L’article était un article d’opinion d’un enseignant ayant une expérience de l’enseignement tenant compte des traumatismes.
Les professionnelles ont ainsi remarqué que les petites filles s’affirment davantage, au fil des mois : elles ne se laissent plus chiper les jouets des mains par les garçons. Les marges de liberté des garçons se sont également élargies : ils se montrent plus sensibles et s’autorisent à pleurer car ils savent qu’ils en ont le droit.