Cette semaine, les élites mondiales qui sont censées s’attaquer aux problèmes du monde, tels que le « changement climatique », au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, feront également la fête.
La demande de travailleuses du sexe par les magnats des affaires et les dirigeants du monde entier explose pendant le sommet de cinq jours.
Une escorte nommée « Liana » a déclaré au journal allemand Bild qu’elle s’habillait en tenue d’affaires pour se fondre dans la foule des élites pendant le sommet. Elle a précisé que son client est un Américain qui assiste à la réunion. Elle facture 700 euros par heure et 2 300 euros pour toute la nuit.
Elle met en lumière le « côté obscur de Davos », en expliquant à Bild que la demande de prostituées monte en flèche pendant la réunion. Un service d’escorte a également confirmé que les travailleurs du sexe seraient très occupés cette semaine :
« Les patrons réservent des escortes dans la suite de l’hôtel pour eux-mêmes et leurs employés », a déclaré le gérant d’un service d’escorte au journal suisse 20 Minuten. Le responsable a indiqué aux travailleurs du sexe que leurs services seraient très demandés au cours des prochains jours.
« Psychologiquement, c’est très dur. Nous sommes à bout. » Adrien et Marine devront-ils dire adieu à leurs mobile homes, installés dans leur hangar agricole ? C’est ce qui inquiète les deux maraîchers. Cet été, le maire de Maché, en Vendée, les a mis en demeure sous astreinte de quitter les lieux. Depuis le 8 novembre, le couple doit payer 50 euros par jour d’astreinte. Ils résistent, non sans difficultés.
« Quoi ?! Il y a des milliers de données stockées dans ce vieux bâtiment ?! » Ce chauffeur de bus marseillais n’en revient pas mais tous les jours, et ce depuis des années, il passe à côté d’une ancienne base allemande de sous-marins reconvertie en data center [1].
De l’extérieur, cet édifice de la Seconde guerre mondiale niché dans le port de Marseille ressemble à un immense hangar en béton marron. Nommé MRS3, il est le troisième centre de données implanté par la société Digital Realty France, à Marseille. La société en compte désormais quatre. Peu connue du grand public, cette activité ancrée dans la ville phocéenne la positionne pourtant à la septième place sur l’échelle mondiale des hubs numériques. Elle devrait même se hisser dans le top cinq d’ici l’an prochain.
Nous avons récemment alerté nos lecteurs sur la convocation de soignants suspendus par la police, pour des interrogatoires qui relèvent tous de l’intimidation. Olivier Soulier, fondateur du syndicat Liberté et Santé, fait le point de la situation avec nous et rappelle quelques conseils de précaution à suivre pour éviter d’être piégé. Il nous fait, au passage, quelques révélations ahurissantes.
Vertige des pérégrinations de sa pensée. Mieux, de sa prise de conscience. Mieux encore, de sa déconstruction. Comme un cheminement dont le paysage nous fait fatalement écho – même si un peu, même si de loin : lettre ouverte d’un citoyen du siècle.
Nous nous sommes nous-même créés des dépendances avec les années. Aux objets, aux habitudes qu’on a prises. Elles se sont insinuées dans nos vies sans qu’on prenne conscience des impacts qu’elles auraient avec le temps. Nos souvenirs en sont pétris, on en a garni notre présent et on s’en découvrira de nouvelles demain. Mais une fois ce constat fait, est-il si grave de ralentir ?
On est de la génération touche-à-tout, parfois, on apprend dans l’urgence, par besoin, par nécessité, par instinct de survie. Et on se bat pour des droits, pour des causes, justes, pour les un(e)s et les autres. Et c’est normal, c’est simplement parce qu’on habite tous et toutes la même maison. Je me retrouve agitant les drapeaux pour essayer à mon échelle, de faire changer la trajectoire de la barque même d’un millimètre. Mais je sais que je ne suis pas seul et c’est aussi ça qui me donne cette rage, ce “courage” comme tant d’autres avant moi.
« Comme je le redoutais, arrive le jour où l’on m’ordonne à nouveau de ne pas joindre des analyses compromettantes. »
Cette pratique proche de l'intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat... Dans le climat de répression qui s'abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.
Selon nos informations, la police nationale procède actuellement à une campagne perlée de convocations de certains soignants suspendus pour les interroger sur leur position concernant le vaccin. Pour l’instant, les conditions dans lesquelles cette campagne se déroulent sont encore obscures. Mais le mode opératoire paraît assez simple : la police convoque les suspendus officiellement pour un simple entretien, en précisant que c’est une formalité qui ne nécessite pas la présence d’un avocat.
Lors des entretiens, les policiers interrogent les personnes sur les raisons pour lesquelles elles ne veulent pas être vaccinées. On signale des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.
Une partie de l’interrogatoire porte sur un éventuel exercice illégal de la profession depuis la suspension.
D’une manière générale, les policiers expliquent qu’ils agissent à la demande du Parquet. Plus rarement, il semblerait que certains hôpitaux publics aient pris l’initiative de dénoncer les personnels suspendus pour un hypothétique exercice illégal de la médecine.
D’aucuns considèrent que cette campagne d’information sous les radars et (précisons-le) d’une légalité extrêmement discutable, est un prélude à une campagne permettant de réintégrer les soignants les moins “dissidents”.
Nous pouvons mettre cette situation en parallèle avec la résistance au masque ou au téléphone portable. C’est-à-dire que si nous avons résisté au fait de porter un masque, nous n’avons pas dû avoir beaucoup de difficultés à résister à l’injonction vaccinale : nous avions effectué les changements de vie nécessaires pour ne pas nous retrouver confrontés à un changement violent, au dernier moment.
Concernant le téléphone portable ou les aides financières de l’État, nous en sommes encore au niveau masque, nous pouvons recevoir ces aides ou les refuser du jour au lendemain. Le niveau vaccin me semblant être le puçage et le Revenu Universel. Dès lors, un retour en arrière sera certainement impossible. Et ceux qui auront gardé des aides jusque-là se trouveront face à un choix lourd de conséquences car ne s’étant pas préparés à être autonomes, refuser le Revenu Universel les mettra brutalement dans une situation délicate… Mais pourquoi refuser ce Revenu ?!
La Cour Suprême de New-York a ordonné le 24 octobre 2022 via une décision historique la réintégration des personnels suspendus non injectés avec un paiement rétroactif des salaires des derniers mois ! Après les victoires du Pr Perronne, le retournement du gouvernement de l’Alberta canadien, c’est un tremblement de terre qui s’abat sur les covidistes.
Cette décision de la Cour Suprême de New York signe la fin de partie de l’hystérie covidiste. Il est clairement indiqué, vous pourrez le lire ci-dessous dans la traduction que nous vous proposons, que les autorités sanitaires de la ville ont violé la loi de la séparation des pouvoirs, ont violé la loi sur l’égalité des droits, ont violé la loi sur les droits procéduraux des requérants, qu’ils n’ont en aucune manière la possibilité ni l’autorité d’exclure de façon permanente des travailleurs, que cette décision est « capricieuse » et « arbitraire » ! La cour ordonne la réintégration du personnel soignant suspendu à partir du 25 octobre 2022 avec un paiement des arriérés de salaires. La victoire est totale, spectaculaire.
De Chrome en passant par Edge, Firefox, Brave ou encore Opéra, les navigateurs web ne manquent pas. Mais savez-vous lesquels sont les plus respectueux de votre vie privée ? Le site PrivacyTests.org tente d’apporter une réponse objective à cette question brûlante.
Cela fait un an que Emmanuel Macron a annoncé l’une des mesures les plus honteuses de ces dernières décennies : la vaccination obligatoire pour le personnel soignant. Surtout depuis que l’on sait, de source officielle, que le « vaccin » n’empêche pas la transmission du virus… En leur donnant la parole, nous avons décidé de rendre hommage à notre manière à ces citoyens qui refusent de s’injecter un traitement en phase expérimentale pour conserver leur emploi.
Que ce soit depuis le site de l’Assurance maladie, ou celui des impôts, les vols de données et d’argent se multiplient à cause de la porosité du système proposé par l’État français.
L’état corrompu par les lobbies veut nous imposer une numérisation forcée très consommatrice d’énergie mais en plus opte toujours pour les sociétés les plus foireuses du marché sûrement aux mains de copains et de coquins comme disait un ministre bien placé pour le savoir voici déjà quelques décennies.