La dysphorie de genre, anciennement appelée « trouble de l’identité de genre », se caractérise par un malaise profond et persistant vis-à-vis de son sexe anatomique. […]. Historiquement, elle n’a concerné qu’une infime partie de la population (environ 0,01 %) et presque exclusivement des garçons. Au cours de la dernière décennie, la donne a changé de façon spectaculaire. L’Occident a vu une augmentation subite du nombre d’adolescents affirmant souffrir de dysphorie de genre et s’identifiant comme « transgenres ».
À cela s’joute un rapport de 2014 que la chaine CNN avait mis en évidence : le problème pédophile de l’entreprise , notant qu’au moins 35 employés de Disney World avaient été arrêtés au cours d’une période de huit ans depuis 2006 pour des délits sexuels présumés sur des enfants...
Les professionnelles ont ainsi remarqué que les petites filles s’affirment davantage, au fil des mois : elles ne se laissent plus chiper les jouets des mains par les garçons. Les marges de liberté des garçons se sont également élargies : ils se montrent plus sensibles et s’autorisent à pleurer car ils savent qu’ils en ont le droit.