L’administration indienne de l’impôt sur le revenu a averti les citoyens qu’ils devaient relier leur numéro de compte permanent (PAN) à leur numéro d’identification biométrique Aadhaar avant le 1er avril 2023, sous peine de voir leur PAN devenir non opérationnel.
En Inde, le PAN est nécessaire pour effectuer de multiples activités financières telles que la création de comptes bancaires, le dépôt d’argent, le négoce d’actions et l’achat ou la vente de biens immobiliers. Les Indiens peuvent relier leur PAN à Aadhaar sur le site Web du service des impôts après avoir payé 1 000 roupies (12 dollars).
Alors que les marchés d’actions et d’obligations sont bloqués dans des marchés baissiers brutaux et fournissent une distraction suffisante à ce qui se passe dans les coulisses, la Fed et un groupe de banques se sont préparés discrètement à la prochaine étape de la filière du « krach organisé » : le déploiement du CSEC.
Comme vous le savez, il y a dans ce monde de taux variables dans lequel nous évoluons, un petit village qui résiste encore et toujours aux légions bancaires.
Entouré de camps retranchés de banquiers, le petit village gaulois résiste et continue à fonctionner avec des crédits à taux fixes.
Les taux fixes permettent d’éviter les vagues d’insolvabilité à chaque fois que les taux montent et finalement les crises financières car les banques se retrouvent inévitablement fragilisées par le nombre d’emprunteurs en faillite qui augmente dans ces cas là.
C’est exactement comme cela que les banques américaines ont très largement tangué lors de la crise des Subprimes entre 2007 et 2010 et que la Lehman Brothers s’est effondrée dans un immense fracas qui a résonné dans le monde entier.
Pourtant, pourtant…
Cette demande à l’encontre des deux enseignes de la grande distribution fait suite au constat que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche contraignait les clients à régler leurs courses à des caisses automatiques.
La Banque de France a rappelé aux groupes de grande distribution Carrefour et Casino leur obligation d’accepter les paiements en espèces dans l’ensemble de leurs magasins, a indiqué mercredi le directeur des activités fiduciaires Christophe Baud-Berthier. Un rappel qui intervient quand il a été constaté que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche obligeait les clients à se diriger vers des caisses automatiques ne permettant pas le paiement en pièces et billets.
En septembre 2021, le ministère français de l’économie et des finances a demandé à avoir accès aux soldes des comptes et au nombre de transactions mensuelles de tous les comptes bancaires des particuliers et des entreprises en France. Non seulement le ministère de l’économie et des finances souhaitait avoir accès à ces données personnelles sensibles, mais il voulait également être en mesure de les collecter en temps réel.
La BCE vient de révéler le panel des acteurs qu’elle s’apprête à charger de la mise en place de la première itération du futur « Euro numérique » ou E-Euro. Si la présence d’une banque espagnole ou de l’italien Nexi n’étonnera pas les observateurs, difficile d’en dire autant s’agissant de la présence surprise du géant américain… Amazon.
C’est une annonce qui fait l’effet d’une petite bombe et dont les implications iront probablement bien au-delà du simple périmètre technologique, voire même économique.
Les MNBC recueillent toutes les informations relatives à vos transactions financières. Les médias sociaux recueillent tous vos contacts personnels et votre profil psychographique. Les caméras Amazon Ring et Google Nest recueillent tous vos mouvements locaux. Les passeports vaccinaux collectent et stockent toutes vos informations de santé. La collecte d’ADN permettra aux élites de lancer une guerre biologique sur des groupes de personnes sélectionnées.
Lorsque tous ces types de systèmes de données seront connectés et intégrés dans une base de données centrale, « Skynet » sera arrivé pour rester et il n’y aura plus de retour en arrière.
La Banque de France prévoit quatre ou cinq autres expériences cette année et l’année prochaine, impliquant davantage d’entreprises privées et d’autres banques centrales étrangères. Elle a déjà travaillé avec la Banque Nationale suisse, l’Autorité monétaire de Singapour (MAS) et la Banque centrale de Tunisie sur des projets distincts de paiement transfrontalier.
« L’euro numérique ne peut être un succès que s’il fait partie de la vie quotidienne des Européens. Il doit apporter une valeur ajoutée par rapport aux solutions existantes »
En Suède, l'expérience a déjà été lancée. La société fintech suédoise Doconomy a lancé une nouvelle carte de crédit qui surveille l’empreinte carbone de ses clients – et réduit leurs dépenses lorsqu’ils atteignent leur maximum de carbone. Pour le moment, cette expérience est volontaire...