-Dominique Michel - 09 juin 2023

Jean-Dominique Michel revient sur les rebondissements de l'affaire Raoult.

   

La France en pleine soviétisation sous la férule d'un Macron désormais caligulesque... avec le concours actif de la corruptosphère médico-médiatico-politique.

Quelle vie !

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Apollo - empire du mensonge

Réseau InternationalLaurent Guyénot : Apollo et l’empire du mensonge

Réseau International - 11 mai 2023

Seuls les héros des mythes et des contes peuvent voyager physiquement dans l’Autre Monde et en revenir vivants.

   

L’Autre Monde est alors représenté comme un pays lointain et inaccessible au commun des mortels. Dans certaines traditions asiatiques, comme dans « Le Conte de la Princesse Kaguya », la lune joue ce rôle. Ce n’est pas le cas en Occident. Néanmoins, sur un plan archétypal, un voyage sur la lune est un exploit surnaturel de dimension mythologique. Cela fait des astronautes Apollo les égaux des anciens demi-dieux, et cette aura a illuminé les États-Unis dans leur ensemble. Telle était l’importance des alunissages : c’était le récit fondateur d’une nouvelle religion qui élevait les États-Unis au rang de nation messianique propulsant l’humanité vers l’avenir radieux technologique2. Le discours du président Nixon, diffusé tandis que le module d’Apollo 11 traçait sa route vers la lune, invitait l’humanité à communier dans ce nouveau culte universel :

« Apollo 11 est en route vers la lune. Elle transporte trois braves astronautes ; elle porte également les espoirs et les prières de centaines de millions de personnes ici sur terre, pour qui ce premier pas sur la lune sera un moment de drame transcendant. Jamais l’homme ne s’est embarqué dans une aventure aussi épique. […] Alors que les astronautes vont là où l’homme n’est jamais allé, alors qu’ils tentent ce que l’homme n’a jamais fait, nous sur terre voudrons, comme un seul peuple, être avec eux en esprit ; partager la gloire et l’émerveillement, et les soutenir avec des prières pour que tout aille bien. »3

Une fois que Neil Armstrong et Buzz Aldrin eurent posé le pied sur la lune, le même Nixon réalisa « the most historic telephone callever made from the White House », récupérant ainsi une partie de leur pouvoir surnaturel de communication avec l’Au-delà.4

Mais qui fait l’ange fait la bête, ou le démon. Comme le fait remarquer le très sceptique chercheur allemand Gerhard Wisnewski dans « One Small Step ? The Great Moon Hoax and the Race to Dominate Earth From Space », ce glorieux voyage lunaire mondialement télévisé qui auréolait les Américains d’une quasi divinité, détournait opportunément l’attention de l’enfer qu’ils imposaient à un peuple ici-bas. Apollo 11 atterrissait sur la lune deux mois après les bombardements illégaux au Cambodge ordonnés par Nixon. Et le programme Apollo cessa peu après que les dernières unités américaines aient quitté le Viêt Nam.

« Alors que les États-Unis d’Amérique assassinaient des milliers de Vietnamiens, brûlaient un hectare après l’autre de forêts vierges et empoisonnaient la terre avec des pesticides, ils essayaient en même temps de fasciner – ou plutôt d’hypnotiser – le monde avec une conquête d’un tout autre genre. »5

À vrai dire, en 1972, les gens s’étaient un peu lassés. Malgré l’arrivée de la télévision couleur, l’ajout de quelques gadgets distrayants comme le moon buggy, un suspens redoublé par la longueur des missions (72 heures sur la lune pour Apollo 17), et l’introduction de gags comme les sauts de Kangourou de Eugene Cernan6, l’enthousiasme du public n’y était plus.

Certains se grattaient même la tête: les astronautes n’avaient-ils rien de mieux à faire sur la lune que de planter le drapeau américain et ramasser des cailloux (380 kilos, toutes missions Apollo confondues) ? « Never come to the moon without a hammer », plaisanta Alan Bean d’Apollo 12 devant la caméra.

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Noam Chomsky - sioniste menteur

Réseau InternationalLes liens de Chomsky avec Jeffrey Epstein

Réseau International - 11 mai 2023

Les liens de Chomsky avec Jeffrey Epstein et le cerveau présumé du 11 septembre, Ehud Barak, révélés au grand jour

   

Il n’est donc pas étonnant qu’il ait menti de manière aussi scandaleuse dans notre correspondance électronique.

Au début de l’été 1992, j’ai vu le documentaire « Manufacturing Consent » (La Fabrication du consentement) lors de sa sortie au Castro Theater de San Francisco. Ce film a changé ma vie. Il mettait en scène Noam Chomsky, un professeur de linguistique accompli, et son analyse de la propagande des médias corporatistes. « Manufacturing Consent » m’a convaincu que l’académie américaine pouvait tolérer, et même célébrer, une critique sociale sérieuse. Si Chomsky, un opposant radical aux institutions les plus puissantes des États-Unis, pouvait non seulement survivre mais prospérer dans le milieu universitaire, en disant la vérité au pouvoir et en se construisant un énorme public, pourquoi d’autres ne pourraient-ils pas en faire autant ?

Avant cette projection, j’étais un bohémien profondément aliéné qui hantait les marges du monde universitaire, tellement dégoûté par toutes les institutions des États-Unis que j’aurais difficilement pu imaginer travailler pour elles. (Apprendre les faits de l’assassinat de JFK à l’âge de 16 ans peut avoir cet effet sur une personne). Mais l’exemple de Chomsky m’a inspiré. Il m’a donné envie de me joindre à lui et aux autres universitaires qui critiquent l’empire des États-Unis, de convaincre nos collègues de la véracité de nos arguments en utilisant la logique et les preuves, et d’aider les États-Unis à revenir à leurs racines anti-impériales, et même plus.

C’est donc en grande partie grâce à Chomsky que je suis entré dans un programme de doctorat en 1995. Mais à ce moment-là, j’avais remarqué deux anomalies flagrantes dans sa pensée politique. La première, et la plus importante, était que son analyse de l’assassinat de JFK semblait insensée. Chomsky soutenait que l’assassinat était manifestement une conspiration, et non l’œuvre d’un fou isolé comme le veut l’histoire officielle, mais qu’il importait peu de savoir qui avait tué JFK, car l’assassinat n’avait changé aucune politique ! Puisqu’il estimait que le fait que le président ait été assassiné par des conspirateurs suffisamment puissants pour imposer leur ridicule histoire au monde entier n’avait aucune importance, Chomsky ne s’intéressait pas du tout à l’identification des auteurs et décourageait ses partisans de s’intéresser davantage à ce sujet.

« Prenez par exemple toute cette frénésie autour de l’assassinat de JFK. Je ne sais pas qui l’a assassiné et je m’en fiche, mais quelle différence cela fait-il ? » (Noam Chomsky)

L’autre anomalie concerne la question de la Palestine. Bien que Chomsky ait sympathisé verbalement avec les souffrances des Palestiniens et admis la justice de la cause palestinienne, il a obstrué avec véhémence les deux efforts stratégiques les plus prometteurs qui pourraient aider la Palestine à vaincre le sionisme : Le mouvement de boycott-désinvestissement-sanctions (BDS), et la campagne visant à exposer le contrôle sioniste sur la politique des États-Unis au Moyen-Orient.

Alison Weir a un jour demandé à Chomsky pourquoi il s’opposait au BDS et pourquoi il avait faussement prétendu qu’il était mauvais pour les Palestiniens (qui le soutiennent presque unanimement). « La raison est très simple. C’est tellement hypocrite que c’est en fait un cadeau pour les partisans de la ligne dure. Ils peuvent dire : « Ecoutez, vous appelez au boycott d’Israël, mais vous n’appelez pas au boycott des Etats-Unis, qui ont un bilan bien pire… »

Les partisans de la ligne dure israélienne diraient-ils jamais une telle chose ? Et cela aurait-il une quelconque importance s’ils le faisaient ? Bien entendu, ce n’est pas le cas. Là encore, Chomsky débite de pures absurdités, précédées de l’avertissement obligatoire « c’est très simple ». Quand quelqu’un d’apparemment intelligent comme Chomsky dit de telles choses, il n’y a que deux interprétations possibles : Soit il souffre d’un dysfonctionnement mental bizarre, soit il ment et nous éclaire au gaz.

« Si nous nous faisons prendre, ils nous remplaceront simplement par des personnes de la même étoffe. Peu importe ce que vous faites, les États-Unis sont un veau d’or et nous allons les sucer, les découper et les vendre pièce par pièce jusqu’à ce qu’il ne reste rien d’autre que le plus grand État-providence du monde, que nous créerons et contrôlerons. Pourquoi ? Parce que c’est la volonté de Dieu, et que les États-Unis sont assez grands pour encaisser le coup, afin que nous puissions recommencer encore et encore. C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et nous les faisons souffrir parce qu’ils refusent d’être nos esclaves. »

Benyamin Netanyahou

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quelle loi

Réseau InternationalSous quelle loi vis-tu ?

Réseau International - 09 avr 2023

On ne peut que savoir gré à MM. Xavier Azalbert et Stanislas Breton de leur récent et riche entretien sur « l’intoxication de l’Occident »1.

   

Intéressant, ce mot : « intoxication ». Il nous vient du grec « toxicon », qui signifie le venin, mais un venin inoculé par des flèches. En effet, « toxon » veut dire « arc ». L’intoxication, en son sens premier, désigne donc un acte d’agression volontaire, calculé, et non pas naturel. Un acte destiné à tuer.

Le venin, ici identifié, est le mensonge. Dans la tradition biblique, le mensonge ne se rapporte pas premièrement au discours mais à une action. Il exprime une trahison de la confiance, spécialement contre Dieu qui est fidèle. Le mensonge est ainsi le propre d’une action diabolique tendant à détruire la création divine et à ensevelir avec elle l’humanité elle-même.

M. Breton évoque également une distinction entre le mensonge qu’utiliseraient des politiciens pour protéger leurs citoyens et le mensonge-venin dont il parle. Platon, déjà, distinguait le mensonge « utilitaire » du gouvernant, qu’il identifiait d’ailleurs à un « mensonge en paroles », et qu’il excusait par son utilité protectrice des citoyens ; et le « mensonge véritable », qui consiste à plonger volontairement l’âme d’autrui dans l’erreur, et qui est toujours détestable.5

Tous ces éléments se trouvent ici conjugués. Le mensonge moderne est bien une arme, volontairement maniée par des puissants contre les citoyens de toutes les sociétés occidentales, dont ils trahissent la confiance, afin d’asseoir sur eux leur emprise en empoisonnant leurs esprits. Leurs « flèches » sont tous les vecteurs de propagande, politiques, culturels ou médiatiques qui, par la manipulation, la novlangue ou la persécution directe, fichent dans les esprits et les mœurs le « venin » de la subversion et du mensonge.

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Appel au peuple de France

Nouveau MondeAppel au peuple de France

Nouveau Monde - 09 mars 2023

Il y a deux ans, je terminais la lettre aux gouvernants, dite « Lettre des Généraux », par ces mots : « Si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société… et demain, la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant… »

   

Aujourd’hui, la situation de notre cher pays se résume en un mot : DESASTREUSE

Nous avions le meilleur système de santé du monde, le meilleur modèle d’énergie, la meilleure école, une armée admirée à l’international, une industrie compétitive et une agriculture performante… Mais tout ce qui touchait à l’excellence n’est plus que décombre. Notre pays s’est transformé en une zone mondialisée qui s’appauvrit chaque jour davantage. Alors, la question se pose : comment a-t-on pu tomber aussi bas aussi vite ? Qui est responsable et pourquoi rien n’a été entrepris pour redresser ce pays et protéger sa population ? Seule réponse : l’État.

Françaises, Français, il est temps de demander des comptes aux gouvernants qui depuis plus de trente ans, n’ont pas respecté leurs mandats. Ils n’ont endigué ni l’insécurité, ni l’immigration incontrôlée, et ont aggravé la précarité des plus démunis. MM Sarkozy, Hollande et surtout Macron sont les exemples de Présidents ayant déprécié la fonction politique suprême :

Nicolas Sarkozy bafoue la victoire du NON au référendum sur la constitution européenne de 2005 en faisant adopter le traité de Lisbonne grâce à la tenue du congrès du Parlement.
François Hollande restreint notre énergie nucléaire pour complaire aux lubies écologistes posant les bases des problèmes énergétiques actuels.
Emmanuel Macron sans hésiter fait tirer à balles de défense sur les « gilets jaunes » venus manifester pour le maintien de leur niveau de vie et l’élaboration d’initiatives citoyennes. Au Qatar et en Afrique il a un comportement indigne de la fonction présidentielle. Enfin en s’acharnant à faire passer un projet de loi inique, contre le monde du travail, il prend le risque de susciter un climat de violences sociales incontrôlées.

En conséquence de tous ces échecs, de ces trahisons et de ces mensonges, la France n’est plus considérée comme une grande Nation. Notre pays, subordonné aux institutions européennes s’efface devant l’impérialisme américain, l‘irrédentisme russe et la puissance économique allemande. Il peut, demain avec le conflit Ukrainien courir vers la guerre sans l’accord de notre peuple.

Nous, anciens militaires, ne pouvons cautionner, comme la majorité de nos compatriotes, une telle dérive contraire à notre éthique.

NON, la France des clochers et des cités séculaires n’a pas dit son dernier mot ! Rien n’est inéluctable, tout n’est pas perdu.

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François Hollande

Le Media en 4-4-2Les révélations de François Hollande sur l’Ukraine

Le Media en 4-4-2 - 09 avr 2023

Elon Musk est stupéfait après les révélations de François Hollande sur l’Ukraine et demande si la vidéo est réelle

   

La vidéo qui fait le buzz sur les réseaux sociaux en ce moment montre l’ancien président français François Hollande piégé dans un canular par des Russes se faisant passer pour l’ancien président ukrainien Petro Porochenko. François Hollande avoue sans détour que les accords de Minsk étaient une ruse de l’OTAN pour militariser l’Ukraine, que les nations occidentales ont renversé le gouvernement ukrainien démocratiquement élu en 2014 et qu’il y a une participation à part entière de l’UE et de la France au conflit en Ukraine.

Des propos d’une extrême gravité venant d’un ancien président de la République ne pouvaient pas passer inaperçus. L’une des vidéos partagées sur Twitter par kanekoa.substack.com a atteint les 2 millions de vues en moins de 11 heures.

L’interview-canular de François Hollande est tellement explosif que le patron de SpaceX et Twitter, Elon Musk, n’en revient pas et demande sous la vidéo “Is this real?” (en français “C’est réel ?”). Le compte kanekoa.substack.com répond au milliardaire en lui renvoyant un lien vers Sud Radio.

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OpenAI

Guy BoulianneLes hallucinations de l’intelligence non humaine commencent à conquérir le monde.

Guy Boulianne - 02 avr 2023

Ce qui relie la CIA et TikTok est l’intelligence artificielle (IA), qui est l’intelligence — percevant, synthétisant et déduisant des informations — démontrée par des machines, par opposition à l’intelligence affichée par des animaux non humains et des humains.

   

Alors que Hersh a révélé que la CIA était chargée « de donner une impulsion au système dans le but de rejeter l’affirmation selon laquelle Biden avait ordonné la destruction des pipelines », ils ont mis en action les capacités d’intelligence artificielle des agences d’espionnage américaines “Project SABLE SPEAR” (Projet LANCE EN SABLE), et pour comprendre le véritable pouvoir et la menace de TikTok, une bonne première étape est de lire le document “Why TikTok made its user so obsessive? The AI Algorithm that got you hooked” (Pourquoi TikTok a rendu son utilisateur si obsessionnel ? L’algorithme d’IA qui vous a rendu accro).

L’un des leaders mondiaux de la recherche sur l’intelligence artificielle est le laboratoire OpenAI, le créateur du générateur avancé de langage d’intelligence artificielle ChatGBT ChatBot. Lors d’une récente interview, le PDG de ces laboratoires d’intelligence artificielle, Sam Altman, a déclaré avec crainte : « Je pense que les gens devraient être heureux que nous soyons un peu effrayé par cela… Je suis particulièrement inquiet que ces modèles puissent être utilisés pour une désinformation à grande échelle… La chose que j’essaie le plus de mettre en garde les gens est ce que nous appelons le “problème des hallucinations”… Le modèle énoncera avec confiance les choses comme s’il s’agissait de faits, mais elles sont entièrement inventées ». Et le co-fondateur de ce laboratoire d’intelligence artificielle, Elon Musk, a carrément averti lors d’un discours au symposium du centenaire du département d’aéronautique et d’astronautique du MIT le 24 octobre 2014 : « Avec l’intelligence artificielle, nous invoquons le démon. Dans toutes ces histoires où il y a le gars avec le pentagramme et l’eau bénite, c’est comme ouais il est sûr qu’il peut contrôler le démon… ça n’a pas marché ».

Au cours des dernières 48 heures, le “démon” de l’intelligence artificielle et son “problème d’hallucinations” ont été mis en évidence après que le président Donald Trump a publié une vidéo dévoilant son plan de démantèlement de l’État profond, qui a été visionnée 1,7 million de fois — une vidéo immédiatement contrées par l’intelligence artificielle, des images créées montrant le président Trump se battant furieusement avec les policiers de New York qui l’arrêtent, ont été visionnées plus de 4 millions de fois et constituent une démonstration terrifiante prouvant le pouvoir de l’intelligence artificielle sur la vérité.

« Avec l’IA, nous invoquons le démon »

Elon Musk

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stock en pierre

InsolentiaeBanque : Les stocks physiques remplis de sacs de pierres au lieu de minerai

Insolentiae - 26 mars 2023

Les stocks physiques du marché de Londres des entrepôts remplis de sacs de pierres au lieu de minerai.

   

Qu’est-ce que l’on rigole dans notre monde de margoulins.

En voici une nouvelle et sacrément copieuse.

La banque JPMorgan possédait du « nickel » au LME et la banque américaine avait mis le métal sur le marché au début de l’année dernière.

Le problème c’est que JPMorgan Chase & Co. possédait les contrats de nickel du London Metal Exchange qui se sont avérés être garantis par des sacs de pierres plutôt que par le métal concerné.

Du coup, la semaine dernière, le LME a annoncé qu’il avait annulé neuf contrats de nickel – d’une valeur d’environ 1,3 million de dollars – après avoir découvert des « irrégularités » dans un certain entrepôt, qui, selon Bloomberg (source ici), appartenait à Access World.

Et tenez-vous bien la nouvelle a choqué le monde des métaux, car les contrats du LME sont généralement considérés comme incontestables !!

Hahahahahahahahaha.

Hahahahahahahahahaha.

Il n’y a que les vilains « complotistes » pour ne pas croire un strict mot des inventaires qui sont fournis années après années.

Si Churchill disait qu’il ne croyait aux statistiques que si c’étaient les siennes, je pourrait le paraphraser en disant que je ne crois aux inventaires des détenteurs de métaux, que si c’est moi qui vient de les réaliser.

Si je vous parle du LME, le London Metal Exchange, c’est que l’on y traite un peu d’or chaque jour et un peu d’argent métal aussi.

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surveillance - biométrie

La Quadrature du NetLa France, premier pays d’Europe à légaliser la surveillance biométrique

La Quadrature du Net - 25 mars 2023

L’article 7 de la loi sur les Jeux olympiques a été adopté ce midi par l’Assemblée, actant l’entrée formelle de la vidéosurveillance algorithmique (VSA) dans le droit français, jusqu’en décembre 2024.

   

À l’ombre du tumulte de la réforme des retraites, et grâce à une procédure comme d’habitude extrêmement rapide, le gouvernement a réussi à faire accepter une des technologies les plus dangereuses jamais déployées. Pour cela, il a usé de stratégies, de mensonges et de récits fictifs, pour que jamais ne soient sérieusement et concrètement discutés le fonctionnement technique de ces outils et leurs conséquences politiques et juridiques en termes de surveillance de masse. Grâce à une majorité totalement désinvestie et au soutien total de l’extrême droite, la VSA a donc pu être légalisée sur la base de mensonges sapant toujours un peu plus le jeu démocratique.

  • Le mensonge de la biométrie : le gouvernement a répété et inscrit dans la loi que la VSA ne relevait pas de la surveillance biométrique. C’est totalement faux. Cette technologie identifie, analyse, classe en permanence les corps, les attributs physiques, les gestes, les silhouettes, les démarches, qui sont incontestablement des données biométriques. Nous n’avons cessé de l’expliquer (voir notre note et notre video), de le rabâcher aux rapporteurs du Sénat et de l’Assemblée ainsi qu’aux députés, comme l’ont également fait 38 organisations internationales et une quarantaine d’eurodéputés qui ont récemment interpellé le gouvernement. Mais celui-ci a continué de s’enfoncer dans ce mensonge à la fois technique et juridique. Ainsi la France viole à nouveau le droit de l’Union européenne et consacre sa place de championne européenne de la surveillance.
  • Le mensonge de l’utilité : le gouvernement a utilisé les Jeux olympiques comme prétexte pour atteindre plus vite l’objectif, fixé depuis des années, de légaliser ces technologies, s’inscrivant par là dans la « tradition », observée partout ailleurs et consistant à instrumentaliser de façon très opportuniste les méga-évènements internationaux. Le gouvernement a réussi à faire croire à une nécessité, fabriquée de toute pièce, pour « repérer les colis suspects » ou « prévenir les mouvements de foule ». Ces évènements sont soudainement devenus la nouvelle priorité du ministère de l’Intérieur et des députés zélés, qui n’ont cessé de résumer la sécurité des JO à ces situations, rarement identifiées comme prioritaires en temps normal, et dont nous démontrions ici que la résolution dépend davantage de maîtrise humaine que de technologie. Ainsi, la VSA a été acceptée sur le seul fondement d’un mythe bien ancré selon lequel la technologie permettrait d’assurer magiquement la sécurité, sans qu’aucune évaluation ni démonstration de l’utilité ou de la proportionnalité de ces technologies très opaques n’ait jamais été honnêtement réalisée.
  • Le mensonge technique : l’application principale de la VSA consiste à identifier des comportements que la police aura préalablement définis comme « suspects ». Arbitraire et dangereux par essence, le fonctionnement de ces algorithmes n’a jamais été expliqué par le gouvernement : et pour cause, il n’est sans doute pas compris par la majorité des décideurs… Incompétence inexcusable ou volonté assumée de noyer le poisson, dans tous les cas, cela a ramené les débats parlementaires à un niveau extrêmement bas, qui n’est pas à la hauteur des enjeux gravissimes soulevés par ces technologies biométriques. Grâce à l’aide des rapporteurs Renaissance Guillaume Vuilletet et Sacha Houlié (le remplaçant) et de quelques députés, ce sont les rhétoriques de minimisation tirées des arguments de vente des entreprises de la VSA, les mensonges et les inepties techniques qui ont prédominé. Ce qui en ressort, c’est l’incapacité patente du Parlement à discuter de questions techniques, mais surtout la crainte légitime que la société doit avoir pour le futur, au vu de l’incompétence des représentants à appréhender les contours et les dangers des prochaines technologies qui émergeront.

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René Bickel

Le Media en 4-4-2La société est devenue la proie du mensonge au point que la vérité offense les gens

Le Media en 4-4-2 - 03 mars 2023

René Bickel : interviewé par Le Media en 4-4-2

   

Le Média en 4-4-2 vous présente à travers sa série « Artistes à contre-courant » des personnalités qui choisissent de sortir des sentiers battus malgré les défis qui en découlent. Pour le cinquième épisode, nous recevons l’illustrateur et auteur René Bickel. Cet autodidacte est un dessinateur engagé, écologiste dans l’âme qui a choisi une arme redoutable pour faire passer ses messages : l’humour. Il dépeint une société dont le « progrès » réside avant tout dans la mise en place d’un ordre mondial dont il s’attache à démontrer les buts premiers et inavoués de la domination et de l’exploitation des individus.

« Tout est planifié pour empêcher l’individu de se construire et de chercher sa réalité propre. »

René Bickel

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