Twitter s’est livré à une censure généralisée à l’encontre d’éminents scientifiques et experts médicaux pour avoir publié des contenus qui contredisaient le récit officiel de la COVID-19, selon le dernier dépôt de documents « dossiers Twitter », publié le 26 décembre 2022 par le journaliste d’investigation et auteur David Zweig.
Selon M. Zweig, une grande partie de cette censure a été mise en place à la demande de l’administration Biden, qui a déclaré que des documents internes ont révélé que l’administration Biden était « très en colère » que Twitter ne s’engage pas dans une plus grande censure.
Le Forum économique mondial (FEM), une organisation mondiale non élue qui cherche à « façonner les agendas mondiaux, régionaux et industriels », a annoncé le programme de sa réunion annuelle de 2023, qui comprend un panel sur la lutte contre la « mésinformation. »
Le panel s’intitule « Countering Threats in the Age of Black Swans » et aura lieu le 18 janvier 2023 à 9 heures, heure normale de l’Est (HNE).
La description de la table ronde ne définit pas la mésinformation, mais affirme qu’un « large éventail d’acteurs » a accès à « une capacité toujours plus grande de diffusion de la mésinformation. » Cette capacité, selon le FEM, est censée aggraver les « menaces qui étaient autrefois considérées comme aberrantes ».
Au cours de la table ronde, les intervenants discuteront de la manière de prévoir, d’atténuer et de contrer ces menaces qui sont censées être aggravées par la mésinformation.
Alors que la description du panel ne définit pas la mésinformation, un récent post promouvant la réunion annuelle du FEM suggère que le groupe considère la critique du FEM et la remise en question des récits dominants du Covid-19 comme de la mésinformation.
Cette politique de longue date ne s’appliquait pas aux informations erronées fournies par les responsables gouvernementaux, qui mentaient régulièrement sur des sujets tels que la transmission, les masques, l’efficacité des vaccins, les effets secondaires ou toute autre « science » qui s’avérait manifestement fausse.
« À compter du 23 novembre 2022, Twitter n’applique plus la politique relative aux informations trompeuses COVID-19.
Alors que la communauté mondiale affronte ensemble la pandémie de COVID-19, Twitter aide les gens à trouver des informations fiables, à se connecter avec d’autres personnes et à suivre ce qui se passe en temps réel. »
00:00 Censure généralisée. VPN obligatoire.
05:35 Nouvelles économiques. Coopérations sino-russes.
07:46 Le paradis énergétique russe.
10:38 Loyauté à la polonaise.
11:05 Les milliardaires quittent le navire.
13:43 Carte des opérations militaires.
22:52 Zelenski et le piège de Kherson.
24:35 Bombardements stratégiques russes.
27:20 Discours de Poutine à Valdaï.
30:20 Les trois phases de l'opération spéciale.
Emmanuel Macron avait jugé que les très contrôlés YouTube, BFMTV, Facebook & Cie étaient largement suffisants pour informer les Français. Or, tandis que notre information est de plus en plus limitée à des communiqués officiels, des publicités pour Pfizer et des jeux débiles, entre-temps Elon Musk a rouvert des comptes supprimés sur Twitter et viré les dirigeants qui avaient supprimé le compte de Trump après sa défaite aux élections. Un air de liberté anti-démocrate — du nom d’un parti américain fort peu démocrate — qui ne plaît guère à la macronie déjà fragilisée par les révélations de Pfizer sur ses vaccins.
Panique des démocrates à la veille des élections de mi-mandat, obéissance stricte aux ordres de BlackRock (Larry Fink a été un des premiers chefs d’entreprise reçus à l’Élysée en 2017) ont fait prendre une décision ouvertement dictatoriale.
Malgré le fait que personne ne l’ait demandé, le Forum économique mondial préconise désormais la fusion des systèmes d’intelligence humaine et artificielle pour censurer les « discours de haine » et la « désinformation » en ligne avant même qu’ils ne soient autorisés à être publiés. Un rapport publié sur le site officiel du WEF met sinistrement en garde contre le péril que représente « le monde obscur des préjudices en ligne ». Mais l’organisme mondialiste, dirigé par le méchant Klaus Schwab, a une solution. Ils veulent fusionner les « meilleurs » aspects de la censure humaine et des algorithmes d’apprentissage automatique de l’IA pour s’assurer que les sentiments des gens ne sont pas blessés et que les opinions du contre-régime sont mises sur liste noire.
« En combinant de manière unique la puissance d’une technologie innovante, la collecte de renseignements hors plateforme et les prouesses d’experts en la matière qui comprennent comment les acteurs de la menace opèrent, la détection à grande échelle des abus en ligne peut atteindre une précision quasi parfaite »
Nous le savions déjà mais il est toujours bon de le rappeler : l’entreprise multirécidiviste criminelle Pfizer finance le Centre international des journalistes (ICFJ) que Facebook va utiliser afin de vérifier l’information de sa plate-forme ! Rien que ça !
D’ailleurs, nous pouvons trouver également dans la liste des partenaires de l’ICFJ l’entreprise Johnson & Johnson qui est également productrice d’un autre vaccin comme le démontre la capture écran ci-dessous. C’est à peine croyable et pourtant c’est ce que tout le monde peut constater en allant sur leur site et en vérifiant tout ce qui est écrit ici.
On peut trouver également dans la longue liste des sponsors une ribambelle de délinquants mondialistes comme la banque Goldman Sachs par exemple, sans oublier bien entendu l’ubiquitaire fondation Bill et Melinda Gates, Soros, Google… !
Proposée par LREM et adoptée fin juillet, la loi qui prévoit de contraindre éditeurs et hébergeurs du Web, réseaux sociaux en tête, de retirer dans l’heure et sans intervention de la justice des contenus sur le Web étiquetés « terroristes », a obtenu le feu vert du Conseil constitutionnel. L'instance présidée par Laurent Fabius, dont le fils Victor Fabius est directeur associé au sein du cabinet de conseil McKinsey, est désormais célèbre depuis la crise du Covid-19 pour sa propension à avaliser les restrictions de liberté adoptées par le gouvernement, ce malgré l’absence de preuves scientifiques à l’appui de ses décisions.
Dans un tweet publié le vendredi 5 août, CBS faisait la promotion d’un nouveau film-documentaire Arming Ukraine (Armer l’Ukraine) : « Le nouveau documentaire de CBS Reports explore pourquoi une grande partie des milliards de dollars d'aide militaire que les États-Unis envoient à l'Ukraine n'arrivent pas sur les lignes de front : 30% atteint sa destination », écrivait le média sur Twitter.
« Inonder un pays avec des armes modernes peut entrainer de graves conséquences, même si cela est fait avec les meilleures intentions », pouvait-on lire par ailleurs dans l’article de description du reportage sur le site Internet de la chaine.
Mais depuis, l’article a été mis « mis à jour », selon les termes employés par CBS, et le film supprimé de son site Web au cours du weekend dernier. Faisant face à une avalanche de questions concernant les motivations qui ont sous-tendu cette décision, le média s’en est finalement expliquée sur Twitter.