La carte présente plus de 1000 lieux recensés dans une base de donnée interopérable qui est le fruit d'une collaboration entre la Coopérative Oasis et Habitat Participatif France.
Sobriété heureuse. Moins de biens, plus de liens. Comment vivre de manière plus éco-responsable, dans le respect de soi, de l'autre et de la nature ?
Autonomie, éco-construction, école alternative, maraichage en permaculture et/ou agro-écologie, gouvernance partagée, monnaie locale, communication non violente... des initiatives de vie en communauté privilégiant convivialité, entraide et décroissance existent déjà un peu partout en France et dans le monde.
Voici un tour d'horizon des initiatives et terrains d'expérimentation les plus inspirant·e·s.
Le petit village marocain d’Inzerki n’y fait pas exception. Abritant le plus vieux rucher collectif du monde, ce dernier a récemment connu un effondrement sans précédent de ses colonies des suites de la pire sècheresse que le pays ait connu ces 40 dernières années. Ce nouveau désastre écologique rappelle une fois de plus l’urgence d’agir immédiatement pour ralentir les effets du changement climatique.
« De nombreuses familles n’ont désormais plus les moyens de poursuivre leurs activités apicoles et ont décidé d’abandonner complètement l’apiculture »
Au programme, Introduction aux maisons saines, financement et certifications, isolation, étanchéité et moisissures, portes et fenêtres, chauffage, climatisation et ventilation, peintures, couvre-sols et autres matériaux sains
Une décision pour le moins incompréhensible lorsque l’on sait que les forêts permettent de stocker du CO2 en plus de préserver la biodiversité. Mais à y regarder de plus près, derrière l’hypocrisie de la “croissance verte” se cache l’appât du gain d’une multinationale soutenue par l’État.
« Avant, il y avait de la tourbe[2] ici, maintenant c’est un chemin avec un mètre de pierres […] Des couloirs à batraciens ont été détruits au bulldozer sur des centaines de mètres ».
Mais selon l’eurodéputé écologiste lituanien Bronis Rope, cette « nouvelle PAC ne permet pas de résoudre les inégalités sociales, ni d’atteindre les objectifs de protection de l’environnement ».
L’objectif ? Nous entasser dans des grandes villes, dans des grands ensembles que l’on vient de détruire parce que la densité heureuse cela ne fonctionne pas. On peut changer le nom et appeler cela maintenant, « l’intensité heureuse », cela ne changera strictement rien.
Quelles vont être les conséquences de cette décision juridique ?