« L’Assemblée laisse peser une menace énorme sur les sols », se sont inquiétés les députés écologistes. Dans le cadre du projet de loi sur l’accélération de la production d’énergies renouvelables, les parlementaires ont en effet voté, mercredi 14 décembre, une série de mesures pour encadrer le développement du photovoltaïque sur des terrains agricoles. Certes, ce dernier est mieux encadré mais il sera surtout facilité, regrette l’opposition. Qui aurait souhaité que le solaire sur les toits et les friches soit priorisé.
Au cœur des débats, la définition de « l’agrivoltaïsme ». Cette pratique consiste en théorie à allier production alimentaire et énergétique. « C’est un outil d’adaptation au changement climatique », insiste Nathanaël Kasriel, de France Agrivoltaïsme, le syndicat du secteur. Concrètement, les panneaux solaires installés en plein champ sont censés offrir une ombre bienvenue aux troupeaux ou une protection salutaire aux vignobles exposés aux orages de grêle. Une dizaine de projets sont sortis de terre à peine, et environ 150 sont en développement, selon l’organisme.
Sauf que dans les faits, comme Reporterre a pu le constater lors d’une enquête, « certains ont fait n’importe quoi ». Serres photovoltaïques à moitié vides dans les Pyrénées-Orientales, projets urbains de « parc agrisolaire » abritant quelques moutons esseulés... Surtout, le terme a été largement récupéré pour vendre – et rendre acceptable – des projets solaires imposants sur des terres agricoles. « Ce mot ronflant d’“agrivoltaïsme” relève du marketing », dénonçait ainsi la Confédération paysanne dans une tribune. Il dissimule l’accaparement des terres agricoles par des sociétés de production d’énergie pressées de s’enrichir, sur le dos du monde paysan. »
En lutte contre la bétonisation, les opposants dénoncent les potentiels conflits d’intérêts du maire et les intimidations qu’ils subissent.
« C’est Byzance ! » Chaussures de randonnée aux pieds et sourire aux lèvres, Nicolas n’en revient pas de la qualité du sol qu’il arpente avec aisance, malgré les tranchées qui sillonnent la terre. Un terrain situé en bordure de Pertuis, commune de près de 20 000 habitants nichée au sud-est du Vaucluse, à une cinquantaine de kilomètres de Marseille. « Cette ancienne prairie n’a jamais reçu d’intrants et est particulièrement fertile », s’enthousiasme le jeune paysan. Au milieu des calcaires arides, la zone bénéficie notamment d’un avantage de taille : elle est parcourue de canaux du 19e siècle qui lui assurent une irrigation optimale. Alors que la parcelle n’a pas été entretenue depuis l’été, quelques pieds de tomates ont survécu au cagnard et les blettes se portent bien.
La récente réunion gouvernementale du G20 à Bali, la réunion de la COP27 de l’Agenda 2030 des Nations unies en Égypte, le Forum économique mondial de Davos et Bill Gates sont tous complices. En général, ils utilisent un cadre linguistique dystopique pour donner l’illusion qu’ils font le bien, alors qu’ils font en réalité avancer un programme qui conduira à la famine et à la mort de centaines de millions, voire de milliards de personnes si on le laisse se poursuivre. Il est dirigé par une coalition d’argent.
En d’autres termes, le gouvernement néerlandais oblige des centaines d’agriculteurs à vendre leurs terres à l’État.
Dans un tweet, la commentatrice politique, animatrice et ancienne membre du parti Forum pour la démocratie, Eva Vlaardingerbroek a déclaré : « Notre gouvernement criminel a annoncé (mercredi 5 octobre) qu’il allait accélérer le vol des terres de nos agriculteurs. 500 à 600 agriculteurs seront contraints de vendre leurs terres à l’État au cours de l’année prochaine. Les agriculteurs ont annoncé de nouvelles protestations, alors restez à l’écoute. »
Elle a qualifié le plan néerlandais de « vol ».
« Le gouvernement néerlandais accélère l’expropriation de nos agriculteurs, poussant certains d’entre eux à se suicider. C’est une bande de menteurs et de voleurs inhumains et avides qui ont créé une fausse crise pour voler aux gens leurs droits et leurs biens. »
L’escalade des attaques réglementaires contre les producteurs agricoles, de la Hollande et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà, est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l' »Agenda 2030″ des Nations unies et aux partenaires de l’ONU au Forum économique mondial (FEM), ont déclaré de nombreux experts à The Epoch Times.
En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l’ONU sont directement impliqués dans les politiques qui mettent à mal les agriculteurs, les éleveurs et les réserves alimentaires dans le monde entier.
Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système de l’ONU ont contribué à la création des ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l’organisation, comme l’a précédemment documenté The Epoch Times.
Selon de nombreux experts, si l’on n’y prend garde, les politiques de durabilité soutenues par l’ONU en matière d’agriculture et de production alimentaire entraîneront une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.
Cela fait déjà plusieurs jours que des manifestations très importantes d’agriculteurs ont lieu aux Pays-Bas, pays voisin européen, pourtant aucun journaliste parisien n’a estimé nécessaire d’en parler. Il y a même eu des violences policières puisque des tirs de sommation ont été réalisés en direction des manifestants pacifistes !
Malgré cela, malgré des blocages dans de très nombreuses villes depuis plusieurs jours, la censure médiatique se poursuit, les plateaux télé Parisiens font comme s’il ne se passait absolument rien aux Pays-Bas !
« C’est le gouvernement néerlandais qui vole les terres de nos agriculteurs.
Et ils le font sous couvert d’une crise d’azote inventée.
Et cela va provoquer la fin du travail pour beaucoup d’agriculteurs.»
Pour faire prévaloir cette folie, on a inventé un « problème d’azote » néerlandais. Christianne van der Wal, a annoncé que 30% des éleveurs devaient abandonner leur exploitation. Les personnes concernées ont le choix entre abandonner volontairement leur exploitation et partir, ou s’engager à ne plus jamais exercer leur profession – ce n’est qu’à cette condition qu’elles seront indemnisées.
À peine le cadre de la nouvelle PAC pour 2023-2027 approuvé par le Parlement européen en décembre 2021, les plus verts des eurodéputé·es et les organisations de la société civile regrettaient une politique largement en dessous des besoins en matière d’écologie.
« Il est nécessaire d’appliquer des alternatives que [l’ être humain] connaît en fait depuis des milliers d’années. C’est-à-dire essentiellement la rotation des cultures, qui consiste à cultiver ensemble différentes espèces végétales qui se protègent mutuellement. Cela passe aussi par le fait de ne pas endommager les défenses naturelles des prédateurs, mais à les laisser se développer, de sorte que ce cycle biologique, qui est en train de s’interrompre, puisse se poursuivre ».